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n° 13679Fiche technique19054 caractères19054
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Temps de lecture estimé : 13 mn
29/01/10
Résumé:  J'ai découvert que mon épouse, Sonia, a décidé de se dévergonder. Ma douce femme me trompe chaque mardi à 14 heures. À l'aide d'une caméra miniaturisée, je filme ses ébats dans notre salon. J'ai décidé de reprendre le contrôle de la situation...
Critères:  fhhh extracon fsoumise exhib strip photofilm sandwich
Auteur : Cokinou            Envoi mini-message

Série : Le petit bar

Chapitre 03 / 03
Le petit bar 3/3

J’ai découvert que mon épouse, Sonia, a décidé de se dévergonder. Ma douce femme me trompe chaque mardi à 14 heures selon un rituel maintenant bien établi. Mardi dernier, son amant Marc, électricien, était accompagné d’un de ses collègues, Jean-Paul. À l’aide d’une caméra miniaturisée, je filme ses ébats dans notre salon. Après la colère et l’excitation, j’ai décidé de reprendre le contrôle de la situation.



******************



Mercredi matin 7 h. La nuit fut courte. J’ai eu un mal fou à trouver le sommeil à ses côtés. Toutes les images de la vidéo filmée la veille se télescopaient dans mon cerveau embrumé.


Sonia se leva la première et comme à son habitude, se prépara un café. Ensuite elle réveilla les enfants et vint me réveiller. Rien ne changeait à ses habitudes. Pourtant, je ne la regardais plus comme la veille. J’avais pensé, dans un premier temps, aborder une conversation orientée pour savoir si Sonia réagirait ou si un regard trahirait un quelconque malaise. Mais en la voyant aller et venir tout à son aise, sans que rien dans ses gestes ou ses paroles ne laisse transparaître quoi que se soit, je compris que je n’obtiendrais rien.


Les femmes qui mentent sont redoutables. J’élaborai alors un tout autre plan. Puisque je savais déjà tout, il me fallait reprendre le contrôle de la situation. Je savais où rencontrer ces ouvriers : au petit bar. Je décidai alors de mettre en place une subtile stratégie pour entrer en contact avec les amants de ma femme.

Le jour même après avoir troqué mon costume-cravate pour un jean, pull et blouson, je me rendis au petit bar vers 11 h. J’attendis patiemment, je savais que je les rencontrerai. Vers midi et demi, ils arrivèrent. Marc et Jean-Paul s’installèrent à côté de moi au comptoir pour prendre un apéritif. Ils discutèrent de leur travail et des soucis qu’ils rencontraient avec leurs employeurs respectifs. Ils parlaient fort, prenant un peu à témoin le serveur. Le moyen d’entrer en contact avec eux était évident :



Ils se présentèrent. J’appris alors que Jean-Paul était carreleur.


Et voilà, le contact était pris. Je m’étais créé une nouvelle identité et un nouveau métier. La conversation reprit sur les patrons. Ah ! Ces patrons exigeants, pressés, radins, jamais contents, qui exploitent les salariés et les ouvriers. On y était ! La guerre des classes dans toute sa splendeur. Au cours de cette discussion, j’avais envie de leur expliquer que la vie d’un employeur n’était pas ce qu’ils imaginaient ! Mais cela semblait inutile et ce n’était pas mon objectif. Puis la conversation s’orienta vers les salaires, l’argent que gagnaient ces riches bourgeois. C’est à ce moment que j’en profitais pour lancer :



La perche était tendue. Après une brève hésitation, Marc en lançant un clin d’œil à Jean-Paul ajouta :



Piqué au vif, Marc se retourna alors vers Jean-Paul et lui dit :



Jean-Paul sortit alors de sa poche son téléphone. Après quelques manipulations, il sélectionna quelques photos qu’il me montra. Il choisit les photos où le visage de Sonia n’était pas visible. De ce point de vue, il était correct. Il respectait sa promesse de préserver l’anonymat de ma femme.



Tout en parlant, nous nous étions attablés et avions commandé quelques sandwiches. Il m’expliqua tout ! Je le questionnai sans cesse. Il me détailla la rencontre, les travaux d’électricité, les rendez-vous à 14 h tous les mardis, depuis le début du mois d’août. L’escalade sexuelle de Sonia qui en voulait toujours plus, pour, selon lui, rattraper tout ce qu’elle n’avait pas dû pouvoir faire avec son mari.


