n° 13954 | Fiche technique | 28862 caractères | 28862Temps de lecture estimé : 17 mn | 29/07/10 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Dyna et Jo s'allient pour mieux connaître le Maître. | ||||
Critères: fh ff fsoumise hdomine cunnilingu pénétratio attache yeuxbandés fouetfesse init -fsoumisah | ||||
Auteur : ChrisetPit (Partager notre expérience au travers d'histoires imaginaires) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Dyna et le Maître Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents : Dyna, belle et grande femme dans la cinquantaine, vient d’être embauchée comme secrétaire chez un auteur littéraire à succès. Celui-ci, très riche mais bizarre, exige d’être appelé Maître et refuse que l’on voie son visage. Le premier jour, punie pour avoir fait deux fautes d’orthographe, elle reçoit une fessée qui ne la laisse pas indifférente.
Au bout de quelques jours, le Maître décide d’inviter, par Internet, des femmes à venir lui faire des fellations. Dyna doit les recevoir et les préparer à ses multiples exigences. L’une d’elles, Jo, est matée par le Maître puis punie pour son arrogance envers Dyna : elle doit lécher Dyna et la faire jouir. Ce qu’elle fait avec brio.
À la fin de cette journée de folie où elle s’est découvert une nouvelle sensualité et a reçu aussi une prime importante, Dyna se prépare un festin où elle boit un peu trop.
Les jours passent sans incident puis le Maître demande à Dyna de se masturber devant lui. Elle ne se sent pas capable de le faire et propose plutôt de le demander à l’une des femmes qu’il invite. C’est Jo qui est choisie.
Épisode 4 : Union
16 h 10. Dyna accueille Jo sur le perron. Elle a du mal à reconnaître la bimbo qu’elle avait reçue il y a une quinzaine de jours dans cette femme brune, bien habillée certes, mais sans éclat et qui baisse les yeux pour s’adresser à elle :
Assise à son bureau, Dyna examine cette femme debout en face d’elle qui, la tête baissée, semble attendre sereinement son bon vouloir. De blond platine, ses cheveux toujours coiffés à la garçonne sont devenus brun foncé, presque noir. Elle est vêtue d’une liquette bordeaux sur un petit haut gris foncé à fines bretelles et une jupe de cuir noir, pas de bas, juste des escarpins à talons mi-hauts. Ce n’est pas tant l’apparence extérieure qui marque le changement que son expression : de condescendant et fier, son visage exprime maintenant la modestie, le calme et surtout la sérénité.
Sur un signe d’acquiescement, elle continue :
Dyna fait asseoir Jo puis lui maintient les paupières fermées à l’aide de pansements ronds fixés par des bandes de sparadrap. Le bandeau de cuir serré par-dessus vient cacher l’ensemble. Après l’avoir fait relever, Dyna lui retire sa liquette ; sous son haut gris les seins, libres de tout soutien-gorge, dardent leurs tétons durcis par l’excitation qui semble monter en Jo. Elle lève les bras en l’air pour permettre à Dyna de lui retirer ce vêtement léger. Ces seins magnifiques qui pointent attirent les mains de Dyna qui vont les effleurer. Sous la caresse, un long frisson parcourt Jo qui laisse échapper un petit gémissement.
Les mains de Dyna glissent sur la peau douce jusqu’à atteindre la ceinture de la jupe en cuir qu’elles défont. La jupe glisse sur le sol ; d’un geste naturel, Jo l’enjambe permettant à Dyna de la ramasser. Elle ne porte pas de culotte et est donc maintenant entièrement nue. Elle se tient debout, les jambes légèrement écartées et les bras le long du corps ; elle semble totalement décontractée. Émue par la situation, Dyna la contemple et en particulier observe son sexe. De fins poils noirs, très drus, commencent à pousser couvrant les lèvres, le mont de Vénus, débordent sur le haut des cuisses et, presque transparents ceux-là, remontent en triangle vers le nombril. La toison en cœur précédente semble reposer sur un coussin noir de jais.
Dyna ne peut s’empêcher d’aller caresser cette douce fourrure. Surprise, Jo a un sursaut de recul, vite maîtrisé. Elle sourit :
Dyna lui menotte les bras dans le dos puis prévient le Maître qui les attend. Elle dirige Jo auprès de lui et revient vite suivre la scène sur l’ordinateur.
Placée en hauteur, la caméra cadre exactement le plateau du bureau du Maître, le zoom est bloqué et le son est coupé. Dyna ne pourra donc que regarder passivement.
