n° 13782 | Fiche technique | 54226 caractères | 54226 8975 Temps de lecture estimé : 31 mn |
26/03/10 |
Résumé: Mon mari et moi sommes invités à souper chez un couple d'amis. Bientôt la tension monte et je me retrouve à me masturber devant mon mari et nos hôtes. Mais ça ce n'était que le début. La soirée promettait d'être mémorable. | ||||
Critères: 2couples couplus copains exhib vidéox fmast hmast intermast fellation cunnilingu anulingus 69 fgode préservati pénétratio fsodo québec -libercoup | ||||
Auteur : Mélodie Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Les aventures de Mélodie Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Je m’appelle Mélodie. Je suis dans la trentaine, j’ai des yeux verts qu’on dit magnifiques, une épaisse chevelure brune et ondulée qui me tombe aux épaules, des courbes généreuses, et des seins gros et ronds, que j’adore caresser et lécher.
Je suis une fan de Revebebe. Mon plaisir coupable est de consulter mon site préféré au bureau. J’en deviens tellement excitée, que je dois me rendre ensuite aux toilettes pour me satisfaire. Chaque fois c’est la même chose : je me promène sur le site, à la recherche d’histoires coquines à souhait, et là, bien vite, au fil de mes lectures, je sens l’excitation monter, mes culottes se mouiller et la pointe de mes seins se durcir.
Quand je devine que je suis prête à jouir, je vais à la salle de bain, je baisse mes vêtements en vitesse, et je m’installe sur le siège de la toilette. J’aime voir le jus qui reluit au fond de ma culotte, y frotter mon doigt et le goûter. Ensuite, pour me faire jouir, je place un doigt de chaque côté de mon clitoris et je commence à me caresser avec vigueur. Quelques frictions plus tard, je jouis, c’est certain, en réprimant mes halètements du mieux que je peux.
Je suce alors goulûment mes doigts car j’aime le goût un peu salé de mon jus, puis ensuite je fais pipi, par jets saccadés, comme si l’orgasme revenait à chaque contraction. Parfois aussi, pour varier, je ne fais que relever mon chandail et ma brassière, et je me liche les seins pendant que je me frotte violemment sur le rebord du comptoir en me regardant dans le grand miroir devant moi.
Même si j’adore lire les fantasmes des autres, j’ai le goût moi aussi de vivre l’ivresse, de décrire ce qui m’excite et de savoir que d’autres se masturberont ou feront l’amour en me lisant. J’ai envie d’assouvir ma curiosité sexuelle et de livrer mes fantasmes secrets. De faire comme si c’était vrai : comme si les bouches, les corps, les murmures, les orgasmes, je les vivais vraiment. Comme si tout m’était possible, à moi, Mélodie…
oooOooo
C’était un samedi soir de juin. Nous étions conviés, mon mari Philippe et moi, chez Stéphane et Sylvie, des copains à nous. Nos enfants étaient occupés, et leur fils dormait chez des amis. Pour une rare fois, nous faisions une sortie entre adultes. Je me sentais rayonnante et j’avais mis un temps fou à me préparer. Je portais une petite jupe blanche en tricot et un chandail beige, au décolleté juste ce qu’il faut pour être invitant. Histoire de me gâter un peu, je m’étais acheté aussi de nouveaux dessous, roses et légèrement transparents. Mes cheveux étaient relevés en une haute queue de cheval. Je me sentais belle et mon mari me laissa savoir qu’il appréciait ce qu’il voyait en venant se plaquer derrière moi et en m’embrassant dans le cou. Je calai mon bassin contre lui et glissai ma main entre nos corps pour caresser son sexe par-dessus ses vêtements tandis qu’il empoignait mes seins à pleines mains. Je gémis faiblement et lui dit qu’on pourrait peut-être se permettre une petite, vite avant de partir.
Il y avait longtemps que nous n’avions pas vu Stéphane et Sylvie. Lui, égal à lui-même, était décontracté avec son T-shirt blanc et son bermuda de lin. Il arborait une barbe de quelques jours et ses cheveux bruns étaient en bataille. Pas très grand cependant, il contrastait avec mon mari qui, du haut de ses six pieds, avait un physique imposant. Il avait ses cheveux noirs presque entièrement rasés, pour cacher une chevelure de moins en moins abondante et portait ce soir-là un polo orangé, et des shorts assortis de style maillot de bain.
Quand je saluai Sylvie, je fus soufflée par le sex-appeal qui se dégageait d’elle. Comme moi, de taille plutôt enrobée, elle avait une poitrine généreuse qui était mise en valeur dans son chandail blanc au décolleté plongeant. Sa petite jupe était en coton fleuri rouge et blanc. Avec ses courts cheveux noirs qui encadraient son visage tout en sourire, je la trouvai sublime.
Une conversation animée s’engagea rapidement, et après l’apéritif pris sur la terrasse, à discuter des enfants et à se donner les dernières nouvelles, nous passâmes à la salle à manger pour le repas. L’ambiance était décontractée et chaleureuse. Les coupes de vin se remplissaient aussi vite qu’elles se vidaient, et le repas, une fondue chinoise, était divin.
