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Temps de lecture estimé : 15 mn
17/09/09
corrigé 12/06/21
Résumé:  De retour à la villa, Sophie et moi retrouvons tous nos amis pour préparer la journée...
Critères:  fh copains vacances plage anniversai amour voir fellation
Auteur : Bart      Envoi mini-message

Série : Anniversaire en Bretagne

Chapitre 02
Retour à la villa. Le matin.

Résumé : Sophie et moi étions allés à la plage pour une baignade matinale, qui se termina par de tendres ébats sur le sable.



Nous remontions de la plage main dans la main. Le soleil déjà haut faisait apparaître de légères traces de sueur sur nos visages. À cinquante mètres de la villa, Sophie s’arrêta :



Joignant son geste à la parole, elle posa son sac à terre, sortit son petit slip de bain ficelle complètement défait et commença à le renouer de chaque côté.



J’arrivai derrière elle, passai un bras autour de son cou et l’embrassai dans la nuque. Une de mes mains descendit sur ses seins libres tandis que l’autre passait sous son tee-shirt pour peloter sa petite chatte. Je fis aller et venir mon doigt le long de sa fente, qui glissa tout seul tant elle était encore humide.



J’insistai et mes doigts se firent plus caressants.



La voyant si déterminée, je n’insistai pas. Elle remit sa petite culotte en se tortillant. En voyant ma mine déconfite, elle me fit un baiser sur la joue en frottant mon dos avec des petits mouvements rapides.



Elle n’eut pas le temps de répondre que j’étais déjà en train de pousser le portail de la villa et de la faire entrer. Nous entendions des éclats de voix et des rires provenant de la terrasse.


Effectivement, après avoir franchi l’angle de la maison, nous pûmes voir nos quatre dormeurs attablés autour d’un petit déjeuner.


Il y avait Paul, mon meilleur ami et ami d’enfance. Blond aux yeux bleus, grand, baraqué, le beau mec vers qui se portait le regard des filles partout où il passait ! Complice de toutes mes fêtes, nous avions partagé avec insouciance tant de moments festifs et de conquêtes féminines, que notre complicité était sans faille, d’autant plus que nous avions une même vision de la vie : la croquer par tous les bouts avec un minimum de contraintes. Pourtant depuis quelques mois, Paul s’était un peu assagi, sans doute à cause de Marie, sa petite copine.


Marie, aussi blonde que Paul, tempérament de feu, grands yeux verts, visage triangulaire constellé de petites éphélides, elle avait des hanches étroites et de petits seins mignons à croquer, ronds et fermes, qui rendaient superflu tout soutien-gorge. Il ne fallait pourtant pas s’y fier. Son air avenant, sa bonne humeur communicative et sa gentillesse cachaient en fait un caractère très déterminé. Et c’était préférable avec Paul. Tous les deux semblaient inséparables, mais prétendaient à qui voulait les entendre, qu’ils étaient en même temps libres de leurs désirs. Peut-être une attitude de façade, mais pour l’instant, ils avaient l’air de très bien fonctionner de cette manière.


Assis en face de Marie, Jean : Tignasse brune bouclée, yeux noisettes, il avait toujours l’air d’être sur une autre planète. Quand on connaissait ses talents de musicien et de peintre, on pouvait penser que c’était normal, vu que c’était un artiste. Bien qu’ayant tous les atouts pour plaire aux filles, sa timidité, sa naïveté et sa maladresse gaffeuse l’empêchaient d’avoir le succès qu’il aurait pu escompter. C’était entre autres, pour cette espèce de fragilité que Paul et moi l’aimions bien. Il était comme un petit frère qu’il faut protéger de ses bêtises.


Enfin, Apolline. Je ne la connaissais pas très bien, mais c’était l’amie inséparable de Sophie et quand elle m’avait demandé si Apolline pouvait l’accompagner, je n’avais soulevé aucune objection. Au contraire même, les quelques fois où j’avais eu l’occasion de la rencontrer, elle m’avait fait forte impression.

