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Temps de lecture estimé : 18 mn
17/06/10
Résumé:  Carine apprend la raison des disparitions de Steven, et entre alors en guerre contre belle-maman.
Critères:  fh hagé jeunes jardin exhib noculotte fmast intermast fellation pénétratio confession humour -exhib
Auteur : Nounours4      Envoi mini-message

Série : Carine

Chapitre 03
Carine manipulatrice

Résumé des épisodes précédents : Carine, abandonnée, s’est retrouvée un autre prince charmant, Steven, mais celui-ci disparaît le soir et les week-ends. Notre provinciale favorite poursuit sa relation avec, en essayant d’en prendre le contrôle.



**/**



Vendredi matin, je me rends à l’ONEM. J’y fais état du changement d’adresse de Max et de ma participation à des cours donnant la possibilité d’avoir un contrat de travail en fin de session. Je continuerai de percevoir les allocations de chômage durant la période des cours. Enfin une bonne nouvelle ! Vers 13 h, je rentre. Steven sonne une demi-heure après. Il a encore la moitié de la bouche paralysée, suite à l’anesthésie dentaire. Je lui fais une bise.


Nous nous installons dans le canapé devant la télé. Après quelques instants d’hésitation, je me lance :



(note de l’auteur : pour la bonne compréhension du récit, je vais traduire directement en langage « mâchoire non endormie »)



Nous nous faisons quelques câlins et, à 18 h comme à l’habitude, il s’en va. Samedi après-midi, il part en week-end avec ses parents. Je ne le verrai donc que lundi matin pour aller aux cours.


Il en a, j’ai eu l’occasion de les observer de près ! Mais elles ne doivent pas encore être bien branchées. Elles me servent juste de sex-toy et pas encore à avoir un « homme » près de moi. Probablement qu’en rentrant à la maison, sa mère les lui enlève et les suspend dans l’armoire. Je sens déjà que ça va être l’amour fou entre belle-maman et moi.


**/**


7 h 30, samedi. Je me lève pour aller faire le ménage au rez-de-chaussée chez le proprio. Je prends le temps de déjeuner. Mon humeur oscille entre joie et mélancolie à l’idée que je ne verrai plus mon sex-toy avant lundi.


Je file dans la salle de bains puis je vais dans la chambre me préparer. J’ai déjà enfilé le bas de mon survêtement, quand je me rappelle la demande du vieux cochon. Comme je n’ai, comme jupe qui m’arrive au-dessus du genou, que le mini paréo et la jupe que je vais porter pour le travail, j’hésite un moment puis noue le mini paréo autour de ma taille. Pour le haut, je mets un t-shirt sans manches que Max m’a laissé. Je sonne en bas à 8 h 40.



M. Gérard a la bouche grande ouverte devant ma tenue. Il me fait penser au loup de Tex Avery. Je suis sûre qu’il n’en a plus rien à faire des dix minutes de retard. J’ai peut-être fait un peu fort avec la jupe et le t-shirt. Tant pis, j’assume ! Et de m’avancer pour lui faire la bise en rentrant mes épaules pour que le décolleté de mon haut baille encore plus. Finalement, vieux ou jeunes, une paire de jambes et un décolleté et ils sont à notre service.


Aujourd’hui, on commence par la vaisselle puis, la cuisine étant encore presque en ordre, on nettoie à fond la salle à manger. Je dis on, parce que M. Gérard a tenu à sécher la vaisselle pendant que je la lave.

Maintenant je fais les poussières partout dans la pièce, et il me suit presque pas à pas. Les poussières finies, je balaie la pièce et prépare un seau d’eau pour laver le sol.



Je deviens rouge. Je ne sais plus comment me mettre. Accroupie devant l’armoire, ma jupe découvre ma jambe jusqu’à mon slip de dentelle, et par la même occasion dévoile mon entrejambe à peine couvert. À genoux devant l’armoire, je lui sors les caisses, qu’il récupère en matant mon décolleté qui laisse apparaître mes seins, libres de toutes entraves. J’ai de plus en plus chaud, je suis sûre que par moment, il doit voir la tache humide sur ma culotte.


