n° 13767 | Fiche technique | 13241 caractères | 13241Temps de lecture estimé : 9 mn | 19/03/10 |
Résumé: Marco, devenu Manon à cause du magicien Olov, continue de découvrir les côtés feminins. | ||||
Critères: fh hféminisé fmast hmast confession québec -journal | ||||
Auteur : Cocu1970 Envoi mini-message |
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Dans le dernier récit, Marco, 39 ans, à cause d’un sale tour de magie dans le spectacle du grand magicien Olov, s’est retrouvé coincé dans le corps de Manon, une femme grassette de 33 ans, 1 m 57 et 66 kg. Les premières semaines ont été tranquilles jusqu’à ce que sa période d’ovulation le rattrape et lui fasse augmenter sa libido au maximum au point de lui donner ses premiers plaisirs de femme.
Voilà quatre semaines que je vivais dans ce corps de femme. Le dimanche matin, je me suis levé et suis allé faire mon petit pipi, en m’essuyant, j’ai eu la peur de ma vie. Le papier de toilette était inondé de sang. Après avoir réfléchi, j’ai constaté que j’étais tout simplement menstrué. J’ai fouillé et vu qu’il ne restait que très peu de serviettes sanitaires et de tampons.
Alors, comme je devais sortir pour en acheter, je me suis habillé au moins comme une femme ce que je faisais très rarement, car je me sentais toujours mieux en pantalon et chandail.
Je suis donc allé dans ma chambre et j’ai fouillé dans les tiroirs qui étaient devenus les miens. J’ai trouvé une jolie culotte turquoise en satin dans laquelle la serviette sanitaire convenait à merveille. Ensuite j’ai demandé à Pierre de m’aider avec le soutien-gorge car j’étais toujours incapable de l’attacher. Pierre était toujours gentil avec moi et se confiait que ça lui manquait vraiment de faire l’amour. Je lui disais d’être patient que le magicien Olov trouverait sûrement la solution bientôt. En attachant le soutien-gorge, je constatais que les yeux de Pierre étaient très cochons et qu’il faisait exprès d’avoir de la difficulté à l’attacher dans le seul but de me toucher un peu. Après l’avoir finalement attaché, il m’a donné une claque sur les fesses ce qui nous a mis mal à l’aise tous les deux. C’était la première fois qu’il me touchait dans le seul but de se faire plaisir. Et il s’en est excusé immédiatement.
Pierre étant sorti de la chambre, j’ai enfilé une robe d’été noire fleurie avec petites bretelles aux épaules et de jolies petites sandales. Ensuite, je me suis maquillé légèrement avec un peu de mascara et un rouge à lèvres rose assez pulpeux. Je me suis coiffé comme je pouvais. Et Pierre s’est bien moqué de moi lorsqu’il a vu ma coiffure.
Je lui ai demandé alors de me prêter la voiture pour aller au centre d’achats. Il m’a dit : « Manon tu n’as pas de permis de conduire ». Je lui ai dit : « bien sûr que j’en ai un ». Mais il me dit que dans mon corps de femme je n’ai pas ce permis. Pas le choix, j’ai dû lui demander de venir avec moi.
Donc nous sommes partis ensemble comme tout couple marié. Dans la voiture, il me disait que j’étais très belle et que j’étais gentille de bien m’occuper du corps de Manon. Je lui ai demandé comment il faisait pour se satisfaire seul, s’il avait eu des aventures. Et il répondit que jamais il ne me tromperait et qu’il attendrait que je sois prête. Il me disait qu’il se masturbait souvent en pensant à moi pour se satisfaire.
J’analysais les paroles de Pierre, et j’étais troublé et content en même temps. Pour la première fois de ma vie, je ressentais un sentiment amoureux pour un homme. Mais je combattais et me disais que ça devait être les hormones encore une fois. Mais ce qui me troublait le plus c’est sa façon de me regarder.
Pour la première visite de shopping, il m’a emmené chez Philippe le coiffeur, qui n’en revenait pas de mes cheveux. Lorsqu’assis sur la chaise de ce coiffeur très efféminé, il me demanda si je voulais ma coiffure habituelle, je dis oui et j’admirai cet artiste qui me défrisa mes cheveux bouclés. Après une heure, je regardai dans le miroir et étais en admiration avec le résultat. La coiffure était superbe, très féminine. Avant de partir Philippe me dit : « tu devrais te faire faire les ongles aussi ». Alors j’ai rencontré Sandra, qui tout de suite s’est occupée de mes ongles d’orteils et ongles de doigts, en finissant avec un beau vernis rose clair. Je me regardais dans le miroir et regardais mes cheveux et mes ongles et cela me troublait et je devais m’avouer que j’étais contente d’être aussi belle.