Pas très grande, elle avait des cheveux châtains aux reflets dorés, avec une frange qui lui tombait sur le front et une éternelle petite queue de cheval. Des yeux noisette en amande très lumineux, des pommettes hautes dans un visage ovale et un teint hâlé en permanence, rappelaient ses origines hispaniques. J’avais aussi pu voir que sa taille de guêpe, ne l’empêchait pas d’avoir une très belle poitrine et une croupe ronde des plus appétissantes. Mais ce qui la rendait craquante, c’était sa façon d’être toujours souriante et d’émettre un petit rire retenu, en rentant la tête dans ses épaules comme pour s’excuser.



Après être passés auprès de chacun pour les embrasser, Sophie et moi, nous nous sommes installés à table.



Tant d’empressement me surprit. Je regardai Apolline, qui me fit son plus beau sourire, dévoilant de grandes dents blanches.



Elles se sont dirigées toutes les deux vers la cuisine, et je remarquai que tout en marchant, Sophie parlait avec animation à Apolline.


La discussion allait bon train à table quand les filles sont revenues avec une cafetière fumante. Apolline, le visage fermé, posa le café devant moi un peu brusquement. Je levai les yeux un peu surpris par ce changement d’attitude et questionnai Sophie du regard. Elle baissa les yeux et se mit à rougir. Bon OK, j’avais compris, elle n’avait pas pu s’empêcher de raconter à sa meilleure amie, nos performances du matin. Mais pourquoi Apolline avait-elle l’air si contrariée ? Aurait-elle des vues sur moi ?


Tout à coup le téléphone de Jean se mit à sonner, mettant fin à mes pensées :



Jean raccrocha visiblement ravi. Les discussions s’étaient tues et tous les regards tournés vers lui. Je lui demandai :



En voyant ma mine déconfite, il demanda :



Jean ne savait plus quelle contenance prendre. Il pensait se valoriser en invitant une superbe fille. Non seulement ça tombait à l’eau, mais en plus ça mettait la pagaille et ses potes se fichaient de lui.



Interloqués, tous me regardèrent et puis regardèrent Sophie. Marie fut la première à parler.



Sophie, toute rouge, m’implora du regard de ne pas évoquer nos ébats.



Soulagée, elle me regarda avec reconnaissance. Et pour éviter d’autres demandes d’explication :



Je coupai court à la répartie de Paul qui n’allait pas manquer.



Après avoir terminé mon petit déjeuner, alors que Paul, Jean et Marie s’occupaient du rangement, je montai à l’étage pour aller prendre ma douche.


J’arrivai près de la salle de bain et j’entendis derrière la porte des rires et une discussion animée.



Je poussai le battant et me trouvai devant les deux donzelles, en effet…. presque prêtes. Nous ne devions sûrement pas avoir la même définition du mot, car en rentrant dans la salle de bain, j’eus le temps d’abord de voir une Apolline en petite culotte, de trois quart dos, le côté frémissant d’un de ses seins, une courbure de reins d’enfer sans aucune marque de maillot prolongée par de petites fesses rebondies, qui semblaient elles aussi très bronzées car simplement recouvertes par une petite minuscule culotte transparente. Malheureusement, le Marcel qu’elle terminait d’enfiler cacha bien vite ces trésors à ma vue.



Mon regard se porta alors sur Sophie, entièrement nue devant le miroir, les bras levés en train de s’essuyer les cheveux avec une serviette. Elle se tourna légèrement vers moi avec un grand sourire sans sembler le moins du monde gênée par sa nudité. Au contraire même, je trouvai qu’elle s’essuyait plus longtemps qu’il n’aurait fallu, comme pour me faire profiter du spectacle.


Tendus par la position de ses bras, les pointes érigées, ses seins tremblaient légèrement au rythme de l’essuyage de ses mèches blondes. Les jambes légèrement écartées et son ventre plat terminé par sa petite toison soyeuse où perlait encore quelques gouttes d’eau, le galbe de ses fesses, me donnèrent une bouffée d’adrénaline avec effet immédiat sur la rigidité de mon sexe. Elle était encore plus désirable que sur la plage, ce matin !


