n° 13621 | Fiche technique | 56060 caractères | 56060 9892 Temps de lecture estimé : 40 mn |
28/12/09 |
Résumé: Catherine se voit proposer une formation en anglais par le biais de son travail. Ceci lui donnera l'occasion de rencontrer quelqu'un d'inhabituel qui va avoir un effet sur sa libido. | ||||
Critères: ff profélève travail fsoumise fdomine exhib fouetfesse -fsoumisaf | ||||
Auteur : Bijanus (Une) Envoi mini-message |
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En remerciement des nombreux emails reçus, voici une nouvelle aventure de Catherine.
Le travail à l’agence est des plus calmes depuis un moment, aussi je crains le pire quand le patron convoque un certain nombre d’entre nous pour une réunion en cette fin d’après-midi. Alors que nous nous dirigeons vers la petite salle qui est utilisée dans ces cas-là, les regards se croisent, tous interrogateurs et inquiets.
Une fois que tout le monde a pris sa place, le patron débute la réunion et prend la parole :
Tous les visages se tendent alors, le mien y compris, et un silence de plomb s’installe alors qu’il arrête sa phrase. Il nous regarde un peu étonné et finalement sourit en poursuivant :
Il s’arrête un instant pour juger de l’effet de sa proposition. On est tous tellement soulagés que les visages sont souriants désormais. Il poursuit alors :
Je suis surprise que le patron s’adresse à moi particulièrement pour finir. J’en déduis que mon anglais doit être encore moins bon que celui des autres. Ce qui ne doit pas être faux, j’ai toujours été une élève très moyenne dans cette matière et je n’ai pas fait d’études longues non plus. J’étais plus occupée par les amourettes et à me vernir les ongles à cette époque. La situation étant ce qu’elle est, je me vois mal refuser l’offre, aussi je réponds :
Quelques « OK » fusent dans la pièce et on se met d’accord pour démarrer ces cours à trois, deux autres collègues et moi-même.
Tout le monde se lève et quitte la salle petit à petit, le patron me glisse alors :
Il doit avoir le sentiment de m’avoir forcé la main et il cherche à me rassurer. C’est vrai qu’après plus de vingt ans sans avoir suivi aucun cours, je suis un peu inquiète sur la façon dont je vais supporter ça.
La semaine passe vite et finalement cette idée de cours d’anglais me plaît. C’est vrai que cela va m’être utile dans mon travail et cela changera du quotidien.
Nous voilà ce fameux vendredi, à l’heure de notre première leçon d’anglais. Marc et Estelle m’accompagnent pour cette première.
À 15 h 30 nous allons dans la salle qui a servi à la réunion de l’autre jour, car c’est la seule que nous ayons et qui, par ailleurs, ait un tableau blanc qui sera probablement utile.
Nous n’attendons pas longtemps avant d’entendre du bruit dans le couloir et pour voir apparaître le patron avec une femme, sa sœur et notre professeur par la même occasion.
Après ces présentations nous nous saluons poliment. Le patron nous quitte et Anne-Marie embraye rapidement sur le contenu de la formation à venir et nous refait à peu de chose près le même discours que son frère la semaine précédente.
Ceci me permet de prendre le temps de la détailler. Elle doit avoir dans les cinquante ans, ou juste en dessous peut-être, soit environ dix ans de plus que moi ou un peu moins. Elle a le visage plus marqué que moi autour des yeux qu’un air sévère n’arrange pas. D’ailleurs, si son aspect général n’avait pas cette expression de sévérité, on la trouverait certainement plus jolie et avenante. En effet elle a des cheveux bien bruns tirés en un chignon court, des yeux verts plutôt jolis et un nez fort. Le visage reste fin malgré tout avec des lèvres fines bien dessinées. Le reste de son corps est tout à fait plaisant, un ventre assez rond, mais juste un peu plus que le mien. Je note intérieurement lorsqu’elle se retourne qu’elle a le cul plat, loin du galbe et des formes rebondies du mien. Le bassin s’est un peu élargi avec l’âge certainement, mais ses fesses restent sans trop de formes. Par contre, son buste est doté d’une bonne poitrine, autant que je puisse en juger. Car elle porte un haut ample alors qu’elle a mis un pantalon bien utile pour révéler les formes du corps. L’ensemble reste très austère et sans fantaisie.
Après quelques minutes je me rends compte que cette femme dégage non seulement une certaine sévérité, mais un énorme autoritarisme. Tout en elle montre qu’elle a l’habitude que ça file droit et de se faire obéir, son regard aigu, le ton de sa voix, ses gestes et mimiques. Cette femme transpire l’autorité par tous les pores de sa peau, ça promet pour la formation.
Le cours débute enfin. Elle nous fait remplir un questionnaire pour évaluer notre niveau et nous demande de nous présenter en anglais bien sûr. Je suis surprise qu’elle demande mon âge, mais probablement pour nous faire travailler les chiffres et le reste.
Comme je le pressentais, elle a tendance à nous reprendre sèchement quand nous faisons des erreurs. Elle se rend compte parfois qu’elle a pris un ton trop sec pour nous et essaye de rattraper le coup, mais le naturel revient vite au galop. Je vois que Marc tord le nez à chaque remarque et s’agite sur sa chaise. Je ne peux m’empêcher d’en sourire. Ce vieux macho a du mal à supporter les remontrances données sur ce ton, ça ne lui fera pas de mal ça non plus. Estelle quant à elle est hermétique à tout ça et cela semble glisser sur elle sans faire aucun effet. En ce qui me concerne, je trouve ça marrant, voir un effet ou un je ne sais quoi que je n’arrive pas à bien déterminer pour l’instant.