Jo est à genoux sur le bureau, cuisses écartées, assise sur les talons et mains toujours liées dans le dos. Glissée entre ses cuisses, la cravache lui tapote l’entrejambe. À chaque coup, son corps sursaute et ses seins vibrent. Au moment où la tête se rejette en arrière et où la bouche s’ouvre en grand pour un cri muet, la cravache se retire, laissant apparaître fugitivement un voile de frustration sur le visage de Jo.
Elle est maintenant immobile, écoutant certainement les consignes du Maître. Elle se redresse et tend les bras en arrière ; ses mains, sorties un moment du champ de vision, reviennent libres et se posent à côté des genoux. Jo semble écouter encore, tend une main qu’elle ramène avec un coussin puis s’allonge sur le dos calant le coussin sous sa tête. Elle est parfaitement dans l’axe de la prise de vue, aussi Dyna peut-elle voir distinctement chacun de ses mouvements.
Elle semble détendue ; un sourire heureux éclaire son visage masqué. Ses mains posées sur son ventre remontent lentement vers sa poitrine. Le Maître a certainement donné des instructions car tous les mouvements sont calmes et mesurés. Arrivées sur les seins, les mains se soulèvent et, dans un mouvement circulaire des paumes, viennent en effleurer les tétons tendus. Le plaisir fait se crisper le sourire sur le visage de Jo. Face à Dyna, les cuisses s’ouvrent et se referment convulsivement sur un sexe brillant d’humidité d’où suintent des grosses gouttes qui s’écoulent sur le bureau.
Dyna commence à être remuée par le plaisir de Jo et cette main qui quitte le sein pour descendre sur le ventre l’hypnotise. Les doigts jouent dans la toison naissante puis, comme aimantés, glissent vers le sexe entrouvert. Léger, le majeur parcourt toute la fente, effleurant les petites lèvres gonflées, tendues vers ce doigt qui les caresse. Dyna n’y tient plus ; couchée dans son fauteuil, jupe relevée, sa main recopie presque fidèlement les mouvements de Jo.
Le doigt s’est maintenant enfoncé entre les lèvres ; dans un mouvement de rotation, il remonte vers le clitoris encore caché et tourne autour lentement, très lentement. À chaque tour, il s’approche imperceptiblement de l’organe qui se dilate et commence à pointer son petit gland. Dyna n’en peut plus d’attendre, elle plonge deux doigts dans son vagin et, du pouce, vient écraser son clitoris. L’orgasme qui la saisit est brutal, elle se tord violemment et ses gémissements se transforment en cri aigu. Mais le plaisir retombe aussi brutalement qu’il était apparu. Elle se retrouve avachie et haletante face à l’écran qui lui montre Jo encore en train de faire monter son propre plaisir.
Dyna prend soudain conscience de la situation. Elle vient de se donner du plaisir en regardant une femme soumise qui se masturbe. Comment en est-elle arrivée là, à pratiquer ce voyeurisme malsain ? Qui est donc cet homme qui l’entraîne dans ces jeux pervers ? D’un œil maintenant distrait, elle aperçoit Jo, en plein orgasme, qui se tord sur le bureau, une main serrée entre les cuisses.
Dyna réfléchit ; il faut qu’elle discute avec cette femme. Il faut qu’elle comprenne ses motivations, ce qui lui fait aimer cette situation de soumise et comment elle perçoit cet homme qui les domine toutes les deux. Il n’est, bien sûr, pas question d’avoir cette conversation ici, sous le regard du Maître ; elle prépare un petit papier où elle invite Jo à la rejoindre chez elle ce soir et note aussi son adresse et son téléphone personnel.
L’interphone la fait sursauter, l’écran est vide, plus personne sur le bureau :
Revenue dans son propre bureau avec Jo, elle la fait asseoir pour lui retirer le bandeau de cuir puis décoller avec douceur les sparadraps qui maintenaient les tampons sur les yeux. Jo sourit :
Jo regarde Dyna comme si elle attendait une demande de sa part. Rassasiée peut-être, perturbée certainement, Dyna n’a plus d’envies sur le moment. Elle regarde Jo avec gentillesse :
Calmement, Jo enfile ses vêtements puis va devant le miroir pour se recoiffer et rectifier son maquillage. Sur l’écran de l’ordinateur apparaît une feuille sur laquelle est noté : « 600 € ». Dyna compte la somme et présente les billets à Jo qui rougit :
Sur l’écran, un papier avec deux mots : « Laissez tomber ».
Dyna se rapproche de Jo et, discrètement, lui remet son petit papier.
