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Temps de lecture estimé : 22 mn
03/11/09
Résumé:  Après Claude et Béa, une autre aventure.
Critères:  fh ff jeunes fépilée noculotte fmast intermast fellation cunnilingu pénétratio uro -bourge -uro
Auteur : Mike be            Envoi mini-message

Série : Ma vie sexuelle continue

Chapitre 03 / 03
Maud

Après ma romance avec Béa, et une période de solitude un peu triste, je me remis à mes études qui, heureusement, me passionnaient. Les inévitables soirées estudiantines me permettaient également de garder le contact avec le beau sexe. J’eus, durant cette période quelques aventures sans lendemain. Puis je tombai, au cours d’une manifestation culturelle sur Mireille. C’était une fille assez mignonne, de taille moyenne, avec des cheveux mi-longs, et… une poitrine à vous couper le souffle !


J’avais remarqué, au cours de ladite manifestation, qu’elle repoussait un garçon d’une manière violente en lui disant :



Je ne sais ce qui se passa dans ma tête à ce moment-là, mais j’eus brusquement envie d’elle. Mon « approche », suite à ce que je venais d’observer, fut prudente. Je m’arrangeai pour engager la conversation, d’une façon très « sage ». De fil en aiguille nous fîmes plus ample connaissance et j’osai lui proposer de dîner avec moi. Ce qu’elle accepta avec un sourire qui acheva de me conquérir. Nous nous sommes revus durant plusieurs semaines et nous devenions de plus en plus intimes. Un soir, dans le bar du « Cercle des Ingénieurs », où je l’avais invitée pour une soirée (une de plus), et tandis que nous étions assis un peu à l’écart des autres, je me permis de lui passer le bras autour des épaules. Elle ne se déroba pas, mais tourna sa tête vers moi et me sourit. Je rapprochai mes lèvres des siennes et l’instant suivant nous nous laissions enivrer par notre premier baiser. Ce fut très « chaste », mais délicieux.



Je pris congé de mes potes et nous nous dirigeâmes vers la sortie. Je crus sentir dans mon dos une dizaine de regards envieux et frustrés. Ce fut une promenade merveilleuse dans les ruelles de la cité universitaire. Tous les dix pas, nos têtes se rapprochaient pour un petit bisou tendre. Je la raccompagnai jusqu’à la porte de son kot * et lui donnai un dernier baiser. Nos lèvres se joignirent et je sentis qu’elle avait légèrement écarté les dents. Ma langue s’insinua doucement dans sa bouche et rencontra la sienne. Les pointes se titillèrent quelques instants et quand nos bouches se séparèrent, Mireille se serra brusquement tout contre moi. Je pouvais sentir la pointe de ses seins sur ma poitrine. Par la même occasion, elle avait joint ses mains dans mon dos, à la hauteur des reins, et pressé son bas-ventre contre le mien. J’eus un instant de panique car j’avais une érection du tonnerre et elle ne pouvait pas manquer de la sentir. Mais sa réaction me rassura car elle me dit en souriant :



Sur ces paroles, elle se dégagea de mon étreinte et rentra dans son studio, non sans m’avoir fait promettre de « vite la rappeler ».


Le jours suivant, je glissai un petit billet dans la boîte aux lettres de son kot - nous étions fin des années soixante, le GSM n’existait pas encore et le prix d’une ligne fixe aurait écorné mon budget -. Je lui proposais de passer le lendemain à mon studio pour un petit dîner aux chandelles - préparé par mes soins - en amoureux. Le soir même, je trouvais un message dans lequel elle me faisait part de la joie qu’elle aurait de venir.


A l’heure dite, le lendemain, Mireille arriva et après le repas, accompagné d’une bonne bouteille de vin - subtilisée dans la cave de mon père quelques semaines auparavant, en prévision d’un tel événement -, nous nous installâmes sur le divan. Je lui passai le bras autour des épaules, elle vint se lover contre moi et l’instant d’après nous échangions notre premier vrai baiser. Nos langues se disputaient, s’aspiraient, se repoussaient continuellement, et cela durant plusieurs minutes. Ma main remonta vers sa tête. Je caressai doucement ses cheveux, le lobe de son oreille, puis je descendis vers son cou, son épaule, son bras. En remontant, je rencontrai « accidentellement » un sein. Ne sentant aucune réaction, je m’enhardis et le pris à pleine main. Puis ma caresse se fit plus douce, je me concentrai sur le téton que je sentis durcir sous mes doigts. Mireille poussa un long soupir en gémissant. Je lâchai sa poitrine et entrepris de déboutonner son chemisier. Mais sa main vint arrêter la mienne.



