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Temps de lecture estimé : 23 mn
25/04/10
Résumé:  Nos expériences depuis que nous somme quatre à partager le plaisir...
Critères:  
Auteur : Julia_bleau            Envoi mini-message

Série : Découvertes...

Chapitre 04 / 10
Expérience (4)

Annonce de l’éditeur : Il a été conseillé à l’auteur de commencer son récit par un résumé des épisodes précédents, d’en revoir la première partie, trop longue, répétitive et qui n’apporte pas grand chose à la série et de relire le tout avec soin de manière à éliminer quelques fautes d’orthographe. L’auteur n’a rien fait de cela. Nous publions donc son texte sans autre intervention qu’un passage à la correction automatique.








Nos expériences



Cela fait quelques temps donc que nous partageons Agnès et moi, nos deux compagnons, Cédric et Fabien. Au début avec Cédric, puis ensuite Fabien, mon coach de tennis, qui s’est joint à nous, un soir, après une soirée au restaurant.


Notre complicité est bien installée maintenant avec nos amants. Il nous arrive fréquemment de nous organiser une soirée ou une journée, entre nous. Ou parfois avec l’un ou l’autre, et même plus rarement, je peux me retrouver seule avec eux ou l’un d’eux. Et si parfois je me donne à eux sans la présence d’Agnès, je lui raconte ensuite les détails et nous faisons l’amour en pensant à nos amants.


Le fait d’être seule avec mes 2 amis, me procure des plaisirs encore différents. Je suis comblée et le sujet de toutes les attentions. Ça n’arrive que très rarement, mais j’avoue que dans ces cas là, deux sexes pour moi toute seule, c’est une expérience superbe et des moments très intenses. Je suis la reine de la soirée. Je peux donner du plaisir aux deux, et je peux aussi prendre un plaisir immense, en passant de l’un à l’autre, je me fais prendre deux fois plus longuement. Je peux profiter d’une faiblesse de l’un pour continuer avec l’autre. Je peux aussi sucer mes deux compères, jouer avec leurs queues, recevoir deux plaisirs en moi. Ils sont à moi. Leurs sexes aussi. La princesse et ses deux courtisans. Et ils me font jouir comme je ne pensais pas qu’il soit possible. Et toujours, et surtout, avec du respect, de la tendresse, et de l’humour. On fait l’amour, on « baise », mais on s’amuse avant tout. Rien à voir avec ces ambiances lourdes que j’ai pu voir dans la plupart des films pornos.


Et puis je peux aussi me donner aux deux en même temps. Avec Agnès nous le faisons aussi, mais là, ils ne me lâchent pas rapidement pour ne pas la laisser seule. J’aime bien, étant allongée sur le coté, enfouir Fabien dans mon sexe, et Cédric, derrière moi, arrive parfois à le rejoindre un peu, ce qui m’ouvre comme je ne pensais pas qu’il était possible. Deux queues dans ma petite chatte. Dont une énorme ! Un régal ! Ils n’ont aucuns soucis à se retrouver en moi, sexe contre sexe. Ils ont réussi à apprécier en fait le contact de leurs sexes l’un sur l’autre. Depuis, d’ailleurs, il arrive qu’ils se branlent mutuellement, et depuis peu, ils se prennent en bouche, et les voir se sucer pour nous, est un nouveau plaisir immense. Ils avouent y prendre goût, même si ils ne le font qu’en notre présence. Comme une libération supplémentaire. Un autre plaisir. Ils s’affirment, entre nous, comme « bisexuels », peut être… Du moins entre eux deux.


Soit aussi, si Fabien me pénètre, lui me prend par mon petit trou, que je lui offre volontiers, et je me retrouve prise par 2 sexes en même temps. Sensation extraordinaire ! Déjà le sentir m’embrasser et jouer de sa langue me transporte, surtout quand Fabien est déjà en place. Puis sentir comme il vient me prendre à son tour, en douceur, et s’enfoncer. Ensuite, sentir deux queues bouger en moi, comme une seule. Il faut toujours un petit moment pour que je m’adapte à eux deux, et ensuite ils me prennent, règlent leur rythme pour ne pas monter en même temps en moi. Et je pars dans des délires fous ! Et pour eux, c’est un fantasme très fort. Une situation délicieuse. Fabien ne peut venir derrière, dans ces moments là. Trop gros. Il y vient aussi mais seul. Mais avec eux deux, je me sens complètement remplie, je suis un sexe, et les 3 n’en font plus qu’un. Et s’ils arrivent à jouir en moi en même temps, je pousse souvent un cri énorme. Je suis transportée. Comblée comme il est impensable de l’être. Et cette position, allongée entre mes deux complices, blottie sur leurs corps rassurants, caressée avec douceur, et gentillesse, en même temps que leurs sexes sont au plus profond de moi, enfouis, chauds et heureux de se croiser dans mes intimités… Un régal !


