n° 13633 | Fiche technique | 11200 caractères | 11200Temps de lecture estimé : 8 mn | 02/01/10 |
Résumé: J'ai installé une caméra miniaturisée dans notre salon car ma femme Sonia me trompe avec un électricien qui a réalisé des travaux à notre domicile. Il lui a promis "une surprise" pour mardi. | ||||
Critères: fsodo-extr fhh extracon cocus inconnu exhib photofilm facial fellation pénétratio -bourge | ||||
Auteur : Cokinou Envoi mini-message |
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Ma femme Sonia me trompe. Depuis je ne sais combien de temps, elle rencontre chaque mardi à 14h un électricien qui a réalisé des travaux à notre domicile. J’ai installé une caméra miniaturisée qui filme ses ébats dans notre salon. Mon épouse, petite bourgeoise, ma douce femme et mère modèle a décidé de se dévergonder. À ma surprise et à ma colère succède une excitation, une envie de découvrir ma femme et de savoir quelles sont les limites de ses fantasmes.
La caméra enregistrait. En haut à gauche de l’écran était inscrite la date et l’heure : 12/05/2009 13h52. Sonia préparait quelques apéritifs. Elle portait sa robe moulante et courte, bleu marine avec de gros boutons blancs, probablement des bas, des escarpins. Elle semblait très nerveuse. Peut-être la surprise prévue l’inquiétait-elle. À 14h la sonnerie retentit. Dans le champ de la caméra je découvris l’électricien mais aussi un autre homme que je reconnaissais ! C’était l’homme d’une cinquantaine d’année que j’avais vu le premier jour au petit bar.
Ils s’installèrent sur le canapé à côté de ma femme pour l’électricien et sur le fauteuil en face pour son copain. Le début de la conversation fut banal, mais je sentais Sonia troublée par la présence de cet inconnu. Cet homme était probablement sa « surprise ». Elle leur servit des bières. Ses bonnes manières de femme du monde reprirent le dessus. Sa bonne éducation et son habitude de recevoir lui donnèrent par automatisme une certaine contenance.
Sonia se figea. Elle se mit à rougir. Ne répondit pas, toussota. Le temps semblait suspendu.
Sonia avait les jambes croisées. Elle essaya de se donner une certaine contenance en se passant la main dans les cheveux et en buvant une gorgée. L’électricien continua :
Ma femme ne bougeait toujours pas. La rougeur de ses joues s’était un peu estompée. Un grand silence suivit l’ordre de l’électricien. Sonia but encore une gorgée, probablement pour se donner un peu de courage.
Sonia respira profondément, sourit et décroisa alors lentement ses cuisses, gardant les genoux bien serrés et resta ensuite immobile. Les deux hommes la fixaient.
Ma femme écarta alors légèrement ses genoux. Elle ne portait effectivement pas de culotte.
Sonia écarta encore ses cuisses, ne cachant plus rien de son intimité. Elle était belle, désirable et elle le savait. Sa robe courte remontait naturellement sur ses hanches.
Après une trop brève hésitation qui me fit enrager, Sonia glissa sa main vers son sexe et commença à se caresser. S’exhiber devant un inconnu semblait l’affoler. L’électricien ne l’avait pas touchée ! Simplement en lui parlant, en lui demandant, il avait eu ce qu’il voulait. Sonia se caressait maintenant devant un inconnu lubrique.
Sonia obéissait. Jean-Paul s’enhardit :
Sonia baissa le haut de sa robe, dégageant ses petits seins. Ne percevant aucune résistance, les mots de Jean-Paul devinrent plus crus :
Ma femme s’exécuta. Elle avait un peu glissé sur le canapé. Elle montrait ses seins, ses cuisses étaient largement ouvertes. Avec ses bas et ses escarpins elle était remarquablement excitante. Elle se branlait maintenant profondément sans retenue sous les yeux de ses voyeurs. Jean-Paul souriant s’était rapproché de ma femme pour mieux observer.
Tous ces mots crus que je n’avais jamais osé prononcer semblaient l’envoûter. Les ordres étaient secs et directs. Sonia s’y soumettait. Elle se mit en levrette sur le canapé, le buste sur le dossier, les fesses dirigées vers Jean-Paul. Elle continuait à se branler avec la bouteille.
L’électricien se plaça de l’autre côté du canapé et tendit la bouteille qu’il avait en main vers son visage. Sonia se mit alors à lécher la bouteille, puis la prit dans sa bouche.