De fil en aiguille, les blagues salaces firent leur entrée dans les conversations et ces messieurs commencèrent à nous dire combien ils nous trouvaient belles et sexy. Comme Sylvie et moi nous faisions face, il était facile pour nos hommes de nous soutirer un baiser de temps à autre. La discussion en vint à prendre une tournure plutôt inattendue quand Stéphane nous demanda si nous regardions des films pornos de temps à autre. Je regardai mon mari, préférant le laisser répondre. À ma surprise, il y alla franchement.
J’étais sidérée. Et rouge comme une pivoine. Tous les yeux étaient sur moi.
Sans réfléchir, je répondis d’un trait :
Je vis Sylvie regarder son mari d’un petit air affolé, mais il l’ignora et se penchant légèrement en avant, il avoua :
Et sur ce, il se recula sur sa chaise d’un air satisfait. Philippe prit la parole et dit :
Mon mari ne se fit pas prier et il glissa une main sous la table, sous le regard attentif de nos hôtes. Il fit remonter sa main le long de ma cuisse et introduisit un doigt dans le côté de ma culotte. Bien que décontenancée, je regardai mon mari dans les yeux et, prise au jeu, j’écartai légèrement les jambes pour lui faciliter son examen. Il pressa alors son doigt sur ma vulve enflammée et ressortit sa main de sous la table, exhibant son doigt luisant à tous avant de le porter à sa bouche.
Je vis que Sylvie se trémoussait tout doucement sur sa chaise, tentant de passer inaperçue, mais je n’étais pas dupe et je devinais qu’elle aussi était excitée. Nos yeux se croisèrent. Était-elle mouillée autant que moi ? Et elle, avait-elle déjà fait l’amour avec une femme ou bien y avait-elle déjà songé ?
Elle se leva et Stéphane la suivit dans la cuisine sous prétexte de lui donner un coup de main. D’où j’étais, je pouvais voir qu’ils s’étreignaient. D’ailleurs, nous les entendions murmurer et s’embrasser. Des soupirs étouffés nous parvenaient également. Je glissai une main sous la table pour toucher le sexe de mon mari. Je ne fus pas surprise de constater qu’il était dur. J’eus envie de le caresser et grâce à son short à taille élastique, il me fut facile de m’en emparer.
Je débutai un lent mouvement de va-et-vient sur sa verge gonflée. Sa main reprit le chemin emprunté un peu plus tôt, et il se mit à me caresser aussi. Nos lèvres se joignirent tout d’abord en un doux baiser, mais bientôt, nous nous embrassâmes d’un appétit vorace, en se branlant frénétiquement, en attendant le retour de nos hôtes, qui prenaient manifestement bien du temps à préparer le dessert. Quand ils finirent par revenir avec le gâteau, nous nous dégageâmes en vitesse.
Stéphane prit place à table, un léger sourire aux lèvres. J’humai discrètement l’odeur du sexe de mon mari sur mes doigts avant d’y récupérer, d’un petit coup de langue, les gouttes d’excitation qui s’étaient logées sur son gland. Il porta également ses doigts à sa bouche avant de me donner un baiser appuyé, histoire de me permettre de goûter ma liqueur. Faisant mine de n’avoir rien remarqué, Sylvie vint de mon côté déposer un pot de crème.
Stéphane en profita alors pour passer une main sous la jupe évasée de sa femme et lui pincer les fesses. Elle rejeta la tête en arrière en riant nerveusement, et il goba son sein dans sa bouche tout en me regardant. Elle échappa un petit cri de surprise. Je ravalai en mordillant l’intérieur de mes lèvres, les yeux fixés sur eux. Il la relâcha, et je pus voir un filet de salive sur son chandail tandis que ses deux mamelons étaient dressés et bien en évidence à travers le fin tissu. J’aurais voulu moi aussi me saisir de son sein et le mettre dans ma bouche.
Mon mari, devinant sans doute mon trouble, me passa la main dans le cou et les cheveux et déclara que le dessert avait l’air délicieux. Tandis que nous mangions, osant à peine parler, on pouvait apercevoir de temps à autre une main disparaître sous la table de brefs instants. Nous étions tous excités et une tension électrisante régnait dans l’air. Les discussions étaient devenues superficielles et les rires un peu nerveux. Stéphane prit donc la situation en main :
Je passai ma langue sur mes lèvres et dit :
Philippe reprit, sans me regarder :
J’étais sans voix.
Sylvie et moi nous regardâmes, médusées. Philippe prit ma main et l’embrassa. Je me tournai vers lui et il me sourit d’un regard encourageant. Stéphane passa sa main dans les cheveux de Sylvie.
Celle-ci, après un bref coup d’œil à son mari, me regarda puis me dit d’une voix hésitante :
Nos quatre verres s’entrechoquèrent alors, scellant la promesse d’une fin de soirée hors de l’ordinaire.
