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n° 13759Fiche technique22030 caractères22030
Temps de lecture estimé : 15 mn
14/03/10
Résumé:  Mes découvertes au fil du temps.
Critères:  fh ff fbi jeunes cérébral voir pénétratio init -prememois -initfh
Auteur : Julia_bleau            Envoi mini-message

Série : Découvertes...

Chapitre 01 / 10
Mes découvertes (1 - Cédric)

Cela fait pratiquement un an maintenant que je vis ma sexualité avec Agnès, et nous faisons l’amour maintenant de plus en plus souvent. Un couple. C’est de plus en plus agréable. Cette façon d’être, nous l’affichons avec fierté. Les regards sont en fait plus souvent amusés que méchants, et nous sommes heureuses de nous montrer amoureuses et amantes.


Et puis on se rend compte aussi, parmi les amis et les proches déjà, mais aussi parmi beaucoup de personnes que nous rencontrons, que cette attitude provoque une curiosité, une certaine envie. Chez les hommes, bien sûr, mais aussi chez pas mal de copines. Il nous arrive de flirter avec elles, en soirées, en ballades, ou toutes autres occasions. Quelque chose les attire en nous. Une fille du lycée a partagé notre lit plusieurs fois avec un immense bonheur, avant qu’elle ne retrouve un copain avec qui elle est toujours. Et ma prof de tennis m’a rejoint un jour dans les vestiaires et nous sommes allées chez elle pour terminer ce que nous avions commencé sous la douche.


Elle m’a avoué fondre en me regardant jouer depuis quelque temps, et craquer en me voyant embrasser Agnès avec autant de sensualité et aucune retenue. Et pourtant elle n’avait jamais touché une fille de sa vie, mais notre liberté, et mon allure provocante parfois sur les courts, la faisaient fantasmer depuis des mois. Sous la douche, où elle m’a rejointe, elle a osé me laver dans le dos et s’est électrocutée en caressant mes seins. Nous avions commencé à nous enlacer, nues toutes les deux, en nous lavant, et c’est avec une envie folle que nous sommes rentrées chez elle où nous avons fait l’amour avec énormément de passion.


Les garçons fantasment aussi beaucoup. Voir deux filles faire l’amour et partager avec elles… Le fantasme numéro un chez les mecs. Une conversation à table avec mes parents nous a confirmé ce fait. Ils se sont marrés et papa à même confié que c’était un spectacle inoubliable !


Les garçons nous regardent beaucoup, en effet. Ça n’est pas pour nous déplaire. Plus pour moi d’ailleurs que pour Agnès. On en parle, mais elle s’en moque un peu. Moi j’avoue que j’aime bien jouer à les séduire, à me rendre désirable, que j’aime beaucoup les regards allumés de ces messieurs sur moi. Et j’avoue que faire l’amour avec un garçon me fait terriblement envie. Il est vrai qu’à cet âge, cela devient une préoccupation chez les filles. Pas toutes, mais moi beaucoup. Et comme notre sexualité à toutes les deux est déjà bien développée… Dans ma tête je me vois bien faire l’amour avec un homme. Je l’imagine avec son sexe en moi. L’image et cette sensation d’un sexe grossissant dans ma main, comme une petite bête à ma merci, et n’attendant qu’un signal pour me pénétrer. J’en ai envie. Pas envie de "sortir" avec un garçon. Agnès prend toute la place dans mon cœur. Je ne pense qu’au plaisir. Rien d’autre. Et on en parle souvent. J’ai l’image d’un homme sur moi, comme avec Agnès, nus, son sexe me pénétrant, je sens cette chaleur en moi. Même si je n’ai jamais connu, je le ressens, j’en ai très envie. Je suis souvent trempée de cette image.


On en parle et on flirte de plus en plus souvent avec des copains. Flirts très poussés. Il m’arrive de me retrouver avec un sexe en main, et des mains qui me fouillent de partout. Je regarde et sens ce sexe et je l’imagine se glisser dans mon minou. On ne fait pas l’amour. Mais il n’en faudrait pas beaucoup. Ces garçons ne me plaisent pas assez je pense. J’ai aussi appris depuis peu à prendre un sexe en bouche, et je m’en délecte au plus haut point. Un nouveau plaisir que je commence à pratiquer avec joie. Nous avons partagé ce plaisir avec Agnès une fois, lors d’une promenade en forêt, avec un de nos copains. Nous ne lui avons pas fait l’amour, mais toutes les deux oui, devant lui, pour le rendre fou. Et il a subi nos bouches avec une joie immense.