Plus le cours passe plus il me semble qu’Anne-Marie s’adresse à moi plus qu’aux autres. Souvent quand elle explique quelque chose, j’ai l’impression que c’est toujours moi qu’elle regarde. Dès que nous devons faire un travail écrit, elle vient souvent se coller à moi. Elle se met dans mon dos pour regarder ce que je fais alors qu’elle ne fait que jeter un bref coup d’œil au travail des deux autres. Marc et Estelle ne semblent pas avoir remarqué quelque chose.
Quand nous travaillons chacun dans notre coin sur un exercice, j’ai l’impression qu’elle me reluque des pieds à la tête comme je suis installée en bout de table. Pourtant, ma tenue a déjà été beaucoup plus provocante que celle que j’ai aujourd’hui. Je porte un pantacourt très moulant en matière élastique il est vrai, mais rien de vraiment extraordinaire. Pour le haut, j’ai un top assez près du corps aussi, mais ras du cou pour une fois. Ma poitrine généreuse est bien sûr mise en valeur, mais j’ai déjà proposé beaucoup mieux dans ce domaine. Bref rien qui ne devrait attirer tant d’attention à mon avis.
Le cours se poursuit ainsi jusqu’à la fin, mené à la baguette par mademoiselle Anne-Marie. Moi, j’ai toujours cette impression d’être son centre d’intérêt. Il est maintenant cinq heures et c’est la fin. Marc semble aussi soulagé que lors de ses études, il y a vingt ans probablement. Estelle a déjà plié ses affaires et lance un au revoir à tout le monde en partant précipitamment, ses enfants à récupérer comme toujours. Nous prenons un peu plus le temps de souhaiter un bon week-end à Anne-Marie avec Marc et nous quittons la pièce nous aussi.
Loin de ses oreilles, Marc me lance.
Bien sûr, je dis ça pour l’énerver, car j’ai bien vu pendant la formation qu’il supporte mal notre professeur et qu’elle met à mal son caractère de macho
Marc me quitte en rigolant suite à ma dernière remarque. Je range mes affaires m’apprêtant à partir moi aussi quand le patron passe sa tête dans notre bureau.
Le patron reste dans l’encadrement de la porte le regard interrogateur, comme s’il voulait que je lui en dise plus. Je crois bon de préciser :
Bien sûr j’ai omis de répéter les remarques de Marc, je ne suis pas sûr que cela ait bien plu à notre patron.
La semaine passe une fois de plus rapidement, cela a juste bien fait rire Sabrina quand je lui ai expliqué les détails de ma formation et de me voir retourner à l’école en quelque sorte. J’ai aussi un peu repensé au sentiment que j’avais eu d’attirer sur moi toute l’attention d’Anne-Marie. Maintenant je me dis que j’ai l’habitude d’être souvent le centre d’intérêt dans certaines circonstances et que j’ai dû imaginer ou exagérer la chose.
Nous voilà déjà le vendredi, 15 h 30, l’heure de notre formation. J’ai quand même fait quelques efforts de toilette en prévision de notre nouveau cours, jupe bien au-dessus du genou, bas et un haut avec une large encolure carrée me permettant d’avoir un beau décolleté. Bien sûr, je suis aussi perchée sur des chaussures à talon haut comme d’habitude. On verra bien si notre professeur d’anglais me porte de l’intérêt ou pas, elle devrait remarquer ma tenue un peu plus aguichante si c’est le cas.
Elle arrive pile à l’heure. Après un bonjour et un échange de propos polis et succincts sur notre semaine, elle démarre le cours sans perdre plus de temps.
Une fois de plus d’une façon très autoritaire qui me fascine comme lors du premier cours, et qui tire des rictus coincés à Marc. Maintenant que je me suis plus habituée à elle et à sa façon de faire, je trouve qu’elle a beaucoup plus de charme que la première fois. Du moins, cet aspect de sa personnalité complète bien son apparence physique et je me surprends à lui trouver un côté sexy, voire excitant. Une question posée sèchement me ramène vite à la réalité du cours.
Comme la dernière fois, peut-être plus, j’ai l’impression d’être seule avec elle pour le cours. Toujours ce sentiment qu’elle ne s’adresse qu’à moi lors de ses explications ou commentaires. Sa façon de se coller dans mon dos très souvent pour regarder ce que je fais, surtout que maintenant en plus, elle pose systématiquement sa main sur mon épaule.
Je décide de dévoiler un peu plus de mon corps de façon discrète. Comme je suis encore en bout de table, je sors ma jambe de dessous. Elle est alors placée devant le pied de celle-ci pour qu’elle soit bien visible d’elle. Mais avant de faire cela, je dégrafe les boutons qui se trouvent le long de la cuisse et qui remontent presque jusqu’à la hanche. Comme prévu, ma jambe s’extrait de sous la jupe par la fente créée. Elle est seulement visible pour elle, mes deux collègues autour de la table ne pouvant rien voir de mon petit jeu.
Je profite aussi qu’elle tourne le dos un instant pour tirer sur l’encolure de mon haut pour qu’il bâille plus et soit un peu plus bas sur mes seins. Je jette un œil pour voir le résultat, quand je me penche sur la table pour écrire, le haut de ma poitrine apparaît largement, montrant mon soutien-gorge qui couvre le reste.
Ma nouvelle position n’échappe pas à Anne-Marie qui reluque de suite ma jambe dénudée jusqu’à la hanche. Elle est seulement recouverte de son bas, le large bandeau visible en haut de ma cuisse.
L’exercice qu’elle nous donne après lui donne l’occasion une fois de plus de venir me coller. Sa jambe frotte la mienne, mais je ne fais rien pour la retirer. Quand elle penche la tête par-dessus mon épaule, j’entends son souffle s’accélérer et elle se met à respirer bruyamment. La vision de mon décolleté a fait son effet, j’en suis sûre maintenant. Elle reste d’ailleurs encore plus longtemps collée à moi, mes collègues vont finir par le remarquer à force. Non, chacun est occupé par sa tâche et ne prête pas attention à elle.