Nous passâmes donc au salon. J’allai à la salle de bain, histoire de me refaire une certaine contenance et pour me rafraîchir. Je n’arrivais pas à croire à ce qui allait se passer. J’étais très nerveuse, mais je dois avouer que je sentais des petits chatouillements dans mon bas ventre. Mon mari et moi avions souvent évoqué l’hypothèse de réaliser nos fantasmes. On aimait parfois imaginer des scénarios et on se les racontait pour s’exciter en faisant l’amour. Mais de là à passer à l’action…
Néanmoins, l’alcool aidant à faire tomber les inhibitions, je sortis de la salle de bain pour aller rejoindre les autres au salon. Stéphane avait terminé de préparer le DVD et il attendait, télécommande en main. Il était assis de côté sur une des causeuses, une jambe étendue, l’autre par terre, Sylvie accotée contre son torse, une main sur la cuisse de Stéphane, jambes croisées. Mon mari était sur l’autre causeuse, m’attendant. Une douillette avait été placée par-dessus le tapis du salon et le vibrateur trônait dessus. Il était mauve et juste un peu plus gros que le mien. Philippe me tendit un cognac. Je m’installai devant lui et je le bus d’un trait.
Il me prit mon verre des mains et le déposa sur la table. Il m’empoigna les fesses et les pressa fortement. Il fit descendre ma jupe lentement jusqu’à terre mais me laissa ma petite culotte. Je ne sais pourquoi j’eus cette pensée à ce moment, mais je me félicitai d’avoir mis ce soir mes nouveaux sous-vêtements !
J’étais dos à nos hôtes, mais j’entendis le « hum » d’appréciation de Stéphane. Les mains de Philippe se déplacèrent sur mon ventre et remontèrent lentement jusqu’à mes seins. Mes pointes étaient dures. Il se leva alors et fit passer mon chandail par-dessus ma tête. Il me tourna alors vers eux, m’embrassa dans le cou et ses mains chaudes coururent de mes seins à ma taille, m’offrant au regard de nos amis. Ceux-ci admiraient le spectacle sans bouger, les yeux avides.
Sylvie sembla vouloir dire quelque chose, mais resta sans voix. Je détournai la tête pour embrasser Philippe à pleine bouche, puis je me dirigeai sur la douillette et fis signe à Stéphane pour qu’il parte le fameux film. Je me couchai par terre, les jambes relevées et légèrement écartées, mes mains se promenant doucement sur mes cuisses, un peu gênée mais fébrile. Mon cœur battait la chamade. C’était complètement surréaliste : j’étais étendue en sous-vêtements sexy, devant mon mari et un couple d’amis, m’apprêtant à me donner en spectacle devant eux.
Et dire que quelques heures plutôt, on prenait l’apéro en se donnant des nouvelles de nos enfants ! Quand Stéphane mit finalement le film en marche, je pris une longue inspiration et tentai de m’imaginer dans mon propre salon, me masturbant pour Philippe.
Dans la première scène, Sylvie était couchée langoureusement dans sa baignoire, en train de se savonner. Il y avait des chandelles, beaucoup de chandelles, suffisamment pour assez bien éclairer la pièce. Grâce au grand miroir sur le mur du fond, on pouvait voir Stéphane, assis sur le siège des toilettes, se branlant d’une main et filmant Sylvie de l’autre. Il était complètement nu. Je le trouvai très beau et j’aurais bien aimé voir son pénis de plus près. La caméra fit un zoom sur la poitrine de Sylvie. Elle se savonnait doucement les seins, faisant mousser le savon de ses mains, ses pointes brunes bien en évidence. Elle était belle et appétissante.
Oubliant que trois paires d’yeux me regardaient, ou peut-être en en étant pleinement consciente, j’empoignai mes seins en cambrant mon bassin. J’enlevai ma brassière de dentelle rose et continuai à me les caresser, les frottant l’un contre l’autre en regardant Sylvie gémir dans son bain. C’était bien plus excitant qu’un film porno du club vidéo ! Ici, pas de seins refaits, pas de mise en scène, pas de simulation. Non, une femme sublime, aux courbes alléchantes, voulant plaire à son mari, se laissant aller pour lui devant la caméra. Quand elle sortit une jambe sur le côté de la baignoire et qu’elle commença et se passer le doigt en regardant l’objectif droit dans les yeux, une chaleur m’envahit, car j’eus l’impression qu’elle le faisait pour moi.
Je le mis en marche et me frottai la vulve très fort par-dessus ma petite culotte en gémissant. Le tissu mouillé s’insérait entre mes lèvres. Après quelques minutes de ce manège, voulant enfin le contact direct du membre vibrant sur ma peau, j’enlevai en vitesse l’encombrant sous-vêtement, leur dévoilant ma fine toison noire. Je recommençai à me frotter, portant parfois le vibrateur à ma bouche pour bien profiter de mon jus.
Sur les causeuses, je pouvais constater que la température montait. Philippe avait maintenant la main dans son short et se masturbait, son autre main sous son chandail, caressant probablement ses mamelons, ses yeux passant de l’écran au sol, puis du sol à la causeuse de nos amis. C’est vrai qu’ils offraient un tableau magnifique : Sylvie avait les mains derrière le cou de Stéphane, ondulant son corps contre lui, exhibant du coup sa poitrine opulente à nos regards voyeurs tandis que son mari l’embrassait dans le cou et lui pétrissait les seins.
Vraiment excitée par tout ce qui m’entourait et voulant jouir, je me tournai sur le ventre, ma position préférée pour me masturber. Je décidai que si Sylvie acceptait qu’on la regarde jouir ainsi sur grand écran, partageant avec nous ce moment d’intimité qu’elle avait eu avec son mari, je pouvais également me laisser aller comme je le ferais à la maison. Je me frottai donc sur le vibrateur de Sylvie, que je tenais fermement à deux mains, profitant de chaque sensation que me procurait mon plaisir.
