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n° 13541Fiche technique10945 caractères10945
Temps de lecture estimé : 7 mn
27/10/09
Résumé:  Il faut savoir faire plaisir aux vieilles copines...
Critères:  fh copains massage fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Couplemelangiste            Envoi mini-message

Série : Fragments amoureux d'une libertine

Chapitre 06 / 09
Bruce... Bruce... Bruce...

Bruce y est passé ! C’est officiel !


Axel m’a téléphoné ce matin alors que nous sommes en pleins préparatifs pour la fête de demain soir. J’ai planté là ma mère et Julia pour m’isoler dans ma chambre et m’allonger avec mon portable sur mon lit encore défait de la nuit pour écouter sa confession de petite salope.

Étrangement, ça m’a foutu un coup au moral de savoir que la belle venait de niquer avec mon passé. Mais cette émotion subjective a doucement disparu à l’écoute de son récit pour se transformer en une sensation plus douce.


Elle s’était pointée chez lui, la veille, dans son petit studio d’étudiant, sous prétexte de savoir s’il viendrait me rejoindre à Courchevel. Un simple coup de fil aurait suffi, mais Bruce n’avait pas semblé s’en formaliser. Visiblement il avait passé la journée à bosser et la venue d’Axel était une bonne surprise, d’autant plus qu’elle était habillée pour la circonstance d’une petite robe noire courte et très décolletée sous son manteau. Il lui avait dit de se servir un verre et de mettre un peu de musique pendant qu’il terminait un chapitre.

Elle leur avait servi deux verres de vin rouge et mis de la World-Music avant de venir s’asseoir en tailleur par terre sur un gros coussin, à côté de lui pendant qu’il travaillait à son bureau.

Il en avait pour une dizaine de minutes tout au plus… Elle lui avait dit de prendre son temps, vu qu’elle n’avait rien prévu de spécial.

Au bout d’un petit moment, l’air de rien, en sirotant son verre, elle lui avait dit que quand nous révisions nos concours toutes les deux, si l’une avait terminé son programme de révision plus tôt, elle faisait à l’autre un petit massage de la plante des pieds pour la délasser. Le résultat était garanti ! Avait-il envie d’un massage ?


Elle avait omis de lui raconter que ces petits massages se terminaient rarement de façon innocente et appelaient à des caresses plus précises.

Il lui avait répondu d’un ton distrait qu’il était chatouilleux, mais elle avait pris ça pour une acceptation et en bonne fille, elle s’était gentiment faufilée sous le bureau.

De sa place, en baissant les yeux, il ne pouvait plus voir que sa robe remontée très haut sur ses jambes fuselées. Il s’était laissé faire pendant qu’elle lui enlevait ses chaussures et ses chaussettes. La partie haute de son corps invisible, elle avait commencé doucement son massage en insistant bien des pouces sur toute l’étendue de la plante des pieds.

Au début, il avait eu de petits rires chatouilleux en retirant son pied, mais au bout d’un moment, il s’était laissé aller à cette sensation agréable. Elle le massait franchement maintenant, un pied après l’autre, en remontant aussi sur les chevilles et les mollets. De là où elle se tenait, elle s’était vite rendu compte que ses caresses ne le laissaient pas insensible. Elle s’était ménagé une vue impeccable sur son entrejambe et la déformation lente, mais progressive, du pantalon témoignait de la chose.

Discrètement elle avait encore remonté sa robe en écartant un peu les jambes. De sa chaise, il devait avoir une vue magnifique sur ses cuisses et il suffisait qu’il se renverse un peu sur le dossier pour apercevoir l’orée de son sexe à peine protégé par un string de soie rouge. C’est ce qu’il fit quand elle tira un peu sur une de ses jambes pour entamer des deux mains un massage de la cuisse.


Il ne disait rien, mais Axel savait très bien qu’il était tout à fait conscient de la situation. Il aurait pu se relever et arrêter là ce petit jeu dangereux avec la copine de sa petite amie, mais les dix minutes demandées pour finir son travail étaient passées depuis un bon moment et il semblait toujours se concentrer sur sa lecture.

Il avait dû commencer un autre chapitre…

Ses deux mains massant la cuisse s’approchaient insensiblement de la boursouflure du pantalon… D’une voix changée, elle lui avait demandé s’il aimait ce qu’elle faisait et s’il voulait qu’elle continue.

En guise de réponse, il avait poussé son bassin en avant dans une espèce de grognement, en se laissant aller en arrière contre le dossier de la chaise. Par terre à côté de lui, elle avait écarté ses jambes encore plus et à moins d’être aveugle, il allait vite se rendre compte qu’elle aussi était tout excitée.


Il semble qu’ensuite, après l’avoir masturbé des deux mains de mouvements lents, mais appuyés au travers du pantalon, elle se soit retrouvée coincée entre ses cuisses en train de le sucer sous le bureau.

Très excitée par la situation, elle se rappelait s’être jetée sur cette queue palpitante pour l’avaler à peine extraite de sa prison étroite. Elle n’avait eu le temps que de quelques va-et-vient humides et gourmands le long de la hampe à la découverte de cette rigidité, avant qu’il ne se répande sans préavis dans sa bouche en torrents de sperme, en s’arc-boutant de tout son corps pour la pénétrer plus loin dans la gorge.


