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Temps de lecture estimé : 12 mn
05/08/09
Résumé:  Pour fêter mon succès à l'examen, j'invite quelques amis et amies de fac à passer un week-end dans une villa en bord de mer.
Critères:  fh jeunes copains vacances plage voir massage intermast fellation pénétratio -prememois -plage
Auteur : Bart            Envoi mini-message

Série : Anniversaire en Bretagne

Chapitre 01
Une fête en Bretagne



Nous étions arrivés la veille, assez tard, à la villa que possèdent mes parents sur cette petite île du sud Bretagne. Chacun avait pris sa chambre respective, sans tarder, fatigués que nous étions par le voyage.

Mes parents m’avaient laissé la maison pour ce long WE, afin que je puisse fêter mes 20 ans et la fin des examens. J’avais donc invité quelques-uns de mes meilleurs amis de la fac. Nous n’étions pas très nombreux mais néanmoins je savais que l’ambiance serait festive.

Il y avait Paul, mon meilleur ami et sa copine Marie, Jean, Appolina et Sophie d’autres amies avec qui je passais beaucoup de mon temps libre.

C’était donc en compagnie de Sophie, levée en même temps que moi, et à qui j’avais proposé une petite baignade matinale, que je marchais sur le petit sentier côtier.


Je n’avais jamais eu d’aventure avec Sophie, elle n’avait pas non plus d’amoureux. Pourtant elle avait beaucoup de succès, mais elle disait que pour l’instant, elle préférait se consacrer à ses études. Néanmoins, je sentais une grande complicité entre nous. Je sentais que je lui plaisais. Elle ne me laissait pas indifférent non plus.


Pas très grande, mais très tonique, blonde aux cheveux mi-longs, des yeux rieurs couleur noisette, un sourire éclatant… beaucoup de charme en somme. Elle avait aussi un corps superbe, mais elle portait en permanence des vêtements amples qui le cachaient… Très frustrant.


Nous n’étions pas encore en été, mais déjà il faisait chaud, et la journée s’annonçait radieuse. Nous arrivions en bordure de plage où je prévoyais la baignade.



Et pour la taquiner j’ajoutai :



Elle finit d’étaler sa serviette, projeta ses sandales du bout du pied et passa par-dessus sa tête son grand tee-shirt. Enfin, je la découvrais. Elle portait un petit bikini bleu clair. Son soutien-gorge ficelle moulait parfaitement une poitrine bien ronde. La fraîcheur du matin, ou peut-être l’excitation d’aller se baigner, faisait saillir les pointes de ses seins que je distinguais sous le tissu. Ses fesses un peu dodues tendaient l’arrière de son slip, simplement retenu sur le côté par des ficelles.


Je restais bouche bée.



J’ôtai moi aussi mon tee-shirt, et en bombant le torse :



Les mains sur les hanches, elle me dévisagea de haut en bas.



Je finis d’enlever mon short, et je me jetai sur elle. Elle m’esquiva en poussant un cri et, en riant, courut vers la mer. Je m’élançai après elle. Alors qu’elle entrait dans l’eau, je la rattrapai et la pris par la taille. Je saisis ses jambes et la soulevai. Maintenue dans mes bras, elle poussait des cris mêlés de rire.



Elle s’accrocha à mon cou et tout en la portant, je continuais à avancer dans l’eau…



Elle courait, l’eau maintenant à mi-cuisse. Je fis un plaquage digne d’un rugbyman, l’attrapai par la taille et la fis tomber. Elle poussa un cri, en s’étalant de tout son long. Nous nous sommes bagarrés pendant quelques instants. Elle se releva, essoufflée, en toussant.


Pendant nos jeux, un bonnet de son soutien-gorge s’était déchiré. Son sein droit était presque totalement dénudé. Je voyais une magnifique aréole large et rose au milieu de laquelle une pointe se dressait. Il était rond, charnu, légèrement en forme de pomme.



