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Temps de lecture estimé : 12 mn
27/10/09
Résumé:  Après le petit déjeuner, et quelques nouveaux moments agréables passés avec Sophie, nous sommes allés au port pour préparer la soirée. Une surprise nous attendait.
Critères:  fh copains cunnilingu pénétratio
Auteur : Bart      Envoi mini-message

Série : Anniversaire en Bretagne

Chapitre 03
Arrivée au port. Le matin

Résumé


De retour de la plage avec Sophie, nous avons retrouvé les autres en train de prendre leur petit-déjeuner. Après avoir décidé ensemble du programme de la journée, dans une ambiance joviale, quelques surprises m’attendaient…









– Bon, alors elle est comment Chloé ? demanda Apolline à Jean.

– C’est ta petite amie ? enchérit Sophie.

– Euuhh, non pas vraiment… Enfin, pas encore… Tu sais… on s’est rencontré seulement il y a quelques jours… mais j’ai tout de suite senti que le courant passait entre nous.

– Ah bon ! Et votre rencontre s’est passée comment ? s’intéressa Sophie.

– Ben, j’étais au bar, chez Georges pour l’After Work, lorsqu’une fille superbe s’est approchée de moi. Elle m’a fait un grand sourire et m’a demandé si j’avais du feu. Et puis comme son paquet était vide, je lui ai offert une cigarette et l’on a commencé à bavarder, voilà quoi… Et tu ne peux pas savoir comme elle a été reconnaissante que je lui offre une clope, juste comme ça…

– Si, si, j’imagine, dit Sophie, et après elle t’a aussi suggéré de lui payer un verre parce qu’elle avait oublié son fric…

– Comment tu sais ça ? demanda Jean qui se posait des questions sur l’empathie de Sophie.

– Vieux truc de nana pour se faire payer un pot, tu ne l’as pas compris ?

– Ah bon… Mais en tout cas, ça m’a fait plaisir de le lui offrir. Après, on a commencé à discuter art, musique, photos, fringues. Tiens par exemple, tu sais qu’elle fabrique ses propres vêtements et qu’elle a créé une collection ?

– Une collection de vêtements ? s’étonna Sophie.

– Oui parfaitement… et il paraît que ça va faire un tabac cet été, triompha Jean.

– Et c’est quoi comme style ? émit Apolline, soudainement intéressée.

– Elle appelle ça SummerWear fun exotique !

– Tendance Groucho ? rigola Sophie.

– Euh… je ne sais pas trop, mais je crois qu’elle s’est inspirée d’un truc très en vogue au Brésil qu’elle a adapté, dit Jean, sans relever la perfide répartie de Sophie. Elle est en train de prendre des contacts pour les vendre.

– J’ai hâte de voir ça, dit Apolline.

– Tu verras… Elle doit venir avec quelques-uns de ses modèles et profiter de cette occasion pour les proposer à des boutiques de l’île, déclara Jean enthousiaste.

– Ben, dis donc, tu as l’air drôlement accro, lança Apolline.

– Ouais, c’est une chic fille et je suis sûr qu’elle a du talent. Et ce n’est pas parce que Marc et Paul ont dit du mal d’elle que je ne dois pas l’apprécier.

– Ils ont surtout dit qu’elle avait une tendance un brin nympho…, objecta Sophie.

– Pas nympho, seulement exubérante.

– Ça revient un peu au même, non ?

– Arrête. Vous, les filles, vous êtes toujours en train d’être jalouses les unes des autres, mais si vous trouviez un mec qui vous plaît, j’imagine que vous ne seriez pas les dernières !

– Tous pareils, dit Sophie avec un rire forcé, en s’adressant à Apolline, ils croient que les nanas sont à leurs pieds sous prétexte qu’on leur a fait un bisou.

– Il n’a peut-être pas complètement tort, suggéra Apolline avec un clin d’œil.

– Pas encore partis ? s’enquit Paul, qui venait d’arriver avec Marie.

– On attend Marc, dit Jean. Ah, le voilà ! Eh bien, il t’en a fallu du temps pour prendre ta douche !


Jean regarda sans comprendre les deux chipies en train de pouffer dans leur coin.


– Il doit être un peu coquet, osa Sophie.

– Ou alors, il se fait beau pour nous plaire, minauda Apolline.

– C’est bon ? On y va ? dit Marc sans faire de commentaires.

– On t’attendait, figure-toi, notifia Apolline.

– OK… Donc vous restez là ? demanda Marc en s’adressant à Paul et Marie.

– Oui, répondit Marie. On a envie de prendre notre temps. Et comme ça, Paul et moi, on vous prépare un petit truc à manger pour ce midi, quand vous reviendrez.

– Bon, eh bien, à tout à l’heure, alors !



Oo–oOo–oO



– Tu avais envie d’aller au port avec eux ? demanda Marie en rentrant dans la villa.