Il me sort une brosse à récurer et me demande de récurer le sol de toutes les marques laissées par des années de poussière. Je passe donc une partie de la matinée à quatre pattes à récurer sous les armoires avec ce vieux cochon qui ne doit pas en rater une en restant derrière moi assis dans son fauteuil. Ma jupe ne doit rien cacher de mes fesses, ni de mon slip de dentelles.


Ensuite passage à l’eau et rinçage. Pendant ce temps, il va s’occuper à la cuisine. Quand j’ai terminé la pièce, il m’appelle. Il a installé deux assiettes sur la petite table de cuisine et a fait chauffer des pâtes et de la bolognaise.



Et il nous sert deux assiettes pleines. En versant sa louche de sauce, quelques gouttes éclaboussent mon t-shirt.



Et il attrape une serviette près de l’évier, la mouille et avant que j’aie compris, il soulève le bas du t-shirt et commence à frotter les taches de celui-ci.



Je ne sais quoi dire, ni comment réagir. Par contre mon corps, lui, le sait, mes pointes de seins s’allongent et ma rivière intime se met à couler. Pas encore satisfait, il me tire devant l’évier et continue son nettoyage à grande eau, frottant par-dessus un peu partout. Malgré moi, je commence à prendre plaisir à ses manœuvres, surtout que jusque là, si sa main est entre mes seins et mon t-shirt, il ne m’a pas encore touchée. Quand je vois soudain son regard à l’intérieur de mon décolleté qui doit bien être écarté de 30 cm, je sens une pointe de plaisir prendre vie entre mes jambes qui flageolent, me faisant perdre pied. Le dos de sa main en s’enlevant, frotte un de mes seins, renforçant ma jouissance. Je termine essoufflée soutenue par une main sur mes hanches, l’autre à la limite entre mon sein et mon dos.



Je termine le repas avec un t-shirt transparent et autant d’humidité entre les cuisses. Il est 15 h quand je quitte M. Gérard.



Je viens de recevoir au total deux billets de 50, cela valait vraiment la peine que Ducros se décarcasse. Et en plus, j’y ai pris du plaisir. N’empêche, je ne suis pas trop fière en remontant les escaliers avec mon haut encore mouillé. Je ne croise personne. J’en suis presque déçue. La fin de la journée se passe avec mon nettoyage. Si je retravaille, je n’aurai presque pas le temps ou l’envie de le faire après le boulot.


En soirée, je me fais une toile. Je vais voir les « ch’tis », je rigole comme une baleine, et je ne suis pas la seule. Par contre, je suis l’une des seules filles non accompagnées. La plupart sont, soit avec leur mec, soit avec une bande de copains.


J’aimerais que Steven soit là, avec moi. J’aimerais le voir rire, le voir pleurer, lui tenir la main tout simplement. Je commence à être sérieusement mordue, je crois. Et quand Antoine demande la main d’Annabelle, je ne peux m’empêcher de pleurer. J’ai un peu le cafard.

En sortant, je repère un dragueur qui a l’air de s’ennuyer en n’attendant qu’une seule chose, que la fille qu’il sort l’accepte dans son lit. Je m’avance droit sur eux, je lui roule un patin express :



Et je repars avant que l’un des deux ait réagi. Je me gare sous un porche un peu plus loin, et je regarde le crêpage. Il en prend pour son grade, c’est pas ce soir qu’il va tirer son coup. Mon cafard est parti, avec ce couple tout à fait inconnu.


Je passe devant un Quick et je m’offre un milk-shake fraise, un de mes péchés mignons. Je m’absous en songeant au nombre de fois où j’ai pris l’escalier cette semaine au lieu de l’ascenseur.