Elle venait de remarquer mon regard rivé sur sa poitrine



À force d’arguments, je la persuadai que vraiment, ça n’était pas bien grave, qu’il n’y avait personne, et que ça la rendait encore plus jolie. Je la sentis se détendre. Elle me regarda avec un air de défi, dénoua les nœuds et retira complètement son soutien-gorge.



Elle ne dit rien, mais me jeta un drôle de regard. En remontant la plage à ses côtés, j’observais du coin de l’œil ses seins bien fermes, les pointes dressées par la fraîcheur de l’eau, qui bougeaient doucement de droite à gauche, au rythme de ses pas. Je sentais le désir m’envahir. « Il va falloir que je me contrôle, sinon elle va s’en apercevoir », me dis-je.


Arrivée près des serviettes, Sophie se mit à genoux pour fouiller dans son sac. Je continuais à mater ses seins parfaits, qui, dans sa position accroupie, tombaient légèrement vers l’avant. Elle prit un tube de crème et me le tendit. Toute gêne de sa part semblait avoir disparu. Au contraire, même : elle semblait contente de me montrer son anatomie.


Elle s’allongea sur le ventre, sa tête dans son coude replié :



Je me mis à califourchon, pris un peu de crème et commençai à enduire ses épaules. Les bras sous la tête, elle fermait les yeux. Je descendis doucement vers le bas de son dos, en prenant bien soin d’enduire chaque parcelle de son corps. Je tentai une petite incursion sur le côté en effleurant ses seins, pour voir si elle réagissait. Elle ne disait rien. J’ai juste perçu un petit frémissement au moment où ma paume frôla le côté de sa poitrine.


J’arrivai maintenant au niveau de ses petites fesses bien fermes.« Il faut que je trouve une solution pour les caresser », me dis-je. « Non, pas tout de suite. Attendons un peu. » Je repris de la crème et commençai à en mettre sur les jambes, sur l’arrière des cuisses d’abord, puis l’intérieur. Elle écarta un peu ses jambes. Serait-ce pour me faciliter la tâche ? Je distinguai, à travers son maillot mouillé, la forme de son petit abricot. Cette fois-ci, j’aurais bien du mal à le cacher. Je bandais comme un fou.



Pour ne pas lui donner l’occasion de protester plus, je pris les nœuds de chaque côté du maillot et les défis. Je dégageai le tissu, et ses fesses m’apparurent dans toute leur splendeur.



Elle tenta de remettre son slip en place. Je repoussai ses mains.



Elle maugréa un peu et reposa sa tête entre les bras. J’étais fasciné par ses fesses, rondes. Plus claires par la marque du maillot. Petites fossettes avec du duvet. Un vrai bonheur.



Je dégageai complètement le tissu entre ses jambes, pris la crème et commençai à enduire les deux globes, je les malaxai et, à intervalles, je distinguais son petit trou, rose, absolument adorable. Maintenant que le tissu n’était plus là, son sexe, ses petites lèvres, étaient parfaitement visibles et luisaient un peu.


Était-ce l’eau de mer ou une excitation que je commençais à sentir ? « Au point où on en est, il faut que je sache », me dis-je.

J’effleurai légèrement son sexe du bout des doigts. Légère crispation des fesses, mais pas un mot. Je décidai d’être un peu plus entreprenant, en renouvelant la caresse de manière plus appuyée.


Nouvelle contraction. Elle ne disait toujours rien, mais je la sentais un peu plus tendue. Je remontai ses fesses pour mieux dégager sa vulve et je me mis à la caresser franchement. Plus de doute, elle était carrément humide, et ce n’était pas l’eau de mer. Je m’enhardis.


Elle poussa un petit cri quand, doucement, j’introduisis un doigt dans sa petite chatte. Cette fois-ci, j’entendais des petits soupirs qui n’étaient pas équivoques. Elle écarta imperceptiblement les jambes. Manière de me faciliter la tâche. Je continuai à la caresser et à la masturber, le long de son sexe et de son petit trou. Ses soupirs devenaient maintenant des petits cris.


