n° 13695 | Fiche technique | 18422 caractères | 18422Temps de lecture estimé : 11 mn | 07/02/10 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Dans la première partie, les deux amants ont fait progressivement connaissance, elle semblant résister puis se livrant passionnément lors d'une première soirée chez lui. Mais la belle s'est enfuie précipitamment dans la nuit. | ||||
Critères: fh amour fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Karesse31 (Épicurien épris de littérature érotique) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Annus Horribilis /Annus Mirabilis Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Dans la première partie, les deux amants ont fait progressivement connaissance, elle semblant résister puis se livrant passionnément après un massage lors d’une première soirée chez lui. Mais la belle s’est enfuie précipitamment dans la nuit.
Le titre fait référence à un poème anglais de John Dryden, publié en 1667 et à une déclaration de la reine Élisabeth II en 1992.
Plusieurs jours passèrent sans qu’il n’ait de nouvelles d’elle. Elle ne répondait pas au téléphone, ne vint pas à la piscine, ne l’appela pas. Enfin, après plus d’une semaine, elle lui laissa un message s’excusant brièvement de son silence et lui proposant d’aller nager ensemble le lendemain.
Lorsqu’elle arriva, il était déjà dans le bain. Elle le salua rapidement avant de faire elle-même quelques longueurs. Il ne savait pas comment l’aborder, sa fuite précipitée à la fin de la soirée, son silence par la suite, il se demandait qu’en penser. Elle vint le rejoindre au bord de la piscine et discuta comme s’il ne s’était rien passé, de façon très amicale. Désemparé, il lui demanda quand ils pourraient à nouveau passer une soirée ensemble. Elle éluda la question en prenant à nouveau excuse de son travail et de ses enfants, puis ils se séparèrent peu après avec une bise très courtoise. Il resta longtemps assis au volant de sa voiture sans démarrer. Il n’y comprenait rien. Avait-elle honte de lui ? Est-ce réellement à cause de ses enfants ? Rentré chez lui, il resta songeur et une fois couché, il tarda à trouver le sommeil.
Les semaines s’écoulèrent à nouveau avec juste quelques rencontres à la piscine. L’été arriva et les vacances les éloignèrent encore plus. Pourtant il pensait à elle tous les jours tout en se demandant si elle l’oubliait.
À la rentrée, il décrocha quelques entretiens professionnels mais aucun ne déboucha sur une embauche. Fin septembre il accepta de partir deux mois faire un stage de réorientation. Il doutait de l’efficacité de ce projet mais cela l’occuperait. Bien sûr, cela l’obligeait à partir passer la semaine dans une autre ville, mais sa famille habitait dans cette région et il pourrait ainsi voir un peu plus ses parents vieillissants. Et puis, il rentrerait tout les quinze jours pour recevoir ses enfants. Bien qu’ils ne se soient pas vus depuis plusieurs semaines, il téléphona à son amie-amante pour l’informer de son départ. Il fut (agréablement) surpris de la déception qu’elle exprima à l’annonce de cette nouvelle. Elle voulait justement l’appeler pour le revoir. Aussitôt, elle l’invita à manger chez elle le samedi suivant puisque ni l’un ni l’autre n’était avec ses enfants ce week-end-là. Même s’il ne comprenait toujours rien à tous ces revirements, il se réjouissait de ces retrouvailles et c’est avec impatience qu’il attendit la soirée annoncée.
Lorsqu’elle lui ouvrit la porte, il fut subjugué par sa beauté et il osa à peine lui tendre le bouquet de fleurs qu’il lui apportait.
Il était redevenu timide comme un adolescent boutonneux et, tout en entrant, il profita qu’elle lui tournait le dos pour la contempler sans retenue. Cette longue robe rouge lui allait à merveille. Les talons hauts de ses escarpins accentuaient sa cambrure et mettaient ses hanches en valeur. Elle se retourna, et il plongea son regard dans le profond décolleté. Lorsqu’il releva les yeux, il s’aperçut qu’elle le regardait avec un sourire espiègle, ce qui le fit rougir subitement.
Ne sachant que répondre, il se décida à l’embrasser. Elle lui offrit ses lèvres sans réserve, puis le poussa dans le salon en lui disant de se servir un apéritif pendant qu’elle finissait de préparer le repas.
Ce n’est qu’après avoir achevé de manger le dessert qu’elle clarifia la situation.
Elle avait à peine fini sa déclaration qu’il s’était jeté sur elle et l’embrassait passionnément.
