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Temps de lecture estimé : 25 mn
04/05/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  Parmi nos expériences, les moments sur les plages sont propices à de beaux souvenirs...
Critères:  ff fff ffh vacances plage bateau voir exhib nudisme noculotte intermast -voyeuract -exhib -plage
Auteur : Julia_bleau            Envoi mini-message

Série : Découvertes...

Chapitre 05 / 10
Mes decouvertes (5 - Expériences)

Nos expériences (suite)




De tout ce que nous vivons depuis un moment, entre nous, Agnès et moi, et maintenant nos complices, les petites anecdotes portant sur nos jeux en vacances ont une place particulière. Ceci depuis déjà un moment, c’est-à-dire depuis qu’avec Agnès nous avons commencé à nous aimer, et à prendre du plaisir ensemble, et aujourd’hui encore. Nos petits jeux, nos moments complices avec les parents en Espagne, et à la maison également, et ce jusqu’à encore aujourd’hui. Depuis que nous avons découvert le plaisir en fait.


L’été en général, mais l’Espagne en particulier, nous annonce toujours des instants privilégiés. Déjà parce que le soleil et la chaleur sont des facteurs propices à une façon d’être plus libre, plus érotique, plus sensuelle, plus sexy. Et ensuite parce que c’est un peu un endroit fait pour s’amuser. Évidement cela passe par nos tenues, accentué par notre manie du sans-dessous-dessous. Possible aussi par chez nous, mais beaucoup plus facile ici. Nos tenues et l’ambiance générale de cette période, ambiance électrique, et partagée par tous. Tous les jours, il y a un moment, et surtout plusieurs, où il se passe quelque chose qui déclenche un plaisir, une émotion, une envie. Instants érotiques. Des instants provoqués aussi.


Déjà les plages. Et les tenues pour ces plages.


Nous avons le choix, à chaque fois que nous partons pour la plage, et cela se décide en fonction du temps que l’on a, et du temps que l’on souhaite rester. La plage classique, la grande, qui donne sur la ville, quand nous savons qu’après nous devons aller en ville, ou partir en visite, ou simplement envie de rester au jardin. La plage des nudistes, quand nous avons un peu plus de temps, même si celle-ci est en prolongement de la première, elle est malgré tout un plus loin du centre ville. Et puis « notre » crique, nudiste en grande partie, quand nous décidons d’y passer la journée. Plus loin, elle oblige à prendre la voiture. Les deux autres, c’est en vélo.


Le vélo, nous le prenons soit en maillot et jupe pour la plage classique, soit nue sous nos jupes quand nous partons pour la plage nudiste. Tenue de rigueur pour les trois nanas de la maison. Et sur la route, le père circule tout autour de sa troupe, et jette un œil, rarement discret, à chacune d’entre nous pour vérifier, comme si cela était utile, que nous n’avons pas dérogé. C’est avec malice que quand il se retourne, les pieds sur les pédales, un petit écart des cuisses, lui prouve qu’il a tort de s’inquiéter. Il part alors en faisant le fou sur son vélo, debout sur les pédales, à se faire remarquer des passants, et revient pour vérifier encore et encore. Il a beau nous voir toute la journée, nues, mais ces instants sont des instants savoureux pour lui. Et pour nous, ils le sont tout autant. Nous jouons.


Sur la grande plage, maillot obligatoire. Mais mono pour nous toutes. Nous nous installons généralement face à l’avenue par laquelle nous arrivons, une avenue large, de parking d’un côté et de bars et restaus, de l’autre. Évidement les boutiques avec tout ce qu’il faut pour la plage. Y compris les crèmes et huiles de toutes sortes.


Normalement le haut du maillot est dans le sac. Mais c’est très fréquent qu’il soit resté à la maison. À cet endroit de la plage, il y a un bar, à la fois côté plage et aussi sur la route. Il fait dancing le soir, et en dessous, une petite boîte avec danseuses, où se retrouvent les couples en recherche de nouveaux plaisirs, et qui viennent également draguer, au bar et au dancing, pour trouver des complices bien plus jeunes. Je m’y suis faite draguer plus d’une fois, par des couples de tous âges, dont certains me donnent il est vrai, envie de les suivre. Par contre souvent des gens sans scrupules qui n’hésitent pas à sortir de gros billets pour acheter un couple de jeunes ou un duo de filles, comme nous. Il y a toujours un petit groupe de filles, sexy mais vulgaires, maquillées à outrance, et perchées sur des chaussures qui me semblent inadéquates pour un lieu de vacances. Elles viennent ici pour ça et se font de l’argent avec ces rencontres. C’est leur droit. Certaines sont superbes et j’ai quelques fois discuté avec elles. L’attrait de l’argent dans un cadre de vacances. Pourquoi pas.