Elle me regarda en souriant et brusquement se leva, et vint s’asseoir sur mes genoux. Elle écarta les jambes et l’instant suivant elle se trouva « à cheval » sur moi, nos deux bas-ventres en étroit contact. J’avais une érection maximum que, bien évidemment, elle sentait. Elle se mit à onduler du bassin et, à travers nos vêtements, je devinais plus que je ne sentais sa vulve se frotter à mon sexe tendu. En moins d’une minute je sentis la jouissance monter en moi.



Elle suspendit son mouvement et me dit en souriant :



Je ne pus rien ajouter. Sa bouche vint se coller à la mienne, elle accentua la pression sur nos bas-ventre et recommença son mouvement de va-et-vient. Elle interrompit notre baiser et mit la tête sur mon épaule. Je l’entendais haleter. C’en était trop pour moi. J’étais arrivé au point de non-retour. Je sentis des picotements sur tout mon corps et mon orgasme se déclencha. En gémissant, je sentis les longs jets de sperme envahir mon pantalon. Mireille aussi respirait de plus en plus vite. J’avais - et j’ai toujours - la chance de pouvoir « garder » une érection plusieurs minutes après l’éjaculation. Ce temps suffit à Mireille pour parvenir elle aussi à la jouissance, qu’elle exprima en rejetant la tête en arrière et en poussant un grand cri…


Un peu plus tard, lorsque nos souffles se furent calmés, je lui fis quitter sa position en lui disant :



Elle rit et me donna un baiser en me disant qu’elle m’attendrait en buvant encore un verre de vin.


Je me rendis à la salle de bain où, après mes ablutions, j’enfilai un peignoir. Je revins dans le salon et là mon sang ne fit qu’un tour ! Mireille était toujours là. Allongée sur le divan. Un verre de vin à la main. Entièrement nue…



Je me défis de mon peignoir et vint m’asseoir près d’elle. Je commençai à lui caresser le corps. Ses seins, pleins, gonflés, aux pointes toutes dures. Je les massai longuement, ce qui la rendait folle de désir. Puis une de mes mains s’insinua entre ses cuisses. Je touchai ses lèvres intimes qui s’écartèrent quelque peu. Elle était trempée à cet endroit. Je remontai lentement mon doigt à la recherche de son petit bouton d’amour et là j’eus ma deuxième surprise. Elle avait un clitoris particulièrement développé. Il ressortait du dessus de sa vulve et avait pratiquement la taille de mon petit doigt. Je le caressai doucement, sachant que beaucoup de femmes étaient très sensibles à ce genre d’attouchements. Puis je changeai de position et c’est ma bouche qui entra en contact avec son sexe. Après avoir léché ses lèvres durant quelques minutes, je pris son clitoris entre mes lèvres et suçai très doucement. Pendant ce temps, mon majeur l’avait pénétrée. J’étais à nouveau bandé au maximum. Il ne me fallut que quelques secondes pour voir Mireille se cambrer et parvenir à un orgasme qui me parut durer plus longtemps que le premier. Enfin, elle retomba couchée sur le divan, essoufflée, et je lus dans ses yeux un tel bonheur que je la pris dans mes bras et l’embrassai passionnément.



Ce disant, elle s’était levée, elle me fit asseoir et s’agenouilla entre mes jambes. Elle prit mon sexe entre ses lèvres et bientôt sa langue titillait mon prépuce. Cette caresse m’excitait au plus haut point. Mais, ayant déjà joui une fois, je savais que je mettrais beaucoup plus de temps cette fois-ci. Maintenant elle pompait, les joues creusées, mon membre tendu. Après plusieurs minutes, elle suspendit sa caresse buccale, mais continua à me masturber doucement.



Elle se déplaça légèrement vers le haut et emprisonna ma queue entre ses deux seins. Elle les pressa l’un contre l’autre et entama un lent mouvement de bas en haut. L’effet de cette caresse nouvelle pour moi ne se fit pas attendre. Déjà bien excité par sa fellation, je sentis le plaisir arriver. Et soudain ce fut l’explosion. J’eus un orgasme intense et après quelques secondes d’un bonheur inouï j’éjaculai mes jets de sperme sur sa poitrine.