À chaque fois qu’ils me parlaient du mari cocu, mon cœur s’accélérait et j’enrageai intérieurement. Mais étaient-ils vraiment coupables ? Ils profitaient simplement de l’occasion !


Ah ! Ma femme voulait se débaucher ! Eh bien, j’avais prévu un petit scénario ! Mais, pour le premier jour et le premier contact, je ne voulais pas aller trop loin. Je me contentai de les encourager à parler et à feindre l’étonnement en valorisant leurs egos. À la fin du repas, après un petit café, je leur expliquai que je reviendrai le lendemain. Je demandai à Jean-Paul de m’envoyer d’autres photos sur ma boîte mail. Il accepta après avoir masqué le visage de Sonia, pour respecter sa parole, me dit-il.


Le soir même, sur la boîte email créée à cet usage, je recevais les photos de ma femme. Jean-Paul avait masqué le visage de Sonia en retravaillant les photos sur son ordinateur.


Le lendemain, je retrouvai Marc et Jean-Paul au petit bar. J’avais décidé d’organiser un scénario. Dès que la conversation s’orienta sur Sonia, bien que sachant parfaitement que cela était impossible, je me proposai de participer au rendez-vous de mardi prochain.



Je continuai dans ma lancée :



Je me proposai de préparer la musique sur un CD. Voilà, le scénario prenait forme. Je préférai ne pas aller plus loin pour l’instant. La suite était prévue pour le lendemain.


Le soir même, je compilai une série de slows langoureux propices à un striptease que je gravai sur un CD. Le lendemain, au petit bar, je retrouvai les deux compères. Très rapidement Sonia fut le centre de la conversation. Marc m’expliqua qu’elle n’avait pas hésité, après dix minutes, à montrer sa chatte à Jean-Paul qu’elle ne connaissait pas



Tout s’organisa comme je le souhaitai. Marc décida même de sortir du petit bar trop bruyant pour appeler Sonia et lui donner ses ordres. Le soir même, en rentrant à la maison, je constatai que rien n’avait changé dans l’attitude de ma femme. Je la trouvais désirable… encore plus qu’auparavant. Ses gestes étaient gracieux. Sa voix était douce. Ses paroles étaient toujours raisonnées et modérées. Je la regardais avec insistance en essayant d’analyser ses moindres gestes. Je revoyais en flash les scènes de ses ébats des deux précédents mardis et j’hallucinais ! Malgré ces deux vidéos, cela me semblait incroyable. Comment ma douce femme pouvait-elle se métamorphoser à ce point ? Ce contrôle permanent, reflet de sa stricte éducation, ses mots toujours soigneusement pesés, son élégance naturelle… et ces scènes où je la revoyais à genou, indécente, livrée à deux hommes !


Le lendemain, en vérifiant les relevés de carte bleue, je découvris la commande d’un article sur un sex-shop en ligne…


Le lundi, au petit bar, je retrouvais Marc et Jean-Paul. En prenant un air effondré, je leur annonçai que je ne pourrais pas être présent le lendemain : mon patron m’avait, le matin même, ordonné une intervention chez un client en province. Une intervention qui me prendrait toute la journée. Marc et Jean-Paul semblaient déçus. Jean-Paul tenta de me réconforter en me proposant de m’envoyer quand même les photos qu’il prendrait. Je suggérai alors de me faire remplacer.



Après réflexion, Marc pensa à un collègue à lui, apprenti électricien de vingt-deux ans, qui s’appelait Éric. C’était un copain gentil et très timide malgré un physique de rugbyman. Un colosse d’environ un mètre quatre-vingt-dix.



Le lendemain, la journée me sembla interminable. À 14 h, je ressentis une excitation et une boule au ventre. Je m’imaginai la scène. Le soir en rentrant vers 21 h, Sonia m’accueillit normalement. Je savais tout, j’avais tout organisé et je savais que rien ne transparaîtrait. Sonia était fatiguée, plus qu’à l’accoutumée. C’était vraiment le seul signe qui laissait supposer que son après-midi avait été très agité.