Dimanche, je vais au marché. Je fais les provisions pour la semaine avec l’argent de M. Gérard. L’après-midi se passe devant la TV. Le soir, je prépare mes affaires pour ne pas avoir de retard demain.


**/**


Lundi 6 h. Réveil en fanfare, je déjeune en quatrième vitesse, plonge dans la salle de bains, me coiffe, me maquille. Je suis prête, il est 6 h 50. Et Steven qui n’arrive qu’à 7 h 15. Je tourne en rond, je m’énerve, je sors et décide de déjà descendre à sa rencontre.


Je rouvre la porte pour un besoin urgent de dernière minute. Je suis en bas au moment où Steven arrive avec un peu d’avance. Sa mâchoire n’est plus endormie et je lui saute au cou pour l’embrasser et rattraper en une fois trois jours d’abstinence.


Nous prenons le métro. J’observe la tronche des gens le matin, ça vaut le voyage, et cela me met de bonne humeur. Steven, lui, n’est pas vraiment du matin, car il n’ouvre pas la bouche et dort debout. Nous changeons pour le bus. Celui-ci est bondé, nous nous retrouvons dans un coin, écrasés par la populace.


Je décide de réveiller Steven avant que l’on arrive. Je le frotte un peu par-dessus son pantalon. Devant son manque de réaction en haut (en bas cela à l’air de bien réagir), je lui ouvre le haut du pantalon sans défaire la ceinture, et j’introduis ma main dans le slip. Là, il ouvre les yeux, vire au violet. Je le masturbe un peu du plat de la main, et quand je sens qu’il commence à palpiter un peu trop, j’enlève ma main, lui fait un beau sourire, et le laisse en plan avec le pantalon ouvert. Nous sommes arrivés. Il me suit juste au moment où le bus ferme ses portes…


La journée se passe, les cours nous apprennent à vendre à l’américaine. Une présentation imparable, des arguments mettant à mal toutes les objections pouvant survenir avant que le client n’en ait eu l’idée. La journée est bien remplie et menée tambour battant. Les pauses et les repas sont pris à la société et en groupe. Tout est fait pour nous motiver un maximum. Nous sommes sept, trois filles et quatre garçons ainsi qu’un moniteur et une monitrice.


Malgré ou à cause de ses dix ans en plus, la monitrice est de loin la femme la plus sexy que j’aie fréquentée. Le moniteur aussi, dans la trentaine, est un beau mec soigné jusqu’au bout des ongles. Tout donne envie d’être à leur place ou au moins d’essayer de leur ressembler. Les deux autres femmes qui assistent aux cours sont comme moi, bien habillées, mais il manque la touche qui fait que… !


À 17 h 30, nous sortons fourbus. Moi, je suis enthousiaste et convaincue. Steven est beaucoup plus critique. Nous nous quittons à la sortie du métro, Steven allant à ses cours du soir. Nous convenons de nous retrouver demain à 7 h 30 pile à l’entrée du métro.


Dans l’entrée, je croise M. Gérard qui m’attendait visiblement.



Je n’ai pas vraiment le temps d’avoir le choix, que je me retrouve à table. Apparemment, il a déjà tout préparé. Il me donne même une grande serviette pour ne pas salir mon tailleur. Je lui parle de ma journée, de mes collègues, des moniteurs. Je lui raconte mes impressions. Il m’écoute religieusement et me relance parfois avec juste une petite question. Je suis charmée par ses attentions. Il doit vraiment se sentir seul pour s’intéresser à mes journées de travail. Ayant fini notre repas, je veux l’aider à débarrasser et à faire la vaisselle.



Il m’en sort un. En haut, il ne couvre que le torse ! Les manches et le côté de mon tailleur sont fort exposés. Sur une impulsion, je vais dans le hall, j’enlève ma veste, et enfile le tablier au-dessus de mon soutien-gorge. La bavette est un peu étroite, et on voit quand même bien le côté de mes seins enveloppés dans de la dentelle. Après tout, on en montre beaucoup plus sur une plage, et j’ai promis à M. Gérard de l’aider pour la vaisselle.


