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n° 13853Fiche technique21078 caractères21078
Temps de lecture estimé : 12 mn
09/05/10
Résumé:  Une femme jusqu'alors fidèle découvre le libertinage. Lors du dernier épisode, alors qu'elle se préparait pour une soirée multiple elle réalisa l'impact qu'avait sur elle un de ses amants favoris... Voici le début de leur relation.
Critères:  fh fhhh fépilée hotel boitenuit fsoumise voir exhib noculotte fellation préservati pénétratio fsodo gangbang yeuxbandés journal
Auteur : Hélème Q            Envoi mini-message

Série : Mémoires d'une coquine

Chapitre 03
Un amant...

En fait, cet amant n’avait au départ rien d’unique mais il avait toujours été singulier. Leur rencontre s’était faite par le biais d’un site échangiste où elle glanait ses partenaires expérimentés alors qu’elle était encore mariée. Elle cherchait à s’épanouir sexuellement sans remettre en question son couple. Il était dans la même quête et l’avait contactée. Leurs premiers échanges avaient été directs :


Lui : Et si nous allions déjeuner ensemble histoire de faire connaissance ?

Elle : Je ne cherche pas à manger mais à coucher, c’est une très bonne façon de faire connaissance à mes yeux !

Lui : Comme mon annonce le dit je cherche uniquement une coquine qui aime les jeux sexuels, ma finalité est donc de te manger TOI, toute crue. Si tu es coquine et que des affinités semblent possibles il y a toujours moyen de se libérer pour valider à l’horizontale qu’on se plaît sexuellement.

Elle : OK pour une rencontre coquine histoire de se mettre en bouche, même si je ne me nourris pas que d’amour et d’eau fraîche : pour preuve quelques rondeurs !


Rendez-vous fut pris.


Avec la ponctualité d’un horloger, il sonna à la porte à l’heure précise. Sans ambages, elle l’emmena dans la chambre où il prit d’emblée les choses en main l’effeuillant tranquillement mais sûrement. Il retira un à un les boutons de son gilet, dévoilant progressivement le soutien-gorge balconnant qu’il dégrafa de main de maître, mettant à nu la poitrine fermement dressée.



Il les embrassa délicatement et d’une caresse légère la faisant frissonner ajouta :



Sans changer de rythme et toujours avec le sourire, il fit descendre la jupe le long des jambes et la posa sur la commode délicatement. Sa main se faisait caressante dans un entrejambe déjà humide.



Et le morceau d’étoffe rejoignit la jupe sur le meuble. Écartant délicatement les lèvres avec les doigts :



Elle s’exécuta docilement. Son cœur battait à tout rompre. Elle lui avait dit qu’elle ne voulait pas de rapports SM et il lui avait promis de la domination douce : elle se sentait déjà en confiance entre ces mains expertes, ce regard envoûtant et ce sourire enjôleur.



Elle continua de faire ce qu’il lui demandait, surprise par l’excitation que la situation lui procurait.



Pour la mener un peu plus loin encore dans l’impudeur, il lui écarta les fesses et approcha son visage.



Elle était nue, tous orifices offerts à son regard. Il était habillé. Le décor était planté. Elle savoura la situation, consciente que ces compliments relevaient plus de la courtoise séduction que d’un réel compliment. Peu importe c’était bon à entendre !



Elle se retrouva face à lui, et à son tour commença l’effeuillage. Leurs visages s’effleurèrent.



C’était une des conditions qu’elle avait posées : les lèvres étaient réservées au conjoint (quelle idée : son mari n’avait jamais su l’embrasser correctement, mais il fallait bien fixer des cadres !) Sourires. Ils évitèrent soigneusement la bouche déposant de tendres baisers sur le reste du visage. Elle se blottit contre lui, s’imprégnant de sa douce odeur. Le léger picotement d’une barbe naissante frôlant son cou la fit frémir. Très vite, elle céda à la tentation et offrit sa bouche comme elle offrirait le reste… sans retenue. Les règles ne sont faites que pour être transgressées n’est-ce pas ?

Une fois qu’elle l’eut déshabillé, elle se baissa et le prit délicatement en bouche. « Jolie queue bien propre » pensa-t-elle.



Il lui fit l’amour à merveille.



Il prit son temps. Détendit sa rose avec quelques doigts et tout doucement la pénétra. Si délicatement qu’elle ne perçut aucune tension, étonnée de le sentir aller et venir à sa guise et commencer à frissonner de plaisir. Pendant qu’il la besognait, elle ponctuait la discussion par ses gémissements de plaisir.