Vers 22 h, je récupérai la carte mémoire et j’allumai mon ordinateur. Sur l’écran, la table basse du salon avec des apéritifs, Sonia entra dans le champ de la caméra. Elle était habillée en tailleur gris, jupe courte mi-cuisse, des escarpins, un collier de perles et des boucles d’oreilles assorties. 13 h 56 sur l’écran. Sonia était très excitée. Elle s’agitait dans tous les sens, se recoiffait, tirait sur sa jupe qui remontait un peu trop, replaçait les verres sur la table. Des bouteilles de bière et d’alcool.

Elle se servit un whisky sec qu’elle but d’une gorgée. À 14 h, la sonnerie retentit. J’entendis les voix de Marc et Jean-Paul présenter leur copain Éric. Ils apparurent sur l’écran. Effectivement Éric était d’un gabarit impressionnant. Ils s’assirent sur le canapé face à la caméra, Éric se plaçant au milieu, Marc à sa droite. Sonia prit le fauteuil situé sur le côté. Ils discutèrent et plaisantèrent. Je sentis toutefois Sonia légèrement crispée. Elle leur servit à boire et reprit un nouveau whisky. Après un troisième verre, Sonia sembla plus détendue. Marc en profita pour lui tendre le CD que j’avais préparé. Sonia le plaça dans le lecteur.



Sonia ne dit rien et revint se poster debout devant les trois collègues. Elle commença à bouger doucement sous les yeux ébahis d’Éric.



Sonia commença à onduler langoureusement en se cambrant. Puis fit le tour du fauteuil et s’accouda sur le dossier. La musique aidant, les déhanchements se firent plus amples. Des mouvements de tête et quelques mimiques aguichantes se dessinèrent. Sous les encouragements de ses spectateurs, Sonia commença à se chauffer. Elle dégrafa son tailleur et laissa apparaître un chemisier de soie blanche.



Ses deux collègues firent de même. Le sexe d’Éric était à la mesure de l’individu, environ 20 cm et trapu. Ses compères le lui firent remarquer, ce qui le fit rougir. Sonia retira son chemiser tout en dansant puis descendit la fermeture éclair de sa jupe. La vue de ces trois sexes dressés l’excitait. Elle fit glisser sa jupe sur ses chevilles puis l’écarta d’un bref mouvement du pied. Elle était debout, en bas, porte-jarretelles noir, talons aiguilles. Un simple string masquait son sexe. Elle tourna, vira, se cambra devant les trois hommes, se penchant en avant pour leur offrir ses fesses, puis se redressa, refit le tour du fauteuil en suivant le rythme de la musique. Les encouragements fusaient ! Sonia était incroyable. Elle s’assit sur le fauteuil et passa sa cuisse droite sur l’accoudoir. La vue pour les trois hommes devait être imprenable. Les yeux d’Éric étaient rivés dans l’entrecuisse de Sonia qui s’amusait à exciter ce jeune homme. Elle se releva et fit le tour du canapé passant la main dans les cheveux des trois collègues qui se masturbaient et dont les érections étaient maximales, puis revint se poster face à eux.



Sonia se retourna en souriant et, telle une professionnelle, en se penchant en avant fit glisser son string à mi-cuisses. Elle ondula ses fesses de droite à gauche. Éric n’en croyait pas ses yeux. Moi non plus ! Sonia avait fait un striptease digne d’une danseuse du Crazy-Horse. Les années de danse classique de sa jeunesse lui donnaient cette aisance et cette grâce dans les mouvements de son corps. Mon sexe était tendu à la limite de la douleur. Sonia s’assit dans le fauteuil face aux trois hommes. Jean-Paul, d’une main, avait prit de nombreuses photos avec son téléphone portable. Il l’encouragea :



La main de ma femme se glissa entre ses cuisses et commença un lent mouvement. Du striptease Sonia était passé à l’exhibition, au grand plaisir de ses spectateurs.



Sans répondre, Sonia sortit un vibro caché sous le coussin du fauteuil. Elle avait tout prévu ! Elle se mit à sucer le vibro puis à le lécher du bout de la langue. Les trois hommes devinrent fous. Jean-Paul, qui était le plus vicelard, lui ordonna de se le mettre bien au fond de sa chatte et se rapprochant pour prendre des photos. Puis se tournant vers Éric il rajouta :



Éric était médusé. Il masturbait son sexe énorme à une vitesse prodigieuse.