Depuis ce jour, notre relation évolua et devint « entière » après une semaine. La pilule n’était à cette époque qu’à ses premiers balbutiements et le seul moyen contraceptif à notre disposition était le bon vieux préservatif - qu’il fallait toujours aller acheter dans une pharmacie, ce qui était à chaque fois un exercice stressant, à attendre qu’il n’y ait personne dans l’officine pour réaliser son achat « honteux » !- Mais la capote avait sur moi un effet bénéfique. Elle diminuait suffisamment la sensibilité de mon organe pour remédier à mes éjaculations précoces.


Au début de l’été, j’obtins mon diplôme d’ingénieur sans problèmes. Le marché du travail s’ouvrait à moi. Mais je n’avais pas fort envie de quitter ce monde universitaire et mes parents acceptèrent que je m’inscrive pour des cours complémentaires (deux années) en « électronique appliquée ». Aujourd’hui l’on parlerait d’informatique ; mais n’oublions pas qu’à cette époque l’expression «cerveau électronique » venait à peine d’être remplacée par « ordinateur ». Et quels ordinateurs ! Les appareils qui prennent aisément place dans la main à ce jour, nécessitaient toute une pièce, en 1967. Je ne m’étendrai pas plus sur ce complément d’études, ce n’est pas le but de cette histoire. À l’issue de la première année, mon prof de « programmation » m’appela un jour dans son bureau. Je savais qu’il « m’avait à la bonne », comme l’on dit chez nous, et c’est donc sans appréhension que je m’y rendis. Après quelques banalités, il me fit savoir que j’étais un de ses meilleurs éléments (la modestie n’est pas mon fort) et que j’avais de belles possibilités d’avenir.



Je restai sans voix. Où voulait-il en venir ?



Et il m’expliqua. Durant un stage aux États-Unis, il avait acquis de sérieuses connaissances en programmation et avait lui-même mis au point un programme (aujourd’hui « logiciel ») destiné aux grandes entreprises.



(Note de l’auteur : Pour la facilité, je parle en euros. En ce temps là il s’agissait évidemment de francs belges)


Il continua en m’expliquant qu’il avait dû s’adresser à un richissime industriel de sa connaissance, qui avait été séduit et avait foi en son projet, pour souscrire le capital en argent frais. Il se retrouvait avec à peine 5 % du capital de sa société, les autres 95 % étant en possession de l’industriel en question. Ce dernier qui s’intéressait peu à « jouer » en bourse, avait mis ces titres au nom de sa fille.



Je ne voyais toujours pas où il voulait en venir. Je pressentis un piège. Je sentais la chaleur, même si je ne voyais pas encore les flammes.



Maud ! Bien sûr que tout le monde la connaissait à la cité universitaire ! Étudiante pour la forme, cette « fille de riche », nymphomane, se faisait une gloire de s’entourer d’une cour d’admirateurs. La boutade classique sur le campus, quand elle passait, était :



Ses débordements sexuels étaient connus de tous. Il faut dire que c’était une fille splendide. Elle ressemblait très fort à Raquel Welch, la plus belle actrice de l’époque. Tout le monde - moi y compris - aurait payé cher pour avoir ses faveurs. Mais, la beauté et la fortune aidant, elle se jouait des garçons - et même des filles, selon certains- qu’elle accueillait dans son lit.


Telle était donc ma « mission » : séduire Maud. Puis, essayer, sur l’oreiller, de la persuader de se défaire de ces 95 actions en les vendant.



J’en avais les jambes coupées. Pour l’époque il s’agissait d’une somme énorme. Cet argent avait dû me faire tourner la tête car après quelques instants de réflexion je signifiai à mon prof que j’étais d’accord.


Rentré chez moi, je me demandais si je n’avais pas fait une connerie en acceptant. Mais le mal était fait. Problème suivant, comment parvenir à séduire Maud ? Le hasard, qui m’avait déjà aidé auparavant, me vint encore une fois en aide.