Et puis j’en ai trop envie. J’en parle avec Agnès qui est réservée pour le moment. Et, avec un certain culot, je me mets à draguer ouvertement un très bon copain du club. Il a 19 ans. Beau. Très gentil. Il a déjà eu quelques succès auprès des filles du club. Nous nous entendons super bien et nous passons déjà pas mal de temps ensemble en dehors du tennis. Il est un petit peu mon grand frère au club.


Puis un jour, je lui demande de me ramener à la maison. Dans la voiture, je le vois regarder mes cuisses sous ma jupe de tennis, très courte, que j’ai gardée volontairement car elle me permet d’être sexy en dehors des courts, et il regarde aussi mes seins, libérés du soutien-gorge de sport, et je pointe, plus de plaisir que de froid en ce mois de juin. Même en bon copain, il semble apprécier le spectacle de mes longues jambes nues. Et ça, moi ça me ravit. J’ai dans la tête de me faire désirer et cela semble marcher. Je m’arrange pour que ma jupe remonte au mieux pour lui offrir une superbe vue sur mon entrejambe. À voir ses yeux qui m’observent, je fonds et tout mon corps est traversé d’une agréable chaleur. Arrivés chez moi, je lui propose de rentrer comme il le fait souvent quand il en a le temps. Ses yeux sur moi quand je descends de la voiture me donnent encore plus chaud, et j’accentue ma cambrure en passant devant lui pour ouvrir la maison. Le temps d’ouvrir la porte, je sens son regard parcourir ma poitrine et glisser sur mes fesses et mes cuisses. Sensation agréable que de lui plaire et de me sentir déshabillée du regard. Je suis humide.


Nous traversons la maison pour nous installer sur la terrasse du jardin avant que je ne file sous la douche. Il est étonné mais émerveillé de me voir quitter mon haut en le passant par-dessus ma tête et ce, avant même d’avoir traversé le salon. Geste pas innocent de ma part, même si c’est assez habituel ici, que de se promener très peu vêtu, surtout en cette saison. Notre jardin à l’abri des regards nous permet de vivre à l’aise et nous en profitons très souvent.


Assis au salon de jardin, il est penché pour me suivre du regard. Je m’arrange pour qu’il profite du spectacle en m’arrêtant mettre de la musique et en paradant en jupe et seins nus dans le salon. Naturelle. Je lui demande s’il aime ce que je passe comme musique, et pour me répondre il doit me regarder, à la fois un peu gêné et en même temps ses yeux ont du mal à quitter ma poitrine nue, surtout quand je lui tends la pochette du cd. Mes seins pointent, comme un appel. Je sais que là, il a envie de me toucher, et moi je n’attends que ça. Je suis quasi nue et à portée de mains. Je me doute que pour lui le spectacle doit être plaisant, et même excitant. Je sens une ambiance électrique qui me plait. Il doit avoir une belle érection. Et de savoir que c’est juste à cause de moi…


Sous la douche je ne peux m’empêcher de me provoquer un peu de plaisir. J’ai envie d’un garçon et je veux que ce soit lui. Je sais que ce sera lui. Bientôt. Maintenant. Je retourne sur la terrasse avec juste un shorty rose que j’ai attrapé au passage et une serviette avec laquelle je m’essuie les cheveux, cachant à peine mon buste par moments avec un geste gêné, comme si je m’apercevais d’un coup de ma tenue. Je lui propose de lui faire un thé. Je jette alors ma serviette sur une chaise et repars en cuisine. Volontairement sexy dans mon geste. Je me retrouve naturellement nue comme j’aime, juste ce shorty, qui, je le sais, me dessine merveilleusement bien les fesses et doit être pour lui un spectacle affolant. Je joue pas mal d’un déhanchement sexy, pour ajouter un peu à la tentation. Il me regarde partir comme ça avec une lumière dans les yeux qui me donne encore plus envie de continuer. Ce jeu de séduction me ravit, et m’excite. Je reviens avec le thé et m’installe en face de lui sans chercher à me couvrir. Juste mon shorty. Je fais en sorte qu’il puisse m’admirer comme j’aime que l’on m’admire. Je sens son regard sur moi avec beaucoup de chaleur. Je suis en train de m’offrir. La chaleur monte. Je sais que ce que je fais à cet instant est de la provocation, mais je le fais de façon naturelle, comme une petite fille impudique.