Je sais que je fais une bêtise, mais mon ventre me chauffe déjà. Quand je reviens dans la cuisine, M. Gérard a déjà rempli les deux éviers. En fait, il y a la vaisselle de deux jours. Il m’observe les yeux dilatés.



Je lave, il essuie.



Et doucement, comme un souffle, ses doigts descendent délicatement mon dos en une caresse qui me donne des frissons dans tout le corps. Sa main balaie toujours mon dos, et je me force à continuer à faire la vaisselle. Ma fleur, déjà bien chaude, s’épanouit, laissant s’écouler doucement le trop plein de rosée.



Ses doigts se font un peu plus inquisiteurs, venant parfois sur les côtés, caressant mon flanc. Je ne suis que plaisir et frissons. Je me sens d’un coup plus libre. Je comprends que, sans que je ne sente rien, le vieux cochon, avec un doigté d’une expérience redoutable, vient de dégrafer mon soutien-gorge.


Il le tire doucement pour l’enlever sans que je m’y oppose. Ses doigts n’arrêtent pas leur vol sur ma peau annihilant toute velléité de résistance chez moi. Il a une main sur chaque flanc, caressant les attaches de mes seins. Mes jambes se dérobent sous moi, et quand je crie un début de plaisir, ses mains viennent sur mes seins et en malaxent les tétines. Mon plaisir explose alors.



Et c’est les yeux encore brillants du plaisir que je viens de prendre que j’achève la vaisselle. Je redescends difficilement sur terre, me demandant ce que je viens de faire là. M. Gérard, lui, a repris son torchon en silence. Comprenant sans doute que pour l’instant, c’est ce qu’il y a de mieux à faire. La vaisselle finie, je l’aide à remettre tout en place. Il me propose un petit cherry pour finir la soirée avant que je ne remonte. J’ouvre la bouche pour parler, mais il me met un doigt sur les lèvres :



Il me raccompagne dans le hall. Le regardant dans les yeux, j’enlève le tablier. Il ne dit rien et me présente ma veste. Je me tourne et passe un bras puis l’autre dedans. Il me la referme délicatement, glisse mon soutien-gorge dans mon sac, me fait une bise sur le front, et m’ouvre la porte. Je sors dans le couloir, fais deux pas puis, me ravisant, fais demi-tour et dépose délicatement une bise sur sa joue.


**/**


La semaine passe vite, nos cours décomposent chaque étape de la présentation. Pour l’instant, nous sommes plutôt passifs, nous contentant de voir et revoir toutes les étapes et de les connaître par cœur. La semaine prochaine sera plus pratique. Nous lions tous connaissance et à la fin de la semaine, nous sommes un groupe.


Je ne vois Steven que pendant les cours. Le matin pendant le trajet il dort debout et je n’ai pas réédité le coup de lundi matin. Le soir, il a l’air pressé de rentrer chez lui. J’ai encore plus tendance à lui faire la tête sachant qu’il préfère rentrer en vitesse chez maman. Je n’ai plus croisé M. Gérard le soir.


Le vendredi, nous avons quartier libre à midi. Je vais avec mon « copain » manger une pizza près du bureau. Je décide d’entamer ma guerre psychologique contre « belle-maman ». En cause, le plat de nouilles en face de moi. Non ! pas dans l’assiette, sur la chaise en face.


J’enlève ma chaussure et je commence à caresser son mollet. J’enlève deux boutons à mon tailleur, et je fais des effets de gorge. On peut apercevoir une bonne partie de mon soutien-gorge et ce qu’il contient. Comme toujours en public, Steven essaie de rester stoïque. Plus il reste imperturbable et plus je m’excite. Si Steven ne réagit pas, le serveur, lui, réagit : toutes les deux minutes, il passe à côté de notre table pour voir si nous ne manquons de rien.


