n° 13467 | Fiche technique | 25653 caractères | 25653Temps de lecture estimé : 15 mn | 18/09/09 |
Résumé: Découverte des plaisirs à plusieurs après la mise en relation avec un des auteurs du site. | ||||
Critères: grp inconnu vacances boitenuit danser voyage facial fellation cunnilingu partouze confession | ||||
Auteur : Féline Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Vacances sous le soleil Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
De retour de vacances bien méritées sous le soleil…. C’est donc avec délice que je compte vous faire partager quelques moments forts de la coupure estivale que je me suis octroyée.
La plage, le sable fin, la chaleur du soleil caressant la peau. Autant d’appels aux plaisirs divers et variés.
Tout a commencé quand j’ai envoyé un premier mail suite à ma lecture de la saga d’un auteur du site… sa façon d’écrire m’a transportée vers des caresses jusque-là inavouées et vers mon inéluctable libération … et quand l’auteur m’a mise en scène ça a été l’explosion.
Aussi, me suis-je dit que les vacances étaient le moment idéal pour expérimenter tous les plaisirs…
J’ai pris soin de ne mettre dans mes bagages que des vêtements très sexy et des textures qui permettent à l’imaginaire tous les fantasmes….
Pour vous faire un petit aperçu, je suis montée dans le bateau habillée d’une robe crème très décolletée dans le dos et devant, laissant deviner la chute des reins et montrant généreusement la rondeur de mes seins… au travers de celle-ci, on pouvait découvrir le galbe de mes jambes, la forme ronde et ferme de mes fesses qui était mise en valeur par la cambrure naturelle que je semble avoir et qui a fait chavirer plus d’un homme et même quelques femmes.
A ceci, j’avais complété ma tenue par des chaussures à brides et talons aiguilles.
Les dessous n’étaient pas en reste, j’avais pris soin de mettre un string qui révélait de façon subtile un pubis agrémenté d’une fine bande de poils laissant le reste de mon sexe imberbe et d’une douceur très accueillante.
Je montais donc sur ce bateau prête à assumer le moindre de mes désirs et caprices, et bien entendu à les faire partager à qui voudrait.
Je restais sur le pont jusqu’au départ et n’intégrais ma cabine que quand nous fûmes en pleine mer. Je me changeais rapidement pour enfiler un maillot une pièce très échancré et dont le décolleté était mis en valeur par une fermeture éclair allant du plus sage au plus osé et mettant en valeur mon corps déjà hâlé par les quelques séances de bronzage faites avant de partir.
J’arrivai à la piscine vers 22h30, un tour d’horizon de quelques secondes me permit de voir qu’il n’y avait que des adultes paressant sur des transats ou en train de boire des cocktails au bar. J’avais passé par dessus mon maillot de bain un très joli paréo en voilage transparent jaune clair, merveilleux contraste avec mon maillot noir.
Je décidai de m’installer au bar et d’attendre un peu.
L’attente fut de courte durée, un homme d’une cinquantaine d’année s’approche de moi, me lance un sourire ravageur et entame la conversation :
C’était bien la seule question à laquelle je ne m’attendais pas… mais pour être fidèle à ce que je voulais, je laisse glisser mon paréo à mes pieds et me dirige vers la piscine. Je me glisse dans l’eau et attends…
Je passe ma langue sur mes lèvres sans cesser de le regarder… Il s’approche de moi et me glisse à l’oreille :
Délicatement il me prend la main et la pose sur cette partie de son anatomie déjà tendue par un début d’érection. Mes doigts tâtent délicatement cette colonne de chair au travers de son maillot.
C’est très excitant, personne ne peut deviner ce qui se passe sous l’eau. J’en profite pour entourer de ma main son membre et le masse doucement sans quitter son regard.
Sa bouche frôle de nouveau mon oreille :
Je glisse la main dans la bordure de son maillot et de mes doigts experts frôle lascivement son gland, me retire, et sans un regard en arrière, sors de l’eau.
Je suis très excitée malgré la petite appréhension qui me tord le ventre. Le désir est plus fort. Je me sèche rapidement, remet mon paréo tandis que mon partenaire sort à son tour de l’eau.