Le cours se poursuit en suivant le même scénario et je ne sais pas si c’est lié à ça, mais sa façon dictatoriale de mener la formation a de plus en plus d’effet sur moi. Je passe de l’état de fascination à celui d’envoûtement et je commence à comprendre ce je-ne-sais-quoi que j’avais ressenti la première fois, tout bêtement de l’excitation. Oui, c’est bien ça, voir cette maîtresse femme nous mener à la baguette m’excite. Je le sens dans mon ventre, dans mes seins et dans le reste de mon corps, tout en elle m’excite désormais. Je suis surprise de ma réaction, car je n’avais jamais été confrontée à ce genre de situation et c’est une découverte pour moi.
Le cours se termine et Marc annonce avec un certain ton de provocation :
Estelle, comme si elle attendait l’occasion, ajoute :
Comme à son habitude elle s’éclipse rapidement et disparaît de la pièce. Anne-Marie me regarde alors interrogative, je lis une certaine crainte inhabituelle dans ses yeux.
Marc a lui aussi déguerpi me laissant seule avec elle en train de ranger mes affaires. Elle poursuit alors en me disant :
J’ai volontairement prononcé le mot « madame » avec le plus d’humilité possible, par une sorte d’instinct et une subite envie de le faire. Sa réaction ne se fait pas attendre. Elle reste surprise une ou deux secondes et puis visiblement ce mot lui fait un effet dopant. Elle redresse la tête, je vois ses narines se dilater de plaisir comme un cheval à qui on flatte l’échine. Son regard me dévore l’espace de quelques secondes. On dirait que j’ai touché un point sensible. Elle me dit finalement :
Une nouvelle fois je réponds avec le ton le plus humble possible. Le mot magique a le même effet, elle se redresse encore plus, toujours avec ce tic aux narines et cet air de profonde satisfaction.
L’effet de surprise ne joue plus, mais elle ne semble pas se rassasier de mes « Madame » longs comme le bras. Le plaisir qu’elle y prend saute aux yeux. Elle commence à partir, mais arrivée au seuil de la porte elle se retourne et me dit :
Avant qu’elle ne finisse sa phrase, je réponds :
Elle me tend une carte de visite et effectivement je connais l’adresse. C’est une des rues les plus commerçantes de la ville où je fais souvent du shopping à juste dix minutes d’ici à pied.
Toujours visiblement enivrée par mes « Madame », elle quitte enfin la pièce. Je reste seule quelque temps encore sous le choc du jeu que j’ai joué et du plaisir que j’y ai pris. Je sens mon cœur battre fort et mon bas-ventre me picoter. Je ne connais que trop bien ce que cela veut dire. C’est dingue l’effet que cela m’a fait de la voir réagir ainsi et le rôle que j’ai bien voulu jouer là-dedans.
De retour à mon bureau et remise de mes émotions, je me prépare au départ. Comme la semaine passée mon patron m’intercepte juste avant :
En disant cette dernière phrase, il a un petit sourire en coin un peu bizarre. Je ne sais pas s’il a peur que son caractère finisse par nous être insupportable. Aussi je réponds prestement et sans mentir.
Je crois bon de rajouter :
J’aurai même pu rajouter de plus en plus, mais cela reste mon secret. Avec un grand sourire et un air toujours aussi bizarre, il me dit :
Il disparaît enfin, me laissant rentrer chez moi. Sur le chemin du retour, bloquée dans les bouchons du vendredi, j’ai tout loisir de réfléchir à tous ces événements. L’attitude du patron me paraît bizarre à y réfléchir. Sa façon de me dire au début « Vous verrez, elle vous plaira » et puis de me questionner sur elle systématiquement. Je me demande s’il n’a pas découvert mes goûts prononcés pour les femmes. Si connaissant sa sœur, il n’a pas fait exprès de me forcer la main pour me faire participer à ses cours. Si c’est bien le cas, il va certainement s’empresser de répéter mon enthousiasme vis-à-vis de mon professeur. Je hausse les épaules toute seule dans ma voiture en me disant que finalement ce n’est pas plus mal et que ça ne change rien. Cette femme avec tout ce qu’elle est et représente m’excite terriblement.
Sabrina me passe un coup de fil le soir même, car on ne pourra pas se voir ce week-end. J’ai décidé de ne plus rien lui cacher sur mes envies et pulsions sexuelles, des événements qu’elles déclenchent. Elle a d’ailleurs très bien pris la chose, depuis notre dîner au restaurant pour nos anniversaires elle m’a découverte sous un autre jour.
Aussi je lui raconte mon dernier cours et tout ce qui va avec, elle me répond :
Elle me répond en rigolant :
Cette réflexion nous fait beaucoup rire toutes les deux.
La semaine suivante est interminable, je suis si impatiente de suivre mon prochain cours d’anglais ! Pendant celle-ci, je répète au patron l’admiration que j’ai pour le caractère fort de sa sœur et sa façon de mener la formation. J’ai droit encore une fois à un sourire en coin qui me conforte dans mon idée. Mes deux collègues confirment aussi leur absence pour le vendredi suivant et me chargent de transmettre l’information.
Le vendredi arrive enfin. J’ai prévu une tenue plutôt sexy pour l’occasion. Une robe courte et moulante en matière élastique qui me couvre les épaules, mais avec une grande encolure en V fermée par quatre boutons. Une large ceinture repose sur mes anches, des bas comme la dernière fois et une paire d’escarpins évidemment. Pas de maquillage exagéré et j’ai remis le même parfum assez fort que j’avais vendredi passé. En début d’après-midi je croise le patron à la cafetière et il me dit :
Il me dit ça toujours avec un air entendu, mais je réponds quand même :
Le reste de l’après-midi, l’agence est déserte. L’heure arrive enfin, mais un coup de téléphone retarde mon départ vers l’appartement de Madame Anne-Marie. J’arrive avec un quart d’heure de retard.