Quand l’orgasme vint, puissant et fulgurant, je gémis dans une longue plainte, fermant les yeux et serrant mes jambes très fort sur le vibrateur, pour faire durer le plus longtemps possible ce moment parfait qui s’appelle l’extase. J’avais les sens tellement aiguisés que j’avais l’impression qu’ils gémissaient tous les trois à mes oreilles. Lorsque la vague eut quitté mon corps, je relâchai le vibrateur et me retournai sur le dos, essoufflée et la vulve en feu.
J’imagine que j’aurais dû alors me relever et aller le rejoindre, mais j’avais, tout compte fait, aimé me faire jouir devant eux en regardant Sylvie à l’écran. Comme de toute évidence les autres aussi semblaient toujours allumés, je regardai Sylvie et lui dit :
Stéphane ne se fit pas prier et il ôta le chandail puis la brassière de Sylvie. Elle se leva alors pour enlever le reste, ne semblant pas remarquer que nous bavions tous devant son corps voluptueux. Quand elle fut entièrement nue, elle dit :
Mon mari et Stéphane se levèrent donc et enlevèrent leurs vêtements. Ils étaient superbes, avec leur pénis bien durs. J’étais déjà en train de me doigter quand ils reprirent leur place sur les causeuses et que Stéphane mit une autre scène. Cette fois, Stéphane enduisait les seins de Sylvie de crème fouettée afin qu’elle puisse déguster sa poitrine. Avec un appétit vorace, elle lichait la crème faisant de petits bruits de succion et exprimant son plaisir.
Je me caressais de mes deux mains. Enivrée par le spectacle, je portai mes seins à ma bouche, m’imaginant lui léchant les siens. Je tournai la tête et je vis que Stéphane et elle se faisaient maintenant face sur la causeuse, se masturbant l’un l’autre, leurs regards rivés sur moi.
Même si je sais que je suis loin d’avoir un physique de rêve, j’ai toujours été fière de ma poitrine généreuse. Je suis aussi convaincue que le sex-appeal que l’on dégage a beaucoup plus à voir avec la confiance en soi qu’avec la beauté au sens propre. Selon moi, si je me sens belle, c’est comme ça que risquent de me percevoir les autres. Et ce soir je me sentais belle. Belle et sexy.
Sylvie était à présent sur la table de cuisine, jambes ouvertes, et se pénétrait avec le vibrateur. Sa vulve était rasée presque complètement, comme maintenant. Stéphane, nu et bandé, était assis sur une chaise devant elle et la filmait en gros plan. On pouvait voir le vibrateur entrer entièrement et ressortir en aspirant ses lèvres, et son jus qui coulait jusque sur ses cuisses. Elle râlait de plaisir. Elle lui disait que c’était bon. Lui l’encourageait et lui disait qu’elle le rendait fou de désir. J’aurais voulu licher le jus sur ses cuisses luisantes. D’ailleurs, sans m’en rendre compte, je réalisai que je tendais la langue vers l’écran. Philippe me dit :
Pour toute réponse, j’écartai largement mes jambes et entrepris de me pénétrer avec le vibrateur. Je gémissais en soupirant. Le vibrateur glissait facilement tellement j’étais mouillée. Je n’eus pas de mal à jouir encore. Stéphane ramena Sylvie contre son torse et me dit :
Je regardai vers mon mari, qui me fit signe d’y aller. Depuis le temps qu’il rêvait de me voir embrasser une femme, c’était vraiment inutile de chercher son approbation sur ce coup là ! Je pris donc place devant elle, mes jambes de chaque côté de sa cuisse, et elle enserra ma taille. Puis, saisissant son visage de mes mains, j’approchai ma bouche entrouverte, la regardant dans les yeux. Stéphane promenait sa langue dans l’oreille de Sylvie, la mordillant et lui murmurant combien elle aimerait ça. Philippe, quant à lui, s’était levé pour s’approcher et profiter du spectacle de près, toujours en se branlant.
Lorsque nos bouches se joignirent enfin, il n’y eu ni hésitation, ni pudeur. Nous étions toutes les deux affamées l’une de l’autre. Excitées par nos maris qui nous admiraient, nous nous abandonnâmes à notre désir. Nos langues et nos lèvres se dévoraient littéralement. C’était comme mordre un fruit d’été juteux à souhait. Quand nous finîmes par prendre quelques secondes pour reprendre notre souffle, je n’avais qu’une idée en tête, goûter ses seins. Ma bouche descendit lentement de sa gorge à ses deux globes bien ronds. Elle se cala contre son mari pour me faciliter la tâche. Ma bouche, curieuse, dégustait toute cette chair, lichant, caressant, aspirant, suçant, passant d’un sein à l’autre. Sa peau était parfumée et son odeur épicée m’enivrait. On entendait la respiration saccadée de Sylvie et les bruits de succion de ma bouche. Stéphane, la voix rauque d’émotion, finit par nous dire :
Philippe s’approcha de nous et après s’être regardées toutes les deux en souriant, nous commençâmes notre fellation. Nos bouches montaient et descendaient lentement de chaque côté de sa queue. Nos mains flattaient ses fesses, ses bourses, ses cuisses. Il nous caressait les cheveux en nous disant que nous étions merveilleuses. Stéphane nous embrassait dans le cou et le dos, baladant ses mains sur nos corps, en répétant que nous étions les plus belles cochonnes qu’il n’avait jamais vu. Nos langues se cherchaient tout en rendant hommage au pénis gonflé à souhait de mon mari. Je levai les yeux vers lui un moment et son regard extatique m’emplit d’une chaleur amoureuse. Ce fantasme, nous le partagions depuis si longtemps ! Il gémissait sans retenue. Il ne voulait cependant pas jouir tout de suite. Il se recula et se pencha pour nous embrasser chaudement l’une après l’autre. Il nous dit qu’il souhaitait maintenant qu’on se couche toutes les deux par terre car il voulait nous voir nous faire l’amour.