Et puis cette complicité nous permet de nous dire des choses, d’essayer, de demander, et même de comprendre ce que les uns et les autres ressentent. On leur dit franchement ce qui nous fait plaisir, ce qui n’en procure pas, comment ils peuvent nous faire jouir avec tel ou tel geste, telle manière de lécher, de pénétrer etc. Et inversement comment nous, nous pouvons encore mieux leur donner du plaisir. Sorte de perfectionnement qu’il nous parait plus facile d’atteindre dans cet état d’esprit, que dans un cadre plus « classique ».


Et moi j’ai découvert à quel point avoir un sexe en bouche me donne du plaisir aussi. Je raffole avoir la queue de l’un ou l’autre sur ma langue. Cela me procure une sensation plus qu’agréable. C’est vivant un sexe en bouche ! Il y a un échange. Il répond aux coups de langue, aux sucions. Il dit quand il est bien. On sent le moment où il faut calmer, le moment où la pression monte, le moment où le plaisir va exploser.


Et avec eux, sous forme de jeux, j’ai appris progressivement à faire une fellation quasi parfaite. Ce que maintenant j’appelle mon « cadeau ». La fellation que je fais pour donner et prendre du plaisir. Pas celle que l’on fait pendant un acte d’amour, juste un intermède avant d’être prise ou après. LA fellation. Celle que l’on fait par plaisir, pour le plaisir, celle où l’on s’applique pour le bien des deux. Il m’arrive même de jouir en le faisant.


J’ai donc appris avec eux, ce tête à tête avec une queue. Ou je m’applique à n’utiliser que ma bouche, les mains restant à caresser et mon partenaire, et moi, quand je n’y tiens plus.

La fellation avec ma bouche, ma langue, une conversation intime avec cette bite qui se sent vite bien au fond de ma bouche. Lécher, mâcher, aspirer, sucer, doucement… Laisser cette queue trouver ma langue seule, prendre sa place au chaud, demander grâce ou demander à nouveau le nid tout chaud. La manger avec des petits coups de dents innocents mais au bon endroit. L’aspirer en la relâchant comme pour l’étirer plus. Jouer avec mon piercing sous le gland, endroit si délicat. Le piercing aussi dans le trou de ce gland quand il est bien gonflé. Piercing posé depuis peu pour ajouter à ces moments et aussi pour ajouter à nos moments intimes entre Agnès et moi. Regarder cette bite tomber de fatigue puis se redresser et réclamer un nouveau baiser avant d’être engloutie encore. Sentir ce membre à la fois dur et tendre, doux, chaud, palpitant, répondant aux appels de la langue. Et puis sentir, ses sursauts sur ma langue, ses contractions suite à un moment plus fort. Et sentir aussi quand elle va cesser de résister. Sentir si une pause va suffire, ou si au contraire il faut maintenant l’accompagner dans sa jouissance. Sentir la pression sous la langue, la vibration supplémentaire, la tension plus forte. Et provoquer en douceur, la crispation finale. Celle qui libère un jet puissant au fond de la bouche, et ensuite les autres jets moins violents et pourtant aussi merveilleux. Enfin, accompagner cette queue pendant qu’elle se décontracte, qu’elle se vide, qu’elle remercie pour le plaisir donné. Partager ou pas ce jus chaud avec son maître. La laisser un peu puis la reprendre, la lécher, et les derniers baisers quand elle se détend, qu’elle est chaude, calmée et toute propre.


Pour moi ce plaisir est immense aussi, et je sens souvent couler ce plaisir entre mes jambes. Mes mains viennent parfois me calmer et retournent sur le torse, le ventre ou les fesses de la victime. Pour certains, titiller ou plus l’anus les rends plus sensibles. Pas tous.


Depuis ces « séances de perfectionnement », comme on dit entre nous, ils me considèrent comme la reine de la fellation. J’en suis très contente. Agnès l’est tout autant, même si elle a apprécié ce geste avec moins de folie que moi. Et puis déguster pour ce faire la superbe queue de Fabien… La lécher sur la longueur, prendre ce gland en bouche, gros, tendre, et descendre ce membre au fond de la bouche. L’enfouir au mieux malgré sa taille. Il est tout doux, soyeux sur la langue. Il est très brûlant aussi. Le sucer avec Agnès est aussi un moment de bonheur intense. Et pour lui c’est merveilleux. Deux bouches pour le manger. Il se laisse dévorer en nous regardant l’engloutir. Son plaisir préféré.