Elle habite au premier étage d’un vieil immeuble. Dans cette rue beaucoup de rez-de-chaussée ont été convertis en boutiques diverses, cafés ou restaurants. Son appartement est juste au-dessus d’une boutique de prêt-à-porter et en face d’un café-restaurant.
J’ai à peine sonné que la porte s’ouvre, j’ai l’impression qu’elle attendait derrière tellement cela a été rapide. Je ne lui laisse pas le temps de parler et je lui dis la phrase que j’avais prévue en baissant la tête :
Levant les yeux, je vois que son visage passe du soulagement à me voir au plaisir d’entendre mes mots d’excuse et la forme que j’y ai mise. Elle prend une profonde respiration, les narines tremblantes elle me répond après quelques secondes de silence.
Elle suspend sa phrase l’espace d’un instant comme si elle hésitait et ajoute enfin :
Sa phrase est dite sèchement, mais je perçois encore une sorte de doute dans le ton. Comme si elle hésitait à me parler ainsi. Elle veut me tester c’est clair. Voir si je suis bien en train de rentrer dans son jeu de la professeure tyrannique et de l’étudiante soumise et craintive. Je rajoute alors toujours tête basse pour ne pas lui laisser de doute :
Sa voix est encore plus sèche, mais sans ce soupçon de doute maintenant. Je rentre chez elle. L’intérieur fait assez vieillot, des meubles anciens et une décoration qui va avec.
Je la suis docilement. Je m’aperçois qu’elle est pour une fois en jupe. Elle s’est maquillée aussi plus que d’habitude, les yeux sont bien dessinés par le maquillage et ses lèvres sont d’un rouge soutenu, presque vif. Sa jupe est classique, mais son chemisier plus moulant que d’habitude.
Le salon n’est pas très grand et tout en long. Deux fauteuils avec un dossier assez haut sont vers la porte-fenêtre à côté d’une table basse. Une table ronde est à l’autre bout de la pièce avec une armoire ancienne munie d’un large miroir. Quelques photos de classe, entre autres, ornent la pièce. Je reconnais les uniformes des étudiants anglais des grandes universités lors de la remise de diplôme.
Je me dis que j’aurais été mieux sur la table ronde, mais ce n’est pas aujourd’hui que je vais le lui dire. Je m’installe sagement dans le fauteuil, les jambes serrées. Elle me tend une feuille en me disant :
Elle reste debout à côté de moi, je parais toute petite à côté d’elle alors qu’elle me domine de toute sa hauteur, c’est certainement pour cela qu’elle veut que je sois assise là.
Le texte n’a rien à voir avec l’immobilier, il parle d’une fille qui a une forte attirance sexuelle pour une autre fille et qui ne sait pas trop comment aborder le sujet avec elle. Il est clair que ce texte n’est pas choisi au hasard. Il n’est d’ailleurs pas tiré du livre dont nous nous servons habituellement pour travailler. Mon travail fini je lui tends la feuille.
Il s’ensuit divers dialogues ou exercices où elle me reprend de plus en plus sèchement. Au bout d’un moment à chaque remontrance sévère je m’arrange pour dévoiler un peu plus de mon corps. Ma jupe se retrousse ainsi de plus en plus vers le haut. Elle est maintenant au ras de mon bas-ventre. J’ai aussi défait au fur et à mesure des invectives les boutons de mon haut, mon top n’est plus que fermé juste sous mes seins. Ceci échancre encore plus mon décolleté en V et fait apparaître une bonne partie de l’intérieur de ma poitrine. Autant dire que quand elle s’est aperçue des effets de ses engueulades, leur rythme s’est accéléré.
Je fais volontairement, pour une fois, une erreur grossière sur une forme négative. Anne-Marie s’emporte.
Disant cela j’écarte mes cuisses que je m’appliquais à conserver serrées depuis le début. Je sais pertinemment la vue que je lui offre assise dans ce fauteuil. Je porte un minislip qui descend très bas sur mon pubis et elle ne peut manquer de le voir maintenant. Mes poils pubiens, bien que joliment taillés, dépassent au-dessus. Je l’avais choisi pour ça. Anne-Marie apprécie, ses yeux restent braqués sur mon bas-ventre plusieurs secondes puis elle poursuit son cours. Je vois qu’elle prend de plus en plus son pied à me rudoyer et à lorgner sur les parties habituellement cachées de mon corps. Elle ne cherche pas à brusquer les choses et prend son pied à voir que cela progresse doucement. Moi aussi d’ailleurs, mon minou est en feu sous mon minislip qui le couvre à peine. Les pointes de mes seins sont comprimées par mon soutien-gorge, mais je les sens se gonfler et le repousser. Je commence à avoir très chaud aussi, mon front est en sueur. C’est vraiment insensé comme cette femme et cette situation me mettent dans une excitation sexuelle totale !
Je fais encore une énorme erreur volontaire, la même que celle d’avant. Anne-Marie ne rate pas l’occasion :
Sa poitrine se gonfle de plaisir devant ma totale servitude malgré l’insulte et de me voir ainsi à sa merci. Elle n’a plus de doute certainement maintenant, elle sait que je prends plaisir à être sa pauvre et misérable étudiante.
Me faire appeler « ma petite » a quelque chose d’irréel et me fait intérieurement rigoler, mais contribue aussi à mon excitation toujours aussi déchaînée…
Le cours se poursuit sur la même tonalité, les « petite idiote » et autres gentillesses du même genre fusent de plus en plus souvent, même pour des fautes minimes. Elle continue aussi à mater mon entrejambe dès que je lui en donne l’occasion, c’est à dire souvent comme je passe mon temps à écarter et resserrer mes jambes. Elle se place aussi régulièrement au-dessus de moi pour ne rien perdre de mon décolleté.