J’en ai le slip trempé. Il est vrai que j’ai été plutôt calme depuis lundi. Nous payons l’addition, et au moment de partir, je file aux toilettes. Je ne rentre même pas dans une cabine, je retrousse un peu ma jupe et enlève mon slip mouillé. Je m’essuie un peu la chatte avec, mais cela ne sert à qu’à me stimuler encore plus. Je ressors avec celui-ci dans mon sac à main.


Steven m’attend sur le trottoir. Je prends son bras, mets la tête sur son épaule et l’entraîne vers le parc en face du boulot en lui disant que j’ai besoin d’une balade romantique. Il fait beau. Le parc est assez grand, mais nous y croisons beaucoup de promeneurs.


Je passe régulièrement ma main sur ses fesses. Il a toujours l’air un peu gêné, mais ne proteste pas. Régulièrement, je lui barre la route et nous nous embrassons. Sagement pour lui, moins sagement pour moi. Ses mains ne se sont jamais posées plus bas que la ceinture de ma jupe. Le vent est moins sage, je le sens passer par à-coups sous elle et venir caresser mon abricot qui coule toujours autant. Je vais finir par tacher ma jupe. Je pense que certains passants se rendent compte de mon état.


Ma veste de tailleur est toujours à moitié ouverte. Le chemin tourne, nous arrivons dans un sous-bois ombragé où il n’y a personne sauf un couple loin devant nous. Derrière, on ne nous voit plus et je sais que les prochains promeneurs ne seront pas là avant quelques minutes. Je lui barre la route, il m’embrasse à nouveau. Je lui prends les mains sur mes hanches et les passe devant sous ma jupe.


Il ouvre grand les yeux. S’affole un peu, regarde autour de nous, puis reprend son exploration. Il m’en faut plus, je vais exploser. Je prends une de ses mains, la place dans mon décolleté, prends l’autre et l’utilise pour me masturber. Je crie mon plaisir en trente secondes.


Vite, je rabaisse ma jupe, et nous reprenons la promenade alors que les promeneurs arrivent derrière nous. Ils marchent plus vite et nous dépassent. J’ouvre complètement ma veste. J’enlève mon soutien-gorge tout en marchant. Je le place dans mon sac. Je reste la veste déboutonnée. Tant que personne ne se retourne…


Je passe ma main sur la protubérance qui garnit maintenant le bas-ventre de ma victime. Je le masse en surveillant toujours de temps à autre nos arrières. Nous nous sommes suffisamment laissés distancer.



Je l’entraîne derrière un buisson. Nous ne sommes visibles que si quelqu’un fait attention juste en passant en face de nous sur la route, et il n’a qu’un ou deux mètres pour tourner la tête et nous voir. Je sors la hampe de Steven, je m’accroupis devant lui, j’écarte ma veste afin que ma poitrine soit bien apparente.


Je commence par lui lécher le gland, je titille le frein avec ma langue, puis je m’empale sur sa queue au point d’avoir des haut-le-cœur. Ma langue joue la toupille, je recule en aspirant bien convenablement. Une fois ressortie de ma bouche, je lui lèche les couilles, les suce l’une après l’autre. Je ré-empale ma bouche sur son pieu, je ne joue plus, il palpite déjà. Je fais coulisser ma tête en continuant ma succion. Trois, quatre et cinq, ça y est, il vient au fond de ma gorge. J’aime de plus en plus avaler. Je suis folle.


Je me relève, le regard brillant :



J’enlève ma veste pour ne pas la salir, la suspend. Je retrousse ma jupe sur mes hanches. Le tirant par la queue, je me plie en deux, m’accroche à un arbre et je me l’introduis en levrette. Steven met un certain temps à se mettre en branle. Je sens dans mon tréfonds ses coups de boutoir. Cela me fait du bien, j’en avais besoin. Steven continue comme un métronome, je pense qu’il est stressé par l’endroit. Tant mieux, il durera plus longtemps.