On les guide aussi quand il s’agit de nous prendre. Et surtout quand ils nous lèchent. On leur dit, où, comment, sur quel rythme. Quel coin de notre minou il ne faut pas oublier, comment passer la langue au mieux, comment aspirer notre bouton, comment ne pas lui faire mal. Comment ce petit recoin est sensible. Comment embrasser notre chatte comme une bouche. Enfouir leur langue dans notre minou, et aussi lécher entre nos fesses et s’occuper de notre deuxième petit nid. Sentir leur langue humide, jouer avec cette intimité, procure toujours un frisson. Souvent, quand l’une se retrouve assise et empalée sur un sexe, un des deux autres vient, écarte gentiment les fesses, et vient embrasser avec beaucoup de tendresse ce petit nid serré, y enfouit sa langue jusqu’à ce qu’il se relâche et devienne accessible et très sensible aux baisers.


Et aussi pourquoi que cette position, soit assise sur leur bouche, nous donne tant de joie. Cela nous permet de gérer les gestes de façon précise. Et dans cette position, avoir le sexe qu’il nous brandisse sous les yeux ajoute au plaisir. Pour peu que la deuxième vienne soit le sucer ou s’empaler dessus…


Bref, voila comment avec nos deux complices, nous évoluons dans le plaisir du sexe. Du pur plaisir, sans vulgarité inutile. Sans contrainte. Sans que l’un d’entre nous ne soit à part. Ou inversement le centre du groupe. Et toujours avec de la joie, des moments de fous rires, même parfois au moment les plus forts. À en louper une jouissance arrivée à terme, que l’on reprend après avoir repris la situation. Bref, on s’amuse énormément et dans une parfaite entente.


***


Dans les moments de fous rires avec nos amis, il en est un de particulier. Pas le plus fou mais un moment très drôle et très sympa. Notre anniversaire puisque nous sommes proche de 3 semaines avec Agnès.


Fête à la maison, avec parents et amis proches, comme nos deux complices. Et puis un samedi au restaurant où nous invitons le reste de notre petit groupe d’amis proches. Les plus intimes. Les vrais. Même très intimes pour une amie, et un autre copain. Nous avons retenu une table dans un restaurant que nous connaissons bien. Cadeaux de la part de tous, comme il se fait, plus intimes pour d’autres. Et puis repas.


Au dessert, ils nous présentent tous un dernier cadeau. Etonnées, puisque nous étions déjà bien gâtées. Et leurs sourires à tous… inquiétant. Ils nous offrent un paquet pour nous deux. Long paquet avec écrit dessus nos 2 prénoms. Paquet peu discret car toutes les tables autour de nous, nous regardent. Impatients et curieux. Situation classique en fait, quand une table fête un anniversaire au restaurant. Le gâteau avec les bougies arrive en même temps, donc le restau entier nous fixe.


Et évidement après avoir soufflé les bougies, ensembles, et nous être embrassés, ce qui a permis au restau entier de comprendre que nous étions ensembles, et que nous fêtions ensemble. Les curiosités, et interrogations sont levées une bonne fois pour toute.


Et bien sur, le traditionnel :



Debout toutes les deux, on déchire le paquet. On cherche en même temps ce que ça pourrait être, mais pas trop d’idée. Papier déchiré, une boite grise, simple. Sans indication.

Le cadeau ! Le cadeau ! Bon, on essaye d’ouvrir la boite. Qu’est ce que ça peut être ?


Et on ouvre. Oups ! On referme ! Pliées de rire.


Le cadeau ! Le cadeau !


Evidement toutes les tables attendent. Alors on ouvre. Et on sort. Gênées un peu, mais pas trop, amusées oui énormément. On sort de la boite un énorme sex-toy ! Et les autres tables : On veut voir ! On veut voir !


Alors c’est un énorme gode à 2 têtes que l’on brandit toutes les deux au-dessus de nos têtes. Il est de couleur chair. Gigantesque. Un membre énorme, sur lequel même des veines son représentées, en relief. Proche de la réalité, du moins ressemblant, même si tout de même un peu gros. Nous sommes rouges un peu mais après tout, c’est très drôle. Plus de doute pour les autres clients.


Evidement, les tables proches de nous ont vu de suite. Certains se marrent et on comprit ce que c’était, et pourquoi on nous offrait ce jouet. Ils le comprennent définitivement quand ils nous voient nous embrasser à pleine bouche. D’autres semblent un peu choqués et replongent dans leurs assiettes. Pas grave. Une étiquette commerciale annonçait 45cm par 6cm ! De ce fait les commentaires sont de plus en plus précis. On nous qualifie de gourmandes.


Et pendant 10 minutes l’engin à circulé à la table avec tout ce qu’on peut imaginer comme commentaires. Il a même fait le tour du restaurant, et jusqu’aux cuisines, d’où on entendait nos prénoms. Les cuistots nous appelaient. Il y avait une petite étiquette qui pendait à chaque gland, avec une petite ficelle rouge, une au nom d’Agnès et l’autre au mien. C’est Fabien qui est allé nous le rechercher. Bref. Un fou rire collectif à notre compte dont on se souviendra longtemps.