Le cours arrive sur sa fin, un carillon sonne les cinq heures. Anne-Marie dit alors :
Elle me tend une feuille. Je vois rapidement que le texte est une suite du premier mais en beaucoup plus chaud. Maintenant la fille fantasme sur les diverses parties du corps de la fille qui la fait tant rêver. Je prends un malin plaisir à poser des questions sur certains mots de vocabulaire.
Nouvelle question :
Je tends ma traduction terminée, elle la parcourt rapidement et me dit :
Elle me raccompagne jusqu’à la porte. Dans le couloir je vois qu’il y a encore une photo de classe d’étudiantes anglaise. Il y a tout un tas de jeunes filles d’une vingtaine d’années en uniforme et Anne-Marie trône au milieu. Elle remarque que j’observe la photo et elle me lance :
Mon trouble est tel en partant que je ne m’aperçois qu’après plusieurs minutes de marche dans les rues que je n’ai rien rectifié de ma tenue avant de quitter l’appartement. Je suis tellement sous l’emprise de mon excitation sexuelle que j’en ai même oublié ma veste. Heureusement, il fait encore très doux pour un début d’octobre. Plusieurs regards de passants me lorgnent des pieds à la tête quand je les croise, ce qui n’est pas fait pour calmer mes ardeurs. Les cinq minutes de marche qui me séparent de ma voiture me donnent une overdose de plaisir après l’heure et demie que je viens de passer.
Durant la route du retour chez moi, la moindre pause due au trafic voit ma main se glisser entre mes cuisses pour de brèves, mais oh combien délicieuses caresses. Enfin chez moi, je me jette sur mon sexe pour une violente séance de masturbation seulement interrompue par le coup de fil de Sabrina qui vient aux nouvelles. Je lui raconte tout du début à la fin.
Le samedi, les photos de classe d’Anne-Marie me donnent des idées. Je surfe sur Internet pour avoir des exemples d’uniformes d’étudiantes anglaises et je vais faire du shopping à la recherche de quelque chose d’approchant. Je trouve une courte jupe plissée bleu marine qui sonne très « anglais ». Pour le haut j’ai déjà chez moi une chemise blanche très fine et très transparente aussi c’est vrai. Mais je n’ai pas de veste bleu marine qui convienne. J’en trouve une enfin chez C & A qui est parfaite et en promo en plus, avec une paire de collants blancs ça sera parfait pour ma tenue de vendredi prochain.
Dès le lundi le patron me rend ma veste oubliée chez Anne-Marie avec toujours ce sourire entendu sur le visage. Je suis sur des braises tout le reste de la semaine et on est enfin vendredi matin.
Je m’habille comme prévu, ma chemise est bien particulièrement transparente et forme juste un voile blanc sur mon soutien-gorge bien visible. J’enfile mon collant blanc à même mon sexe, sans aucune culotte. J’adore sentir le contact du nylon sur ma vulve à nu, je fais ça souvent et aujourd’hui plus que jamais. Une fois ma veste enfilée ma tenue est parfaite.
Il n’y a pas grand-monde ce vendredi à l’agence, les présents ne sont pas plus surpris que ça par ma tenue. Ils sont habitués à me voir afficher des looks sexy ou originaux, je ne fais que justifier une fois de plus mon surnom « Miss-cuisses-au-vent ». Certaines de mes collègues féminines lèvent les yeux au ciel avec une expression disant « elle nous fait son show habituel » ou un truc du genre « qu’est-ce qu’elle a encore inventé », les hommes ont l’air de trouver ça bien. Particulièrement mon patron qui n’est pas le dernier à profiter généralement de mes habitudes vestimentaires.
L’après-midi l’agence se déserte et l’heure du cours approche, le patron passe me voir :
Il part l’air content de lui, décidément sa sœur n’a aucun secret pour lui on dirait. Voilà, c’est le moment, mais j’ai un truc à faire avant de partir suivre mon cours. Je m’éclipse un instant aux toilettes pour le faire. J’enfile mon imperméable par-dessus ma tenue et je file chez Anne-Marie en saluant la seule collègue encore présente.
Je suis aussi en retard que la dernière fois quand je sonne à la porte, volontairement.
Anne-Marie ouvre la porte avec un air particulièrement mécontent sur le visage.
Au passage, je la vois saisir nerveusement une sorte d’ustensile que je n’arrive pas à bien voir, un truc avec un long manche et large au bout. Mon imperméable ôté, elle peut voir la façon dont je suis habillée. Comme lors de mes premiers « Madame », sa tête se redresse alors qu’elle prend une profonde respiration avec ses narines palpitantes.
Elle dit ça en agitant sous mon nez l’ustensile qu’elle vient de saisir, ce qui me permet de mieux voir ce que c’est. C’est simplement un long chausse-pied ancien, un brin désuet de nos jours ce genre de truc. Je reconnais le large bout de forme ovale, il me semble bien plus large que les rares chausse-pieds que j’ai pu voir. Le manche est une longue tige épaisse en roseau, ou un bois de ce type, car je distingue les espèces de nœuds ronds espacés régulièrement. Un manche finissant par une poignée permet de bien l’avoir en main. Je vois aussi qu’elle s’est mise en beauté. Elle porte une jupe en cuir noir assez courte pour elle j’imagine, des bas noirs qui s’enfoncent dans une paire de bottines. Un chemisier rouge la serre particulièrement à la poitrine et ailleurs. Ses seins tirent sur les boutons ce qui déforme le chemisier aux boutonnières. L’ensemble est bien plus moulant que ce que j’ai pu voir sur elle jusqu’à présent, du coup son ventre me paraît bien plus arrondi qu’avant. Sa face n’est pas en reste, maquillage soigné et toujours un rouge à lèvres pourpre pétant. Elle est tout à fait désirable ainsi vêtue.