Elle souleva sa croupe pour me permettre de mieux la branler. Je la sentais au bord de l’explosion, et moi, je ne savais pas combien de temps mon slip allait tenir. J’accélérai et soudain un long feulement. Son corps fut pris de soubresauts, elle jouissait. Je sentis mes doigts pleins de sa cyprine. Merveilleuse odeur de jeune femme. Je remontai vers sa tête en déposant de petits baisers sur son dos, sa nuque. Je cherchais sa bouche qu’elle me tendit. Nos langues se mêlèrent en un long et langoureux baiser.



Toute trace de gêne disparue, elle se retourna, face à moi maintenant. Elle était carrément nue, mais ça ne semblait plus la gêner. Seul le petit bout de tissu de son slip cachait encore un peu son sexe. Elle ne s’en préoccupa pas quand il glissa complètement en offrant à ma vue sa petite toison blonde taillée en triangle.

Son regard glissa vers mon slip. Il n’était besoin d’être devin pour comprendre dans quel émoi j’étais.



Je sentais qu’elle mourait d’envie de prendre mon sexe à pleines mains. Effectivement, sans attendre, sa main glissa vers mon maillot et caressa doucement mon sexe à travers le tissu.



J’obtempérai en me tortillant. Mon sexe, qui ne demandait que ça, jaillit de mon slip, bandé à mort. Une fois complètement nu, allongé sur les coudes, je lui dis :



Elle eut un petit rire, se mit à genoux, jeta un coup d’œil pour voir si quelqu’un approchait, puis fit remonter ses doigts le long de ma verge, chatouilla le bout de mon gland, prit son temps pour mieux le découvrir, puis petit à petit, le saisit à pleine main. Elle commença à me branler de haut en bas avec un mouvement circulaire. Elle me regardait en même temps pour voir ma réaction.



Elle ne se le fit pas dire deux fois. Elle se pencha. De sa langue, elle commença à me lécher le bout du gland, descendit le long de ma hampe, remonta, me prit à pleine bouche et me pompa avec vigueur, tout en continuant à me branler.



Sans plus attendre, elle se mit à califourchon, prit mon sexe et l’introduisit dans sa petite chatte. Elle était tellement ouverte et humide que mon sexe y entra d’un seul coup. Surprise par la facilité de pénétration, elle poussa un petit cri. Elle se cambra, ses mains appuyées sur mes jambes pour mieux aller et venir. Ses seins dansaient sous mes yeux au rythme de ses soubresauts, ses pointes dressées et dures. Je les pris entre mes doigts et les malaxai, ce qui ne fit qu’augmenter son plaisir, à voir la fougue de ses mouvements et de ses cris, qui devenaient de plus en plus forts. Elle secouait la tête de droite à gauche, entraînant ses mèches blondes. D’un seul coup elle s’arrêta, ses mains pincèrent mes cuisses très fort, nos regards se croisèrent et j’y lus une telle jouissance que j’éjaculai dans son ventre au moment même où un long râle s’échappait de ses lèvres ouvertes. La jouissance était extrême. Un long moment se passa où ni l’un ni l’autre n’osa bouger, pour maintenir le plus longtemps possible ce plaisir que nous avions partagé.


Puis elle s’affala sur moi et roula sur le côté, en sueur et encore haletante. Elle posa sa tête sur mon épaule, sa main descendant jusqu’à mon sexe encore dur pour le caresser.



Je me redressai un peu, mon regard parcourant ses formes magnifiques et sa petite chatte encore toute luisante. Je me penchai vers elle, pris un de ses seins dans la main et embrassai sa pointe rose qui se redressa immédiatement.



Nous nous sommes relevés. Elle se pressa contre moi, mit ses bras autour de mon cou et me fit un long baiser.



Je remis mon short et mon tee-shirt, elle remit simplement son tee-shirt pour cacher sa nudité et, main dans la main, nous repartîmes vers la maison.



À suivre