Je m’approche de lui, lui donne rendez-vous une demi-heure plus tard au bar de nuit panoramique qui est tout en haut du bateau et rejoins ma cabine pour me changer et réintégrer ma robe et mes talons hauts ainsi que les dessous, qui j’espère, affoleront mon nouveau futur compagnon de jeu.
Je me regarde dans le miroir à l’entrée de la cabine, je suis très excitée à l’idée de la nuit que je vais passer et je sens mes sens se développer. Je remonte ma robe au-dessus de mes fesses et me tourne pour détailler la rondeur de mon cul. Je me cambre assez pour apercevoir le gonflement de mes lèvres et fais glisser une main le long de mes courbes. Mes doigts virevoltent le long de ma fente déjà humide. J’écarte le tissu de mon string et pénètre de mon index inquisiteur ma grotte palpitante, masse légèrement l’entrée de ma fente et le retire pour goutter ma mouille. Je remets le tissu en place et me retourne pour évaluer l’effet de mon décolleté et la transparence de ma robe. Mes seins gonflés sont à l’étroit dans mon soutien-gorge pigeonnant dont la transparence laisse apparaître les aréoles et les tétons pointus et je ne peux m’empêcher d’en agacer la pointe en y frottant la paume de mes mains. Mes tétons durcissent, devenant arrogants sous la caresse. Dernière petite vérification à faire, je lève le bas de ma robe sur mes cuisses fuselées jusqu’à apercevoir au travers de la dentelle de mon string la forme de mon clitoris. Mes doigts le taquinent avec légèreté au travers du tissu, mes ongles longs viennent gratter délicatement ce renflement…. Je décide d’arrêter là mes caresses qui me tournent les sens et de rejoindre mon rendez-vous.
Je passe l’entrée du bar panoramique avec un quart d’heure de retard.
Je reste quelques instants à l’entrée afin que mes yeux s’habituent à la pénombre du lieu. Je vois mon partenaire près du bar et le rejoins sans plus attendre.
Quand j’arrive à sa hauteur il se lève et m’aide à m’installer. Le bar est fait de petites alcôves intimes dont la vue donne directement sur la mer. La magie du lieu et la beauté de la vue est à couper le souffle.
Je m’assois sur le sofa qui est à notre disposition et entame la conversation :
Il appelle le serveur, passe les commandes et se met à me scruter du regard.
Le garçon nous apporte nos boissons.
Je croise mes jambes et lèche tantôt le sel qui est sur le bord du verre, tantôt mes lèvres.
Je me fais mutine et coquine, inaccessible et si proche. Je vois au regard de Marc qu’il apprécie pleinement.
Il me regarde, sirotant son whisky. Sa main vient se poser sur mon genou et commence, lentement, une caresse sur le tissu. Il masse doucement mes cuisses, remonte à la frontière de l’indécence, là où la peau est si douce et si sensible.
Il pose son verre, se penche sur moi, et continue sa caresse, me lèche les lèvres que j’entrouvre. Sa langue glisse dans ma bouche, frôle ma langue que j’enroule autour de la sienne dans un mouvement de grande sensualité. Pour ne pas perdre la maîtrise de ce que nous vivons je me recule pour échapper à ce baiser torride qui électrise tout mon corps.
Je bois une gorgée de mon cocktail en laissant quelques gouttes se perdre sur mes lèvres et couler le long de ma gorge jusqu’à la naissance de mes seins. De mon autre main, j’en suis le cheminement et l’arrête avant qu’elle ne plonge trop loin dans mon décolleté.
Provocante je me mets à lécher mon doigt de façon très suggestive sans quitter Marc des yeux. De mon autre main je pose mon verre sur mon décolleté, le laissant glisser sur ma peau brûlante.
Se disant il plaque ma main sur son entre-jambe afin que je prenne toute la mesure de l’effet procuré par mon attitude.
Doucement j’entame une caresse sur son membre gonflé que son pantalon en lin léger ne peut masquer. Imperceptiblement il écarte les cuisses et je prends un malin plaisir à malaxer ses couilles pour ensuite envelopper sa hampe et lui imprimer des mouvements de va-et-vient qui manifestement le comblent. Sa queue est d’une taille plus que respectable et la sentir palpiter au travers du tissu est très excitant. Penchée sur lui, je butine ses lèvres de ma langue gourmande, goute sa bouche profondément, pince de mes lèvre le creux de son cou, ne lui laissant aucun répit.