– Non, je préfère qu’on prenne un peu de temps ensemble. C’était plutôt speed ces dernières semaines, dit-il en lui entourant les épaules.


Elle se serra contre lui.



– Maintenant que nous sommes seuls, je pense que quelques instants de douceur caressante ne nous feraient pas de mal, d’autant plus qu’on n’aura sans doute plus d’occasions de tout le week-end.


Marie s’accrocha autour du cou de Paul, et lui fit un petit baiser.


– Mais on ne devait pas préparer à manger ? murmura-t-elle en lui tendant ses lèvres.

– Ah oui… C’est vrai… Tu as raison. Tant pis, il faut qu’on s’y mette…

– Noooon, salaud. Tu sais parfaitement de quoi j’ai envie, câlina-t-elle.

– Non, je cherche, mais je ne vois pas, fit-il joueur.

– Je voudrais que tu me caresses et que tu me baises, émit Marie dans un souffle, en l’embrassant dans le cou.

– Tiens donc. Ça te prend comme ça ?

– Je te rappelle que ce matin je suis un peu restée sur ma faim. Tu étais un peu atteint de molassonite, il me semble.

– C’est peut-être, parce que tu n’avais pas su m’exciter assez, répondit-il

– Ah, je n’ai pas su t’exciter ! Attends, si c’est un défi, tu vas voir ! Viens par ici, répliqua-t-elle.


Elle attrapa Paul par la main et l’entraîna dans l’escalier vers la chambre du premier, encore pleine de leurs désordres de la nuit. Une fois entrés dans la pièce :


– Tu restes là et tu me regardes, dit Marie péremptoire, en le poussant contre le mur.


Elle monta sur le lit, se mit en face de lui, croisa ses bras sur ses hanches pour remonter son débardeur et le faire passer par-dessus sa tête. Sa poitrine jaillit, ronde et arrogante, absolument adorable. À travers les persiennes entrouvertes, un rayon de soleil fendit la pénombre pour se poser sur son buste et la saillie de ses tétons, ce qui la rendit extraordinairement désirable. Elle en avait parfaitement conscience.


Tout en fixant Paul dans les yeux, elle se caressa doucement les seins du bout des doigts, comme il avait si souvent dit qu’il aimait la voir faire. Ses petites pointes roses devinrent dures au milieu de ses larges et tendres aréoles. Elle cambra son adorable cul et en ondulant, prit son temps pour ôter son short qui rejoignit le débardeur sur le sol. Simplement vêtue d’un mini-slip noir, elle s’allongea sur le lit et s’appuya contre les oreillers. Après avoir joué avec ses seins érigés, elle bomba sa poitrine pour qu’il puisse voir combien elle s’offrait à lui et fit descendre une main sur son ventre duveteux, jusqu’au doux renflement de son pubis.


Lentement, ses doigts firent des allers et retours le long de sa fente, dont les contours se dessinaient de plus en plus nettement au fur et à mesure que le tissu s’imbibait de sa féminité. Puis, le regard toujours provoquant, les jambes suffisamment écartées pour dévoiler sans trop montrer, elle déplaça légèrement le dernier rempart d’une bienséance qui n’était plus de mise. Elle inséra ses doigts en dessous, vers une fine toison soyeuse et des lèvres gonflées de désir.


Quand elle fut sûre que Paul était au paroxysme de l’excitation, elle souleva ses hanches et leva ses jambes fuselées à la verticale. De ses deux mains, elle fit glisser l’ultime obstacle à sa complète nudité, découvrant le fruit convoité encadré par deux magnifiques globes clairs. Son slip rejoignit ses autres vêtements. Entièrement nue, elle s’exhiba avec impudeur à la vue de Paul.


Accompagnés de mouvements sensuels du bassin, ses doigts se firent plus audacieux sur son sexe. Son index et son majeur écartèrent ses corolles humides dans de lentes circonvolutions, laissant apparaître par instant l’entrée de son petit cul légèrement violine et son délicieux bouton rose, brillant de cyprine. Le souffle court, les yeux mi-clos, elle observait malgré tout Paul qui visiblement n’en pouvait plus. Elle voulait pourtant le mener encore plus loin.


– Regarde-moi comme je te désire, mon Paul. Maintenant, déshabille-toi. Je veux te voir. Montre-moi que toi aussi, tu as envie de moi.


Paul, que le jeu de Marie avait mis dans tous ses états, accéda à sa demande avec fébrilité. Rapidement, il fut aussi nu qu’elle, prit dans sa main sa verge turgescente et commença une lente masturbation. Au bout de quelques instants de ces plaisirs solitaires et pourtant partagés par le regard, Marie, maîtresse de leur récréation, l’invita à venir sur elle, les délivrant tous deux de cette attente douloureuse.