Il me connaît très bien, mais de me voir être aussi à l’aise dans cette tenue et devant lui… Il me détaille. Il me scrute avec un regard étonné et gourmand à la fois. Il m’a déjà vue ainsi, dans les vestiaires, ou plutôt aperçue, et une fois en forêt également, à l’occasion d’un pique-nique, où je m’étais changée devant lui et d’autres copains qui avaient apprécié d’ailleurs mon côté nature et sans pudeur. Mais ce fut furtif. Juste le temps de changer un tee-shirt et d’offrir ma poitrine aux trois garçons, qui n’avaient rien loupé. Il sait que cela me vient aussi de mon éducation et de mes habitudes "naturistes".


Il se marre en me regardant aller et venir dans cette tenue très sexy et finit par me dire qu’il me trouve superbe, que j’ai de jolis seins, de jolies fesses, des jambes sublimes, tout en me détaillant et en se marrant, et que si je n’étais pas sa copine, il me sauterait dessus tellement…


Et moi de lui répondre que s’il en a envie, eh bien, je n’ai rien contre, bien au contraire.


Il est soufflé ! Il se ressaisit et me demande s’il a bien compris.


Et là je lui demande directement s’il veut bien me faire l’amour. Comme ça. Sans détours.


Sa tête ressemble à un bonhomme de bande dessinée recevant un rocher tombé du ciel !


La surprise étant passée et devant mon air naturel et décidé, il me parle d’Agnès, de notre relation, de lui, pourquoi lui ? Qu’il me trouve plus que désirable, mais qu’il ne lui semble pas être amoureux. Que ce n’est pas ce qu’il était venu chercher en m’accompagnant. À quoi je lui réponds tout naturellement que je ne suis pas amoureuse de lui, mais que je l’apprécie énormément, que cela n’a rien à voir avec Agnès. Qu’elle et moi faisons l’amour de façon torride et amoureuse, et que rien ne changera. Je l’aime. Mais que je veux absolument faire l’amour avec un garçon et qu’il est le seul avec qui j’ai envie de le faire. Il attend une suite à mon explication, et comme elle ne vient pas il reste un moment à me regarder sans rien dire. Il lui faut digérer mes paroles. Évidement qu’il a très envie de moi. Depuis longtemps déjà. Mais je suis sa "copine", il me trouve jolie et sexy, il est fier de se promener avec moi, mais quelque chose le retient pour me draguer plus que ça. Il aime bien notre complicité, et la place qu’il a vis-à-vis des autres copains. Des petits moments d’intimité partagés parfois, dans les vestiaires, et quand il vient me chercher ici, et qu’il me voit évoluer dans des tenues souvent très sexy.


Il me redemande un thé. Il est assez perdu devant mon audace. Je lui ressers et j’en profite pour m’approcher et lui offrir mon ventre à hauteur de ses yeux. Il me regarde, me demande si je suis folle ou sérieuse. Mes seins pointent de plus belle à portée de sa bouche. Tentation extrême. Il ajoute que l’envie pour lui est évidente, que je suis très belle et très excitante, mais la situation peu banale. Sur ce, avant qu’il ne reprenne sa tasse, je l’enjambe et m’assois sur lui, face à lui, à califourchon. On se marre deux minutes puis il ose m’embrasser un sein, et commence à me caresser. Ses mains dans mon dos, sur mes cuisses. J’ai chaud. Mes seins se gonflent et durcissent comme pour l’encourager. Je descends ma main à la rencontre de ce que je convoite en rêve depuis un moment. Je passe ma main dans son jeans, attrape son sexe brûlant. Il est dur. C’est sûr ! Je le veux ! Et je commence de le branler doucement en lui offrant un sein et en me caressant l’autre.


On se câline un moment, comme ça, puis il me demande quand je VEUX le faire, en riant, et ajoute que "puisque c’est une commande…" Et je lui dis que je suis plus que prête, en avançant mon ventre à la rencontre de son membre étriqué dans son jeans. Je me frotte quelques instants dessus et je le sens bien comme ça, dur. Je mouille mon shorty et il le voit. Il me mange la poitrine de plus belle, et moi je suis posée sur son membre, encore plus dur.