Quand je me lève, je constate que le Bar s’est vidé et qu’il ne reste plus que le barman et quelques couples qui dansent sur la piste.
Les sens me tournent, le cocktail et l’excitation aidant je me sens des ailes…
Je commence à danser lascivement, laissant mes mains glissées sur mon corps et épousées ses formes. Marc s’est levé et est adossé au bar. Son érection déforme son pantalon mais manifestement cela ne le dérange nullement.
Un couple s’approche de moi, lui se met derrière moi et me tient la taille et elle vient devant moi et rythme sa danse sur la mienne me frôlant et exacerbant ma sensualité naturelle. Je me cambre un peu plus afin de rentrer en contact avec le bas ventre de son copain qui se met à se frotter contre mes fesses.
Pour accompagner ces mots, nous rejoignons Marc au bar où tout le monde se présente. Luc et Léa forment un couple libertin et lui nous avoue qu’il aime particulièrement voir sa compagne s’exciter avec une autre femme.
Sous les yeux hagards du barman qui doit commencer à se sentir très à l’étroit dans son uniforme, nous prenons place dans l’alcôve où nous avions commencé les hostilités quelques instants auparavant avec Marc.
Nous recommandons à boire, et discutons, le temps que le bar finisse de se vider, de chose et d’autre mais surtout de sexe.
Nous sommes Léa et moi sur un divan et les deux hommes ont pris des fauteuils qui nous font face. Je n’avais jusque là aucune expérience des femmes et leur dis sans détour. J’appréhende un peu ma possible gaucherie. Mais c’est celle-ci qui en fait avive le désir de tous.
Léa pose sa main sur ma jambe et fait remonter ma robe doucement. Elle approche ses lèvres et les pose sur les miennes, elles sont douces et humides et je ne peux m’empêcher d’aller gouter du bout de ma langue. Elle entrouvre ces lèvres et nos deux langues s’enchevêtrent dans un ballet exquis.
Délicatement mais fermement elle m’écarte les cuisses de telle façon que mon intimité fait face au bar et à Luc et Marc.
Je croise le regard du barman et l’invite du regard à nous rejoindre. Il va fermer la porte à clé et s’avance vers nous sans quitter des yeux la main de Léa qui flatte ma cuisse. Afin que ces messieurs puisse mieux apprécier le spectacle il pose une lampe sur la table basse de telle façon à ce que nos caresses ne leur échappent pas.
La main de Léa quitte la chaleur de mes jambes et vient faire glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules. Se faisant, sa langue pointue taquine mon cou. Je prends sa tête entre mes mains, lui lèche les yeux, le nez et force sa bouche d’un baiser si profond qu’il lui arrache un tremblement de plaisir. Je me lève, l’entraîne à ma suite, et profitant de mon avantage, fait glisser la fermeture éclair de sa jupe, Celle ci tombe à ses pieds révélant son sexe imberbe. Je la fait asseoir, lui écarte les jambes afin que chacun puisse admirer sa moule. Son sexe épilé est magnifique, son bourgeon agressif appelle les caresses et ses lèvres, trempées de mouille sont gonflées de désir.
Je défais les boutons de son corsage ce qui libère deux beaux seins. Subjuguée et surprise d’éprouver autant de désir pour une femme, je les soupèse, émerveillée de leur douceur, les caresse, mes lèvres viennent effleurer la pointe tendue. Je laisse passer ma langue. J’aspire son téton, continuant à flatter l’autre du plat de la main. Ma langue se fait exploratrice de ces contrées inconnues, goûtant, léchant, glissant sur ses protubérances mammaires si différentes des miennes mais si excitantes.
Doucement mais fermement elle m’écarte d’elle.
A son tour elle entreprend de me déshabiller. Ma robe une fois à mes pieds, elle dégrafe mon soutien-gorge avec lenteur frottant le tissu contre ma poitrine. Mes seins orgueilleux se gorgent de cette caresse. Je vois le regard de Marc chavirer par la vue de ma poitrine ferme et ronde. Léa fait rouler mes tétons entre son pouce et son index, parfois légère, parfois non… sublime caresse
Je sens son pubis contre mes fesses et en éprouve un trouble très fort. Puis elle s’attaque au string. Marc, Luc et le barman ont le regard trouble rivé sur mes attraits. Le barman a baissé son pantalon et se branle doucement. Je peux voir sa main le décalotter et ses doigts caresser son gland déjà humide.
