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Temps de lecture estimé : 15 mn
30/03/10
Résumé:  Un après-midi de magasinage avec mon amie Sylvie tourne en orgie féminine lorsque la vendeuse nous offre son aide particulière.
Critères:  fh fff essayage exhib lingerie intermast cunnilingu fgode jouet québec -bisex
Auteur : Mélodie      Envoi mini-message

Série : Les aventures de Mélodie

Chapitre 02 / 02
Shopping entre filles

Résumé de l’épisode précédent :


Mon mari Philippe et moi sommes un couple assez conventionnel : mariés depuis longtemps, pataugeant entre famille et boulot. Un soir d’été, un couple d’amis nous invite à souper. Au fil des discussions, mon mari leur confie qu’il nous arrive de regarder des films pornos à l’occasion et que j’aime bien me donner du plaisir devant lui durant ces visionnements. Confidence pour confidence, notre ami avoue filmer sa femme tandis qu’elle aussi se masturbe. Nos maris proposent donc que nous regardions le film maison de Stéphane et Sylvie tandis que je me masturberai. La soirée prend donc une tournure inattendue et dégénère rapidement en partie à quatre, une première pour mon mari et moi. C’est aussi l’occasion pour moi de découvrir le sexe avec une femme.


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Depuis notre aventure avec notre couple d’amis Sylvie et Stéphane, mon mari et moi vivons en quelque sorte, une renaissance conjugale. Comme bien des couples mariés depuis longtemps, nous avions auparavant des relations hebdomadaires certes, mais somme toute assez routinières. Cette petite incartade nous a donc permis d’insuffler un vent nouveau dans notre vie intime. Nous faisons maintenant l’amour plus souvent, en essayant de pimenter nos ébats.


Mon mari a évidemment beaucoup aimé me voir faire l’amour avec Sylvie. Fantasme suprême des hommes direz-vous, en tout cas fantasme ultime de mon mari ! Il me demanda donc un beau jour, alors que nous étions au lit, si j’aimerais répéter l’expérience.



Bien sûr, à entendre ces paroles, il m’était facile de repenser à ce que j’avais vécu avec Sylvie. Et j’étais si mouillée que je pouvais difficilement lui faire croire que je n’avais pas aimé ça tant que ça…



Je dois dire que j’y avais moi-même pensé, cependant j’avais tenté de chasser cette idée de ma tête, ne voulant pas nuire à mon couple. Mais là, c’était mon mari qui était en train de m’offrir – non en fait, de me demander ! – d’avoir une aventure avec Sylvie. Terriblement excitée à l’idée de refaire l’amour avec elle, je plaquai mon mari sur le dos pour m’empaler sur son sexe dressé.



Le lendemain, un vendredi, j’en profitai alors que j’étais seule à la maison pour téléphoner à Sylvie. Elle sembla ravie de me parler et nous discutâmes un bon vingt minutes pour s’échanger des nouvelles de nos familles et de notre travail. Il y avait bientôt deux mois depuis le petit souper chez eux. Je finis par lui demander si elle aimerait qu’on fasse une petite virée shopping, entre filles. Elle accepta d’emblée. Après avoir vérifié nos horaires, nous convînmes de nous retrouver le lendemain pour le lunch. Quand Philippe entra du travail, je pris un air désinvolte et lui dit :



Ce soir-là, il me fit l’amour en me prenant fougueusement. Au matin, il ne me fit pas d’allusions à la journée qui se dessinait, mais il me complimenta sur ma tenue lorsque je fus prête à partir. J’avais effectivement mis le paquet pour être à mon avantage : petite robe d’été jaune soleil, boutonnée devant, juste au-dessus du genou. Mes cheveux étaient libres sur mes épaules, un simple bandeau dégageant mon visage. Il m’embrassa tendrement en m’enlaçant, et je sentis au travers de son pantalon qu’il avait une érection. Je lui souris amoureusement et il me souhaita une bonne journée en me donnant un dernier baiser.


J’arrivai la première au restaurant, un petit bistro situé dans le centre commercial. Je commandai un verre de vin blanc en attendant Sylvie. Elle se pointa bientôt, sublime dans son bustier marine zippé dans le dos et son capri blanc. Je me levai pour l’accueillir. Nous nous fîmes la bise sur les joues, comme toutes bonnes copines, déblatérant les salutations d’usages : « Je suis contente de te voir, tu as l’air en forme », etc. Nous étions un peu mal à l’aise, mais tentions de le camoufler. Elle se commanda un verre de vin blanc elle aussi, puis nous consultâmes le menu. Le plat du jour, soupe, croque-monsieur et salade, nous convenait. On se coupait presque la parole tellement nous avions peur que le silence ne s’installe. Puis j’osai lui demander :



Nous rîmes toutes les deux et je lui répondis en la regardant dans les yeux que Stéphane avait fait un excellent choix. Elle soutint mon regard, et je sentis une chaleur me parcourir.