Je commence à gémir. C’est bon. Mon Dieu, faites qu’il ne me lâche pas maintenant, que j’aie le temps d’en profiter. Il me ramone de plus en plus vite, son ventre claque contre mes fesses.

Mon gémissement devient continu. Steven commence à pousser des cris aussi. Il m’arrose l’intérieur style lance d’incendie à pleine pression. Cela me déclenche la jouissance aussi. Je hurle mon plaisir, je sais pourquoi je suis sur terre.


Je suis sur les rotules. Un jeune couple est arrêté sur la route et regarde par ici. Quand ils se voient repérés, ils se remettent en marche. Steven a l’air en morceaux aussi. Tant mieux, je poursuis mon plan. Nous nous réajustons convenablement et, main dans la main, nous rentrons.


Durant le trajet en bus, sous-vêtements dans le sac, j’écarte les cuisses en face de lui, je déboutonne ma veste, caresse un téton, puis la referme. On dirait un lapin affolé, il regarde paniqué de tous côtés pour voir s’il y a d’autres personnes qui remarquent notre jeu. Dans les escaliers du métro, je passe ma main entre ses jambes. Cela réagit bien. Dans le métro, toutes les places assises sont prises, mais il n’est pas bondé et il y a de la place debout. Malgré cela, et malgré les regards courroucés de deux mégères, je m’accroche à la même barre que lui et me frotte littéralement contre lui.


Il est 16 h 30 quand nous arrivons à l’immeuble, bien excités tous les deux. Je le tripote encore dans l’escalier, il faut bien recharger la bête. À partir du deuxième, j’ai abandonné veste et jupe, je termine mon escalade nue. Steven me suit avec la bite à l’air, raide, et mes vêtements en mains. J’ouvre la porte, achève de le déshabiller totalement dans le hall et l’entraîne direct dans la chambre.


Le réveil électrique à côté de mon lit indique 15 h 10 (je sais, je suis une salope, mais j’avais prévu mon coup dès le matin.) Je le suce et il ne tarde pas à prendre son pied. Je lui apprends les massages avec une huile achetée exprès. Il me masse divinement, bien qu’un peu brusque.


Nous jouons alors au jeu des 250 bisous. Il est à nouveau en forme. Je l’attire sur moi et après l’avoir guidé en moi je lui laisse faire tout le travail, en rajoutant un peu. C’est vraiment le pied d’être machiavélique. Et pour finir, je réussis à prendre du plaisir une fois de plus. Je finis par chevaucher Steven qui n’en finissait plus entre mes jambes. (Faudra que je pense à l’inscrire dans une salle de sport pour lui donner un peu plus d’endurance). Il finit avec un pétard mouillé.


Insatiable, je le caresse encore un peu, histoire de l’aider à atteindre mon but tout seul. Il est 19 h 30 au réveil quand il s’endort. C’est bête, même sans changer l’heure, j’aurais réussis mon coup.


Je passe dans le hall, je me frotte l’entrejambe sur l’intérieur de son pantalon, je parfume sa veste avec un de mes parfums un peu tenace et je laisse un peu de rouge à lèvres (moi qui en mets une fois toutes les lunes) sur le col de sa chemise. Si après cela madame-mère se pose encore des questions…


Je passe à la douche. Puis, après un détour par la cuisine où je mange un morceau, je remets le réveil à l’heure. Je me couche bienheureuse près de mon loir, il est 22 h 15.


À 2 h 30, je suis réveillée en sursaut par ma cendrillon qui cherche après tous ses vêtements puis se sauve sans même me dire bonne nuit. Il faut dire que je n’ai pas bougé et que je n’ai ouvert les yeux que quand il est parti s’habiller dans le hall. Je me rendors, un grand sourire aux lèvres.