Ce qui ne nous a pas empêchées de jouer et de provoquer quelques uns de ces messieurs trop seuls, ou accompagnés, qui nous offraient un verre et à qui nous autorisions des regards intimes sous nos jupes trop courtes. À condition qu’ils soient sympathiques. Ils viennent nous voir, en espérant que nous accepterons de les suivre, mais il n’en est pas question. Même si parfois…


Donc ce coin de plage avec son bar et sa terrasse sur le sable est un coin sympa. Musique, volley, etc. L’endroit où se retrouve pas mal de « d’jeunes » comme dit papa. Ce qui n’est pas pour lui déplaire. Défilé permanent de jeunes filles et de maillot très sexys. De beaux mecs aussi, qui étalent un peu leurs musculatures. Endroit sympa pour tester les nouveaux maillots. Comme dit le père, le succès se compte au nombre de serviettes qui viennent s’étaler en cercle autour de la fille qui va arriver avec un string hyper sexe ou un maillot affolant. Pas faux. Et assez drôle. Cela m’est arrivé un bon nombre de fois, ce qui fait rire les parents installés à quelques mètres de là.


Un jour de folie, seule avec mes parents car Agnès arrivait seulement en fin de semaine, c’est le jour où je suis arrivée avec ma jupe blanche, un teeshirt blanc très court. Un jour où je suis partie avec en tête l’idée de plaire. J’ai déjà posé ma serviette, retourné pas mal de « salut » au petit groupe de personnes de mon âge que je connaissais déjà un peu. Puis, déjà en quittant le haut pour apparaître les seins nus, j’ai attiré un peu les garçons présents. Mine de rien, laissant courir les regards sur moi avec un certain plaisir, j’ai sorti mes affaires, lunettes, huile, bouquin. La star d’un instant. Des commentaires en espagnol surtout, qui, selon ma mère qui le parle très bien, portaient sur la beauté de mes seins et la couleur de ma peau, en passant par la longueur de mes jambes. Ravie.


Puis, debout, innocente, je descends ma jupe en la laissant doucement glisser le long de mes jambes, pour me retrouver avec un nouveau string, acheté avant le départ mais jamais porté, si ce n’est dans le jardin, où il a déjà eu un effet plutôt affolant et où il fut qualifié de « magnifiquement scandaleux » par le père. Blanc, petit cœur de métal au-dessous des reins, cordon blanc perdu entre les fesses, et devant, petit rectangle blanc, très étroit, qu’il a fallu que je ressorte discrètement de mon minou avant de baisser la jupe. Et là ! Silence au départ, puis chuchotements, et quelques soupirs admiratifs. Me voila à nouveau comblée de faire autant d’effet. Comblée et excitée. Succès confirmé.


Je m’allonge en regardant tour à tour mes admirateurs, et certains, qui me connaissaient déjà un peu, n’hésitent pas à se déplacer pour s’installer au plus près. Me voila « La Star » du moment. Deux plus malins, ou plus coquins, sont derrière moi. Vue directe sur mon entre-jambe, et je sais, pour le sentir, que mon string trop étroit, ne leur cache quasi rien de mon intimité. Je resserre ou relâche mes cuisses pour jouer à cache-cache avec eux. Un jeu formidable. Et nous partons dans des discussions, mi-français, mi-espagnol, sur des banalités, sur la musique, la plage, pendant lesquelles, je ne cesse d’être scrutée des yeux. Du coup, les filles de cette petite bande, n’hésitent pas à quitter les hauts, et se montrer sexys à leurs tours, pour retrouver leurs copains ou du moins ceux qui étaient déjà à les draguer avant mon arrivée. Certaines sont très jolies en plus. Plus timides au départ, elles sont contentes que j’aie pu donner un signe, et jouent elles aussi à se montrer sexys. Les hauts sautent et les bas des maillots se font de plus en plus étroits. Une d’elles est partie et revenue des toilettes du bar en ayant changé de bas. Elle est revenue avec un string du même style que le mien. Tout aussi sexy. Aussi provocant. Un string brillant sur sa peau très mate, qui lui cachait à peine les lèvres d’un sexe aussi lisse que le mien. Elle s’est installée à mes côtés et m’a fait comprendre qu’elle n’osait pas le mettre, les autres filles de leur groupe étant un peu moins « joueuses ». Elle avait une poitrine généreuse, avec des tétons superbes, foncées, gonflés. Elle me faisait envie…


Du coup notre petit groupe devient le point de mire du reste de la plage alentour. Les parents sont écroulés sur leurs serviettes, et le père ravi du spectacle.


Ces moments là sont très forts. Se lever pour aller à l’eau, et être accompagnée par les plus osés, qui font tout pour profiter de ce que je peux offrir à cet instant. Je traverse la plage sous les regards chaleureux de la plupart des messieurs présents. Malgré quelques commentaires en rapport avec mon jeune âge et ma tenue. Sans intérêt. Mes compagnons du moment, en jouant dans l’eau, tentent quelques attouchements. Je joue, j’aime, et je ne repousse que les gestes trop audacieux comme cette main qui s’est retrouvée entre mes cuisses le temps de laisser passer une vague. Je profite d’être dans l’eau, nue, ou presque, pour réajuster ce string provocateur et glisser un doigt entre mes lèvres comme un petit soulagement furtif. Je sens combien mes « amis » du jour ont une envie folle de me prendre la, dans l’eau, et je suis presque tentée de me donner aussi. J’y pense et j’en coule de désir.