En même temps, il est vrai qu’on s’est amusé avec quelques fois et que nous en avons tiré un certain plaisir. Allongées, face à face, et chacune empalée pas la moitié de cette queue a 2 têtes. En fait, les amis avaient trouvé un jouet très sympa. Nous n’avons pas trop de gadgets, si ce n’est chacune un chapelet de boules, achetées sur le net. Pour des sorties entre nous. Des ballades en ville, comblées avec ces boules, qui nous donnent du plaisir quand on ne s’y attend pas. Agnès a poussé un petit cri un jour en se faisant bousculer sur le trottoir. Son geste brusque avait déclenché un mouvement à ses boules… Le monsieur ne comprenait pas ce cri, décalé par rapport au moment ou il l’avait bousculé. Lui expliquer n’était pas possible. Plaisir à être assises à une terrasse et se faire du bien en croisant et décroisant les jambes.


Et ce jouet fut baptisé peu de temps après. Du jour de notre arrivée en vacances. Il était dans notre valise. Au fond, emballé dans une petite serviette. On l’a posé sur notre lit, avant de lui trouver une place. Et nous sommes parties aider maman dans la cuisine. Papa est allé ouvrir les robinets d’eau, pour notre douche. Bref. On n’a pas fait gaffe. Nous devions ranger après. Et le soir, avant de passer chez tonton, notre voisin, nous étions tous les 4 à installer le salon de jardin sur la terrasse. Et papa d’annoncer qu’il avait découvert un passager clandestin. Toutes étonnées, il nous précise que c’est un bicéphale… Et papa de partir dans un éclat de rire.


Il nous dit l’avoir croisé dans notre studio, et qu’il se prénomme Alfred !


Il ne nous a pas fallu longtemps pour comprendre. On est allé voir s’il était rangé malgré tout. Non, nous l’avions laissé sur le lit, comme si il nous attendait. On riait, même si on riait un peu moins que papa. Nous nous sentions un peu idiotes. Papa a du expliquer à maman car le soir au moment de partir au lit elle nous à lancé un : bonne nuit et à Alfred aussi ! Avec un grand sourire amusé.


***


C’est un mercredi de juin. Il fait très beau, et j’ai un match de tournoi dans un village pas loin de chez nous. Accompagnée de ma belle et de nos deux merveilleux complices. Ils sont la pour m’encourager et bien sur j’ai mis une belle tenue, super sexy. Ce qui fait que je suis très suivie des yeux pendant la matinée et j’en éprouve un sentiment immense. Humide.

On a prévu un pique nique pour le midi, pour profiter au mieux avant notre départ en vacances le week-end suivant. Après le match, c’est Fabien qui me retrouve au vestiaire, et qui me demande à l’oreille si je peux garder ma jupette qu’il trouve merveilleusement sexy, et une petite brassière, blanche, presque transparente. Ce qui me donne un air plutôt provoquant quand je sors du vestiaire. Il est heureux, et Agnès qui attend dehors avec Cédric, me voit parader au club house avec un regard amoureux. Comme souvent après les matchs, nous offrons un verre à l’adversaire malheureux, et celle que j’ai battue m’en veut plus d’être ainsi le centre d’intérêt que de son match perdu. Ça me plait encore plus. Je fais ma belle un moment, et je sens une chaleur au fond de moi.


J’ai gardé ma jupe, mais j’ai volontairement « oublié » de mettre autre chose. Mon minou est accessible, comme j’aime qu’il soit. Fabien le sait, et il s’assoit un moment pour cacher l’énorme bosse du à une érection terrible qu’il ne peut maîtriser. Assise au bar sur un tabouret haut, tous les yeux de tous les mecs qui sont là, sont fixés sur mes cuisses, et sur mes seins. Le soleil qui vient me caresser, donne de la transparence à ma brassière, et mes seins sont joliment dessinés. Les tétons percent le tissu. Belle, sexy et provocante à souhait. Si je pouvais je m’offrirais encore mieux à leurs regards mais c’est impossible, et de toute façon, ce moment de « parade » est déjà très fort. Un des parents venu accompagné une joueuse a du avoir la chance à un moment de voir ce que j’essaye malgré tout de cacher. À le voir chercher un endroit pour être face à moi, son regard, et la rougeur de ses joues. Il a sûrement aperçu mon minou humide. J’en suis encore plus excitée. Je le fixe un instant avec un joli sourire.