Jean-Paul s’était saisi de la bouteille et imprimait maintenant un va-et-vient. Sonia gémissait.
Marc ! C’était donc son nom. L’électricien dont j’ignorais jusqu’alors le nom se prénommait Marc.
Marc dégrafa son pantalon et sortit un sexe épais en totale érection que Sonia prit en bouche immédiatement. Il était évident qu’elle avait perdu tout contrôle. Jean-Paul imprimait des mouvements de plus en plus rapides avec la bouteille. Sonia suçait avidement la verge de Marc.
Celui-ci ne se fit pas prier. Sonia eut un sursaut. Elle semblait en transe !
Ces deux hommes sans véritable éducation prenaient plaisir à avilir ma femme. Était-ce la revanche de rudes travailleurs sur ce que représentait la bourgeoisie ? Toujours est-il que cela excitait Sonia qui voulait aller jusqu’au bout de ses fantasmes. Tout cela était pour elle « sa revanche » sur la stricte éducation de sa jeunesse. La grossièreté de ces hommes redoublait ses ardeurs.
Jean-Paul enfonça doucement la bouteille dans l’anus de Sonia et commença un lent mouvement de va-et-vient. Sonia se caressait d’une main et se faisait enfiler l’anus par une bouteille de bière tout en suçant le sexe de Marc. Son excitation était à son comble. Elle ondulait sous les caresses de Jean-Paul. Ce dernier en profita pour sortir son portable et prendre quelques photos de ma femme en levrette, en bas et talons aiguilles, une bouteille de bière insérée dans l’anus, en train de sucer son copain !
Ils l’allongèrent sur le canapé. Marc commença à la pénétrer brutalement pendant que Jean-Paul se faisait lécher.
L’électricien labourait sauvagement Sonia. Elle hurlait de plaisir, ce qui confortait Jean-Paul qui rajouta à l’adresse de ma femme :
Je n’avais jamais vu ma femme jouir comme cela auparavant. Elle ne se contrôlait plus. Elle léchait comme une folle les testicules de Jean-Paul. Celui-ci ne tarda pas à éjaculer entre ses seins.
Marc continuait à la prendre rageusement. Jean-Paul lui enfonça deux doigts dans la bouche. Sonia était devenue leur jouet sexuel. Elle acceptait tout. Jean-Paul lui fit lécher la bouteille de bière puis la lui enfonça dans la bouche pendant que Marc continuait à la baiser.
Sonia s’exécuta. Marc s’introduisit doucement. Pendant qu’il sodomisait ma femme, Jean-Paul prenait des photos et commentait. Le penchant pervers et voyeur de Jean-Paul était évident. Il se régalait à voir cette femme du monde s’avilir et se soumettre ainsi à leur volonté. Il représenta sa verge devant la bouche de Sonia en lui ordonnant de le sucer. Sonia se déchaînait. Elle se révélait très efficace et rendit sa fermeté à la verge de Jean-Paul qui l’encourageait. J’avais l’impression de visionner un excellent film porno, sauf que la star était ma femme !
Au bout de quelques minutes Jean-Paul se retira. Il éjacula sur le visage de Sonia. Marc accéléra la cadence en grognant, arrachant un long gémissement à Sonia dont le visage semblait exprimer une douleur qui était en fait une profonde jouissance. Il se retira et envoya un long jet de sperme sur les fesses de Sonia.
Sonia s’affala à plat ventre sur le canapé.
Jean-Paul acquiesça. Il était voyeur, pervers, vicieux mais pas méchant.
Sonia leur fit promettre de masquer son visage.
Les yeux rivés sur l’écran de mon ordinateur je n’avais cessé de me masturber durant toute la vidéo et j’avais joui quasiment au moment où Jean-Paul avait maculé le visage de ma femme de son sperme. Mon excitation était extrême. Je ne pouvais plus dormir. Cette nuit-là, allongé à côté de ma femme qui, elle, dormait profondément, je me remémorais toutes les scènes de cette vidéo. Dans la pénombre je devinais son visage détendu et je repensais à la crispation de celui-ci au moment de son orgasme et au sperme de cet inconnu dégoulinant sur ses joues. Finalement, dans l’impossibilité de dormir, j’avais à nouveau rallumé mon ordinateur pour revisionner cette vidéo en me masturbant.
J’avais hâte d’être au mardi suivant… Ma hâte semblait encore plus importante que celle de ma femme ? C’était troublant ! Mais j’avais une petite idée…
À suivre…