Dans ce genre de situation, un moment intense également, c’est aller sous la douche de la plage, se rafraîchir ou se rincer. Une de ces douches se trouve juste au bord de la terrasse du bar. Alors, arriver dans cette tenue, se doucher à deux pas des tables occupées par des messieurs qui ne perdent rien du spectacle, et qui se posent ici pour ça d’ailleurs, est excitant au possible. Et ce jour là, deux de mes compagnons de plage, me suivent et m’offrent un verre à cette terrasse. Me voila donc nue, ou tout comme, rejointe par le reste de la petite bande, au milieu de la terrasse à pavaner et faire ma belle. La plupart des filles qui viennent à ce bar en venant de la plage, ont l’habitude de se recouvrir, au moins d’un pagne, le temps de se désaltérer. Quand une ose s’y installer seins nus, elle est le point de mire du bar entier. Alors, seins nus, et en string qui ne cache rien… Je suis élue la « miss du bar » pour au moins la semaine. Je scrute derrière mes lunettes le regard des mecs présents, et tous sont posés sur mes seins ou le petit bout de tissu qui ne cache presque rien de mon minou. Le tissu, trempé de la douche, dessine au mieux le contour de mon abricot tout chaud. Ma vulve gonflée de désir semble être en attente d’un contact. Je frémis de me donner de la sorte. J’en vois frémir aussi. Délicieux !


Et de ce jour, mon moment magique fut mon départ.


Après avoir fait quelques bises à la plupart de cette petite bande d’admirateurs, et admiratrices, rangé mes affaires, assise sur ma serviette, je m’habille. J’enfile ma jupette, qui me cache en fait très peu vu sa taille. Assise, seins nus, je me recoiffe en chignon, et fait ressortir un peu plus ma poitrine comme un au revoir, puis avant de passer mon teeshirt, je glisse mes mains sous ma jupe, m’arrête, regarde les deux compères qui sont allongés face à moi et qui scrutent derrière leurs lunettes le moindre de mes gestes avec un sourire heureux, me tourne légèrement, faussement pudique, et je fais glisser mon string sur mes jambes. Je le roule en boule dans mon sac. Ceci n’a pas échappé non plus à un autre couple ainsi que deux autres garçons, encore à me regarder partir. Scotchés !

Me voici nue, sous ma jupe, sous les yeux ébahis de mon petit comité d’admirateurs. Je suis aux anges. Presque une jouissance. Je sens mon plaisir couler entre les lèvres de ma petite chatte, plein de désir retenue comme à chaque fois que je joue de cette façon.


Je leur adresse mon plus beau sourire, en enfilant mon teeshirt sur mes seins dont le bout est depuis ce matin déjà bien dur et sensible. Ça aussi ils l’ont vu. Et le teeshirt moulant accentue encore plus la vision de mon excitation. S’ils savaient combien je suis trempée… j’en rajoute encore en leur tournant le dos pour rejoindre mes parents et prendre mon vélo. Un déhanchement appuyé pour faire jouer mes fesses nues sous ma jupette. Je suis convaincue que mes « copains » commentent mon départ et y vont d’une belle érection en mon honneur. Ravie !


Ce genre de situation, affolante, nous l’avons revécue souvent avec Agnès. Et chaque fois, nous repartons avec une chaleur humide entre les cuisses, sur notre vélo. Parfois, en repartant de la plage, toujours nues sous nos jupes, nous en profitons pour aller en ville, faire quelques courses, ou prendre un verre dans un bar de l’avenue, excitées au mieux. Souvent le papounet nous gratifie d’un de ses plus beaux clins d’œil complices. Et l’excitation ne diminue pas du reste du moment ou nous restons ici, ou a faire les magasins pour le manger du midi. Et arrivées à la maison, c’est au plus vite que nous nous retrouvons nues, au jardin ou à table après être passées un moment au studio ou sous la douche du jardin pour nous calmer. On s’enlace et on se câline en imaginant tous ces yeux gourmands posés sur nous. Oubliant un moment que nous ne sommes pas seules et que tous profitent de nos éclats de rire et gémissements…


***



Ces moments magiques, nous les vivons également quand nous arrivons et repartons de la plage nudiste. Car même si le fait d’être nues, est logique sur cette plage, nous voir arriver et repartir sans rien sous nos jupes, qui plus est, en reprenant nos vélos, en laisse plus d’un interloqué. Et comme nous sommes toutes les trois à faire de la sorte, ils semblent bien se demander comment nous vivons en dehors de la plage. Il se demande aussi comment le seul homme de la troupe peut vivre ces situations.