Léa me fait asseoir sur le sofa et m’écarte les jambes. Mon bouton est proéminent et mes lèvres brulantes d’excitation. Le barman accélère sa masturbation, son gland est rouge et très gonflé. Il écarte les cuisses et fait rouler ses couilles dans sa main tout en continuant son va-et-vient de l’autre.
Léa vient s’asseoir à côté de moi, écartant les jambes. Instinctivement ma main part à la recherche de son mont de vénus tandis que ma bouche retourne gouter ses seins. Ma main glisse sur son ventre lui arrachant un gémissement étouffé. J’en profite pour aspirer son téton, ma langue virevoltant autour. D’un geste je convie le barman à venir vers nous et je chuchote à Léa :
Le barman se présente devant la bouche de Léa, sa queue palpitante est d’une taille impressionnante mais Léa n’hésite pas une seconde et enfourne cette belle bite de façon magistrale. Je suis hypnotisée par cette bouche pompant ce dard magnifique.
Léa s’arrête quelques instants pour me fourrer sa langue dans la bouche… le goût d’un sexe d’homme dans la bouche d’une autre femme est une sensation divine.
Je regarde Luc et Marc qui bandent comme des fous… Ils ont défait leur pantalon et leurs sexes appellent le regard. Le sexe de Luc est court mais très épais, son gland ressort tandis que celui de Marc est très imposant, tant par sa longueur que par son diamètre.
Tout en les regardant, j’humidifie mes lèvres… Le Barman masse les seins de Léa, lui pinçant parfois. Sa queue va-et-vient dans sa bouche tandis que ses couilles sont malaxées.
J’écarte les jambes de Léa de telle façon que tout le monde puisse profiter du spectacle que je vais leur donner…. ma main s’arrête sur le mont de Venus et je peux en apprécier la douceur et le velouté… c’est la première fois que je caresse une femme et c’est très troublant. Mes doigts vont chercher son clitoris et lui impriment une légère pression tout en tournant autour. Son bassin se soulève au rythme de mes caresses et j’accentue la vitesse. Marc et Luc n’en perdent pas une miette et leurs mains respectives se flattent la queue.
Continuant à les regarder je me mets à genoux devant Léa, lui écartant encore plus les jambes j’enfonce doucement mon majeur dans son puits brûlant. Je sens les muscles de sa chatte se refermer sur mon doigt et je me mets à masser doucement son vagin. De mon pouce je continue la pression sur son clito. De mon autre main je glisse le long de sa fente et lui titille la rosette.
Le Barman me regarde, haletant et gémissant sous le plaisir conjugué de la douce chaleur du fourreau que fait la bouche de Léa sur sa bite prête à exploser et la vue de mes caresses. Ses spasmes se font plus violents…
Il essaye de s’arracher à la bouche de Léa mais celle-ci accentue son va-et-vient sur son membre l’enserrant dans sa bouche gourmande… dans un cri il décharge et Léa s’empresse d’avaler la première giclée pour pouvoir accueillir les autres. Léa alors accepte de laisser le Barman s’écarter et se penche vers moi pour me transmettre une partie de son foutre. Je l’avale consciencieusement puis reprend mes caresses où elles se sont arrêtées.
Marc et Luc se lèvent et viennent se mettre de part et d’autre de nous.
Le barman est retourné s’asseoir pour mieux admirer nos ébats.
Je reprends donc mes caresses, mes mains sont pleines de son désir et ses gémissements deviennent de plus en plus forts.
Je regarde Marc et lentement approche mes lèvres de son bourgeon. Ma langue mutine frôle son clito, Léa ondule du bassin pour mieux s’offrir. Je ne quitte pas des yeux Marc et continue à la frôler de ma langue. Mes doigts vont et viennent dans son antre dégoulinante et je sens les prémices de l’orgasme arriver. Sa main va-et-vient sur le membre de Luc de manière saccadée. Il la soulève l’arrachant à mes doigts et la fait s’empaler sur sa queue dressée. Il prend ses seins entre ses mains, les triturant avec force. Ses gémissements vont crescendo.