Puis on doit partir, et je traverse le club, embrassant toutes les personnes que je connais, et je sens les yeux dans mon dos comme une caresse sur mes fesses quand je sors. J’ajoute un peu à ma démarche. Sublime sensation. Nous rejoignons les autres, j’enlace ma belle et je remonte d’un coup sec ma jupe pour leur montrer comme je suis. Cédric se passe la langue sur les lèvres, et Agnès, se cachant derrière la voiture, nous montre son string qu’elle vient de quitter pour être comme moi. Les garçons sont aux anges. Leurs deux nanas, fesses et minous nus, prêtes à s’offrir a eux. Puis nous partons, Moi devant à côté de Fabien, jambes ouvertes, offerte à ses yeux et à sa main qui vient me chatouiller quand il peut se permettre. Agnès à l’arrière est dans les bras de Cédric et elle a sa main dans son bermuda, et le branle tendrement, pendant qu’il la fouille en l’embrassant et ils font presque l’amour dans la voiture. Ambiance chaleureuse !


Nous arrivons en forêt, un coin que nous connaissons tous, et moi en particulier. En semaine il n’y a quasiment personne. Je suis venue déjà avec mes parents et Agnès également, et surtout avec papa, faire bronzette, à l’abri des regards. Lui avait trouvé ce petit coin très sympa, derrière des rochers, en dehors des passages, et abriter par des grands arbres. On a passé quelques heures tous les deux, à papoter, nus. La première fois c’était tous ensemble, avec Agnès aussi, et comme les filles s’étaient mises seins nus, lui avait quitté son maillot, et du coup nous avions tous fait de même, pour une après midi au soleil, comme en Espagne dans notre jardin. Et ensuite quand je suis revenue avec lui, on se mettait nus de suite. Notre petit coin à nous. C’était comme sur nos plages, mais il y avait une ambiance particulière à se retrouver ainsi nus dans la nature. Un plus. Un plus très érotique. On restait des heures à papoter ainsi, et si les conversations devenaient quelques peu plus coquines, il ne pouvait cacher des débuts d’érections, et moi des chaleurs humides très fortes, dus en partie au cadre de la forêt et notre complicité. Moments émouvants. Moments intenses. Moments érotiques.


Donc, arrivés sur le parking, je décide naturellement de mener notre groupe à ce petit coin paradisiaque. À peine entrées sur le chemin dans la forêt, je chuchote à Agnès de faire comme moi, c’est-à-dire que nous quittons naturellement nos petits hauts. Et nous nous retrouvons juste vêtues de nos jupettes et de nos tennis. Les garçons, à la fois étonnés, mais surtout de plus en plus excités, nous promettent en riant de nous prendre ainsi sur les premiers rochers venus. Nous deux devant, eux derrière, à commenter bien fort le spectacle, nous avançons en nous tenant la main, seins au vent, et minous trempés. On fait les folles en tournant autour d’eux. Une satisfaction indescriptible. L’ambiance érotique du moment et du cadre fait son effet.


Arrivés au croisement d’un chemin, nous sommes parties à papoter sans faire attention à rien, et nous voyons arriver, par un petit sentier, deux cyclistes. Notre premier réflexe est de chercher à nous cacher, mais nos hauts sont dans les sacs portés par nos complices, et nous n’avons que nos mains pour le faire. On se tourne déjà, pour être de dos par rapport à eux, mais nos tenues sont tout de même bien légères. Nos jupes si courtes, même de loin, ne doivent pas les empêcher de comprendre que nous sommes presque nues. Alors en se marrant, nous refaisons face, et reprenons une allure toute naturelle, en nous tenant par la main. Prêtes à affronter ces promeneurs. Ils ne devraient pas s’offusquer du spectacle.


Ils arrivent à notre hauteur, et nous aperçoivent en levant la tête… Le 1er ouvre grand les yeux et la bouche en freinant, mais le second très surpris, a du mal à l’éviter. Ils se retrouvent presque hors du sentier, le second commence, en riant, à crier sur l’autre mais nous aperçoit également et se retrouve tout aussi ébahi que son copain…


Quelques secondes à rester ainsi avant de voir nos mecs derrière nous. Le spectacle peu habituel dans la forêt, même si il y a quelques coins connus des adeptes, où certains viennent faire un peu comme nous ou bien du nudisme sauvage. Ces endroits sont très rares en fait, je n’en connais qu’un, où se sont réfugiés les habitués d’une zone tolérée auparavant dans une base de loisir mais qui a été supprimée. À part aussi dans un coin où viennent quelques couples exhibitionnistes et surtout une faune homosexuelle, mais une ambiance trop glauque et trop vulgaire pour moi. Il est donc très rare de voir une fille seins nus dans cette forêt, alors deux…