Le reste du dîner se déroula dans une drôle d’ambiance. Le stress des retrouvailles était tombé et avait été remplacé par un désir palpable qui enveloppait notre bulle. Je voyais qu’elle ne pouvait détacher ses yeux de mon décolleté et j’avais peine moi aussi à la regarder en face. Quand la serveuse arriva avec les factures, je dis à Sylvie que je l’invitais, et nous quittâmes le resto dès que j’eus payé. Nous commençâmes ensuite notre magasinage par un arrêt dans un magasin grande surface, pour courir les spéciaux. La tension tomba donc quelque peu. Puis, Sylvie me dit :



Comme nous allions entrer dans la boutique, la commis installait une pancarte indiquant « De retour à 14 h 00 ».



Voyant notre air déçu, elle paru réfléchir un instant puis nous proposa :



Sur ce, elle ferma la boutique à clef derrière nous. J’eus une pensée furtive pour mon mari. Dans ses fantasmes, il y avait souvent la scène où il m’imaginait en train de baiser avec la vendeuse. Je souris intérieurement en me disant que ces choses là n’arrivent que dans les films. Elle alla chercher son lunch et s’installa à la caisse pour manger, en nous disant de ne pas se gêner pour lui demander de l’aide. Pour contrer le malaise qui était soudain réapparu, nous fîmes donc un premier tour des modèles exposés chacune de notre côté. J’avais beau regarder, rien ne me tombait dans l’œil. En fait, pour être honnête, je crois que j’étais plus concentrée à essayer d’imaginer le corps voluptueux de ma copine dans les vêtements que je regardais, plutôt qu’à me voir les portant. C’est alors que je tombai sur un soutien-gorge à balconnets en dentelle rouge, presque transparent, et je sus qu’il était fait pour Sylvie.



Elle arriva prestement, tenant dans ses mains une nuisette noire diaphane, que je devinai être pour moi.



J’avais dangereusement envie de les toucher, ces seins ronds et pleins, mais je constatai que la vendeuse avait les yeux rivés sur nous.



Elle me montra alors la nuisette noire qu’elle tenait dans ses mains. Elle était entièrement translucide et était accompagnée d’une petite culotte tout aussi révélatrice.



La vendeuse se leva alors de sa chaise et se dirigea vers nous. Elle balançait ses hanches en marchant. Sa chevelure, ondulée et abondante, était rousse et lui tombait à la moitié du dos. Elle portait une mini jupe de cuir noir et un chandail blanc, très ajusté. Son soutien-gorge de dentelle blanc ressortait de son interminable décolleté. Sa taille était fine, ses fesses rebondies, et elle avait des seins énormes. Arrivée à notre portée, elle nous dit de sa voix enjouée :



Nous nous dirigeâmes donc vers les cabines. Nous en choisîmes deux situées au bout du corridor. Elles se faisaient face et étaient près d’un grand miroir à trois côtés. J’entrepris de déboutonner le devant de ma robe. S’attendait-elle à ce que je parade devant elle dans ma nuisette ? Devais-je lui demander de me montrer si sa brassière lui allait bien ? J’étais à peu près certaine qu’elle aussi avait envie de moi, mais comment en venir sur ce terrain ? La dernière fois, lors du souper chez eux, nos époux avaient tout orchestré et l’alcool avait eu raison de notre pudeur. Mais là, nous étions seules toutes les deux, confrontées à notre désir. C’était assez intimidant. Soudain j’entendis un « merde » excédé.



Elle s’était avancée au centre de l’allée, face au miroir. Je m’installai derrière elle et entrepris de dégager sa fermeture. Juste de frôler sa peau me fit tressaillir. Quand j’eus réussi à la décoincer, au lieu de l’informer que c’était maintenant correct, je fis descendre le curseur tout doucement. Nous étions silencieuses, les yeux fixés sur le miroir. Je lui enlevai son bustier. Elle ne portait pas de brassière et je vis ses pointes se dresser. J’hésitai quelques secondes, pensant à la vendeuse toute proche, mais je revis son petit air entendu quand elle nous avait glissé « prenez votre temps » et je décidai alors d’écouter le feu qui me brûlait. Très délicatement, j’englobai ses seins dans mes mains. Elle échappa un soupir et tourna sa tête vers moi. Elle passa une main derrière mon cou et m’embrassa. Notre baiser fut long et tendre. Elle se retourna finalement vers moi, caressa mes seins par-dessus mes vêtements et me dit :



Elle termina de déboutonner ma robe, qui glissa par terre. Elle passa lentement ses mains sur moi, me contemplant, ses yeux me dévorant. Ma peau s’embrasait au contact de son toucher. Je sentis soudain une présence derrière moi.