Il ne se fit pas prier et continua de la faire jouir dans tous les sens jusqu’à plus soif. À chaque étape, il prenait le temps de regarder, commenter son cul, sa chatte, ses seins, sa peau, les gestes qu’ils faisaient ou qu’ils feraient lorsqu’ils seraient plusieurs. Les mots étaient posés avec simplicité. Elle était devenue l’objet de son désir, un objet féminin qu’il convoitait. Au moment de la quitter, en déposant un doux baiser sur ses lèvres, il passa la main sous sa jupe et caressa le slip à l’en faire plier de désir.


Elle n’attendait plus que son retour… mais souhaiterait-il la revoir ?


Les quelques courriels échangés dans la foulée ne laissèrent aucun doute :


Elle : Alors toi, tu sais faire monter le désir… et l’entretenir ! Et le coup de la caresse avant de partir : redoutable !-) Dis quand est-ce que tu reviens ?

Lui : C’est quand tu veux ma belle, cette rencontre a été très agréable. Il faut que je vérifie mes déplacements professionnels mais je pourrais commencer par exemple par être l’amant attitré du jeudi midi, avec reconduction d’une semaine sur l’autre selon nos envies… Je me fais déjà une joie de repasser te baiser recto/verso

PS : pour la prochaine fois, je t’ordonne de mettre ton slip dans le tiroir avant de m’ouvrir. Je veux pouvoir librement accéder à ta chatte et à ton cul dès mon arrivée ;-) À très bientôt.


C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent régulièrement chez elle pour des jeux érotiques torrides qui leur faisaient pétiller les yeux. Au bout de quelques temps, ils programmèrent une escapade en club, loin de chez eux pour ne pas être repérés.


Elle lui avait envoyé le numéro de la chambre d’hôtel par sms pendant qu’il travaillait et l’attendait comme il lui avait demandé, à quatre pattes sur le lit, une capote posée sur un fesse, yeux bandés, et nue salope (c’est-à-dire juste vêtue d’un relève seins, de bas et porte-jarretelles). Lorsqu’elle entendit la porte s’ouvrir, un frisson la parcourut. Il entra, déposa un baiser près du préservatif, fit remonter sa main le long de la colonne provoquant une vague ondulatoire dans le dos. Puis, il s’agenouilla face à elle pour poser l’embrasser tendrement.



Il lui planta la queue dans la bouche. Elle ne se lassait pas de dévorer ce sexe délicieux. Il ne fit pas durer le plaisir, ce moment n’était qu’une préparation à la sortie, une sorte de vérification des procédures pour voir si tout était opérationnel. Il se retira donc rapidement et repassant derrière elle, lui donna une petite tape sur la fesse. Ils rirent. Ils avaient plaisanté quelques jours auparavant sur sa façon d’entrer en scène ayant le choix entre un tendre baiser assorti de quelques mots doux susurrés à l’oreille et un tonitruant « Alors on va baiser salope ! » ponctué d’une claque sur la fesse. Elle aimait cette façon détendue de parler et faire l’amour sans grandiloquence même si parfois cela s’approchait de l’extase. Avec lui, elle s’autorisait à se laisser aller à son plaisir, sans se forcer à donner le change. Cela venait tout seul. Ce soir, les caresses étaient précises, il poursuivait sa vérification de l’accessibilité de chaque orifice par quelques brèves pénétrations. À chaque fois, elle recevait son sexe comme un cadeau qu’elle enveloppait avec délectation. Pendant qu’il la sodomisait, il retira son bandeau et l’invita à regarder dans le miroir face au lit. Elle put vérifier la beauté de cet homme et la chaleur de son sourire alors qu’il lui répétait qu’elle était une magnifique salope. Il la retourna et la prit dans la traditionnelle position du missionnaire.



La prenant au mot, il lui releva les jambes, les plaça sur ses épaules et changea le rythme de ses coups de reins. Elle cessa de badiner pour lâcher un feulement de plaisir. Son visage se métamorphosa. Il s’arrêta avant qu’elle ne monte trop haut, se retira. Ils s’enlacèrent et échangèrent un fougueux baiser.



Elle enfila un gilet très moulant qu’il pouvait ouvrir et fermer à loisir en jouant sur les boutons nacrés et une petite jupe légère facile à retrousser. Ils regagnèrent la voiture garée dans un parking souterrain du quartier et ce fut le début d’un feu d’artifice mémorable.