Et là, ils sont soufflés nos cyclistes. Nous reprenons nos esprits nous aussi, et nous leurs adressons un sourire et un bonjour aimable auquel ils répondent en marmonnant. Nous poussons le jeu, tout en passant à leur niveau, à engager la conversation sur le beau temps et le côté agréable de notre belle foret. Nous nous arrêtons quelques instant à leur coté, ce qui leur permet de nous détailler au mieux. Et ils ne s’en privent pas. Une véritable auscultation. On ne comprend pas tout ce qu’ils nous répondent, hébétés. Puis ils nous détaillent complètement et échangent quelques mots aussi avec Cédric et Fabien mais sans nous lâcher du regard… Nous pensons avec Agnès, avoir remarqué de biens jolies bosses sur leurs shorts. Agnès a du mal à retenir un fou rire, et nous continuons sur le chemin en nous tenant par la main et nous retournant pour continuer de leur sourire gentiment. Eux sont arrêtés et nous détaillent sans bouger. Pétrifiés. Ne sachant sûrement quoi penser de ce qu’ils venaient de voir. Sûrement agréablement surpris quand même. Nos jupes raz les fesses, nos seins libres et caressés par le soleil. Allure de jeunes filles sans complexes et fières de leur effet.


À peine avons-nous disparus de leur vue, que nous les voyons revenir et nous doubler. En passant ils se retournent et continuent de rouler ainsi, sans quitter nos seins des yeux, et nous, avec malice, nous faisons en sorte de leur retourner des sourires très complices, voire coquins, nous paradons. Ils vont lentement, alors nous jouons à faire voler un peu nos jupes, qui sont déjà extrêmement courtes. Ce doit être pour eux un spectacle sublime. Ils doivent apercevoir sans soucis nos fesses nues. Pour moi, m’offrir ainsi, me déclenche un plaisir que je sens couler entre mes cuisses. Je suis aux anges également. Mes jeux sans dessous, en vacances surtout, me provoquent souvent ce genre d’émotion. Et là, en forêt, c’est une nouvelle fois très excitant. Une nouvelle expérience. Et comme entre eux et nous s’installe un petit moment de complicité, tout en fait un instant extrêmement sensuel.


Ce jeu que je pratique, et Agnès aussi, depuis un moment, et que nos deux compères nous demandent également, provoque une formidable sensation. Sensation partagée de plus entre nous, nos complices, et aussi avec ces spectateurs, même si ils ne savent pas, mais qui se demandent, et qui espèrent, surtout quand la jupe dévoile le dessous des fesses et que l’on ne sait pas si il n’y a rien ou uniquement un string… On a le sentiment de faire l’amour avec des regards. Etre nue la ou on ne s’attend pas à l’être, être accessible, offerte, avec l’impression de se donner… Nous le pratiquons souvent quand nous sommes tous les quatre, comme au cinéma, au restaurant, ou simplement aux terrasses ou lors de nos promenades. Des moments de tentations extrêmes pour les uns comme les autres.


Nous arrivons à notre petit coin, et il nous faut rentrer un peu en sous-bois. Les Vététistes, arrêtés bien plus loin, nous regardent disparaître à regret. Ils se doutent bien que si nous allons ainsi nous promener avec deux garçons, dans une tenue si sexy et si provocante, c’est sûrement pour aller faire l’amour à l’abri des regards. Ils n’ont pas tort.


Nous nous installons, sur des grandes serviettes de bains, préparons notre repas, tout en nous caressant mutuellement, et nos garçons, nus maintenant eux aussi, tout comme nous, sont dans un état d’excitation qui nous comble. J’entreprends une belle fellation sur Cédric, lui assis sur un rocher et moi debout devant lui. Agnès de même à Fabien sur le sol. Il est temps de calmer nos compagnons. Nous faisons l’amour ensuite, tous les quatre, mêlés, déchaînés, excités par le cadre, la situation, et toujours par l’envie que nous avons de le faire ensemble. Mélanger nos corps, nos sexes, se donner à l’un, à l’une, à deux en même temps. Ce sont toujours des instants inoubliables. Avant le repas nos complices nous ont fait jouir et eux ont explosé dans nos bouches avec des gémissements à réveiller les animaux des alentours. Puis nous mangeons, en repassant nos jupettes à leur demande. Leur plaisir de nous voir évoluer dans ces tenues excitantes.


Après le pique-nique, nous marchons un peu, autour de notre « base », pas trop loin pour ne pas risquer de rencontrer du monde, même si en semaine, à cet endroit, il y a très peu de promeneurs. Mais le but n’est pas de nous exhiber, et de plus, ce n’est pas vraiment autorisé. À quelques mètres de là, je me retrouve avec Fabien, Agnès est retournée se câliner avec Cédric. Un petit moment ou nous nous séparons. Moi avec ma jupette, quasi nue, et Fabien nu. Je me colle à lui, et je sens son serpent grossir sur mon ventre. Ce côté nus dans la nature nous excitent énormément, et peut être aussi ce soupçon d’interdit, peu classique, qui le rend superbement sensuel.