Bien que surprise par la réponse de mon amie et dépassée par la situation, je sentis que ma liqueur se répandait dans ma petite culotte. Mon mari m’avait incitée à revoir Sylvie pour coucher avec elle, prétextant tout d’abord qu’il ne pouvait me procurer le même plaisir qu’une femme. Mais le but ultime de sa proposition était plutôt que je l’excite en lui racontant tous les détails croustillants de mon aventure saphique. Est-ce que sa permission s’étendait à ce qu’une autre femme se joigne à Sylvie et moi ? Dans les films pornos, il trouvait ça excitant un trio lesbien, mais là, c’était de sa femme qu’il s’agissait… Mon cerveau cessa cependant de fonctionner lorsque je sentis les mains chaudes de la vendeuse se poser sur moi et dégrafer ma brassière. Elle remonta ses mains caressantes vers mes épaules, pour faire descendre les bretelles. Sylvie les attrapa, et lança mon soutien-gorge sur le sol. La vendeuse se mit alors à genoux et dit à Sylvie :



Ses mains douces firent glisser mon sous-vêtement sur mes jambes. J’étais très excitée. Sylvie, ses seins contre les miens, ses pointes aussi dures que les miennes, m’embrassait en promenant ses mains sur moi. Mes propres mains, baladeuses, erraient dans ses cheveux, dans son dos, sur ses fesses. J’étais maintenant entièrement nue. J’entrepris de détacher le capri de Sylvie. Entre deux baisers enflammés, je demandai à notre charmante vendeuse de m’aider à retirer le pantalon de mon amie. Elle pivota derrière Sylvie et fit glisser son capri jusqu’à terre avant de lui ôter sa petite culotte. Elle se plaça de côté, de sorte qu’elle pouvait nous flatter les fesses à toutes les deux. C’était complètement inusité comme situation. Mais totalement grisant ! Nous étions, Sylvie et moi, nues l’une contre l’autre, nous embrassant à pleine bouche et nous faisant caresser les fesses par une inconnue, belle à faire damner un saint, devant un miroir de salle d’essayage !



Elle se releva alors et nous embrassa de ses lèvres brûlantes, l’une après l’autre.



Au fait, je m’appelle Alicia, rajouta-t-elle.

Au diable les principes ! Une occasion comme celle-ci ne se reproduirait probablement jamais. Je décidai de prendre le taureau par les cornes et de profiter au maximum du service personnalisé de la belle Alicia.



Alicia recula de quelques pas et se dévêtit lentement, tandis que nous la regardions, captivées et enivrées. Lorsqu’elle fut nue, elle se caressa les seins, roulant ses mamelons entre ses doigts, pour après aller amuser son clitoris. Elle suça ensuite ses doigts gluants tout en nous regardant dans les yeux, mimant une fellation. Puis, elle pivota pour que nous puissions admirer son corps magnifique sous tous les angles. Cette femme était une vraie déesse. Avec une silhouette pareille, elle devait certainement foutre des complexes à la clientèle…



Comment ne pas l’être ? Sylvie et moi étions subjuguées par cette beauté incendiaire en train de nous dévoiler son corps sans aucun scrupule. Elle s’approcha et une main sur chacune de nous, elle entreprit de glisser ses doigts dans nos fentes juteuses. Elle s’activa à nous branler tout en nous embrassant à tour de rôle. Nous lui pressions les fesses puis les seins. Je gémissais, Sylvie haletait. Puis je me mis à la doigter. Sylvie se joignit à moi. Alicia avait nos doigts à toutes les deux dans sa grotte aux plaisirs. Elle gémissait de plus en plus fort. Lorsqu’elle finit par jouir, sa liqueur chaude coula sur nos mains. Ce torrent de mouille, provoqua notre jouissance, à Sylvie et moi. Je voulais avoir le jus de cette tornade rousse dans ma bouche.



Elle s’exécuta et écarta largement ses jambes, m’offrant ainsi son intimité luisante. Je me couchai par terre, pour dévorer cette vilaine fille. J’entendis Sylvie fouiller son sac à main.



Je lui souris puis glissai le vibrateur sous moi. C’était vraiment exquis de pouvoir me masturber tout en mangeant cette sulfureuse inconnue. Sa vulve était lisse et avait un goût de miel. Je devais sans cesse aspirer son nectar tant elle était mouillée. Ma langue voulait être partout à la fois.



Sylvie alla s’asseoir sur le visage d’Alicia pour se faire brouter elle aussi. Elle se caressait le clitoris d’une main et se pinçait un sein de l’autre. Je pouvais voir notre tableau dans le grand miroir devant nous. Nous étions de vraies petites salopes déchaînées, criant et jouissant sans retenue.