Alors je l’emmène dans ma chambre. Je m’installe sur mon lit pendant qu’il se déshabille. Je regarde avec délice son buste, que je connais déjà bien, mais cette fois il est à moi. Puis il descend son jeans et je guette comme une môme l’objet de mon désir. Il est un peu intimidé quand même devant mon assurance. Et me redemande plusieurs fois si je suis vraiment bien décidée à me donner à lui. Et de lui expliquer à nouveau que j’en ai fort envie et qu’il est le seul à qui je peux demander ça, et pour une simple raison, c’est qu’il est le seul en qui je peux avoir confiance. Et confiance à ce point-là. Et quand je lui demande si je ne lui plais pas assez, il me saute dessus en m’avouant que ça fait déjà un moment qu’il me regarde avec un vrai plaisir et qu’il est fier de se promener avec une fille comme moi et que… Je me plaque à lui, l’embrasse comme je sais le faire pour affoler Agnès. Et il s’affole aussi. Et nous partons dans un corps à corps assez torride un moment, à se caresser, s’embrasser, et je commence à fouiller dans son boxer pour malaxer son sexe avec vigueur. Il est très excité. Il bande très fort. Je le branle gentiment. Il passe un moment entre mes jambes à me caresser. Je suis brûlante de désir, et son membre grossit et me brûle les mains aussi. Je me colle à lui de tout mon corps. Je suis folle d’envie, excitée de savoir que je vais me donner.


On se calme un peu pour parler encore de mon envie et de ma façon de voir ce moment. Je lui explique que pour moi c’est une envie, une recherche de plaisir, et un désir de le découvrir dans les bras de quelqu’un que j’apprécie. Il semble se rassurer. Je commence alors à quitter mon shorty, et à me caresser seule sous ses yeux, comme je le fais souvent avec Agnès. Il savoure le spectacle de mes doigts en moi et sur moi. De l’autre main je tire sur son boxer pour qu’il puisse être à ma disposition. Il se relève et finit de se mettre nu. Il est complètement à l’aise maintenant, et vu comme il bande en se retournant, il a lui aussi une très forte envie. Il me rejoint et je continue de me faire du bien tout en le branlant. Sur le dos, j’offre à ses yeux mon corps, et mon plaisir, en ouvrant au mieux mes jambes et en me masturbant de plus en plus fort. Jeu habituel avec Agnès. Se faire du bien sous les yeux de l’autre est un moment merveilleux et très excitant pour tout le monde.


Puis je me penche sur lui pour l’engloutir dans ma bouche, sans attendre, avec gourmandise. Le contact de sa queue sur ma langue me fait gémir et couler comme rarement. Elle est belle et bien chaude. Des frissons énormes dans tout le corps. Ce sexe est à moi. Il est surpris de mon geste. Mais il se laisse faire, et me dit en gémissant que j’ai une bouche experte. Très fière, je le lèche et le mâche de plus belle. Il est bon son sexe. Je le sens vibrer sur ma langue. Il m’arrête à regret et s’occupe de moi. Je me laisse aller. Et là, en me caressant de façon précise, il me chuchote que si je veux bien, il va me prendre maintenant pour ne pas risquer de succomber trop rapidement tellement je l’ai excité. Il m’avoue n’avoir jamais été autant excité avec une fille. Je m’abandonne. Je vais me faire prendre. Je vais me faire baiser. Je le voulais. J’y suis. Viens ! Il s’installe entre mes jambes ouvertes. Et avant de remonter, il me lèche quelques minutes, pour bien me goûter et je coule dans sa bouche. Il me déguste. Tout aussi bien qu’Agnès peut me le faire. Puis il remonte poser sa queue entre les lèvres de mon minou qui l’attend avec beaucoup d’envie. J’en sursaute de joie. Elle est posée, brûlante entre mes lèvres.


Je sens son gland se promener sur ma vulve, il me brûle, et je l’imagine bientôt en moi. Mon ventre est secoué, tellement le contact de sa queue m’électrise. Je savoure la vue de mon minou, trempé, ouvert, et de son sexe tendu, rouge. Ils semblent se désirer, s’observer. Il se frotte doucement, et me demande si je veux le recevoir, s’il est invité ? Je l’attrape et guide son gland entre mes lèvres. Je le frotte sur mon bouton, sur la longueur de mon minou, je m’écarte au mieux. Je lui fais signe. Et je sens quelque chose de chaud, de doux, de terriblement agréable m’envahir. Indéfinissable sensation que ce contact au plus intime de moi. Un sexe.


J’avais un peu peur un instant avant de monter dans la chambre, mais là, je suis complètement libérée. Et il continue de me pénétrer, de s’enfoncer, en douceur, sans bouger. Juste être en moi. Et je suis toute tendue vers lui. Je l’engloutis. Je l’aspire avec mon sexe. Je regarde sa queue entrer doucement en moi, s’enfoncer. Sensation à la fois exquise et étrange. Je suis heureuse. En sueur. Comblée. J’ai un sexe en moi et c’est encore mieux qu’en rêve.