Dans l’escalier, la rue, le parking, la voiture, n’importe où, à n’importe quel moment, avec empressement ou délicatement, il retroussait sa jupette, ses doigts tâtaient sa chaude chatte offerte car évidemment, elle était d’une accessibilité absolue : ni string, ni slip. Les remous intérieurs que déclenchaient les mains baladeuses de son amant restaient invisibles extérieurement juste perceptibles par son frémissement. En voiture, elle essayait de rester concentrée sur la conduite dans cette ville qu’elle connaissait bien… mais cette main qui la caressait avec autant de précision ne cessait de la troubler. Elle réussit à les mener à bon port et se garer dans un créneau presque parfait !

À peine descendue sur le trottoir, il s’aventura plus profondément la faisant jouir, là, au milieu de la rue, entre ces immeubles où n’importe qui pouvait les voir. Tout son corps n’était que vibrations intenses, elle tentait de retenir ses gémissements mais il était trop fort, non seulement il ne lâchait pas, mais son excitation s’amplifiait. Elle capitula et poussa un cri, ses jambes se dérobèrent sous elle… Le plaisir ! Il la retint dans ses bras, l’aida à verrouiller la voiture et l’enlaça pour la mener jusqu’au club.


Elle n’avait jamais fréquenté ce genre de lieu. Cette soirée étant vouée au gang bang, elle avait une idée de ce qui l’attendait et n’en était pas effarouchée. Juste un peu curieuse. Une fois passées les formalités de l’accueil, ils suivirent le maître des lieux qui leur fit visiter l’endroit, expliquant les codes en usage. En particulier le principe de la chaîne qu’on accroche lorsqu’on souhaite être tranquille dans un coin câlin, s’offrant simplement aux regards et la possibilité de l’enlever pour signifier qu’on est prêt à partager. Ce bruit de la chaîne qu’on défait resterait comme un gimmick dans leur mémoire…

Ils repérèrent le lit rond et le coin câlin dont la cloison de barreaux métalliques laissait libre cours à leur imagination ainsi que les petits canapés dans le couloir et la piste de danse vide avec quelques barres. Elle ne se sentait pas du tout à l’aise pour danser ce soir. Ils allèrent prendre un verre. Quelques couples discutaient autour des tables basses, et les hommes seuls assis au comptoir échangeaient avec les patrons. Ils s’installèrent sur un canapé pour consommer. Il lui retroussa la jupe et écarta ses jambes pour offrir à la vue sa jolie chatte épilée et pouvoir jouer avec son petit bouton à volonté. Ainsi, d’un simple geste de la main, il pouvait entretenir son excitation comme on le fait pour la braise d’un feu. Très rapidement il déboutonna le haut du gilet, mettant à nu ses seins et l’invita à rejoindre le lit rond. Les tétons pointant comme des obus, elle passa ainsi devant le bar et traversa le couloir pour aller s’installer à quatre pattes, cuisses bien écartées et bouche entr’ouverte. Les hommes quittèrent le comptoir pour se placer autour d’elle. Son amant la prit par derrière tranquillement pendant qu’elle suçait chaque queue l’une après l’autre, étonnée de la rapidité avec laquelle ils jouissaient. Elle ne souhaitait pas les boire et recueillait leur sperme sur son visage offert dès qu’elle le sentait monter. Lorsqu’elle les eut tous achevés, elle avait reçu un joli masque régénérant pour la peau !


Son amant lui donna ensuite le choix de l’attraction suivante. Elle l’invita à rejoindre l’alcôve du sous-sol. Il accrocha la chaîne et s’assit sur le lit alors qu’elle se plaça debout contre la grille face à lui. Corps tendu, jambes et bras écartés, offerte à sa gourmandise elle savoura sensuellement ses caresses et baisers pendant que secrètement dans son dos des petites mains osaient s’aventurer. Sur les bords d’abord, dans des zones plus osées ensuite, plus érotiques. Tous ses sens étaient en éveil. Il stoppa. Ce n’était qu’une mise en bouche !


Il l’invita à venir le sucer sur la couche, puis s’allongeant contre elle la prit dans ses bras et lui demanda de se masturber. Derrière la grille, les hommes les regardaient. Elle posa deux doigts sur son clito, sans bouger. Juste pour le sentir vibrer. Puis petit à petit elle commença à le caresser par petits mouvements circulaires. Le plaisir était caché là, elle le faisait grandir.