Sonia avait posé sa cuisse gauche sur l’accoudoir du fauteuil et s’enfila le vibro profondément en souriant.



Ma femme se leva et vint se positionner devant Éric.



Sonia demanda son âge à Éric. Celui-ci avait vingt-trois ans. Elle prit doucement le gland d’Éric en bouche et le lécha doucement. Éric ne bougea plus. De ses deux mains, Sonia empoignant les sexes de Marc et de Jean-Paul et, tout en suçant Éric, imprima un va-et-vient qui ravit les deux collègues.


Puis elle suça alternativement les trois hommes calés dans le canapé. Enfin elle se redressa et vint se placer à califourchon sur Éric. Elle sourit doucement au jeune homme en s’empalant doucement sur son sexe.



Sonia gardait le contrôle et allait et venait doucement sur le sexe d’Éric. Au bout de quelques mouvements, celui-ci ayant perdu sa timidité, l’attrapa par la taille, la souleva un peu et imprima une dizaine de coup de reins violents. Sonia lâcha un cri rauque. C’en était fini ! La stripteaseuse puis exhibitionniste qui avait jusque-là gardé le contrôle de la situation venait de jouir brutalement et ne contrôlait plus rien. Telle une poupée de chiffon entre les mains de ce colosse elle se faisait secouer de haut en bas en hurlant de plaisir. Marc et Jean-Paul avaient retiré leur pantalon et s’étaient placés debout sur le canapé de chaque côté. Sonia s’agrippa à leurs queues pendant qu’Éric la besognait.



Sonia suçait maintenant alternativement les deux hommes pendant qu’Éric la pénétrait violemment. Sonia avait perdu tout contrôle d’elle-même. Jean-Paul lui ordonna de lui lécher les couilles, en la traitant de putain, puis ce fut le tour de Marc. Les deux hommes n’avaient plus aucune retenue dans leurs mots. Ils allongèrent Sonia sur le canapé. Marc la pénétra à son tour pendant qu’Éric plaçait son sexe devant son visage. Sonia jouit à nouveau en léchant le sexe d’Éric. Celui-ci répandit son sperme sur son visage en émettant un cri étouffé.


Jean-Paul photographiait sous tous les angles. Puis il essuya le visage de Sonia avec une serviette en papier et plaça à son tour son sexe devant le visage de ma femme. Celle-ci lécha immédiatement le sexe tendu. Marc la besognait rageusement. Sonia hurlait de plaisir. Marc se retira et éjacula sur le ventre de Sonia. Jean-Paul le remplaça immédiatement pour ne pas laisser ma femme souffler. Il la pénétra plus lentement en lui parlant. Marc malaxa les seins de Sonia et Éric se fit lécher. Éric avait retrouvé toute sa vigueur. Jean-Paul se retira. Éric souleva Sonia, s’assit et empala à nouveau ma femme sur son sexe. Marc fit le tour du canapé pour se faire sucer. Marc commença à titiller l’anus de Sonia en lui annonçant qu’il allait la sodomiser. De toute façon, ma femme n’était plus qu’un jouet sexuel entre leurs mains. Elle ne pouvait, face à ces trois mâles au comble de l’excitation, que subir leurs assauts. Jean-Paul enfonça un puis deux doigts dans l’anus de Sonia. Après quelques minutes de va-et-vient, il se plaça à l’entrée de l’orifice et la pénétra doucement. Cette double pénétration rendit Sonia totalement folle. Elle haletait et retirait de sa bouche le sexe de Marc pour reprendre son souffle, puis absorbait à nouveau le sexe tendu.


Les trois hommes finirent par jouir alternativement. Sonia commença à les repousser. Elle n’en pouvait plus. Ils riaient, plaisantaient entre eux, et se rhabillèrent. Ils essuyèrent Sonia. Elle se redressa et retrouva progressivement ses esprits. Je la sentis honteuse et maladroite. Ils s’en allèrent rapidement en rigolant en lançant « à mardi prochain ». Cette muflerie choqua Sonia qui resta nue, seule et immobile sur le canapé.



À suivre…