La semaine suivante, je dus me rendre à un séminaire dans une autre ville. J’avais prévenu Mireille que je ne viendrais pas chez elle le soir et que je passerais la nuit sur place. Mais le séminaire se termina beaucoup plus tôt que prévu et le soir même j’étais rentré à la cité universitaire. Je décidai de faire une surprise à Mireille et de la rejoindre dans sa chambre. Je ne pris pas la peine de sonner car elle m’avait donné une clef de la maison où elle habitait. Arrivé chez elle, j’ouvris la porte et pénétrai dans le petit vestibule attenant à sa chambre. Par la porte entrouverte de celle-ci me parvinrent de légers gémissements. Je crus que Mireille se donnait un petit plaisir solitaire et, bien décidé à « l’aider » dans sa besogne, je jetai un coup d’œil par l’ouverture de la porte. Ce que je vis me cloua sur place. Mireille était assise sur le lit, les yeux fermés, face à moi. Elle était enlacée avec une autre fille que je ne voyais que de dos. Leurs jambes étaient « en ciseaux » et leurs vulves en étroit contact l’une avec l’autre. J’entendais la fille dire à Mireille :



Et de fait, après quelques secondes, la fille, dont la voix me semblait familière sans pouvoir y mettre un visage, poussa un grand cri et parvint à l’orgasme. Mireille ne fut pas longue à la rejoindre et après quelques minutes elles se séparèrent et s’étendirent côte à côte. C’est à ce moment que je reconnus… Maud !


En quelques secondes, j’échafaudai un plan machiavélique qui me permettrait, peut-être, de conquérir Maud. J’entrai brusquement dans la chambre en disant d’une voix sévère :



En d’autres circonstances l’idée m’aurait paru alléchante. Mais j’avais un autre but. Durant une fraction de seconde je pensai aux 25 000 euros et c’est sur un ton furieux que je répondis :



Mireille était toujours assise sur le lit, pâle comme un linge et je crus voir perler une larme dans ses yeux. Maud, elle, avait une moue rageuse et des étincelles dans le regard. Je tournai les talons et quittai la maison. J’avais le cœur serré. J’aimais bien Mireille et m’en voulais de la façon un peu cavalière avec laquelle j’avais mis un terme à notre relation. Quant à Maud, je supposais que ce devait être la première fois qu’un garçon osât refuser ses avances. Et c’était-là mon plan. Ne pas répondre à ses provocations, afin de l’intéresser à moi. J’avais une chance sur deux que cela marche.


Et cela sembla marcher. Quelques jours plus tard, au bar de la fac, elle vint vers moi et, en me lançant une œillade, elle me dit d’une voix suave :



Je ne lui répondis rien, pris mon verre et lui tournai le dos pour aller m’asseoir plus loin. J’eus juste le temps d’apercevoir son visage et la même étincelle de rage dans son regard. Ce même scénario se reproduisit encore plusieurs fois dans les semaines qui suivirent. Et bientôt je m’aperçus que Maud cherchait par tous les moyens à me conquérir. Quoique flatté, je ne cédais toujours pas. Je comptais faire durer ce petit jeu encore une quinzaine de jours, mais un événement imprévu vint accélérer le processus.


Les rues de notre cité universitaire sont toutes piétonnes. Seuls les véhicules de livraison sont autorisés à y circuler entre six et onze heures du matin. Mais bien sûr, d’autres véhicules profitent de ce laps de temps pour traverser - en infraction - la cité, afin d’éviter le détour par les voies périphériques. Ce jour-là, vers dix heures, nos cours du matin étant terminés, nous nous rendions au bar de la Fac. J’entendis appeler mon nom et j’aperçus Maud, sur le trottoir d’en face. Elle traversa la rue en me faisant signe qu’elle rejoignait notre groupe. J’entendis le klaxon d’une voiture qui descendait la rue. Elle n’était plus qu’à quelques mètres de Maud qui, prise de panique, resta immobile, comme tétanisée. Un réflexe instinctif me fit courir vers elle (les ruelles de la cité sont heureusement fort étroites). Je l’agrippai par le bras et la tirai violemment en arrière, une fraction de seconde avant l’impact. Je tombai sur le dos, entraînant Maud dans ma chute. Elle s’étala sur moi et ne se fit aucun mal. Par contre, je m’étais sérieusement écorché le coude droit, et cela saignait assez fort. Revenue de ses émotions et m’aidant à me relever, Maud me dit :