Elle le fit s’asseoir sur le canapé et assise face à lui sur ses genoux, elle se mit à détacher les boutons de sa chemise. Pendant ce temps, il passait ses doigts dans ses cheveux et en profitait pour caresser son cou ses épaules et son dos. Elle glissa sa main sur son torse, et embrassa sa poitrine jouant même avec ses tétons. Son autre main avait déjà défait la braguette de son pantalon et s’insinuait dans le caleçon pour saisir sa verge qu’elle sentait fortement tendue. Après avoir dégagé complètement l’objet de ses soins, elle descendit le pantalon, enleva les chaussures de son invité et finit de lui ôter ses vêtements.
Elle s’installa entre ses jambes, le regarda avec des yeux pleins de malice puis descendit sa tête et se mit à lui lécher le gland comme si c’était une glace. Par moments, sa langue glissait lentement le long de sa hampe et de ses bourses, remontait, faisait le tour du frein, venait titiller son méat, lapait à nouveau son gland et reprenait ce délicieux manège. Bien calé sur le canapé, il savourait cette douce gâterie.
Satisfaite, elle l’enfonça dans sa bouche et commença à le faire coulisser.
Encouragée, elle accompagna de la main l’action de sa fellation.
À la fois sucé et branlé, il sentait son pénis se tendre de plus en plus, et il la prévint qu’il ne résisterait pas longtemps à ce rythme.
Désirant profiter de ce piquet bien dressé, elle se releva, dégrafa sa robe et la fit tomber à ses pieds. Puis elle l’enjamba et, écartant sa culotte, se planta ce pieu jusqu’au fond de sa chatte. Attrapant ses fesses, il accompagna la chevauchée dont le puissant galop les conduisit rapidement aux portes du plaisir. En entendant les cris de sa cavalière, le vaillant étalon accéléra la cadence et jaillit en de fortes giclées au fond de son vagin.
Après avoir récupéré son souffle, il l’embrassa tendrement. Ils étaient toujours emboîtés, elle se sentait si bien dans ses bras. Il enleva son soutien-gorge pour sentir l’ampleur de ses seins contre sa poitrine. Ils restèrent ainsi à se caresser pendant quelques minutes.
Rassurés, ils retournèrent dans les bras l’un de l’autre, puis elle l’emmena dans sa chambre.
Ils passèrent la nuit à s’aimer, dormant parfois quelques minutes ou quelques heures, le temps s’écoulant en dehors d’eux.
Au petit matin, elle le poussa aux confidences :
Et il lui raconta les cuissardes à talon aiguille, les guêpières et strings avec lesquels elle s’habillait dans son imagination. À sa demande, il décrivit sa frénésie sexuelle, les positions qu’il choisissait, les initiatives qu’elle prenait. À la fin, excité par ces évocations, il se jeta sur elle et il la trouva très réceptive à sa fougue débridée.
Ils passèrent la journée du dimanche au lit, se levant à peine pour finir les restes du repas de la veille. Ils se quittèrent en fin de journée, elle voulait ranger la maison avant le retour de ses enfants et il devait préparer ses affaires pour son départ, tôt le lendemain.
Pendant plus de deux mois, ils ne purent pas se voir. Il ne rentrait que pour les périodes passées avec ses enfants et même les vacances de la Toussaint ne lui avaient pas laissé la possibilité de la rejoindre. En décembre, il dut prolonger son séjour dans sa famille. Sa mère était très affectée par le décès de son frère, certes plus âgé qu’elle mais avec lequel elle était très liée. Lui-même avait été bouleversé par la mort de son oncle. Ils avaient été très proches dans son enfance et c’était toute une partie de son passé qui s’en allait avec lui. Elle lui téléphonait régulièrement et il aimait entendre sa voix. C’était un peu de consolation dans ce moment de souffrance, même si cela attisait son envie de la revoir.
Noël les avait maintenus loin l’un de l’autre, chacun restant avec sa famille, mais ils avaient enfin prévu de se revoir pour le réveillon. Il avait décliné les rares invitations de ses amis en faisant référence à son deuil car il ne voulait pas encore dévoiler que ce qu’il souhaitait avant tout, c’était de passer la soirée avec elle.
Et puis…
Alors qu’il finissait de se préparer, il avait reçu son texto lui disant qu’elle ne pourrait pas venir ! Comme ça, abrupt, sans explications, sans raison apparente.
Estomaqué, il était tombé dans un fauteuil et s’était servi un whisky pour essayer de se remettre.
Décidément, songeait-il, l’année 2009 n’avait pas été une bonne année. Anus Horribilis comme aurait déclaré la reine-mère d‘Angleterre. Il cherchait à imaginer les raisons de cette absence. Était-elle retenue par ses enfants ? Non, elle le lui aurait dit. Avait-elle rejoint son ex ? Il en doutait, mais tout était possible. Il repensait à la nuit merveilleuse qu’il avait passée avec elle. Peut-être l’avait-il effrayée en racontant ses fantasmes. C’est pourtant elle qui l’avait poussé à en dire plus…
Soudain, la sonnette retentit. Sidéré, il n’ose pas se lever. Il finit enfin par rejoindre la porte en titubant sous l’effet de l’émotion et de l’alcool.