Nous prîmes donc place sur le sol et nos hommes s’assirent de chaque côté de nous. Qui devait faire quoi ? Je ne me posai même pas la question, j’écoutai mes envies. Je me couchai sur Sylvie, et après l’avoir longuement embrassée, je me mis à onduler mon bassin contre le sien, tout en continuant de l’embrasser. Sa bouche était douce. J’avais une main derrière sa nuque et de l’autre, je parcourais son corps. Le galbe de ses seins, ses pointes dressées, ses fesses rondes, tout en elle dégageait la sensualité.
Elle était aussi excitée que moi. Je sentais nos jus se mélanger et nos clitoris se frotter. Les pointes durcies de nos seins se frôlaient au gré des va-et-vient. Elle enserrait mes fesses de ses mains pour accentuer la pression de nos corps. C’était notre première fois toutes les deux avec une femme, et je crois que sans avoir eu à se le dire, nous avions décidé de nous abandonner et de vivre cette expérience pleinement.
Quand elle enroula ses jambes autour de moi, poussant un cri, je me laissai aller aussi et nous jouîmes toutes les deux, en nous serrant dans les bras l’une de l’autre, nos vulves trempées, sensibles et frémissantes après le plaisir. Nous restâmes ainsi quelques instants, puis nos maris respectifs manifestèrent qu’ils avaient envie de jouir eux aussi.
Stéphane attira Sylvie vers lui et la pénétra illico en missionnaire. Philippe me dit de me retourner et affamé, me prit en levrette.
Déjà, à notre gauche, le râle de Stéphane nous indiqua qu’il venait d’atteindre son plaisir. Il n’en fallait pas plus pour que Philippe jouisse à son tour. C’est que nos hommes se retenaient depuis longtemps ! Quand nos corps se furent finalement apaisés, une certaine gêne s’installa de part et d’autre du salon. Blottie chacune dans les bras de nos maris, nous n’osions pas trop nous regarder, Sylvie et moi. Soudain, notre nudité nous rendait vulnérables. Mon mari déposa un baiser dans mes cheveux et me regarda en souriant d’un regard rassurant. Stéphane fit de même avec Sylvie et dit :
Ses paroles détendirent l’atmosphère et nous rîmes en chœur. Nous nous levâmes pour nous rendre sur la terrasse couverte et à l’abri des regards indiscrets. Stéphane alla à la cuisine et vint nous rejoindre avec le champagne.
Dans le jacuzzi, chaque couple se faisait face. Le champagne aidant, l’ambiance redevint bientôt amicale et joyeuse. Outre le fait que nous étions nus, rien ne trahissait ce qui s’était déroulé au salon. Nous abordions des sujets sans allusions aucune à propos du sexe. Puis, Philippe glissa dans la conversation, comme si de rien n’était :
Stéphane ajouta :
Nos hommes avaient un sourire béat sur les lèvres, se remémorant probablement leurs femmes se chevauchant.
Mon mari m’embrassa dans le cou.
Sylvie prit la parole et ajouta :
Décidément, l’abus de champagne se révélait l’excuse idéale pour se permettre d’aller au bout de nos fantasmes !
En guise de réponse, il s’assit sur le rebord du jacuzzi et dit tendrement à sa femme :
Elle se pencha vers lui, les fesses maintenant hors de l’eau, et se mit alors à le sucer. D’un regard entendu, Philippe et moi nous approchâmes. Je sortis du jacuzzi et allai m’agenouiller près de Stéphane. Je commençai à l’embrasser, tout en caressant les cheveux de Sylvie qui s’activait sur le pénis de son mari. Son membre était plus long que celui de Philippe, mais moins large.
Philippe, s’installa derrière Sylvie. Il se pencha et entreprit de manger ses appétissantes fesses bien rondes. Elle gémit et murmura un faible « oui », l’incitant à continuer. Stéphane s’empara d’un de mes seins, et le prit dans sa bouche. Son autre main commença à fouiller ma chatte humide tout d’abord de deux doigts, puis bientôt de trois. Je gémissais de plus en plus fort. Sylvie, autant excitée par la pipe qu’elle donnait à son mari que par la langue du mien maintenant dans son petit trou que j’imaginais dilaté, me pinçait fortement les fesses.