Encore un peu sonné de ma chute, je la suivis jusque chez elle. Elle habitait un vaste appartement, propriété sans doute de son richissime Papa. Elle me fit asseoir et désinfecta ma blessure. Elle s’y prenait très doucement et je lui dis que si elle devenait un jour infirmière, c’est toujours elle que je demanderais. Elle me regarda quelques instants dans les yeux, puis, d’un geste brusque, posa ses lèvres sur les miennes. Puis elle se détourna et sans plus me regarder me dit :



Elle resta sans parler un bon moment, se mordant la lèvre inférieure, puis tout à coup elle me regarda et me demanda :



Et elle se mit à me raconter qu’elle était très avide de sexe, qu’elle ne mettait que peu de tabous dans ses relations ; qu’elle adorait varier les manières afin de se donner plus de plaisir. Que ses relations ne duraient jamais longtemps, car ses partenaires se contentaient habituellement de prendre leur plaisir et de s’endormir ou de s’en aller, jusqu’à la prochaine fois qu’ils avaient envie. Ils ne pouvaient pas comprendre que jouir une seule fois n’était pas suffisant pour elle, qu’elle voulait essayer toutes sortes de « techniques » nouvelles. Mais quand elle parlait de ses fantasmes, les garçons s’étonnaient, s’offusquaient même parfois, et la « plaquaient » sans autre formes de procès.



Voilà qu’elle recommençait à me draguer. Et de fait, elle vint s’asseoir tout contre moi et mit sa tête sur mon épaule. Je réfléchis et me dis qu’après tout la comédie du garçon « froid et inaccessible » avait assez duré. Je la pris dans mes bras et bientôt nous échangions notre premier baiser. Quelle fougue cette fille ! C’est elle qui poussa sa langue entre mes lèvres, l’enroulant autour de la mienne, faisant des allers-retours continus de sa bouche à la mienne. Lorsqu’enfin nous nous séparâmes, elle haletait et je lus dans ses yeux un tel désir que je capitulai. Je me mis à lui peloter un sein, et là tout se passa à la vitesse « grand V » Elle m’arracha presque mon T-shirt, dégrafa mon pantalon, baissa mon slip et s’empara de mon membre tendu qu’elle se mit à caresser. Puis elle se leva et se déshabilla complètement. Je suivis son exemple et nous nous retrouvâmes nus sur le divan à nous embrasser à nouveau. Je caressais ses seins et elle semblait adorer. J’interrompis notre baiser et pris un téton entre mes lèvres. Je le suçai doucement tout en roulant l’autre entre mes doigts. Maud semblait ne plus se contrôler. Elle gémissait et avait croisé les jambes. Je vis ses cuisses se contracter régulièrement et après seulement quelques minutes, elle partit vers un orgasme fulgurant ; ses fesses quittèrent le divan et en position arquée elle savoura de longues secondes sa jouissance. Enfin elle retomba assise, le souffle court.



En disant cela, elle écarta les cuisses et me montra son petit fruit, qui luisait encore de sa jouissance. Elle était entièrement épilée et avait un bas-ventre glabre comme au jour de sa naissance. Je ne pus m’empêcher d’approcher mon visage de son entrejambes et de humer son odeur intime. Ces effluves ont toujours eu sur moi un effet incroyablement excitant. Je n’avais toujours pas joui et c’en était presque douloureux. Mais je retardai encore l’assouvissement de mon désir. Ma langue se fraya un chemin entre ses lèvres intimes et entama une caresse de bas en haut. À chaque fois, je titillais son clitoris, ce qui semblait l’électriser. Elle se caressait les seins et bientôt je la sentis à nouveau se tendre et jouir dans un grand soupir.


Après quelques minutes, ayant repris ses esprits, elle me prit par la main et me mena à sa salle de bains. Là, elle me fit coucher sur le dos, à côté de la baignoire, sur le tapis de bain. En fait de tapis, il s’agissait d’un grand rectangle de caoutchouc noir antidérapant. Maud vint s’installer à califourchon sur mon torse. Elle avança encore un peu et présenta son sexe à ma bouche en me disant qu’elle avait encore envie que je la caresse avec ma langue. Je ne me fis pas prier et bientôt je la léchais comme si ma vie en dépendait. Maud haletait en se triturant les seins. Après quelques minutes, je sentis qu’elle approchait de l’explosion finale. Mais étrangement, elle s’écarta de ma bouche et me dit :



Elle descendit et vint s’asseoir sur mon bas ventre, sa vulve en étroit contact avec mon sexe. Puis elle commença des mouvements d’avant en arrière avec son bassin.