Sur cette plage, les moments de plaisirs de cette sorte, sont plutôt dus aux attitudes qu’aux vêtements. Les nudistes, les vrais, ne font que très peu attention aux autres. Par contre, les nudistes occasionnels, les « testeurs » comme dit papa, eux sont plus à l’affût du moindre petit geste sensuel, de la fille un peu plus sexy que les autres. Ils ne viennent pas si souvent, alors ils sont là pour ca. Ils ont au moins le courage d’être nus, à l’inverse de quelques touristes, qui eux ne viennent ici que pour regarder. Les « voyeurs ». Et ils ne s’en cachent pas. La plage est uniquement tolérée aux nudistes, mais pas réservée. Donc chacun y est dans son droit. Après tout, si nous venons là c’est le sachant, et de plus, avoir des admirateurs… Il faut reconnaître que tous ces corps, nus, ont un charme, et pas seulement les plus sexys et les plus beaux. Certains papys ou des mamys, ont un charme puissant, de la sensualité, dû au fait d’être bien, à l’aise. Il se dégage parfois de ces personnes âgées quelque chose de fort. Une tendresse aussi. Et tant mieux.


Le plaisir principal sur cette plage, même si ce n’est pas le but principal, c’est de pouvoir se dévoiler sans complexe. Être nue, parmi un tas de gens nus. Et il faut l’avouer, et ce peut-être plus à mon âge, qu’avant ou après, c’est de se sentir fière de son corps au point d’être heureuse de se faire admirer.


Et, même si cela est peu modeste de ma part, je sais que mon allure, mes formes, mon style, plaisent. On me dit jolie, plutôt bien faite, et je suis consciente depuis un moment déjà, ado et un peu avant encore, que j’attire les regards, et que l’on me trouve désirable. Je sais que mes seins, bien ronds, fermes, biens dessinés me donnent une allure très sexy. Mon ventre plat, mes hanches assez droites, mes longues jambes fuselées, sont des atouts importants. J’entends et on me le dit souvent. Ma façon d’être aussi, libre, sans artifices, mes cheveux un peu roux, mes yeux verts, et si j’ajoute ma cambrure naturelle et des fesses biens rondes et fermes… tout cela me classe dans une catégorie dite de « jolie fille ». Alors j’en suis heureuse, et j’en profite, j’en joue. Pourquoi ne pas être contente de ce que la nature m’a offert. C’est aussi parce que je suis ainsi que je suis modèle pour les photos, y compris maintenant, des photos sexys. Même si Alain, mon photographe, me connaît de tout petite, et qu’il m’a demandé de poser, je vois bien sur les lieux de tournage que je suis très sollicitée par les autres photographes présents. Et puis, un atout très important en fait, c’est que je suis très à l’aise avec mon corps.


De ce que me dit le photographe, et d’autres aussi, c’est qu’ils ont des modèles parfois superbes, mais pas assez libres de leurs corps, et du coup elles perdent le charme, et deviennent juste des images, sans vie. Et, ils me disent, que j’ai, moi, ce côté très naturel, que mes formes et mon charme en sont décuplés. Ce côté libre, naturel, doit en partie venir justement de cette habitude que j’ai depuis toute petite de me promener nue, sur ces plages et ailleurs, et d’avoir compris, ado, comment ce charme était agréable à voir dans le regard des autres. Éducation très libre aussi.


Donc me dévoiler ainsi ne me dérange pas et au contraire je suis énormément heureuse de me retrouver nue et admirée sur une plage comme celle-ci. Je peux ici, me montrer comme je suis, et je pense que d’en être consciente et fière ajoute encore plus de charme à l’ensemble.


Et puis quand il s’agit de se faire plaisir, de jouer, j’ai appris et je sais maintenant quels détails simples peuvent ajouter à une nudité. Comme de se relever les cheveux en chignon mal fait, pour libérer la nuque… Sexy ! Ou debout, sur le sable, bien droite avec les jambes quelques écartées, le temps de se désaltérer ou de regarder au loin. Irrésistible ! Je vois dans le regard de mon admirateur « n° 1 », combien mes gestes, mes poses, on ma façon de me tenir, sont appréciés.


Le plaisir vient aussi de se montrer plus sexy et plus désirable que de simples baigneuses nues. Pour jouer, il suffit d’une position offrant son intimité de façon plus provocante que la normale, pour un spectateur choisi. Comme de dos, en écartant volontairement les jambes, sans trop, juste pour que le minou s’ouvre un peu et brille au soleil. Ou bien, assise en tailleur, le buste bien droit, le nez au soleil. Position presque « zen ». Mon sexe est alors ouvert au mieux qu’il peut, et en plus des regards, le soleil apporte une sensation de caresse intense. J’aime ces moments. Ou se passer de l’huile de façon très suggestive. Au point de faire monter en pression les observateurs. J’essaye aussi le plus souvent, pour ne pas trop passer pour une simple « allumeuse », d’ajouter à ces moments la, un regard et un sourire complice. Une façon de partager l’instant. Je m’offre d’accord mais merci d’apprécier. Et du coup le partage devient plus fort. Une forme de complicité.


Se montrer et regarder aussi.