Il arriva entre ses jambes, sa bouche remplaça les doigts de Marie, qui enfin put s’abandonner à d’autres caresses que les siennes. Quand il entendit que ses gémissements augmentaient, il remonta le long de son ventre, lentement, très lentement comme pour se venger de l’attente qu’elle lui avait fait subir. Il atteignit ses seins qu’il enveloppa de ses paumes, sa langue traçant un sillon humide sur le pourtour de ses aréoles du plus tendre des roses, ses lèvres suçant et jouant avec les pointes dressées.


Leurs baisers se mêlèrent de nouveau, encore plus fiévreux et plus impatients. Marie investit de ses mains le large dos de Paul, palpa sa peau souple qui roula sous ses doigts, puis alla à la rencontre de sa verge pour la saisir et se caresser autrement. Il accompagna son mouvement, complice de son plaisir. Complètement inondée et n’y tenant plus, elle introduisit le sexe de son amant dans son antre, en murmurant à demi consciente :



Ces quelques paroles accrurent encore l’excitation de Paul qui lui répondit et obtempéra. Il fit pénétrer son long membre jusqu’à la garde en une fois. Marie, surprise, en prit un plaisir infini qui provoqua l’augmentation de ses râles. Il fit en sorte de donner le maximum d’amplitude à ses mouvements pour que les sensations soient les plus fortes. Il savait qu’elle adorait le sentir sur le point de s’échapper, mais qu’au final cela ne se fit pas. Il accéléra sa cadence, ralentit, repartit, joua de leurs impressions imbriquées, invita Marie à nouer ses jambes sur son dos pour augmenter sa jouissance… Leurs halètements ponctués de paroles comprises d’eux seuls devinrent des cris qui les amenèrent ensemble à une explosion de tous leurs sens, le corps moite et le souffle court.

Longtemps, ils restèrent enlacés, le sommeil les surprit un peu, puis ils se séparèrent enfin, pleins des senteurs de l’autre.



Oo–oOo–oO



Pendant ce temps, je parcourais à bonne allure, avec Sophie, Apolline et Jean, les quelques centaines de mètres qui nous séparaient du port.


Je marchai à côté de Jean, les deux filles devant nous, évidemment en pleine conversation. Nous n’aurions pas été là, c’eût été pareil. Néanmoins, je n’étais pas mécontent d’être derrière elles, car j’en profitais pour porter mon regard sur les croupes ondulantes des deux petites nanas. Chacune de leurs moitiés jouait avec l’autre, les deux paires parfaitement synchronisées formaient une chorégraphie à la fois sensuelle et quelquefois nerveuse, quand la topographie de la route la perturbait. À ce moment-là, leurs hanches se touchaient subrepticement, puis reprenaient leur mambo de connivence. Le pli horizontal, souligné par liséré du short moulant qui marquait la frontière entre leurs jambes dorées et leurs rondeurs, s’amusait aussi de l’alternance en soulevant légèrement leurs demi-culs et les faisant tressauter.


Je connaissais le cul de Sophie, mais celui d’Apolline me paraissait aussi des plus appétissants. Je repensai alors aux paroles de ma belle qui m’avait confié à demi-mot que je ne laissais pas sa copine indifférente. Je me pris à fantasmer sur une expérience à trois, comme celles que j’avais eu l’occasion de lire dans certains romans.


Et pendant tout le trajet, Jean aussi n’arrêtait pas. À travers mes pensées, quelques-uns de ses mots me parvinrent, lointains. Je saisis qu’il se confondait en excuses, qu’il dit ne pas avoir su pour Chloé et moi, que je ne devais pas m’en faire, que c’était une fille formidable, qu’il fallait juste mieux la comprendre…


Tu parles ! Je la connais bien mieux que toi, mon petit Jean, pensai-je. Si tu savais comme elle m’a fait tourner en bourrique avec ses sautes d’humeur, ses dragues incessantes sous mes yeux. Chloé veut avoir tous les mecs à ses pieds. C’est vrai que son physique peut lui donner raison, mais moi, j’avais une autre idée de notre relation, et surtout pas envie d’être la risée de tous. Pour être franc, je crois bien que c’est elle qui m’a choisi, plutôt que l’inverse. Mais je m’étais surpris à éprouver rapidement quelques sentiments pour elle. Le jour où la coupe fut pleine et que j’ai dit « stop », espérant montrer de l’autorité, elle ne l’a pas supporté et a tout fait pour me ridiculiser devant mes copains. La douleur fut d’autant plus vive que souvent dans ce genre de situation, il n’y a plus d’amis. L’attrait d’une place libre de choix est trop fort. Je me suis fait une raison. C’était il y a six mois et je n’avais pas revu Chloé depuis.