Il ne sait plus quoi penser. Il est retourné dans son fauteuil, a repris son verre, et la regarde la bouche ouverte et l’œil rond comme un poisson sorti de l’eau.
Se redressant un peu, il la regarde mieux. Elle porte un long manteau d’hiver qui ne laisse voir que les pieds de ses bottines noires rehaussées par de longs talons. Après lui avoir adressé un clin d’œil, elle détache les boutons tout en maintenant fermés les pans de son vêtement. Puis, en lui tournant le dos, elle le fait glisser en dévoilant ses épaules où n’apparaissent que deux fines bretelles. Elle lui refait face et il découvre le haut d’un bustier en cuir noir qui enveloppe magnifiquement sa belle poitrine. Tandis que le manteau continue à descendre, il aperçoit une jolie culotte en cuir et en dentelle encadrée par des jarretelles qui accrochent une paire de bas noirs fumée. Il constate enfin qu’elle n’est pas chaussée de bottes mais de cuissardes remontant haut sur ses cuisses.
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Elle s’approche de lui et entreprend directement de défaire son pantalon.
Penchée sur lui, elle lui exhibe ses deux seins pesant sur le bustier. Il en profite pour glisser ses mains sous le soutien-gorge et prend ses tétons entre ses doigts. De son côté, elle a fini de dégager son sexe, et après l’avoir léché de haut en bas, elle l’enfonce de plus en plus profondément dans sa bouche. Elle a un haut-le-cœur, et ressort le pénis pour respirer un peu. Et après avoir copieusement enduit le gland de sa salive, elle descend en progressant régulièrement jusqu’à la base de la hampe. Ce coup-ci, c’est presque lui qui manque d’air.
Elle poursuit ses va-et-vient ne s’interrompant qu’à bout de souffle, le branlant un peu puis reprenant sa gorge profonde. Elle caresse ses couilles en aspirant sa bite et replonge au fond lorsqu’elle sent que celle-ci commence à pulser. Elle la garde en bouche jusqu’au bout, avalant jusqu’aux dernières gouttes de sperme.
Elle le fait se lever pour finir de le dévêtir, puis enlève sa culotte et prend sa place dans le fauteuil en ordonnant :
Elle s’est allongée sur le dos et écarte en grand ses jambes dans une provocante invitation.
Il s’agenouille et lèche longuement ses grandes lèvres remontant de l’anus au clitoris. Sa langue joue un peu avec celui-ci puis pénètre son vagin lapant les sécrétions qui en dégoulinent. Il redescend lécher l’anus, puis happe son gros bouton, le tétant comme elle le faisait, elle, tout à l’heure avec son sexe. Il enfonce deux doigts dans la chatte trempée, et en ressort un qu’il positionne sur son petit œillet fripé. Elle est si excitée et lubrifiée qu’il rentre sans difficulté et qu’il peut bientôt ajouter un autre doigt. Son pouce a remplacé dans son vagin les phalanges parties à la conquête de son cul et il la tient dans cette pince tout en aspirant son clitoris. Il la sent se cabrer et un flot de mouille inonde sa main, et il revient vite poser sa bouche à cette source pour s’abreuver de ce délicieux nectar.
C’est elle qui est maintenant toute flageolante ! Elle lui jette un regard alangui et découvre qu’une raideur tout à fait opérationnelle orne à nouveau son bas-ventre. Elle va pouvoir poursuivre ses projets !
Elle se positionne à genoux sur le fauteuil, les fesses tendues vers lui.
Une fois de plus, il croit rêver, mais il sent bien que les hanches qu’il tient entre ses mains sont bien réelles. Écartant les fesses, il place sa bite sur cet anneau si merveilleusement offert, pousse un peu et rentre sans trop forcer, l’endroit ayant été bien préparé. Après deux ou trois allers-retours finissant d’écarter la place, il la pistonne de toute sa vigueur retrouvée. Les cris qu’elle pousse ne semblent pas dus à la douleur. Au contraire, elle l’encourage à la prendre fort, à défoncer ses fesses. Ses exclamations rejoignent bientôt les siennes et, les mains crispées sur ses fesses, il se laisse aller au fond de son cul.
Minuit sonne au clocher.
Finalement, ce sera une Annus Mirabilis et s’il ne sait pas s’il a trouvé la femme de sa vie, au moins tient-il entre ses bras celle de ses fantasmes.