Voir un bel athlète musclé, fier de son corps, et faire ce que nous faisons nous-mêmes, est également un plaisir intense. Et parfois, certains de ces messieurs, savent prendre les poses et les allures qui mettent en valeur leur corp, et aussi leurs attributs. Et de toutes les trois, il est rare qu’un de ces beaux messieurs, passe inaperçu. Celle d’entre nous qui le voit la première, en avertit les autres. Complicité féminine oblige. Même le père, nous prévient, si un détour en descendant à l’eau vaut le coup. Et il est vrai que parfois, il nous est permis de voir de très beaux spécimens. Des corps somptueux, sexys, attirants. Et des outils fabuleux. Des sexes que nos regards insistants font quelques fois réagir, le tout avec un sourire entendu, un clin d’œil, jusqu’à un point où il est préférable pour lui de se retourner sur sa serviette, en attendant d’être plus présentable. Souvent dans ces moments là, il se passe quelque chose de fort. C’est un regard, un sourire, qui fait des uns et des autres des complices d’un instant.


Souvent, nous profitons d’une marche sur le bord de l’eau, pour faire, par jeu, un petit inventaire, et nous notons, comme des gamines, les mâles que la plage nous offre. Sans oublier les jolies filles aussi. Normal. Mais ici, l’inventaire porte sur les messieurs. On en trouve souvent, parce qu’ils s’en amusent aussi, des beaux, assis dans l’eau, bien exposés, laissant leurs sexes, négligemment flotter au gré des petites vagues. On en frissonne. Et de nous voir passer, et repasser, coquines, en nous tenant par la main, ils ont parfois de jolies réactions. Ces apollons sont un peu là pour ça aussi. Profiter de cette plage, le soleil, pour se laisser admirer. En couple aussi, et parfois de superbes couples heureux du succès qu’ils ont en paradant au bord de l’eau.


Il n’est pas rare de se retrouver à l’eau ensemble, et que l’on puisse profiter, plus à l’abri des regards, d’une magnifique érection irrésistible. Par deux fois, il est même arrivé de profiter d’être loin des regards pour caresser un beau membre, dans l’eau, pour le plaisir du monsieur et pour le notre aussi. L’envie de le prendre en bouche ou plus était si forte, que c’est presque en jouissant que je lâchais ce jouet.


La deuxième fois que cela est arrivé, le monsieur était si beau que c’est nous qui l’avons suivi au bain. Il était fier de nous montrer depuis le matin un corps sublime et un sexe magnifique sur la plage, allongé à côté de nous, en se passant régulièrement de la crème, et insistant dessus en nous regardant. Visiblement, il était venu sur la plage avec le but de se faire admirer, et l’envie d’en tirer un plaisir. Il avait rodé un moment dans le coin, serviette sur l’épaule et sac de plage à la main, scrutant les serviettes féminines, jusqu’à choisir de s’installer à côté de nous. Peut-être avait-il remarqué que nous le suivions de regard. Il cherchait des admiratrices. Et comme les trois n’en loupait rien…


Un homme de 45/50 ans environs, grisonnant, grand, musclé, juste un peu de poils gris sur le torse, une peau dorée, des cuisses et des bras de rugbyman, ventre plat et abdos magnifiques, fesses musclées… Un monsieur très bien entretenu qu’on imaginait bien fréquenter instituts et salle de sport, et qui ne laissait rien au hasard pour bien paraître, et sûrement aussi dans sa façon de s’habiller, mais à l’instant… Un régal. L’apollon de la plage. Il le savait d’ailleurs. Très sûr de son effet. Il posait plus qu’il ne bronzait. Et un sexe ! Long, large, lisse, de la couleur de sa peau, des boules à peine plus sombres, et un peu ridées. Debout, il pendait comme un beau bijou entre ses jambes, et assis, il se posait naturellement sur la serviette comme un petit animal qui attend sa caresse.


À peine posé, il s’est installé comme une complicité sous-entendue entre lui et nous. Et quand, sous nos regards insistants, il prenait du volume, il s’en amusait, et il s’amusait surtout de voir les trois filles s’échanger des commentaires qu’il savait à son encontre, et surtout à son engin superbe. Le fait aussi de comprendre que sur les trois, une était sûrement la mère de l’une des deux autres. Cette complicité ajoutait encore. Il se calmait en se reposant sur le ventre, et nous dans un sourire malicieux, nous lui faisions comprendre que l’on attendait de revoir. Je me suis un moment assise en tailleur face à lui, pour lui rendre la pareille, et c’est en fixant mon minou, tout aussi lisse que lui et très humide, qu’il m’a fait comprendre, par mimique, qu’il ne pouvait plus se retourner. Il observait également avec plaisir notre façon de nous passer de l’huile avec Agnès, dans des gestes volontairement provocants, en le regardant dans les yeux. Coquines.