Marc n’en peut plus et se met debout à côté de Léa… elle prend sa bite et commença à le masturber doucement.
Je replonge entre les jambes de la belle et me met à aspirer son bouton qui est devenu d’une dureté incroyable. Ma langue le fait rouler dans ma bouche. Les cris de Léa me font accélérer la cadence et je fais rouler les couilles de Luc dans ma main libre. Un dernier spasme et ils ont un orgasme d’une violence inouïe.
Mon excitation est à son comble et je tente de me soulager glissant ma main entre mes jambes. Le barman me voit et retire ma main m’empêchant tout frottement. Je sens sa queue qui avait repris une belle taille glisser contre ma raie.
Il me fait m’allonger sur la table basse. Marc caresse mon visage avec son gland, le fait glisser sur mes lèvres.
Je prends sa queue au creux de ma main et commence à le lécher. J’ouvre ma bouche juste assez pour qu’il en franchisse le seuil mais pas plus. J’enroule ma langue avec délice autour de son gland, laissant ma salive faire coulisser sa bite.
Léa, glisse entre mes jambes, ses mains au creux de mes cuisses, je sent son souffle sur mon envie brulante et tente d’aller à la rencontre de cette bouche et de ces doigts pour me soulager.
Les mains de Marc et du Barman explorent ma poitrine arrogante, en pincent les bouts et glissent sur mon ventre avide sans jamais atteindre la fournaise qui a embrasé mon corps.
Je le suce avec gourmandise, l’avalant en entier et le faisant ressortir pour mieux le lécher…
Le barman attrape mon autre main.
Le frottement que j’exerce sur sa queue est léger et son gland glisse dans ma main experte lui provoquant des sensations très fortes. Par quelques pressions sur son gland et le long de son frein qui était très sensible j’accentue son plaisir.
Marc gonfle dans ma bouche et accélère le rythme de ses va-et-vient.
Je n’en peux plus de désir, et les douces caresses de Léa sur l’intérieur de mes cuisses ne me suffisent plus. Quand elle glisse enfin ses mains vers la profondeur de mon désir, je suis déchainée. La queue de Marc va-et-vient dans ma bouche de plus en plus vite et je l’aspire avec une fièvre que j’ai rarement éprouvée tout en masturbant le barman avec force.
Léa approche sa bouche de mon bouton, glisse sa langue dans ma fente trempée de mon jus, je sens des doigts pénétrer mon cul, son nez frotte mon bourgeon déclenchant les spasmes de mon plaisir imminent.
Ses doigts me fouillent la chatte tandis qu’elle aspire mon bourgeon, ses dents en taquinent le contour de façon très douce et je ne tarde pas à m’arquer sous le plaisir violent qu’elle déclenche.
Le barman prend alors sa place entre mes cuisses et me pénètre violement. Il me laboure et je crie mon plaisir. Sa queue est chaude et me remplit merveilleusement bien. Les coups de boutoirs dont je suis la victime consentante me rendent folle de plaisir et je sens vite un autre orgasme me transpercer.
Je sens la queue de Marc se tendre et palpiter dans ma bouche, j’attrape ses couilles et les presse doucement dans ma main pour augmenter le plaisir que je sens arriver. Il se tend d’un seul coup et des jets de foutre envahissent ma bouche, débordent et coulent sur mon cou. Léa s’approche de moi et vient récolter de sa langue le trop plein.
Le barman quitte enfin la chaleur de ma chatte et se met au-dessus de nos seins, sa queue va-et-vient dans sa main et nous prenons un malin plaisir avec Léa à attiser son plaisir en nous caressant mutuellement les seins et en happant le gland du barman dans nos bouches gourmandes. Ce traitement a raison de sa patience et il décharge avec force sur nos seins, nos lèvres et nos ventres….
Le lendemain matin, arrivée à destination, j’entamais mes vacances endormie sur une plage avec le souvenir de cette nuit sur mon corps….
Mais les vacances n’étaient pas finies et me réservaient bien d’autres plaisirs.