Stéphane, craignant de jouir, demanda à Sylvie d’arrêter et lui dit qu’il était maintenant temps qu’elle se couche par terre pour se faire gâter par Philippe et moi. Elle s’étendit donc et mon époux vint se placer en sens inverse, par-dessus elle. Leurs bouches et leurs langues commencèrent leur exploration du sexe de l’autre. Je ne savais plus si je devais me joindre à eux ou les laisser faire seuls. Mon mari leva alors la tête et me dit :
Je me couchai sur le ventre, les fesses dans les airs, et je m’approchai entre les jambes écartées de Sylvie. Philippe m’embrassa. Ses lèvres et sa langue étaient déjà gluants du jus de Sylvie. À ce contact, un frisson de désir me parcourut. Philippe s’empara ensuite de son clitoris, tandis que je promenais ma bouche curieuse partout sur sa chatte et dans chaque repli, aspirant goulûment sa liqueur abondante. Je me sentais gourmande. Ce fantasme, de goûter le sexe d’une femme, je l’avais souvent imaginé. Mais là, ce n’était plus une chimère, ce n’était plus mon propre jus que je lichais sur mes doigts, en m’imaginant manger une femme, c’était réel. Une liqueur différente de la mienne, une odeur différente de la mienne. C’était sa peau, son jus, son parfum. Et j’aimais ça.
Stéphane, qui s’était absenté le temps d’aller chercher des préservatifs, s’installa derrière moi, enfila un condom et me pénétra sans ménagement. Je ne pus réprimer un grand « Ah oui ». Je lichais maintenant Sylvie à grands coups de langue, tout en la doigtant. Elle se tortillait sous nos assauts. Philippe avait les yeux grands ouverts, en voyeur qu’il était, ne voulant rien manquer du spectacle. Il gémissait sous les caresses expertes prodiguées par la bouche de Sylvie.
J’approchai ma langue afin que nous puissions tous les deux honorer le clitoris de notre belle. Nos langues entremêlées se pressaient contre le bouton dressé et rosi. Elle eut un orgasme retentissant, faisant du coup jouir nos deux hommes, Philippe dans la bouche de Sylvie, Stéphane au fond de moi dans son condom. Philippe et moi nous embrassions, emprisonnant le clitoris de Sylvie de nos langues, se partageant son jus sucré. Stéphane m’ayant pénétré tout ce temps à un rythme d’enfer, je me sentais les jambes flageolantes. Nous nous écartâmes doucement en prenant place les uns à côté des autres, Philippe, moi, Sylvie et Stéphane.
Cette fois, il n’y eut ni gêne, ni malaise. Après tout, nous étions quatre adultes consentants, profitant d’une occasion exceptionnelle de vivre une aventure unique. Je mis une main sur sa cuisse et j’embrassai Sylvie. Puis je me tournai vers mon mari et je l’embrassai à son tour. Sylvie et Stéphane s’embrassèrent aussi. Elle avait également posé une main sur ma cuisse. Philippe étira un bras pour lui caresser un sein. Je sentis bientôt une des mains de Stéphane sur moi. Sylvie et moi alternions nos baisers, de nous à nos époux. Les mains se promenaient d’un corps à l’autre. Quatre corps, collés les uns aux autres, échangeant caresses et baisers. Le temps semblait en suspension. Les mains se baladaient, les bouches se savouraient. Murmures et soupirs rivalisaient.
Puis, Sylvie et Philippe, entreprirent de me manger les seins. Sur l’un d’eux, je sentais la joue rugueuse de mon mari, tandis que sur l’autre, la peau de velours de Sylvie. Quelle dualité délicieuse ! Stéphane, son corps pressé contre celui de sa femme, empoigna ma vulve dans sa main, la pétrissant fermement entre ses doigts, provoquant une sensation terriblement excitante. Je poussais mon bassin vers l’avant, pour lui signifier de ne pas arrêter. J’avais les yeux rivés sur mes deux partenaires, qui avaient maintenant approchés mes seins l’un contre l’autre, mes mamelons se touchant, eux s’embrassant tout en les lichant avidement. Je pouvais voir les yeux de mon mari ivre de désir pour la belle Sylvie qui semblait elle aussi au même diapason.
Curieusement, je n’étais pas jalouse, je trouvais ça plutôt très érotique. Je mouillais de voir leurs langues se mélanger et s’enrouler autour de mes mamelons dressés. Et puis je dois dire que j’avais de mon côté furieusement envie d’embrasser Stéphane. Je lui dis et il vint se placer en oblique près de ma tête pour pouvoir m’embrasser. Tandis que je goûtais sa bouche chaude, Sylvie et Philippe cessèrent de s’occuper de moi, pour carrément s’embrasser eux aussi. Ensuite, ils commencèrent à me masturber. Sylvie me doigtait, et Philippe introduisit un doigt dans mon cul, après l’avoir enduit de mon jus. Stéphane s’installa près de moi, assis sur ses talons, pour que je puisse le sucer. Son membre était encore flasque, épuisé de tous les ébats vécus jusqu’à présent, mais sous ma bouche gourmande, je sentis tranquillement qu’il reprenait du service.
J’avais une image en tête qui m’excitait et je ne savais pas si je devais la dire aux autres. J’avais irrésistiblement le goût de sucer nos deux hommes en même temps. J’avais envie de promener ma langue d’un gland à l’autre, et même de frotter leur gland l’un contre l’autre. Sans m’en rendre compte, je lâchai un cri plaintif. Mon mari devina que ce cri cachait sans doute un peu plus que le plaisir qu’ils étaient en train de me donner.