Puis un peu plus tard, calmé, il s’est relevé, fixant à tour de rôle, chacune de nous, et est venu demander l’heure à maman. Heureux de voir comme nous étions admiratives. Il a échangé quelques mots avec elle. Il nous regardait de plus près. Nous aussi. À genoux devant nous, comme pour encore mieux s’exposer, il nous a expliqué qu’il repartait sur Lyon en fin d’après midi et qu’il profitait de sa dernière journée de plage. Il a même ajouté, qu’il était ravi de passer la matinée en notre compagnie. Il nous détaillait chacune notre tour, félicitant papa pour ses « charmantes filles ». Il est resté un moment entre sa serviette, et les nôtres, à marcher avec son téléphone à l’oreille. Chaque fois qu’il le pouvait, il trouvait une pose pour montrer à qui voulait bien regarder, comment il était superbement bâti. Et joliment équipé.


Puis s’est dirigé vers l’eau. On s’est marré un peu de notre jeu. Mais en le regardant, sur son petit matelas dans l’eau, à faire de son mieux pour prendre des poses de catalogue et se faire admirer des baigneuses, Agnès et moi, avons eu envie de le voir de plus près. Arrivées dans l’eau, nous avons continué de le regarder et lui nous détaillait sans gène. Normal. Échange. Et moins de monde donc moins de retenue. On a bavardé un moment, lui sur son matelas et nous à se baigner, de l’eau à la taille.


Petit à petit, en nous éloignant des autres baigneurs, il se rapprochait sur son matelas, assis, face à nous. Et au bout d’un moment, étant loin des regards, et voyant nos regards de joueuses, il a commencé à se caresser, de façon très sensuelle, juste des caresses du bout des doigts, sur la longueur de son sexe. Comme pour passer de l’eau et le câliner. Puis en nous regardant fixement, son geste s’est précisé. Caresses appuyées, jusqu’à ce que son sexe soit bien droit. Magnifique ! Un rêve ! Il prenait une forme et une allure surprenante. Son petit sourire pour nous faire comprendre qu’il était content que l’on vienne l’admirer.


Il regardait alentour pour s’assurer de ne pas être remarqué, et nous profitions de son membre sublime, pour nous, à demi dans l’eau. Image de magasine. Émouvant ! Dans cette position, il semblait énorme, un peu tordu, et d’une jolie couleur dorée.


Puis sur son invitation silencieuse, nous nous sommes approchées. Il avait le dos à la plage, et les vagues nous poussaient vers lui. Pour rester ensembles, nous avons attrapé le matelas. Chacune une main de chaque côté, pour que les vagues ne l’éloignent plus et nous fixions ce sexe à portée de nous. De l’autre main, je me caressais aussi, et parfois j’allais câliner Agnès. On riait de la situation. Lui aussi. Il bandait de plus en plus, sans se toucher, juste sous l’effet de nos regards.


Alors je l’ai attrapé, pris en main, avec un gémissement de bonheur. La situation, encore une fois, autant que la beauté de ce membre, apportait un gros plus à notre excitation.


Et j’ai commencé de le branler. En jouant. Un moment inoubliable que ce superbe sexe dans ma main. L’eau, ajoutait à l’érotisme du moment. Lui a juste un instant caressé nos poitrines, puis s’est a nouveau agrippé à son matelas. Il nous offrait son sexe. C’est tout. Et il s’offrait un moment intense.


Alors j’ai continué, et Agnès m’a rejointe. Et nous l’avons branlé, toutes les deux, ou parfois l’une de nous seule pour en profiter au mieux. On arrêtait par moment pour juste le caresser, jouer de ses boules, dessiner le contour de son gland avec nos doigts. Je prenais de l’eau et lui passait dessus pour le rafraîchir et il sursautait de plaisir. Tout le temps de nos caresses, nous n’avons pas échangé un mot. Juste des sourires. Lui heureux de se laisser masturber pas deux filles comme ça, et nous émerveillées de pouvoir toucher un membre aussi magnifique et dans une situation peu banale. Voir nos mains courir sur toute la longueur de sa queue. J’ai quelques instants passé ma langue sur toute la longueur. Difficile de le sucer sans se faire remarquer. Il a à peine retenu un petit cri. Mais pour moi le lécher de cette façon m’a fait chavirer. Superbe queue sur ma langue. Superbe souvenir.


Il s’est crispé un moment, a regardé une dernière fois autour, puis s’est tendu, immense, face à nous, et il a jouit d’un seul jet, interminable, avec un cri retenu en se mordant les lèvres. Agnès a gémi aussi. Elle a pratiquement joui aussi. Je sentais mon jus chaud dans l’eau froide entre mes cuisses. On ne lâchait plus notre jouet. Et avec un petit rire, il nous a fait comprendre qu’il devait le reprendre. Avec une main, je prenais de l’eau, et lavais cette queue brûlante encore. Il se laissait faire. Heureux.


On a reprit nos esprits, en discutant, mais à peine, dans l’eau. Je regardais toujours son sexe reprendre progressivement une taille normale. Il nous a caressés furtivement les fesses dans l’eau, en reprenant la direction de la plage. Et nous sommes revenus sur nos serviettes respectives. Avant de partir il est venu nous dire au revoir. Nous ne l’avons jamais revu.


Une matinée inoubliable.


Et puis il y a notre crique.