On s’embrasse, on s’enlace, je le masturbe gentiment, lui me caresse la poitrine avec gourmandise, m’embrasse les tétons, ce qui me fait chavirer et mon regard se perd dans la forêt. Et là, j’aperçois, sur le chemin, 2 vélos posés sur le sol. Je continue de jouer avec le serpent de Fabien en cherchant du regard si je voyais du monde. Et je finis par voir, assis sur un rocher, nos deux vététistes de ce matin, qui nous regardent en faisant mine de rien. Avec la végétation, je ne les vois que très peu. Et ils sont assez loin. Mais de ce que je peux voir, ils ont des bouteilles à la main, une petite serviette, torses nus, et ont l’air de se reposer avant de repartir. Ils ont du manger aussi dans la forêt. Je comprends vite qu’en fait ils nous ont cherché, trouvé, et essayaient, si possible, de profiter du spectacle, sans évidement se montrer. Ce qu’ils ont vu ce matin les a bien excité et ils ont du penser, à juste titre, que nous étions la pour nous faire plaisir. Mais bien sur ils n’osent pas trop s’approcher. De plus la carrure imposante de Fabien ne les incite pas à être téméraires. Peut être ont-ils déjà assisté à notre séance de la fin de matinée, quand nous étions tous les quatre mêlés et que rien autour de nous aurait pu nous distraire.


Je chuchote à Fabien ce que je viens de voir, tout en continuant à me frotter à lui. Il a un mouvement de recul, se disant qu’on devrait peut être retourner au petit coin avec les autres. Puis comme je m’en amuse, on se dit qu’ils n’ont rien de méchant, que nous n’avons pas à être ainsi ici, et que ni eux ni nous n’avions à craindre les uns des autres. Nous prenons le risque en étant ainsi, d’être vu, et eux, réflexe naturel, essaye de profiter gentiment de la situation. Le jeu classique du voyeur et de l’exhibitionniste. Alors, je reprends ma masturbation sur Fabien, collée à lui, mais on se déplace un peu, de façon à nous dévoiler un peu mieux. Je me tourne vers eux. Ils font semblant de ne pas voir, mais comme je ne tourne pas la tête, nos regards finissent par se croiser. Alors je leur lance un grand sourire, complice, amusé. J’ai envie qu’ils me regardent. Qu’ils savourent cet instant de plaisir. Une façon de faire l’amour avec eux aussi. Ils sont un peu figés, mais ne quittent pas leur rocher.


Du coup je reprends mon activité. Fabien se marre et est aussi dans un état d’excitation très forte. Son énorme sexe, de loin, doit être bien visible pour eux. Du coup je me penche et l’absorbe avec douceur et commence à le sucer comme j’aime le faire. Nous sommes de profil pour les « voyeurs », et de temps à autres, je les regarde, leur souris avant d‘engloutir la queue de fabien. Ma main sur mon sexe, je me fouille avec délice. Et nous restons ainsi un moment. Je suis à la fois troublée, excitée, et avec ce sentiment incroyable de me savoir observée, occupée à sucer mon copain en foret, sous les yeux d’inconnus. Je coule au point d’arrêter un moment et de m’essuyer avec ma jupette. Je reprends ma fellation avec ardeur jusqu’a sentir que Fabien arrive à un moment sensible. Il me demande de stopper. Il veut profiter encore. Même si la journée n’est pas terminée.


Je regarde nos cyclistes qui n’ont pas bougé et qui semblent abasourdis et heureux du spectacle. Avec fabien nous reprenons notre petite « ballade », jusqu’à un autre rocher, dégagé, et plus près cette fois de nos voyeurs. La distance leur permet de bien nous discerner, le rocher étant au soleil, visible. Je quitte ma jupe et me retrouve nue, et nous nous asseyons sur le rocher. Presque face aux voyeurs. Assise les jambes écartées, et Fabien me fouille. Il descend me lécher et j’en profite pour sourire aux autres, en leur faisant comprendre qu’ils peuvent profiter, et que cela ne me dérange pas. Je me caresse les seins, la tête de Fabien entre mes jambes. Je gémis sous les coups de langue. Je chavire de bonheur, les yeux un peu perdus mais je croise leurs regards et cela me donne encore plus de plaisir.


Puis il remonte et commence à me prendre, assise, offerte. La distance étant plus courte que tout à l’heure, ils voient le gros sexe de mon amant me pénétrer, me bousculer, et je commence à gémir et succomber aux coups de queue. Et là je m’aperçois qu’ils se masturbent. Ils ont quitté leurs shorts, debout, leurs sexes droits et se branlent au rythme de mon plaisir. Je ne me retiens plus trop mais je calme un peu Fabien. Je veux m’offrir encore mieux.