Se frottant toujours les cheveux, elle s’approcha avec un petit sourire, abandonna sa serviette par terre, mit ses bras autour de mon cou, se colla à moi. Je sentis l’excitation m’envahir. Sans un mot elle m’embrassa, puis s’écartant un peu :



Sa question me prit au dépourvu. Je ne savais pas si c’était un piège ou une incitation à plus. Enfin, dans le doute, j’esquivai sur le ton de la plaisanterie :



Elle minauda un peu dans mon oreille et puis nos langues se mêlèrent à nouveau dans une fièvre de désirs, comme si cet échange verbal l’avait encore plus excitée. Mes mains descendirent sur son dos encore humide de la douche, pelotèrent ses fesses à pleine mains et caressèrent doucement son sexe par l’arrière. Elle se cambra et souleva légèrement une jambe pour me permettre de mieux accéder à la source de ses plaisirs. Complètement mouillée, elle me murmura à travers nos baisers :



Je ne me le fis pas dire deux fois et introduisis un doigt dans sa petite chatte, qui dégoulinait littéralement. Elle renforça encore sa prise sur moi et ses baisers devinrent plus frénétiques. Sa langue s’enroula autour de la mienne. Quelques caresses appuyées sur son clitoris plus tard, elle fut prise de petites secousses ponctuées de gémissements et d’onomatopées de plaisir.


Enfin, comme sur la plage, elle eut un soubresaut et renversa la tête en arrière pour mieux prolonger sa jouissance. Au bout de quelques instants, elle reprit ses esprits :



Elle n’avait de toute façon pas attendu ma réponse. Mon tee-shirt était déjà passé par dessus ma tête et d’une main habile, elle défit les boutons de mon short pour le faire glisser jusqu’à mes pieds.

Mon sexe à l’horizontal, bandait fièrement sous ses yeux. Plus dur, il ne pouvait pas. Elle le prit dans sa main et le branla un peu en cherchant dans mes yeux des traces d’un plaisir naissant. Elle y lut sans doute aussi mon envie que sa bouche puisse compléter sa main, car elle s’accroupit et après avoir donné quelques coups de langue le long de ma hampe, elle embrassa ma verge du bout des lèvres avant de l’engloutir complètement. Elle jouait de sa langue, tout en me branlant. Bon dieu ! Où avait-elle apprit à faire ça ? Je sentais une envie indescriptible monter en moi.



Je pensai qu’à ce moment là, comme bien d’autres de mes conquêtes éphémères, elle allait se retirer. Mais au contraire, elle me suça avec encore plus d’intensité et augmenta la fréquence de ses mouvements, en me pelotant les bourses de surcroît. Elle leva ses grands yeux bleus vers moi, dans lesquels j’y lus un défi que je pris comme une autorisation à me laisser aller. Ça ne fit qu’augmenter mon désir. D’un coup, la sensation de plaisir fut si forte que dans un cri, j’explosai tout au fond de sa gorge en jets saccadés. Elle continua à me pomper, jusqu’à ce que mes râles se fassent souffle.


J’avais encore les jambes flageolantes quand elle se releva, et se colla à nouveau contre moi, les bras autour de mes épaules, son souffle chaud dans ma nuque. Doux instants, où le plaisir est encore si présent que la notion de temps n’existe plus.


Un long moment s’était sans doute passé, car quelques coups frappés à la porte nous tirèrent de notre torpeur.



Je reconnus la voix d’Apolline à travers la porte.



Et comme pour donner le change :



Pas encore complètement revenu sur terre, et trop estomaqué par le toupet de Sophie, je n’ai pu que marmonner un faible «Je me dépêche».


Elle ramassa sa serviette, la mit autour d’elle rapidement et ouvrit la porte. Apolline apparut et jeta un coup d’œil appréciateur sur ma nudité.



À nouveau, je n’eus pas le temps de répondre. La porte s’était déjà refermée sur un rire. Attends donc ma belle, tu ne perds rien pour attendre !


Ma douche rapidement prise, séché et habillé, je descendis pour rejoindre mes deux petites chipies qui m’attendaient bien sagement dans le jardin, en compagnie de Jean.


À suivre…