Elle s’exécuta sans arrêter sa caresse qu’elle intensifia jusqu’au moment où l’excitation était telle qu’elle se replia sur elle-même envahie par les spasmes. Il lui demanda de se relever et faire face aux hommes. Elle ajusta sa position : dos plat et fesses offertes au sexe bandant de son amant. Il posa un préservatif sur sa hanche et glissa un sachet de lubrifiant entre ses dents… sourires complices : la salope était prête et savait comment elle serait dévorée ! Mains sur la grille, masturbant les queues qui se présentaient, ses seins pendaient lourdement, les tétons toujours dressés fermement, quelques mains passaient pour les escagasser. Il la baisa longuement. Elle gémissait. Visiblement le spectacle plaisait ! Il la plaça en levrette sur la couche, fesses bien offertes en direction des spectateurs. Elle reconnut le bruit bien particulier de la chaîne qui tombe sur le sol.



Et voilà nos quidams faisant preuve d’une timidité imprévue ! Cela ne dura pas longtemps. Un premier finit par se lancer et osa venir goûter : elle sentit sa queue s’enfoncer en elle pendant que son amant lui offrait la sienne à sucer. Les hommes se suivraient ainsi sans qu’elle ne puisse les compter. À la chaîne ils fourraient leur sexe dans sa chatte qui les dévorait l’un après l’autre goulûment, passionnément, voluptueusement. Elle prit un plaisir plein de jouissances multiples.

Avant de remonter, ils firent une pause dans la loge voisine où deux couples faisaient l’amour tranquillement, côte à côte. Pas d’échange possible visiblement. Elle s’assit de manière impudique sur la banquette du couloir. Ses genoux écartés ne laissaient aucun doute sur son accessibilité. Les promeneurs ne s’y trompèrent pas et vinrent l’honorer de leurs tendres caresses. Pendant qu’un s’occupait de sa poitrine, un autre lui dévorait la chatte avec douceur et précision. Un troisième avait entrepris de prendre son pied, retirant la chaussure et prodiguant des caresses décuplant les plaisirs alentours. Telle Cendrillon, au moment de changer d’endroit, elle avait perdu une chaussure que son prince de l’instant lui tendit dans un grand sourire.


De retour à l’étage après une pause rafraîchissante, son amant l’installa de nouveau à quatre pattes sur le lit rond et lui donna sa queue à sucer.



Ils furent plus rapides à s’engager : la glace avait été rompue ! L’un d’entre eux fut tellement habile qu’elle prit un pied retentissant : elle en frissonne encore ! Son amant quitta sa bouche et repassant derrière elle.



Elle se remit à l’œuvre, consciente que cette fois-ci, d’autres pourraient la tringler :

Une pipe il jouit.

Une queue la fourrait, la baisait, la tringlait.

Une pipe il jouit.

Qu’est-ce qu’elle est douce !

Une pipe il jouit.

Qu’est-ce qu’elle suce bien !

Des doigts, des mains palpaient ses seins.

Une pipe il jouit.

Des voix commentaient comme ils sont bien tendus toujours excités !

Une pipe il jouit.

Elle reconnut la queue de son amant dans sa chatte.

Une pipe il jouit.

Son va-et-vient aux rythmes divers la faisait gémir…

Une pipe elle jouit et s’affala sur le milieu du lit !

Repue.


Un petit coup au bar et retour à l’hôtel.


La soirée n’était pas terminée. C’était SA nuit… Il lui avait promis : il tint parole !

Cette fois, c’est complètement nus qu’ils se redécouvrirent avec passion, enchaînant naturellement chaque position, déclinant à l’envi les différentes options. Elle gardait en tête l’impératif du lendemain… ou plutôt dans quelques heures : il fallait retourner au turbin !



Elle passa dessus, l’enserra dans son sexe, le sentant sans discontinuer, c’était étourdissant ! Elle n’avait jamais connu cela auparavant.



Le feu ne s’éteint pas. Il continuait à la bercer de ses mots dans cette étreinte sans fin.



L’étau de son plaisir se resserrait sur sa queue infatigable. Elle crut mourir !



Ils se calmèrent. Tête posée sur son ventre, elle le suça avec délectation. Il vint à la rescousse avec sa main pendant que de son côté, elle essayait d’apaiser les remous de son bas ventre. Leurs excitations s’intensifièrent et ils se masturbèrent ainsi jusqu’à la jouissance commune, puissante et grisante. Elle le but comme un nectar : sa semence était aussi douce et généreuse que son sourire. Il remonta la couverture…


Au retour de cette escapade, elle prit conscience qu’il avait placé la barre très haut et eut la certitude qu’il serait très difficile de succéder à un tel amant.