J’interrompis alors ma succion sur le pénis de Stéphane et je leur avouai que j’aimerais beaucoup les sucer tous les deux en même temps. Sylvie dit qu’elle aimerait bien être spectatrice, et qu’elle allait se donner du plaisir avec son ami le vibrateur en nous regardant tous les trois.
Elle s’installa donc dans un coin, arme en main, jambes écartées. Les hommes se levèrent, et agenouillée devant eux, une queue dans chaque main, j’entrepris de les sucer à tour de rôle. J’étais affamée et ma bouche se refermait avidement autour de leur membre dur. Déjà des gouttes de plaisir s’écoulaient au bout de leurs pénis, que je prenais plaisir à goûter. Quand je leur dis d’avancer un peu plus, je pus alors mettre leur queue assez près l’une de l’autre et les prendre en même temps dans ma bouche. Je suçais, je lichais, ils disaient que c’était bon, de ne pas m’arrêter. Sylvie gémissait, le vibrateur bien au fond d’elle.
Je sentais que mon jus inondait ma vulve. Je décidai d’aller jusqu’au bout de mon fantasme et je me mis à frotter leurs glands l’un contre l’autre. Ils semblèrent étonnés un moment, mais ils se laissèrent aller et leurs gémissements m’indiquèrent qu’ils appréciaient cette caresse interdite. Tout en continuant de frotter leurs glands ensembles, je les titillais de ma langue. Bientôt, ils furent prêts à exploser, crachant leur sperme sur mes seins.
Je n’ai jamais été une adepte du goût du sperme, mais il semblait qu’au contraire, au grand plaisir de nos hommes, Sylvie en raffolait. Elle s’approcha donc et s’activa à nettoyer de sa bouche leur queue l’une après l’autre. Elle vint alors se coucher sur moi et elle me licha les seins à grands coups de langue, avalant le sperme de nos hommes. Ensuite elle m’embrassa de sa bouche pleine. Voulant ensuite me rendre les mêmes hommages que je lui avais offerts en début de soirée, elle commença à onduler sa vulve contre la mienne. C’était chaud et doux. Nous étions toutes les deux très mouillées. Nos maris nous encourageaient à nous donner du plaisir. J’adorais l’embrasser, et promener mes mains sur elle. Nous prenions notre temps, savourant ces instants exquis. Puis elle se mit à se frotter très vite et très fort, cherchant le plaisir suprême. Nous atteignîmes l’orgasme l’une après l’autre, en criant et en s’étreignant.
Quand elle se coucha sur le dos à côté de moi, me prenant la main, nous étions encore essoufflées. Nos corps étaient en sueur et nos sexes trempés. Même nos cuisses étaient couvertes de nos liqueurs mélangées. Nos maris étaient assis face à nous. Il était évident qu’ils avaient adoré nous regarder faire l’amour. Leur pénis avaient repris signe de vie. Stéphane branlait le sien lentement et Philippe se flattait les testicules.
Nous les regardions en souriant, nos mains toujours liées.
Ils se firent un signe entendu en riant, puis je vis Stéphane se déplacer et se diriger tête première entre mes jambes. Philippe fit de même avec Sylvie. Je me tournai vers Sylvie en lui disant :
Stéphane releva la tête et me dit d’une vois rassurante :
Puis, elle reprit à l’adresse de mon mari :
Il entreprit donc de la manger tout en lui pétrissant les seins. Je voyais qu’il se frottait à même le sol pour maintenir son érection. Sylvie tournait la tête de tous côtés, murmurant des « ouiii » et soupirant fort. J’étais fascinée de la voir jouir ainsi de la bouche de mon mari.
Stéphane lui, avait pris mes fesses dans ses mains et m’embrassait l’intérieur des cuisses. C’était terriblement bon. Sa bouche et sa langue brûlaient ma peau. Il alternait d’une cuisse à l’autre. Ses baisers, d’abord doux et légers, étaient maintenant pressants. Il ne me mordait pas, mais me faisait des longues succions. Ensuite, il frottait sa barbe forte contre ma peau. Ma respiration était saccadée.
Pour toute réponse, il ouvrit mes lèvres de ses doigts et il enfouit sa langue à l’intérieur de moi, me pénétrant de petits coups secs. Son nez accotait sur mon clitoris à chaque mouvement de sa tête. Nos cris, à Sylvie et moi, témoignaient sans aucun doute de la compétence de nos amants.
Quand les hommes eurent achevé leur tâche, nous découvrîmes que cet exercice n’avait pas altéré leur vigueur, bien au contraire. Ils semblaient déterminés à profiter au maximum de cette nuit magique, où tout était permis. Sylvie proposa cependant une petite pause jacuzzi. Elle alla à la cuisine, ramenant vin, fromage et raisins, histoire de refaire le plein. Nos hommes perdirent leur érection mais ils admirent que tous ces ébats leur avaient creusé l’appétit. La petite collation fut donc la bienvenue. Nous étions relaxes. J’étais collée sur mon mari et Sylvie sur le sien. Nous échangions avec nos époux des regards tendres et amoureux. Comme pour se dire, ce n’est qu’une expérience, et nous la vivons ensemble.
Une fois rassasiée, je sentis le désir revenir. Je pivotai donc pour m’asseoir en amazone sur mon mari, face à lui. Je l’embrassai, tout en caressant son torse. Il pressa mes seins, empoigna mes fesses.
