n° 13922 | Fiche technique | 18031 caractères | 18031Temps de lecture estimé : 11 mn | 30/06/10 |
Résumé: Ma femme va parler d'Aline à son amie d'enfance, qui en retour va nous forcer à regarder notre malaise en face. | ||||
Critères: fh intermast confession -couple | ||||
Auteur : Gil.06 Envoi mini-message |
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Résumé : Durant une réception chez un ami, j’ai fait la connaissance d’Aline qui m’a troublé plus que de raison. Ma femme s’en est aperçue, je ne sais pas si c’est moi ou ma femme mais nous avons ce soir-là commencé à redécouvrir l’autre.
Le lendemain nous avons eu du mal à communiquer, Carole et moi ; nous vaquions chacun à nos occupations, essayant d’être tendre avec l’autre mais ne revenant pas sur les événements de la veille.
Le début de la semaine fut identique ; le soir nous nous endormions dans les bras l’un de l’autre, je me demandais si ce que nous avions vécu ne nous avait pas plus déstabilisés qu’autre chose.
C’est le mercredi suivant que tout s’est accéléré ; Carole a l’habitude de manger ce jour-là avec Eva, son amie d’enfance.
Je rentre du travail vers 19 heures ; comme pratiquement tous les soirs, j’appelle Carole, elle me crie depuis l’étage de lui préparer un Martini. Je vais chercher des glaçons, prépare deux Martinis et m’assied au salon.
Ma femme descend dans un peignoir en soie ramené d’Asie qu’elle n’a pratiquement jamais mis. Je la félicite pour sa tenue et elle m’embrasse tendrement sur la bouche. Elle s’assied en face de moi, nous levons nos verres et commençons à boire.
Au bout de quelques minutes, elle me dit :
Elle se déplace et s’assied sur l’accoudoir de mon fauteuil et continue :
Elle se tourne et me prend le menton pour que je me tourne vers elle.
Je me redresse pour l’embrasser, elle répond à mon baiser, puis c’est elle qui se laisse glisser vers moi et m’embrasse avec beaucoup plus de conviction, jouant avec ma langue, mordillant mes lèvres, puis tournant sa langue autour de la mienne. Sa main se pose sur l’intérieur de ma cuisse, remonte à la limite du contact avec mon sexe, mais sans le toucher. Mon sexe, sans être bandé, commence à prendre de l’ampleur.
Elle se décolle de ma bouche, me fait face, s’assied à califourchon sur moi et place ses genoux de chaque côté de mes jambes. Elle me tient la tête à deux mains pour m’embrasser, je la laisse faire, elle est douce et ferme à la fois. Elle se redresse, ouvre la ceinture de son peignoir, ôte son soutien-gorge et colle sa poitrine contre mon visage. Ses mains tiennent ma tête. Je mordille ses seins, en aspire les pointes, ils sont doux. Je suis à l’écoute de ses réactions, je la sens de plus en plus réceptive. Ma main droite caresse sa fesse, je cherche à la contourner pour venir caresser son entrejambe, mais elle recule les fesses à chaque tentative.
C’est elle qui décide quel sein je dois honorer, elle décide aussi si je dois m’occuper de l’ensemble ou de son téton ; elle me dirige des ses mains, d’une manière ferme. Elle m’écarte lorsque je suis trop virulent, elle me colle encore plus lorsqu’elle me veut plus présent. Je suce, je lape, mordille, aspire ; mon sexe est coincé et me fait mal. Elle se rassied sur mes genoux, son visage est rouge. Je prends ses seins dans mes mains, elle me repousse, elle se penche sur moi et m’embrasse. Puis elle ramasse son soutien-gorge qu’elle replace, rattache et positionne les bonnets parfaitement sur ses seins.
Je la regarde et me dis que je me suis habitué à elle, que je ne la regarde plus comme je le devrais. Elle met son peignoir et va se rasseoir sur le canapé en face de moi.
Là, je fus surpris par Carole, si calme et posée, ces mots ne correspondent pas à son tempérament. Elle le sent et continue :
Que répondre à de tels propos, je préfère lui prouver mon amour, je me lève et l’embrasse le plus tendrement possible, elle se laisse faire sans participer plus que de raison. Je m’écarte, elle sourit, je passe derrière son fauteuil, pose mes mains sur ses épaules, mes mains descendent doucement sur sa poitrine, passant sous le décolleté en soie. La dentelle de son soutien-gorge est très douce, je ressors une main et défais la ceinture de son peignoir. Je passe le bout de mes doigts sous son soutien-gorge et, du bout des doigts, m’amuse avec ses tétons.
Je me mets devant elle, m’agenouille et penche ma tête vers son intimité. Elle me prend la tête dans les mains, me force à la regarder et me dit :
Je la regarde surpris, dépité. Elle continue :
La soirée a été terne ; nous nous sommes couchés sans grandes effusion. Il est dur de chasser quinze ans d’habitudes. Je ne sais plus trop comment agir.
Le lendemain, Eva m’appelle au bureau, elle me demande si elle peut me voir. Je lui propose de passer ce week-end mais elle insiste pour qu’on se voie seul à seule, je lui propose le midi-même.
Après les banalités d’usage, je lui demande ce qui me vaut l’honneur de cette rencontre.
Je reste sur le cul, la bouche ouverte ; Eva, la bonne copine de Carole, que je considère comme instable, frivole et gamine me donne un cours sur l’amour et l’attirance. En plus, je la trouve humaine pour une fois ; c’est vrai qu’aujourd’hui elle est blonde (je ne saurais compter le nombre de couleurs de cheveux qu’elle a eues), une coupe au carré très lisse qui met en valeur son cou. Je me mets à détailler cette femme qui n’a jamais, malgré son goût pour exubérance, provoqué le moindre désir chez moi.