Mon premier sexe en moi. Sensation sublime. Et il est au fond je le sens. J’admire le spectacle de sa queue presque entière enfouie dans mon sexe. Il m’interroge du regard. Je lui dis que c’est extra. Mieux que ce que j’en attendais. Que je ne vois pas qui aurait pu être à sa place et que c’est merveilleux. Je mords mes lèvres et mes yeux se remplissent de larmes tellement le moment est sublime. Je suis prise ! Il sourit et commence à aller et venir en moi, en douceur. Je ressens sa queue sur toutes les parois de mon sexe. Il me fouille partout. Je ne pensais pas que ça puisse me combler comme ça. Je gémis à mon tour. Je suis trop bien. Et lui continue de me prendre mais calmement. Il ressort complètement et me pénètre à nouveau. Génial ! Je me tends un maximum pour mieux le sentir. Quand il ressort à nouveau, mon sexe va le chercher, tellement je le veux en moi. Et on continue ainsi un long moment. Il est en moi. C’est trop bon. Il remonte un peu et maintenant son sexe me frotte le bouton à chaque mouvement. Toute ma chatte ressent du plaisir, de mes lèvres, mon bouton, ma vulve, et toutes les parois de mon minou sont excitées. Il bouge dans tous les sens, et j’ai une sensation folle d’avoir comme plusieurs queues en moi. J’ai des frissons tout le corps. Je transpire, j’ai chaud, c’est agréable. Je jouis. Des petites jouissances répétitives. Jusqu’à un frisson bien plus fort. Je pousse des petits cris à chaque fois qu’il entre encore. Je jouis avec une queue dans moi. Pas plus qu’avec Agnès, différemment. Un autre immense plaisir. Une autre sensation. Un bonheur. Je jouis beaucoup de cette situation dont je rêvais depuis un moment.


Lui me regarde prendre mon plaisir, et commence à grimacer de douleur. Il me dit qu’il a envie à son tour et qu’il va chercher un préservatif. Juste le temps de lui faire comprendre que s’il est sûr de lui je préfère le garder en moi. Nous sommes suffisamment proches pour nous faire confiance. Alors il reprend ses mouvements et je ressens encore des frissons. Il me prend de plus en plus fort, vite, il me fait vibrer, je le sens au plus profond de moi. Mon sexe est trempé, électrisé, sensible, et me procure des sensations nouvelles, et je sens comme il enveloppe cette merveilleuse queue, comme un baiser langoureux de toute ma chatte sur lui. Puis il accélère, il me prend un peu plus fort jusqu’à ce qu’il se tende, reste au fond de moi, pousse un petit cri et je sens son jus brûlant jaillir dans moi. J’ai fait l’amour ! C’est génial ! Trop bien !


Il reste en moi un moment pour se reprendre, il m’embrasse, puis on se retrouve côte à côte pour se couvrir de baisers et de gestes tendres. J’ai plaisir à caresser cette queue qui est toute mouillée de moi, de lui. Elle se détend et je ne résiste pas à la reprendre en bouche. Comme pour la remercier du plaisir qu’elle m’a donné. Elle est chaude et humide sur ma langue. Mon goût et le sien mêlés… Elle diminue dans ma bouche et semble elle aussi, heureuse du moment qu’elle a passé au fond de moi.


Puis on parle.


Il comprend que je ne souhaite que faire l’amour avec lui. Ne pas être « avec » lui. Que je suis bien consciente de ce que je lui ai demandé. Que j’en suis très heureuse. Que rien ne va changer entre nous, si ce n’est qu’une complicité particulière. Que je veux que l’on recommence quand il le souhaite ou moi, mais qu’il n’est pas juste un sexe. Il est mon ami, et maintenant le plus intime. Qu’il ne doit pas s’installer de relation amoureuse plus forte que celle que l’on connaît déjà. C’est presque un "pacte" de mômes que l’on signe là, sur mon lit, nus et en sueur. Et moi j’en suis fière. Et nous refaisons l’amour avec joie, sans retenue, en riant, en jouant, comme si nous avions toujours fait cela ensemble.


Notre pacte a tenu et tient toujours. Nous faisons l’amour parfois. Agnès me demande chaque fois comment ça se passe. Elle me questionne sur mon plaisir. Elle est complice aussi avec lui. Ils me partagent, même si Agnès a une place particulière. Il le sait. Elle le sait. Nous vivons quelque chose de magnifique, et moi un peu plus qu’eux deux.


Je les aime, différemment, mais je les aime.