Je prends rapidement ma place dans le fauteuil et elle me tend une feuille en disant :
Bien sûr le texte reste dans la lignée des précédents, mais en encore plus chaud. Maintenant les filles passent à l’acte et font l’amour. Je lui rends ma traduction.
Il s’ensuit toute une série de questions et de dialogues où je fais bien sûr une énorme faute. Me menaçant du chausse-pied qu’elle a toujours en main elle m’engueule :
Je m’exécute et pour mon plus grand plaisir ma petite retouche avant de quitter le bureau fait son effet. J’avais ôté mon soutien-gorge dans les toilettes. Mes deux gros seins apparaissent dans toute leur splendeur sous le fin voilage tendu de ma chemise blanche. Mes larges aréoles brunes se voient parfaitement et mes tétons déjà très agressifs tendent le tissu. Anne-Marie déglutit de plaisir, les yeux rivés sur ma poitrine. Elle se reprend rapidement et dit :
Je défais deux boutons, ma chemise s’écarte alors jusqu’au milieu de mes seins comme si elle était soulagée de ne plus avoir à faire tant d’efforts pour les contenir.
Anne-Marie en a la face toute rouge de désir, son rouge à lèvres en paraît moins éclatant. Mais elle poursuit sa leçon en continuant à mettre à l’épreuve mon anglais. Nouvelle grosse bourde de ma part, madame craque cette fois-ci :
Je me lève et me place derrière le haut dossier.
Je me retourne, le haut du dossier arrive juste à la hauteur de mon bassin. Anne Marie passe dans mon dos et en poussant celui-ci elle me dit :
J’obéis aveuglément et dans un état d’excitation extrême à son ordre. Ma chatte est en feu et dégouline déjà, mes seins sont durs à m’en faire mal si je n’y prenais pas autant de plaisir. En regardant vers la gauche, je peux voir mon image dans le miroir de la grande armoire du fond de la pièce. Avec le contre-jour, je vois encore mieux mes seins pendre comme deux gros melons prêts à éclater et le relief de mes bouts turgescents et violacés à travers ma chemise. La position me fait aussi cambrer mon cul dodu à l’extrême, je ne peux pas être plus offerte à elle. Je la vois se positionner à côté de moi, se tapant le plat de la main avec le chausse-pied et elle dit :
De sa main libre, elle relève alors ma jupe et la remonte jusque sur mon dos, exhibant ainsi mes fesses seulement couvertes par mon collant blanc.
Elle passe derrière moi, par le miroir je l’observe prendre plaisir à me reluquer le cul que je peux moi même voir de profil. Elle me tape l’intérieur de la cuisse de sa drôle de badine et me dit :
Je m’exécute en écartant mes pieds l’un de l’autre. Elle ne peut rien rater désormais de ma chatte en feu à peine cachée par la symbolique protection du collant. Je la sens ouverte et humide comme jamais. Anne-Marie fait glisser pour l’instant la partie large du chausse-pied sur une de mes fesses comme une caresse.
Bien sûr que non, je ne m’étais jamais laissé aller à ce genre de pratique. Mais aujourd’hui être totalement abandonnée entre ses mains me met dans un état de transe sexuelle absolue dans lequel je puise du plaisir à l’infini. C’est alors que le coup survient, je le sens claquer sur mes fesses. Il est donné d’une main experte, car le plaisir qu’il donne est largement supérieur à la douleur que j’aurais pu ressentir. Le dosage est parfait. Plusieurs suivent avec le même savoir-faire, je ne peux me retenir de pousser de petits cris qui n’ont rien à voir avec des cris de douleur. Je tourne ma tête vers le miroir pour voir à quel point le plaisir est partagé. Elle aussi est en transe, ses yeux pourtant plutôt en amande sont grands ouverts et un air de jouissance éclaire son visage. Chacun de ses coups fait ballotter mes seins qui pendent totalement libérés le long du dossier. Je vois qu’ils participent, à leur manière, à son plaisir, car elle leur jette un regard lubrique régulièrement. Elle stoppe ma punition. Je vois alors les flashes d’un appareil-photo plusieurs fois. Je ne sais pas d’où elle l’a sorti, mais elle veut garder un souvenir. J’aime ça aussi.
Je me redresse, je suis bouillante du plaisir que j’ai pris, ou plutôt reçu.
Je suis son conseil, il ne reste plus que le bouton du bas, au niveau de mon ventre, qui retient fermée ma chemise. Les deux pans passent au milieu de mes seins, seulement accrochés encore par mes mamelons proéminents. Alors que je vais m’asseoir, elle m’arrête.
Je me colle le nez à la vitre, c’est une porte-fenêtre qui donne sur un microbalcon qui tient plus du rebord de fenêtre tellement il est étroit. Une barrière en fer forgé offre la protection indispensable. Je vois les gens passer dans la rue, mais pas un ne lève la tête pour profiter de ma tenue des plus légères. Par contre à la terrasse du café-restaurant de l’autre côté deux couples placés chacun à deux tables différentes m’aperçoivent. Ils me montrent du doigt à leur partenaire et discutent. Ils ont l’air de trouver cela follement drôle et ne me quittent plus des yeux, moi bien sûr cela ne participe qu’un peu plus à mon excitation. Les questions sur les verbes sont simples et j’y réponds.
Je me remets au travail où je fais de nouvelles bourdes, mes sens sont tellement en feu que je n’ai pas à me forcer cette fois-ci. Je me retrouve une nouvelle fois appuyée sur le dossier du fauteuil.