Là, c’est un endroit où l’on va si c’est pour y rester la journée. Vingt minutes de voiture. Route de montagne presque. Pour arriver sur un chemin de terre, qui sert de parking. Et ensuite la crique. Ce n’est pas très grand. Il y en a plusieurs sur cette côte, mais celle-ci est nudiste pour la plupart des gens. Ce n’est pas la seule, mais les autres sont encore plus loin et il faut marcher longtemps dans des broussailles avant d’y arriver. Là, on est vite installés. Plage étroite, un peu de verdure, pour s’abriter, et sur les côtés, pas mal de rochers. Sur la gauche, après les rochers, une autre petite plage, mais très petite, et la baignade impossible à cause des rochers dans l’eau. Nous y allons en nous promenant. Ou pour s’isoler. Les câlins y sont très faciles. On peut s’y allonger sans trop de risque d’être surpris. Le temps de traverser les rochers pour les « visiteurs », fait qu’on a le temps de se reprendre, de les voir arriver. Et comme il n’est pas utile de se rhabiller… Mais ceux qui sont sur la plage, connaissent le coin, et connaissent aussi l’utilité de cette deuxième plage. Alors si parfois certains s’y isolent, et que d’autres arrivent, selon les envies, les premiers continuent les câlins, sous les yeux des autres. Partage et connivence. Plaisir de voir, pour le plaisir de montrer. Cette petite plage m’était « interdite » avant. Depuis quelques temps, j’ai le droit et j’en profite.


Avec Agnès, nous y avons déjà assisté à quelques moments d’intimité, de couples, et une fois d’un couple accompagné de deux compères que la femme se régalait de sucer à tour de rôle, et ravie encore plus que nous assistions à son plaisir. Elle s’est fait prendre ensuite par les deux compères, pendant que son mari, entre deux photos, se masturbait énergiquement, soit en nous regardant, soit en glissant sa queue dans la bouche de son épouse. Spectacle assez sympa, même si un peu trop vulgaire dans la façon d’être de cette femme qui n’arrêtait pas de sortir des mots inutiles comme pour exciter ses mâles. Avis personnel. Un manque d’érotisme et de sensualité.


Avec Agnès, nous avons nous aussi laissé un couple nous regarder faire l’amour à cet endroit. Un autre spectateur était là aussi. Un homme seul, qui était là à chaque fois que nous sommes passées. Son poste. Il ne bougeait pas. Nu sur son rocher. Un sexe droit qu’il caressait tranquillement, mais que je n’ai jamais vu jouir. Le couple lui, s’était mis à côté de nous, sans un mot. Un sourire pour que l’on comprenne que regarder était leur seule attente, et nous avions continué de nous caresser. Elle, assise à côté de lui, le tenait fermement, sans le branler et lui ne nous lâchait pas des yeux. Nous n’avons pas vraiment fait l’amour ce jour la, mais caressé longuement, jambes emmêlées, en s’embrassant avec fougue. Mais la situation manquait de « chaleur » à notre goût, et nous sommes reparties sur l’autre plage pour leur laisser la place. Elle, s’est installée sur lui juste avant que nous disparaissions de l’autre côté. Ils sont repassés peu de temps après. Visiblement contents. Tant mieux.


Sinon sur la plage, on retrouve une ambiance très sympa, car pas mal de gens que l’on finit, d’années en années, par connaître un peu. Ma mère y retrouve fréquemment une copine de lecture. Les jours où il y a peu de monde et si il n’y a pas d’enfants, certains ne se déplacent pas sur la deuxième plage pour se laisser aller. Les habitués parfois, organisent un petit barbecue. Ambiance chaleureuse. Une ambiance assez érotique, de bonne humeur, et comme nous grandissons d’années en années, nous avons rapidement fait partie des « complices ». Ce n’est pas non plus un endroit « orgiaque », mais plus ou moins discrètement, dans l’eau ou sur la plage, ou à l’écart sur des rochers, on peut facilement voir des couples, se laisser aller à des caresses, voire quelques fellations. Il y règne une ambiance un peu érotique, mais surtout les gens s’amusent. Un superbe couple, presque installé au même endroit, à peine caché d’un petit parasol posé en paravent, a l’habitude, de rester allongé, sur le côté, lui derrière et prenant sa femme, comme ça. Elle continue de bouquiner, tout en gémissant assez fort. Ses seins, refaits, s’agitent sous les secousses de son mec. Quand quelqu’un les regarde, elle pose son livre, se caresse les seins, et fait comprendre que son plaisir monte. On devine plus qu’on le voit. Ils terminent toujours avec un petit cri. Et ils vont à l’eau se laver. Jamais rien de très méchant et surtout rien la journée tant qu’il y a des enfants.


Le soir, par contre, il peut s’y passer des choses assez coquines. Sur la plage. Mais aussi sur les bateaux qui viennent se poser dans la crique. La journée ces plaisanciers, nus sur leurs bateaux, des habitués aussi, passent souvent de longs moments à bronzer, et aussi, en se baignant, à discuter avec les couples de la plage. Et le soir, ils invitent pour des dîners sur l’eau, qui finissent par des soirées beaucoup plus intimes.