Ce ne fut pas long. Excité comme je l’étais, je sentis la jouissance arriver après seulement quelques secondes. Je prévins Maud :



Alors se produisit une chose que je n’aurais jamais imaginée. Quelques instants avant le déclenchement de mon orgasme, je sentis un liquide chaud se répandre sur mon pubis et couler entre mes cuisses et mes fesses. Maud était bel et bien en train d’uriner sur moi ! Je n’eus pas le temps d’analyser la situation ; j’étais au point de non-retour. La jouissance me submergea. Ce fut un orgasme d’une intensité inouïe et le flot de ma semence se déversa sur mon ventre et sur la vulve de Maud, qui partit au même moment dans son troisième assouvissement. Ensuite elle se coucha sur moi et, la tête sur mon épaule, se mit à sangloter. Je sentais ses larmes couler sur moi. Je lui pris la tête et la regardai dans les yeux. Elle me dit d’une voix malheureuse :



Je n’étais pas du tout attiré par les pratiques uro, mais cela ne me choquait ni ne me dégoûtait en rien. De plus, la pensée des 25 000 uro (pardon, Euro) m’aidait énormément. J’en fis part à Maud - sauf les euros, bien sûr - et je vis un sourire revenir sur son visage en larmes.



Et notre relation continua. De semaines en semaines, le raffinement incroyable qu’elle avait dans ses ébats sexuels m’étonnait au plus haut point. Elle appréciait particulièrement la sodomie, technique nouvelle pour moi, mais qui me procura rapidement de grandes joies. Elle adorait se faire prendre par derrière, agenouillée sur le lit, tandis qu’elle se masturbait. Maud jouissait très vite, ce qui me plaisait énormément, vu que moi-même je n’arrivais pas à me contrôler suffisamment pour retarder mon orgasme. Une variante de cette technique consistait à la prendre de la même manière, mais sur le fameux tapis en caoutchouc de la baignoire, dont j’avais entre-temps compris la présence. Au moment où elle sentait son orgasme monter, elle se laissait aller et vidait sa vessie en jouissant.


Mais il y eut une autre conséquence. La manière presque parfaite avec laquelle nous nous comprenions et nous accordions rendit Maud amoureuse de moi. Elle me le déclara un jour, et je me décidai à jouer le grand jeu. Je l’invitai, un soir, à venir dîner avec moi « à mes frais » dans un des plus grand restaurants de la ville voisine. Une fois installés, elle me demanda, connaissant ma situation financière, ce qui lui valait un tel honneur. Je lui dis que je lui raconterais chez elle. Une fois rentrés , Maud se pelotonna dans mes bras et me murmura :



Je m’agenouillai et passai ma tête sous sa robe. Maud ne portait pas de culotte. Encore un de ses fantasmes, pensai-je. Puis je commençai un cunni que je voulus le plus tendre possible. Elle jouit presque instantanément dans un grand cri. Ensuite nous nous déshabillâmes et nous couchâmes. Dans la chaleur du lit, elle se colla contre moi et me demanda avec un demi sourire de lui faire l’amour « normalement ». Je la caressai d’abord longuement avec la main. Puis, la sentant sur le point de jouir, je me couchai sur elle et la pénétrai d’un coup.



Plus tard, un peu calmés, nous étions allongés côte à côte. Je lui dis :



Elle réfléchit quelques minutes. J’attendais sa réaction, le cœur battant, durant ces minutes qui me parurent des heures. Puis elle dit :



En disant cela, elle disparut sous les couvertures et prit mon membre flasque dans sa bouche. L’effet de ces lèvres chaudes ne se fit pas attendre et bientôt je bandais comme un âne. Je rabattis la couverture pour pouvoir suivre de visu la fellation. Je résistai assez longtemps, vu mon orgasme précédent, mais elle tint bon. Elle se masturbait en même temps et cette vue suffit à faire monter ma jouissance. Elle parvint au plaisir quelques secondes avant moi. Et tandis qu’elle était secouée par les spasmes de son orgasme, je déchargeais mon sperme chaud dans sa bouche.


Après cela, une seule pensée resta dans mon cerveau : je venais de gagner 25 000 euros.


* kot = chambre d’étudiant en Belgique