Une fois qu’elle est passée derrière moi, je sens la partie large de baguette glisser entre mes cuisses et venir me frotter le sexe, cela me tire un gémissement. Elle effectue alors un va-et-vient le long de mes lèvres avec la tige. Je sens chaque nœud du roseau me faire sa petite caresse personnelle. C’est plus fort que moi, mon croupion s’agite pour accentuer les caresses de l’objet. Alors que je suis au bord de l’extase, elle s’arrête. Quelques nouveaux flashes, et une nouvelle séance de flagellation commence, plus forte il me semble, mais toujours aussi jouissive. C’en est trop pour mes seins qui s’échappent complètement de ma chemise. Ceci déclenche une fréquence plus élevée des coups qui s’abattent sur mon cul, mais toujours avec le même dosage exquis. Mes cris aussi sont poussés de plus en plus fort, mais leur sonorité est clairement synonyme de jouissance. Elle s’arrête, elle aussi est en nage. Elle me tire alors sur ma jupe pour qu’elle remonte beaucoup plus haut sur mon ventre. Quand je me relève, la jupe retombe juste au ras de mon minou.
Je m’y place, mais elle me pousse dans le dos pour que mes seins s’écrasent sur la vitre, en me disant :
Je sens le contact glacé de la vitre sur ma poitrine. De suite les deux couples me repèrent de nouveau, ils devaient me guetter depuis ma première apparition. Évidemment, j’exhibe beaucoup plus de choses désormais. Ceci me rappelle alors ce reportage que j’ai vu sur Amsterdam et les filles dans les vitrines des quartiers chauds, je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec ma situation présente. Mes seins nus collés à la vitre, ma chatte à peine voilée, le tout offert aux regards de ces deux couples. Je fais encore mieux que les filles d’Amsterdam.
Je ne me rappelle même pas avoir répondu à ses questions, mais Anne-Marie m’ordonne de quitter la fenêtre. Quand je me retourne elle est assise dans l’autre fauteuil. Elle utilise l’appareil-photo plusieurs fois et me dit :
Je m’agenouille à ses pieds, elle écarte ses cuisses et me tend une jambe. J’ai une vue parfaite sur ses dessous, le large bandeau finissant ses bas autofixants et un slip rouge en dentelle fine. Son slip est particulièrement gonflé sur sa vulve et une auréole sombre montre à quel point l’endroit est humide. Je retire une botte, puis l’autre. Les jambes franchement écartées, elle tend sa jambe droite et de son pied recouvert du bas elle descend vers ma poitrine. Elle se met alors à me caresser un sein, s’acharne sur mon mamelon qui est aux anges. Son pied descend maintenant et vient se caler entre mes cuisses. Elle se met à me caresser mon minou au travers du collant détrempé. Ma bouche s’ouvre et laisse échapper un râle de plaisir, inconsciemment mes mains se portent sur mes seins qui ont besoin de caresses. Un coup de baguette tombe sur mon bras aussitôt.
Son pied remonte vers mon visage et vient se coller sur mes lèvres, je peux voir mon jus briller dessus.
J’obéis et ma langue s’active sur le nylon humide et légèrement poisseux.
Je remonte le long de sa jambe, ma langue passe son genou. Une fois encore une série de flashes illumine la pièce. J’atteins enfin sa peau nue en haut de la cuisse, j’aime son goût. Sans un mot pour une fois, elle m’attrape la tête et me pousse le visage vers son entrejambe. Mon premier coup de langue se fait sur la dentelle du slip le long de sa vulve. Cela suffit à lui arracher un cri terrible, première fois qu’Anne-Marie perd le contrôle d’elle-même.
Visiblement elle n’en peut plus et meurt d’envie d’arriver au bout de l’extase. Elle écarte sa culotte d’une main pour mettre à nu sa vulve. Elle a des lèvres incroyablement charnues et développées. Je n’en ai jamais vu d’aussi proéminentes. Ma bouche s’en empare, lèche, suce, mordille. Anne-Marie se laisse complètement aller. Elle hurle son plaisir ainsi qu’un bon nombre de qualificatifs à mon égard. Qualificatifs qui sont d’habitude réservés aux professionnelles du métier du sexe. Elle a éventré son chemisier et deux grosses mamelles, qui n’ont rien à envier aux miennes pour ce qui est du volume, jaillissent du soutien-gorge. Ses mains se jettent dessus alors qu’elle continue à m’affubler de toutes les variantes possibles du mot catin. Ce moment d’ivresse sexuelle se poursuit longtemps, elle semble impossible à rassasier, mais elle me repousse enfin et dit déchaînée :
Je trouve follement drôle de m’entendre toujours vouvoyer après notre petite séance commune. En me repoussant, elle s’est redressée dans le fauteuil. Je peux voir que même si sa poitrine est finalement plus volumineuse que la mienne, elle est loin d’en avoir la tenue. Ses seins pendent, lourds et excités, les aréoles déformées. Toutefois, cela ne nuit en rien à mon désir et je la trouve toujours aussi excitante et sexy.
Elle me pousse dans le dos.
Ma figure touche le tapis, mon regard dirigé vers le fond de la pièce où se trouve le miroir. Je la vois toujours assise sur le fauteuil, penchée sur mon cul tendu vers elle de par ma position. Comme pour moi tout à l’heure, sa poitrine se balance pendue dans le vide, impressionnante et affolante. Une nouvelle série de flashes immortalisent ma position, elle doit se garder des souvenirs pour quelques plaisirs solitaires.
Sa main se pose sur mon sexe, je sens ses doigts courir le long de mon antre en feu à travers mon collant.
Et ses doigts continuent leur lent va-et-vient sur ma fente humide. Sachant très bien à quoi elle fait allusion, j’articule péniblement.