Mes parents ont connu un de ces couples, propriétaire d’un superbe voilier en bois. Ils partent dès les beaux jours, d’un village du côté de la Camargue et font la côte jusqu’à Alicante, pour ne rentrer qu’au début du mois d’octobre. Ils vivent de leurs rentes malgré qu’ils n’aient que 50 ans. Il gère des affaires à partir de son bateau. Sur leur route, ils ont un tas d’amis, et ils s’arrêtent souvent pour quelques jours, avant de repartir. Et cette crique, ils s’y arrêtent pour y retrouver des complices pour des soirées intimes. Ici et à d’autres endroits. Du coup, il nous est arrivé, de passer deux jours avec eux, à vivre nus, sur le bateau le temps de descendre et de remonter dans un superbe village plus bas sur la cote, dîner au port, puis dodo et retour ici. Agnès et moi avons notre petite cabine, et le soir, soit nous restons avec eux, le temps de la soirée, soit nous descendons et les laissons tranquilles, soit l’inverse, eux en bas et nous sur le pont. Nous ne nous mêlons pas à leurs moments intimes… Par contre vivre nus, tous ensemble sur un bateau, du matin au soir, avec dans l’esprit, qu’ils partagent les cabines et que nous le savons, que nous l’apercevons aussi, donne une petite ambiance électrique plutôt agréable.


Cette année, Fabien est venu nous rejoindre une semaine. Il est donc venu avec nous sur le voilier. Et cette fois nous aussi avons nos moments intimes. La journée nous avons fait l’amour tous les trois en cabine, et le soir, sur le pont du voilier, les parents et le couple en bas. Sur les deux jours de la ballade, il était rare qu’il n’y ait pas un moment sensible.


Le couple nous regardait avec gourmandise, sans trop cacher parfois leur envie de nous inviter, mais ils n’ont rien osé demander. Malgré la complicité très visible entre mes parents et moi, et parfois presque ambiguë, ils n’imaginaient pas me voir mêlée à leurs jeux, même s’ils voyaient que je jouais aussi de mon côté, sans complexes. À regret sûrement, à sentir son regard courir sur moi, pendant ce court séjour. Ce dont je ne me plaignais pas et dont je jouais avec toujours le même plaisir. Encore une fois, une complicité installée, et un respect mutuel. Je pense que sans la présence des parents, ils m’auraient invitée à jouer avec eux. Agnès et Fabien aussi évidement.


Cette année, mes parents ont découvert, avec un peu de surprise, la nudité de Fabien, le premier jour, dans le jardin, et sur le pont du voilier, quand nous l’embêtions un peu au point de l’obliger à plonger pour se calmer, maman regardait les débuts de réaction de son sexe avec des yeux gourmands. Ou bien quand nous étions dans l’eau, à nager autour du bateau, et que par moment l’une ou l’autre s’amusait à le câliner, et qu’elle regardait par-dessus bord, alors qu’il était « en main » et en forme…


Jusqu’au moment, cet après-midi, où il dormait sur un transat, et qu’Agnès, à ses côtés, dormait avec une main posé sur la cuisse, presqu’à toucher le beau membre bronzé. Ce qu’elle faisait avant de dormir d’ailleurs. Elle m’a dit en riant que nous ne devions pas nous ennuyer avec lui, les yeux fixés sur son superbe membre tout lisse, et tout doré. Un gros bisou complice pour lui répondre… Il est vrai que de regarder ce corps musclé, lisse, doré, nu au soleil, et ce sexe sublime, pouvait donner des envies. Le couple, sur des transats également, le regardait. Elle fixait elle aussi notre « amant », et comme elle savait qu’on le partageait toutes les deux, elle regardait Agnès et me regardait, avec une envie évidente de le goûter à son tour. Mais des deux jours, même si l’ambiance était très « sexuelle », et qu’aux repas les conversations portaient généralement sur les joies du libertinage, ils n’ont rien tenté ni même demandé, juste suggéré. On savait tous, on en parlait, que nous faisions tous l’amour entre nous, et eux entre eux, mais la filiation nous interdisait d’aller au delà. L’ambiance était de toute façon bien assez électrique, et bien plus chaude qu’on ne pourrait déjà imaginer dans cette situation. Et c’était déjà très agréable à vivre.


Voila l’ambiance de notre crique. Un endroit à la fois très calme, avec une tendance un peu sexy la journée, et parfois torride en soirée. Sexy la journée, car par rapport aux plages, même nudistes, de la ville, on peut se permettre des attitudes bien plus intimes, comme s’embrasser chaleureusement avec Agnès, laissant nos mains courir sur nos corps. Il arrive qu’en reprenant nos esprits et une attitude plus normale, on s’aperçoive que les voisins de plages nous regardent, profitant simplement du spectacle, même si ce n’est pas très méchant. Et que nous remarquons parfois un sexe tendu grâce à nous. Cela se termine généralement par un rire et une boutade.


J’irai encore souvent « chez moi », là-bas…