Les premières ruelles pavées, un peu sombres de leurs logis rapprochés, au bout desquelles palpitait la lumière du port, me tirèrent de mes réflexions. Joyeuse cacophonie de cris de mouettes mêlés à ceux des pêcheurs qui déchargeaient leurs prises de la nuit, de tintements de haubans en escale et de martèlement sourd des moteurs allant et venant.


En débouchant sur le quai, les deux filles furent émerveillées. Les façades colorées des maisons, repeintes à neuf pour la saison, qui encadraient le bassin où les bateaux multicolores vivaient au gré de la légère houle, représentaient le décor type de carte postale. Le soleil y ajoutait une joyeuseté de petit paradis.


– Oh Marc, c’est magnifique ! s’écria Apolline, en s’accrochant à mon bras. Je n’ai rien pu voir hier soir, il faisait trop sombre. Mais qu’est-ce que c’est beau !

– Oui, que ça doit être bien d’habiter ici ! rajouta Sophie qui, soudainement rendue romantique par le spectacle, posa sa tête sur mon épaule.


Seul Jean, dont les préoccupations étaient autres, ne semblait pas très concerné.


– Oui c’est chouette, mais est-ce que tu crois que la navette est déjà arrivée ?


Je ne pouvais même pas lui en vouloir de ne pas être sensible au charme du moment, tellement je le sentais impatient et plein d’espoirs. « Laisse-le vivre ça, pensai-je, il sera toujours temps d’intervenir plus tard. »


– Tu vois bien que non. Elle n’arrive que dans une demi-heure. Bon, tu restes là ou tu viens avec nous ? De toute façon, on repasse par ici.

– Pourquoi ? Vous n’attendez pas avec moi ?

– Je te rappelle qu’on doit aller faire les courses pour ce soir, lui dis-je.

– Et nous, il faut qu’on achète un maillot de bain, ajouta Sophie.

– Soyez sympas… Le bateau arrive bientôt, plaida Jean. On n’aurait pas le temps de faire tous les achats… Allez… venez, je vous paye un café pendant ce temps.

– Tu as peur de l’attendre seul ? demanda Sophie.

– Non, non répondit trop vivement Jean, mais elle se sentirait bien accueillie, si on est à plusieurs.

– Justement, je ne suis pas sûr d’avoir vraiment envie de bien l’accueillir, dis-je.

– Bon… On peut patienter un peu, si ça fait tellement plaisir à Jean, formula Apolline qui avait saisi la vraie raison de sa demande, on fera les courses après.


Moi aussi, j’avais compris que c’était à cause de sa timidité, que Jean voulait notre présence. Je me laissai convaincre, car je souhaitais aussi profiter un peu plus du moment.


– OK, d’accord, concédai-je dans un soupir, allons au Pousse-pied, c’est juste à côté. De là, on ne pourra pas manquer le ferry.

– Super, t’es vraiment un pote, dit Jean tout ravi.


Nous étions assis à la terrasse depuis seulement quelques minutes et je récapitulai les achats à faire pour la soirée :


– Tu vas trouver tout ça, ici ? demanda Sophie.

– Oui, j’ai déjà tout réservé par téléphone à l’épicerie et après on passe chez Yann, c’est un copain pêcheur, il a dû me mettre de côté quelques trucs, vous verrez…

– Et pour notre maillot ?

– On ira tout de suite après, ou avant si tu veux…

– Pourquoi envoie-t-il des coups de sirène sans arrêt, ce chalutier ? interrompit Apolline en pointant le doigt vers un bateau bleu situé à une trentaine de mètres.


Tout à ma discussion, je n’avais pas relevé qu’en effet, un petit chalutier beuglait à tout va. Nos regards se portèrent vers l’endroit où il accostait. D’autres têtes se tournaient. Certains s’arrêtaient pour regarder ce qui se passait. Le pêcheur, qui avait sauté à terre et s’activait avec ses amarres, criait quelque chose à une personne restée à bord, qui gesticulait en notre direction.


Je me levai d’un bond.


– Mais c’est le bateau de Yann ! Qu’est-ce qui lui arrive ? dis-je.

– Tu crois qu’il a un problème ? demanda Jean.

– Oh misère ! Oui, si on peut dire, une sorte de problème. Et je pense savoir lequel, répondis-je.

– Il y a quelqu’un à l’avant qui nous fait de grands signes, remarqua Apolline.

– Oui, il semble bien que quelqu’un t’appelle, me dit Sophie.

– Mais… c’est Chloé ! lâcha Jean ébahi.

– Tu n’avais pas dit qu’elle devait arriver par le prochain ferry ? demanda Apolline

– Si, si, je ne comprends pas… non ce n’est sûrement pas elle !

– Je crois bien que si, mon petit Jean. Je ne vois pas qui ça pourrait être pour créer un tel raffut. Voilà les filles, vous allez faire la connaissance de Chloé… Allez, on y va.