Enfin sortis du salon de coiffure, nous sommes allés à l’épicerie pour magasiner mes serviettes sanitaires. J’avais bien pris en note la marque des serviettes et tampons. Arrivé à la maison, j’ai constaté que j’avais fait ma première erreur de femme. Je devais changer plus souvent de serviette sanitaire car ma culotte était toute tachée. Alors je me suis lavé le vagin et j’ai aussi lavé mes petites culottes. Après j’ai lu les instructions et j’ai mis un tampon en m’assurant de bien laisser dépasser la petite corde. Et j’ai mis une serviette propre.
Cinq à six jours plus tard, mes règles étaient terminées. À part mon caractère que je trouvais moins agréable, je me suis dit que les menstruations n’étaient pas si pires que cela, quoique pas très agréable à vivre.
Quelques jours plus tard, Pierre m’a dit que nous étions invités chez son patron à une beach-party.
J’étais paniqué car c’était ma première vraie sortie en femme. Alors pendant que Pierre tondait le gazon, je pris un bain chaud et en profitai pour raser tous les poils rebelles. Alors jambes, aisselles et l’entrecuisse n’ont pas été épargnés pas mon rasoir. Je me suis bien crémé pour avoir la peau douce.
Ensuite je me suis maquillé encore une fois légèrement, car mon visage était un visage très naturel qui ne demandait pas beaucoup de maquillage. Alors uniquement du mascara, du rouge à lèvres et un peu d’ombre à paupières et le tour était joué.
Ensuite, la coiffure, je me suis rappelé comment Philippe le coiffeur travaillait, et j’ai tenté de me coiffer de la même façon. Après 45 minutes, je me suis épaté moi-même et me trouvais très belle.
Ensuite les vêtements, j’ai enfilé une belle culotte rose en satin avec un soutien-gorge aussi rose en satin. De jolis bas noirs, mi-cuisse, en nylon. Et j’ai conclu avec une belle robe d’été moulante ainsi que de jolies sandales. Je regardais ma craque de seins, et je me disais bien que certains hommes en baveraient.
Arrivé au beach-party, Pierre me dit que je suis très séduisante et que je commençais à être plus féminine que sa vraie femme. Il me dit en sortant de la voiture, de le tenir par la main et de marcher à ses côtés. En marchant près de lui, main dans la main, je regardais ma petite main dans cette main virile et je dois avouer que toutes ces petites choses me troublaient de plus en plus.
Au party, je trouvai les hommes idiots avec leurs blagues de mauvais goût sur les femmes, surtout Éric un homme de 56 ans qui n’arrêtait pas de se coller sur les femmes. Ce fameux Éric, à un certain moment, m’a carrément emmené danser et j’étais très gêné. Il n’arrêtait pas de tenter de se coller plus et à un certain moment, il m’a carrément touché mes fesses ce qui a rendu Pierre furieux et il lui a dit de se calmer. Pierre a alors pris sa place et s’est mis à danser avec moi. Pendant la danse, il m’a dit à l’oreille : « il est normal que ce colon voulait danser avec toi car tu es la plus belle ». Vers la fin de la danse, la femme du patron nous a dit que nous semblions être très amoureux et elle nous a dit : « allez les amoureux, embrassez-vous ». Pas le choix, Pierre s’est penché vers moi et pour la première fois de ma vie j’embrassais un homme.
Arrivé à la maison, Pierre me dit que ce petit bec lui avait fait très plaisir. Et nous avons été au lit directement. Étendu Pierre me dit : « est-ce que tu peux seulement me donner un autre baiser, s.t.p. ? » Je lui dis : « OK, je peux faire cela ». Et je l’ai embrassé et je voyais que je rendais cet homme très heureux et surtout très bandé. Il me dit ensuite : « est-ce que je peux demander une dernière autre chose ? » Je dis alors : « vas-y ». Et alors il me dit qu’il est tanné de se masturber seul. Et que si je voulais, il se masturberait devant moi seul et qu’il respecterait que je ne le touche pas. Trouvant qu’il méritait cette gentillesse j’ai dit oui.
Alors il s’est déshabillé, et j’étais estomaqué de voir ce pénis en érection, son pénis mesurait 21 cm et le gland était très rose. Je trouvais son sexe très beau. Et aussi son corps qui était très svelte.