Nous finîmes par nous étendre toutes les trois. J’étais au centre entre Sylvie et Alicia. Je me tournai sur le côté pour embrasser Sylvie et la caresser. Elle était face à moi et nos seins se frôlaient. Je remontai un genou entre ses cuisses pour faire une pression sur sa vulve. Elle s’y frottait avec force. Elle commença alors à me doigter. De deux doigts, puis bientôt de trois. Dans mon dos, Alicia m’embrassait dans le cou, son corps contre le mien. Je sentis qu’elle saisissait le vibrateur. Elle le mit en marche et le glissa entre nous pour l’insérer au fond d’elle. Elle se donna rapidement un orgasme.



N’écoutant pas mes protestations, elle me dit de relever ma jambe. Je la repliai donc en la tenant d’une main. Alicia donna le vibrateur à Sylvie et celle-ci se mit à me baiser avec vigueur. Alicia mouilla sa main sur ma chatte gluante et entreprit de m’introduire son majeur dans le cul. Je poussai un faible cri de surprise. Mon passage céda rapidement et je sentis mon anus se dilater. Elle entra alors un autre doigt. Elle accentua le rythme de son va-et-vient. Elles m’embrassaient toutes les deux avec fougue. Je criais de douleur et de plaisir sous leurs assauts. Elles étaient sans pitié. Je me faisais fourrer et enculer allègrement par deux femmes animales, mais mon corps en redemandait. Mes ongles s’incrustaient dans la fesse de l’une et la cuisse de l’autre pour accueillir leurs outrages. J’eus un orgasme puissant. Elles laissèrent longtemps leurs doigts dans mes orifices, le temps que je reprenne mes sens. Sylvie nous offrit à Alicia et moi le plaisir de licher le vibrateur empreint de ma cyprine.



Puis celle-ci se rua sur Sylvie, et la chevaucha furieusement. Leurs vulves trempées faisaient des bruits de clapotis à chaque friction. Leurs râles saccadés mourraient dans leurs baisers. Le corps encore tendu du plaisir reçu par mes amantes, je les observais en me caressant les seins. Elles étaient délicieusement belles à regarder. Quand l’extase les transporta, toutes deux crièrent et gémirent comme des désespérées. Elles avaient le souffle court et la sueur perlait sur leur peau. Je m’approchai d’elles pour les embrasser. Être témoin de cette scène torride avait émoustillé mes sens. Je les désirais encore.



Alors j’entrepris de les manger l’une après l’autre. Ma bouche allait et venait d’une chatte mouillée à l’autre. Mes lèvres et ma langue n’en finissaient plus de faire gémir ces dames. Bientôt elles y allèrent de leurs préférences.



Elles semblaient frustrées quand je m’interrompais pour aller dévorer le minou trempé de l’autre. Elles s’échangèrent donc le vibrateur pour combler la frustration que je leur imposais. Je trouvais que c’était bien peu payé pour tout ce qu’elles m’avaient fait subir un peu plus tôt. Ça m’excitait de contrôler le plaisir de ces deux femmes insatiables. Je m’accroupis afin de pouvoir caresser la vulve enflammée de Sylvie avec la pointe mon téton dressé, m’attardant sur son bourgeon gonflé.



Sa mouille enroba mon sein et je l’approchai de sa bouche.



Elle prit mon sein dans sa bouche et le téta avec appétit.



Je m’installai donc pour frotter mon sein avec force sur sa chatte brûlante. Elle cambrait ses reins et poussait des cris de délire.



À grands coups de langue elle récolta toute sa sève. J’aurais bien voulu que mon mari assiste en spectateur à cette orgie féminine. Serai-je capable de bien lui décrire toutes nos perversions ?

Nos corps à toutes les trois réclamant encore la jouissance, nous nous installâmes à genoux jambes écartées. Nous pûmes ainsi nous branler l’une l’autre, nous embrasser, nous caresser. Une bouche ou deux sur un cou, les doigts se démenant d’une fente à l’autre, lichés par soi ou les autres, les seins se pressant, se goûtant, aucune limite n’était envisagée dans cette quête au plaisir ultime. Nos orgasmes furent bruyants et intenses. Nous nous étendîmes et restâmes blotties toutes trois, jambes et bras entremêlés, un long moment après nos ébats. Seuls nos baisers brisaient le silence.



Alicia nous aida donc à enfiler nos ensembles. Nous étions sublimes. C’était le succès assuré auprès de nos maris. Alicia voulu nous faire cadeau de nos trouvailles, mais nous refusâmes, ne voulant pas lui causer de problèmes. Nous payâmes donc nos achats puis nous prîmes congé de notre fureur rousse. Le magasinage était fini, il était maintenant l’heure de rentrer chacune chez soi, nos sacs remplis et nos sexes comblés.