Je me pends à son cou, m’empale sur sa queue, et il me tient sous les fesses, mes jambes autour de lui. Debout. Il me reprend avec ardeur et je fais en sorte de nous tourner. Je sais bien que dans cette position, les autres ont une vue sur mes fesses et ma chatte ouverte qui absorbe la queue immense de Fabien en montant et descendant, parfois lentement, parfois avec vigueur.


Nous restons un moment ainsi. Parfois je me retourne pour m’assurer qu’ils sont encore la. J’ai trop envie qu’ils me voient faire l’amour. Dans cette position je me sens prise et comblée. Je vibre, je suis en sueur et au bord d’un plaisir que je sens immense. Je suis empalée sur ce sexe immense et je remonte au plus haut pour me laisser retomber avec à chaque fois un cri de bonheur. Il entre en moi avec énergie et il gémit aussi très fort. On se déchaîne de plus en plus. Le soleil, la nature et nos spectateurs ajoutent au plaisir. Je le sens de façon extraordinaire dans cette position. Ecartée. Collée à lui pour ne faire qu’un.


Puis, en les regardant, je jouis. Avec un petit cri quand fabien se crispe au fond de moi. Il a jouit vite aussi lui. Excité de la situation. Nous restons quelques instant, lui en moi, moi trempée et de sueur et de nos jus respectif, et je regarde les deux cyclistes, qui, du coup jouissent en même temps à leur tour, avec un petit sourire entendu. Je reprends mes esprits et leur adresse mon sourire également, et un petit signe de la main, pour leur dire au revoir. Et nous repartons, nus, suivi des yeux, jusqu’à disparaître à nouveaux et retrouver Agnès et Cédric, qui eux aussi ont fait l’amour sans nous et a qui nous racontons notre exhibition.


Nous avons refait l’amour tout les quatre, dans l’après midi, en regardant si nous voyions nos vététistes, mais non. Pourtant il m’a semblé un moment assise et empalée sur Cédric, voir quelque chose juste derrière les rochers. Pas certaine, mais je le souhaitais quand même. Cela m’excitait encore plus des les imaginer, se branler en nous observant. Je me suis amusé un moment à venir m’appuyer sur un arbre bien en vue, et me faire prendre debout, comme un cadeau aux visiteurs. Et ensuite, avec cette idée dans la tête, me suis arrangée pour me faire prendre assise dos aux rochers, sur Fabien. Me disant qu’ils pouvaient voir ainsi comment cette queue immense me prenait et m’écartait à merveilles. J’ai jouis cette fois en pensant leur offrir mon plaisir. Immense plaisir. Je ne sais pas s’ils étaient là, mais je le voulais très fortement.


Et nous somme repartis, toujours si peu vêtues, heureuses encore une fois de notre journée torride, et sur le chemin, nous avons à nouveau été dépassés par nos voyeurs. Ils étaient donc toujours dans le secteur, et ont du profiter de nos folies, cachés, à voir comment nous partagions nos hommes et comment nous faisions l’amour, à 2, à 3 ou à 4, prises ensembles, ou séparément ou avec 2 sexes en nous. En passant, un des deux nous a salué, m’a sourit avec insistance et a fini par lever un pouce, comme un signe de reconnaissance et de remerciement pour le spectacle inoubliable.


C’est là que je me suis rendue compte que je connaissais ce visage, mais sans savoir exactement où j’avais pu le croiser. Petite crainte passagère avant de me dire qu’après tout… Et c’est en rentrant de vacances, plus tard, au moment de payer un repas pris dans une pizzeria du coin, que le garçon me dit que c’était offert par le patron… Pas trop décidée à me laisser draguer de la sorte, je suis allée le voir, et arrivée au bar, je reconnais mon vététiste… Gros moment de solitude ! Puis en le remerciant, gros éclat de rire de tous les deux, et lui de me dire en riant que c’était lui qui me remerciait.

Un peu gênée sur le coup, un peu peur qu’il raconte ou je ne sais quoi. Puis on a papoté un petit moment, sans allusion. Seuls nos sourires et nos regards brillants évoquaient le moment passé en forêt. J’ai compris qu’il gardait en mémoire mon spectacle offert ce jour là. La seule phrase en partant et en rapport à cette belle journée, fut de me dire qu’il roulait toujours en foret, et en pensant à moi. Emue. Humide.


Je suis retournée depuis, et à chaque fois, je ressens une chaleur et une gentille excitation en repensant à ce moment partagé avec un inconnu. Jamais il n’a cherché à me rencontrer ou autre. Il a respecté notre secret et le respecte toujours.