Moi couché sur le dos et lui à genoux à côté de moi, je le regardai mettre de la salive dans sa main et commencer à se masturber. Il était excité comme un adolescent et je le voyais gémir. Encore de la salive et à nouveau il reprenait son plaisir. Presque rendu à l’orgasme, et voyant la folie dans ses yeux, il me dit : « si tu veux, ne fais que baisser ta culotte un peu et je veux jouir sur ton pubis dans tes poils ». Je le regardai d’une façon qui voulait dire non, mais avec ses yeux qui faisaient pitié, je baissai ma culotte juste assez pour qu’il voie les poils du pubis. Il a remis de la salive une dernière fois et là il n’a pas ménagé son sexe, et 30 secondes plus tard, je sentais et voyais plein de gouttes blanches envahir mes poils pubiens. Jamais je n’avais éjaculé moi-même autant de sperme. À vrai dire, je croyais qu’il ne finirait jamais de couler.
Il m’a embrassé et s’est endormi tout de suite, moi je lui ai dit que j’allais me laver. Rendu à la salle de bain, je regardai mon pubis avec toute cette quantité de sperme. Et j’étais toute excitée, et j’ai commencé par toucher cette semence, et à l’étendre partout sur les poils de mon vagin. Ensuite j’avais deux grosses gouttes blanches que j’ai étendues sur mes seins, et je roulais mes mamelons avec mes doigts. C’était tellement chaud que j’étais très excitée. Je me sentais coupable, mais c’était plus fort que moi et je me suis résignée à goûter cette crème chaude, et ce goût m’a rendue encore plus chaude et je me suis masturbée comme une vraie femme. Juste avant mon orgasme, je ne pensais qu’à insérer du sperme dans mon vagin, mais je me disais : « ne sois pas ridicule tu va être enceinte ». Mais plus l’orgasme approchait, plus la folie s’emparait de moi, avec deux doigts je me suis rendu à l’orifice du vagin et je caressai le bord du trou, et c’est à ce moment que Pierre m’a dit qu’il avait envie d’uriner. Grâce à son pipi, je me suis sauvé une grossesse.
Revenu au lit près de Pierre, après un bon bain chaud où j’ai dû me laver à fond tellement je m’étais étendu le sperme partout, Pierre m’a dit qu’il m’avait entendu me caresser. J’étais rouge de honte.
Il m’a dit : « écoute, si on doit vivre encore plusieurs mois ainsi, il faut qu’on se dise la vérité, alors à quoi tu pensais ? » Je lui ai répondu que le sperme sur mon corps m’avait énormément excité. Et que je me caressais avec le sperme qu’il avait éjaculé sur moi. Il m’a alors dit : « moi j’ai joui tantôt, si tu veux jouir devant moi sans que je te touche, je vais accepter ».
Alors avec ces mots, j’ai descendu les couvertures. Et j’étais en belle lingerie rose en satin devant lui. J’ai dit : « ça me gêne tellement ». Il a alors dit : « ferme les yeux, ouvre les cuisses et laisse-toi faire, je vais uniquement te caresser un peu ».
Lorsque j’ai senti ses doigts caresser ma vulve par-dessus la culotte de satin j’étais très gêné d’entendre ma voix de femme gémir devant lui. Il me caressait la vulve avec tant de tendresse que j’étais très bientôt inondé, tellement que je me demandais si j’avais fait pipi dans ma culotte.
J’ai senti ensuite un doigt qui étirait l’élastique de ma culotte. Et Pierre a commencé à m’explorer, caressant au début mes poils vaginaux, caressant mes grosses lèvres et, alors que je frissonnais de plaisir, il a attaqué mon clitoris tout en douceur. Alors que je gémissais de plaisir, il s’est approché de mon oreille et m’a dit que j’étais belle, qu’il me désirait, qu’il avait envie de s’introduire en moi. La dernière parole m’a donné mon premier orgasme donné par un homme. Le lendemain matin, rouge de honte, je lui ai dit que je ne voulais plus jamais recommencer car je n’étais pas aux hommes. Mais Pierre m’a regardé et m’a dit avec un sourire fendu jusqu’aux oreilles : « on en reparlera à ton ovulation ».
Deux semaines se sont passées et Pierre est resté bien tranquille et moi aussi. Et je regardais le calendrier, et je me disais : « Ah, non ! Dans cinq jours une nouvelle ovulation arrive. »
Mais cela… ça sera la suite.