Un coup claque sur mes fesses, je comprends mon erreur et la corrige
Je sens qu’elle s’empare du collant où il recouvre mon sexe et qu’elle tire dessus. Ses longs ongles font du bon travail, car celui-ci ne tarde pas à céder sous l’effort et à se déchirer. Ceci met à nu ma chatte surexcitée. Je sens alors un contact à la fois chaud et lisse sur mes lèvres qui m’arrache un premier cri. Ce contact se transforme en quelque chose qui me pénètre doucement. Un regard sur le côté m’en dit plus sur ce quelque chose qui me donne déjà tant de satisfaction. Je vois qu’Anne-Marie tient son drôle de chausse-pied par le bout qui servait jusqu’à présent à me caresser les fesses, si j’ose dire, et que c’est le manche qu’elle utilise sur moi. Elle ne tarde pas à s’en servir en pompant et l’agitant un peu dans tous les sens ce qui déchaîne un torrent de jouissance en moi. Elle manipule vraiment l’engin avec une précision folle donnant chaque fois un résultat extraordinaire qui m’oblige à lui crier mon orgasme. Entre deux râles de plaisir, je me dis qu’elle doit vraiment utiliser son truc sur elle-même pour en avoir une telle maîtrise. D’autant plus que son autre main se défoule sur mon clitoris. Je comprends à moitié ce qu’elle me dit. Je suis consciente qu’elle me parle en même temps, mais je suis trop saoulée par ma jouissance pour en déchiffrer les mots. Je me doute que cela doit être des doux noms de filles de petite vertu. Visiblement elle prend son pied aussi comme ça, moi ça ne me gêne pas.
Une claque tombe sur mon cul et elle me dit :
Je m’exécute, mes jambes flageolantes après cette première séance me portent avec peine. Une fois devant la porte-fenêtre, elle me pousse en avant pour que je me colle à la vitre, mais elle me tire aussi par élastique du collant en disant :
Je me retrouve penchée en avant, les seins écrasés sur la vitre et les fesses offertes se tendant vers l’arrière. Sa badine me tape l’intérieur de la jambe, je comprends qu’il faut que je les écarte. Je sens qu’elle glisse ses deux mains dans le trou encore restreint fait dans le collant. Elle tire violemment, le nylon craque avec un faible bruit. J’ai désormais toutes les fesses à l’air. C’est alors que je prends conscience d’où je suis. Je pense immédiatement aux deux couples qui m’observaient tout à l’heure. Il n’y a en plus qu’un seul, il me regarde. Les passants eux continuent à défiler dans la rue, indifférents, pas un ne lève la tête, inconscient du spectacle que j’offre. Anne-Marie clame :
Bien sûr elle veut parler des passants, le monde extérieur en général. Elle ne peut pas savoir qu’un couple suit par épisode les frasques de mon cours si particulier. Des doigts s’emparent de ma chatte et attaquent une masturbation féroce et suave à la fois. J’entends mes propres gémissements revenir à mes oreilles sans avoir conscience de les prononcer. Subir ces caresses sous les yeux, même lointains, de ce couple décuple le plaisir que je prends. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est ce que je ressens. En relevant la tête sous l’emprise de diverses extases, je vois aussi une silhouette à une des fenêtres d’en face. Homme ou femme, je ne sais, je ne peux pas me concentrer assez pour le savoir et puis je m’en fous. Surtout que la cravache si spéciale d’Anne-Marie se remet à l’œuvre, toujours avec autant de savoir-faire dans le dosage.
Je ne sais pas combien de temps dure cette séance, mais le plaisir pris est si terrible que je m’écroule lentement au sol, glissant comme une goutte sur la vitre. Quand je me retourne vers l’intérieur de la pièce, Anne-Marie s’est avachie dans le fauteuil. Elle semble elle aussi exténuée, sa poitrine toujours à nu luit de sueur. Ses seins se soulèvent avec une fréquence rapide, rythmée par sa respiration haletante. Sa main s’active encore sur son sexe en une lente masturbation à la recherche des dernières gouttes de plaisir qu’elle peut encore en tirer. On reste ainsi quelques minutes chacune dans son coin reprenant notre souffle. Anne-Marie en profite pour faire encore des photos de moi. Je suis trop dans un état second pour lui demander pourquoi. Puis soudainement elle se lève, tire sur sa jupe pour la faire descendre et reboutonne son chemisier. Comme si rien de spécial n’était arrivé, elle dit :
Mon cerveau ayant repris un état plus proche de la normale, je suis abasourdie de cette brusque transition après ce que nous venons de vivre ensemble. Je reste là plantée à la regarder sans réaction.
Je comprends que quoiqu’il arrive Anne-Marie ne sortira pas de son rôle et que je dois rester dans le mien. Je me lève, tire ma jupe plissée sur mon collant éventré et reboutonne ma chemise. Anne-Marie me tend ma veste et dit :
Elle me raccompagne à la porte. J’espère encore un petit geste, une bise, un sourire, quelque chose qui montre que nous sommes complices d’un truc important. Non, elle reste Anne-Marie, cette professeure intransigeante et dictatoriale, ce Staline en jupon comme dirait Marc. Après tout, c’est ça qui m’a fait chavirer sous son charme et qui m’a fait prendre ce rôle d’étudiante soumise. C’est ça qui m’excite tant en elle. S’il devait en être autrement, le charme serait rompu certainement. Sur le pas de la porte, elle me dit :
Je pars rejoindre ma voiture, encore stupéfaite malgré tout de la façon dont elle a mis fin au « cours ». Le courant d’air qui caresse ma chatte sans protection sous ma jupe me confirme bien que je n’ai pas rêvé tout ça. Je vais avoir une sacrée histoire à raconter à Sabrina ce week-end, quoiqu’elle ne sera pas surprise de la tournure des événements, elle commence à me connaître. On va certainement beaucoup s’en amuser. Quand je dis « amuser », vous voyez de quoi je parle, mais ça, c’est une autre histoire.
En chemin j’ai aussi une pensée pour mon patron, non pas qu’il participe d’une quelconque façon au plaisir que j’ai pu prendre, mais je reste curieuse de connaître exactement son rôle. Je suis persuadée qu’il est au courant de quelque chose, enfin, voir que c’est lui qui m’a volontairement mise dans les griffes de sa sœurette. Ça a un côté pervers et machiavélique qui m’excite, on verra ça plus tard.