Surprise, elle ne l’avait senti venir qu’au dernier moment. La tête coincée par la hauteur du bureau, et ne pouvant bouger entre ses cuisses tétanisées de plaisir, elle n’avait pu faire autrement que d’avaler les torrents crémeux et salés qui lui coulaient dans la gorge.

Au bord de l’asphyxie et presque étouffée par cette quantité de plaisir, elle avait enfin réussi à le dégager du fond de sa bouche, mais il n’en avait pas encore terminé de son énorme orgasme, et plusieurs longues saccades étaient encore venues cingler d’épaisses balafres blanches son visage et ses cheveux…


J’avais omis de la prévenir de ces deux petites particularités de notre ami Bruce : le premier coup partait sans crier gare, sitôt chargé ! Si l’on ajoute à cela une production hormonale très conséquente et des éjaculations de mammouth, elle avait pris sa dose la petite !


Le récit d’Axel était devenu un peu plus confus ensuite, mais il en ressortait que personne n’avait jamais osé lui faire un truc comme ça auparavant !

D’habitude, ses amants la prévenaient de l’imminence de leur plaisir, et si elle acceptait parfois de les recevoir dans sa bouche, elle recrachait la liqueur blanche en la laissant couler lentement le long de ses lèvres sur le sexe encore tout palpitant.

Mais les hommes aiment encore plus qu’on les boive, jusqu’à la dernière goutte.


C’était la première fois qu’elle avalait. Le flot qui avait franchi sa glotte en longues giclées avait provoqué un mouvement instinctif de déglutition et elle s’était surprise à en accepter presque aussitôt l’étrangeté de goût et même à en apprécier la saveur, malgré la quantité qui encombrait sa gorge. Elle l’avait dégluti plus calmement ensuite après qu’il se fut retiré de sa bouche pour se finir sur son visage.

Cet orgasme qui l’avait complètement souillée aurait pu la fâcher, mais la puissance et l’abandon incontrôlé dans sa bouche de son nouvel amant l’attendrirent et l’excitèrent encore plus.

Elle avait adoré !


Elle s’était dégagée de sous le bureau, toute dégoulinante de son plaisir, et il avait regardé son visage balafré de sperme et sa robe toute tachée, avec des yeux éperdus de plaisir.

Il l’avait relevée pour l’embrasser profondément. Elle mélangea sa langue encore humide de sa semence avec la sienne pour un baiser passionné qui dura longtemps. Elle s’abandonnait complètement les yeux fermés en sentant ses gouttes de plaisir glisser de ses joues le long de son cou.

Après être passée sous le bureau, il l’avait maintenant assise dessus, les cuisses complètement écartées, à même ses cours de compta. Il avait écarté le voile de soie rouge coupablement humide pour lui embrasser la vulve doucement avant de s’emparer d’elle de la langue pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Parce qu’elle était très excitée, elle avait joui presque aussitôt.

Mais elle n’était pas du genre à s’arrêter à de telles minauderies et elle avait voulu passer ensuite aux choses sérieuses.


Il l’avait prise sur son lit d’étudiant, sans même la déshabiller et encore toute maculée de sperme. Il avait limé sa chatte bouillante en profondeur, avant de décharger deux fois presque coup sur coup tout au fond de sa matrice sans débander ni même la quitter.

Les giclées de sperme heurtant les parois de son utérus et qui la remplissaient sans qu’elle ne puisse tout retenir en elle l’avaient fait jouir en même temps que lui, avec un grand gémissement de femelle comblée et des bruits mouillés de vulve en plein spasme.


Dévastée de plaisir, elle était restée allongée, les cuisses grandes ouvertes, pour reprendre sa respiration après qu’il se fut retiré… Elle sentait son jus s’écouler de sa crevasse bouillante en une petite rivière chaude qui coulait le long du périnée pour sinuer entre ses fesses avant de tremper le drap sous elle.

Lorsqu’elle s’était traînée jusqu’à la douche, un long moment plus tard, elle l’avait encore senti sourdre d’elle en ruisseaux tièdes le long de ses cuisses.

Et cela avait suffi à faire renaître son désir.

Pour rapide qu’il soit, Bruce pouvait aussi remettre le couvert à la demande. J’en savais quelque chose.


Comme elle l’appelait, il l’avait rejointe sous l’eau. Il l’avait prise debout par-derrière sous le flot d’eau chaude et elle l’avait supplié de se contrôler un peu, le temps qu’elle jouisse. Il ne lui avait pas fallu longtemps.

Pour le remercier de s’être retenu, elle l’avait sucé à genoux dans la douche. Il avait presque tenu cinq minutes avant de se répandre une dernière fois dans sa bouche, bien qu’en quantité moindre. Elle l’avala jusqu’à la dernière goutte. Bref, ils avaient passé une très bonne soirée, avant d’être assaillis de remords.


Je la rassurai sur ma perception de la chose. D’autant plus que son récit m’avait rendue toute chose ! Elle avait eu raison d’en profiter et j’étais contente que ça lui ait plu. Je dirais moi-même à Bruce que je ne lui en voulais pas.

Toute contente de ma bénédiction à explorer plus avant ses performances testiculaires, elle me demanda avant de raccrocher, si cela ne me dérangeait pas qu’il l’accompagnât à Courchevel pour le week-end, maintenant que les choses étaient claires entre nous. Elle en ferait bien son officiel pour quelque temps.


Je lui devais bien ça à ma copine !