Je n’ai pas trouvé d’autre sujet de conversation, tout était embrouillé dans ma tête. Après avoir réglé l’addition (eh oui, je suis conventionnel) en lui faisant la bise, elle me redit :
J’y ai pensé tout l’après-midi, je me suis demandé ce que j’avais provoqué, si c’était moi qui l’avais provoqué ou si ce n’était qu’un catalyseur. J’ai alors cherché sur le net des sites de psychologie, de sexe, d’histoires. Ce que j’ai trouvé était plus du domaine de la gynécologie ou de la macrophotographie que du sexe. Un site d’histoires a cependant retenu mon attention. En le lisant, au milieu de beaucoup de fantasmes, j’ai lu des choses émouvantes, j’ai lu des histoires où le sexe était raconté mais où l’humain avait toute sa place. Je suis rentré tard ce soir-là. Non je n’ai pas travaillé, mais j’ai lu, énormément lu.
Carole dormait quand je suis rentré. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit.
Qui était cette femme qui dormait à côté de moi ? Qu’attendais-je d’elle ? Qu’est-ce qu’elle attendait de moi ? Comment la garder ? Comment lui prouver que je l’aimais ?
Beaucoup de questions mais peu de réponses. Trop de choses se sont passées en une semaine ; qui suis-je, où vais-je ?
Je ne dors toujours pas…
Vers quatre heure du matin, elle s’est réveillée, après quelques minutes, voyant que je ne dormais pas, elle dit :
Là, je me rends compte de la profondeur de ma réponse.
Je me déplace et pose ma tête sur son épaule, ma main sur son ventre. Je reste immobile quelques minutes, puis ma main remonte doucement vers sa poitrine. Je caresse juste le dessous, glisse ma main jusque sous son bras et revient en suivant le contour de son sein. Mon mouvement s’aventure de plus en plus sur le sein, ma paume bien à plat, je glisse sur le dessus de celui-ci, effleurant la pointe.
Je soulève la tête et gobe le bout de l’autre sein, je l’aspire. Carole me chuchote « doucement ». Je lèche alors doucement le sein, prenant mon temps, je tourne ma langue autour de l’aréole puis lape le téton et passe à l’autre sein. Elle me caresse doucement le dos, de temps à autre ses ongles remontent le long de ma colonne, me faisant frissonner. Je me retourne et, la tête vers le bas, j’embrasse son ventre, descends doucement vers son sexe en léchant et embrassant. Je sens ses poils sous ma langue, mais je ne peux définir cette impression de découverte. Ma main se positionne au-dessus de son sexe et je dessine avec mes doigts le contour de ses poils.
Du bout des doigts, je tente de découvrir quelle est la forme de sa nouvelle toison, en tout cas cette nouvelle coupe lui va à ravir. Je glisse lentement mes doigts vers ses lèvres, lisses et fraîches. Elle replie ses genoux et écarte les jambes. Je passe mes deux bras derrière ses cuisses, mes mains à l’intérieur de celles-ci et commence à lécher toute la longueur de son sexe.
Mes mains écartent ses lèvres, ma langue joue avec son clitoris puis descend jusqu’à sa vulve. Elle mouille ; je la pénètre du bout des doigts et ressors, elle gémit. Ma langue remplace mes doigts puis revient sur son clitoris. Je replonge ma langue dans son vagin en écartant au maximum ses fesses, elle soulève son bassin vers ma bouche. Je change de position, me mets perpendiculairement à elle, sa jambe reposant sur moi, je lui suce maintenant le sexe, pas seulement le clitoris, non, j’aspire tout ce que je peux, les lèvres le bouton, tout.
Je rentre deux de mes doigts dans son vagin ; elle m’attrape la cuisse avec sa main et me pince ; je me fige, elle se relâche puis je recommence. À chaque passage, elle gémit ; puis un troisième doigt rejoint les autres, j’accélère, j’y vais de plus en plus fort. Je me déplace pour qu’elle puisse attraper mon sexe ; elle me branle maintenant, sans aucun ménagement.
Je m’aventure vers sa porte interdite et elle me laisse la caresser. Je mouille mes doigts et j’appuie un peu plus ma caresse, mon autre main joue avec son clitoris, elle gémit. Mon index force sur son anneau, puis entre. Doucement, je le bouge, le ressors puis le repositionne, il rentre plus facilement après quelques passages ; je positionne deux doigts et appuie mais elle me dit « non, pas plus ! », alors je remets un doigt et lèche sa vulve.
De mon autre main, je la branle lentement mais le plus loin possible, je sens alternativement son vagin et son anus se contracter. Elle a repris ma verge et me branle de plus en plus fort, je suis excité, j’éjacule. Elle continue de me branler, je crie, elle se contracte. Ma main s’affaire de plus en plus vite dans son sexe, un doigt toujours prisonnier de son anus. Elle soulève son bassin, se libérant de mes mains. Plus un son ne sort de sa bouche et elle retombe dans un grand râle. Je reprends ma position, allongé contre elle dans le lit, m’appuie sur son épaule. Elle me caresse doucement les cheveux et je m’endors malgré l’humidité du sperme déversé dans les draps.
À 6 h 30, le réveil n’aura jamais été aussi désagréable. Je n’ai pas assez dormi, j’ai soif, j’ai mal à la tête, la lumière est trop forte, je me retourne, juste cinq minutes. Carole me secoue, je grogne, elle me dit :
J’émerge. Elle est déjà douchée et habillée. Zut ! je n’ai pas vu sa nouvelle coupe…