Sylvie était aussi assise face à Stéphane, l’embrassant. Ils se chuchotaient des choses qui semblaient drôlement les exciter. Ma main se dirigea sur le sexe de mon mari.
Je cambrai mon corps vers l’arrière, sa bouche courut sur mon cou, sur mes seins.
Je l’embrassai sur la bouche, puis je me levai pour me diriger vers notre couple d’amis, enlacés. Arrivée devant eux, je m’assis à leur côté. Ils me regardèrent en souriant.
Son mari se pencha pour se joindre à notre baiser. Philippe se leva et s’approcha de nous. Nous l’embrassâmes à son tour. Nos quatre corps agglutinés, nos langues se butinant, c’était terriblement excitant. Je me défis cependant de leur étreinte pour m’étendre et m’offrir à la bouche de Sylvie. Elle s’installa par-dessus-moi, en 69. Sa bouche s’empara de ma chatte, en aspirant et en faisant des mouvements de va-et-vient. Je poussais mon bassin vers elle. Le désir était présent partout dans mon corps. J’écartai ses deux fesses de mes mains, et commençai à licher tout le pourtour de son anus. Puis doucement, j’entrepris de titiller son petit trou. Comme par magie, je le vis se détendre. Excitée, j’y entrai ma langue et la poussai en la tournoyant. Elle gémissait. Je gémissais aussi car elle me mangeait vraiment bien, et je me sentis jouir dans sa bouche. Lorsqu’elle eut pris toute la liqueur que je lui offrais, elle s’installa face contre terre, les fesses bien hautes et dit à mon mari :
Il ne se fit pas prier et après avoir mit un condom, il entreprit d’entrer doucement sa verge tendue dans le trou dilaté de Sylvie. Il commença à aller et venir lentement, mais elle l’intima d’y aller plus fort. Il accéléra alors la cadence, le visage crispé d’excitation, ralentissant de temps en temps pour ne pas venir trop vite.
Pendant ce temps, Stéphane, qui s’était couché sur le dos juste à côté d’eux, m’avait fait signe d’approcher. Je lui enfilai un préservatif après avoir donné quelques coups de langue sur son pénis bien dur, puis je m’empalai sur lui. J’avais l’impression que sa queue chatouillait le fond de mes entrailles. Il guidait notre rythme en soulevant mes hanches. Nos cris à tous se confondaient. Stéphane me dit alors :
J’allai en vitesse chercher le vibrateur au salon et revins près de Stéphane. Il avait enlevé son condom et m’attendais, sur le dos, jambes écartées. Je me couchai à plat ventre, mis le jouet en marche et le glissai sous moi. Je commençai à me frotter sur le vibrateur tandis que je promenais ma bouche sur les testicules et le périnée de Stéphane. Je me mis à amuser le tour de son anus, alternant succions et caresses avec le bout de ma langue. Puis je glissai ma langue à l’intérieur de son trou, en faisant des va-et-vient. Il se branlait pendant ce temps.
À côté de nous, Philippe s’était retiré et Sylvie s’était couchée sur le dos. Il la doigtait avec vigueur. Elle se mangeait les seins. Il était toujours bandé et je savais que mon mari allait certainement remettre son pénis dans le cul de son amante bientôt. Il voulait être sûr qu’elle prenne tout son plaisir avant de jouir à son tour.
L’anus de Stéphane se dilatait sous les coups de ma langue. Je décidai d’introduire un doigt dans son cul maintenant ouvert devant moi. Il me demanda d’en mettre un autre et de ne pas le ménager. Je le fis, voulant répondre à ses attentes. Il se branlait pendant ce temps et me disait que c’était bon. Excitée, je me frottai le plus fort possible sur le vibrateur de Sylvie. Quand je vis Philippe s’installer et lever les jambes de Sylvie dans les airs, je sus qu’il était prêt à aller jouir dans son cul. Je dis alors à Stéphane :
Il alla donc présenter sa queue à sa belle Sylvie. Celle-ci râlait de plaisir à chaque coup de hanche de mon mari. Il y allait fort et elle semblait drôlement apprécier de se faire défoncer le cul ainsi. Elle réussissait malgré tout à prendre le pénis de son mari dans sa bouche entre deux plaintes de plaisir. Stéphane lui, se branlait vigoureusement, gémissant chaque fois que la bouche de Sylvie s’emparait de son gland. J’étais grisée par la scène qui se déroulait devant moi. Comme j’avais maintenant mes deux mains pour me masturber à mon goût, je me donnai rapidement un orgasme. Je continuai néanmoins à me démener sur le vibrateur, cherchant à jouir encore. Les cris, les gémissements et les râles se répondaient. Je ne peux dire qui atteignit l’orgasme avant qui, mais chose certaine, nous prîmes tous un pied d’enfer.
Cette fois, le plaisir eut raison de nous. Nous étions complètement exténués et avions le sentiment d’avoir été jusqu’au bout de cette incroyable aventure. Les mots n’étaient pas nécessaires. Nos sourires complices suffisaient. Cette soirée serait emmagasinée dans nos souvenirs. Après les derniers baisers échangés et les dernières étreintes données, mon mari et moi repartîmes en souriant, main dans la main, vers notre vie.