Après la sortie de Jo, le Maître appelle :
En chemin, Dyna achète des petits fours et une bouteille de champagne. Chez elle, après la douche, elle s’habille plutôt sexy : un corsage gris clair semi-transparent sur un soutien-gorge en dentelles blanches – à son âge, malheureusement, sa lourde poitrine n’a plus le tonus nécessaire pour se passer de cet accessoire – et une jupe gris foncé courte et serrée sans rien dessous comme elle en a maintenant pris l’habitude. Aux pieds, de simples ballerines noires confortables.
Un peu après 20 h, la sonnette annonce l’arrivée de Jo. Elle doit sortir de son travail car elle porte les mêmes vêtements que tout à l’heure. Dyna la fait asseoir dans le canapé et elle-même s’installe sur une chaise de l’autre côté de la table basse. Après quelques propos d’accueil de circonstance et sans importance, Dyna rentre dans le vif du sujet :
Jo relève alors les yeux et regarde Dyna avec un sourire.
Dyna acquiesce de la tête, ne voulant pas l’interrompre. Jo continue :
Dyna lui raconte alors ses premiers jours et la fessée pour les fautes d’orthographe. Elles rient et l’atmosphère un peu coincée du départ commence à se détendre. Dyna se lève et va chercher le champagne et le plateau de petits fours qu’elle présente à Jo ; elle remplit les flûtes. Elles mangent et boivent et, dans cette ambiance détendue, Dyna demande à Jo de la tutoyer.
Dyna remplit à nouveau les flûtes.
Elles rient de plus belle… Dyna finit sa flûte puis la remplit à nouveau ainsi que celle de Jo, dans le mouvement, elle va s’asseoir à côté d’elle, sur le canapé. Elles se regardent dans les yeux en buvant et se disent ensemble :
Elles éclatent de rire. Dyna se jette en arrière sur le dossier et, prenant un ton de commandement :
Elles rient à gorge déployée et Jo commence à déboutonner le corsage de Dyna. Tout en lui caressant les épaules, elle le lui retire. Avec ses ongles, elle vient griffer la dentelle du soutien-gorge donnant des frissons à Dyna qui sent ses seins gonfler et se tendre. D’elle-même, elle retire l’agrafe du soutien-gorge pour offrir sa poitrine aux mains et à la bouche de Jo. De son côté, elle fait tomber la liquette de Jo mais doit lui demander de retirer son haut. Elles sont donc à égalité, torse nu l’une et l’autre. Et c’est le jeu des mains qui se bousculent pour atteindre le sein adverse, de grands rires entrecoupés de gémissements quand l’une des deux réussit à attraper un mamelon et à le sucer. C’est Jo qui prend l’avantage et qui se couche à moitié sur Dyna pour lui lécher savamment la poitrine. Vaincue, Dyna se laisse faire et commence à gémir de façon continue.
Les mains de Jo descendent et dégrafent la ceinture de la jupe de Dyna qu’elles tirent. Dyna soulève les fesses pour l’aider et la voilà bientôt nue sous le regard, les mains et la bouche de Jo. Dyna sent qu’elle va perdre le contrôle. Avant, elle ordonne :
Et voilà Jo à quatre pattes au-dessus de Dyna, la tête plongée entre ses cuisses. Symétriquement, Dyna goûte pour la première fois de sa vie la liqueur de plaisir d’une autre femme. Sa langue n’a jamais parcouru les méandres secrets d’un sexe féminin et pourtant elle sait exactement où et comment y aller. Elle décapuchonne le petit gland d’amour, tourne autour, revient le flatter, le sent gonfler et se tendre. Après un moment, elle le happe du bout des lèvres et le chatouille fougueusement avec la langue. Jo se raidit, tétanisée par un violent orgasme ; ses seins qui ballottent viennent taquiner le ventre de Dyna puis, dans un long gémissement, elle se laisse retomber et reprend avec vigueur la caresse qu’elle prodiguait. Genoux repliés, Dyna redresse son bassin pour mieux s’offrir et démarre un orgasme qui prend progressivement de l’intensité. Jo doit utiliser tout son poids pour maîtriser ce corps qui tressaute et se tord. C’est dans un long cri que Dyna s’écroule enfin, épuisée.
À genoux par terre, Jo caresse tendrement tout le corps de Dyna qui a du mal à retrouver son souffle et ses esprits. Quand elle ouvre les yeux, Jo se penche et prend sa bouche pour un long baiser.
Dyna se redresse, se regarde, regarde Jo et éclate de rire.
Elles se rhabillent et Dyna ressert du champagne. Elles se regardent en sirotant :
Instinctivement Dyna serre les fesses. La brûlure est toujours présente dans sa mémoire, le plaisir qui lui a succédé aussi.
Le lendemain matin, le Maître remettait à Dyna une épaisse liasse de feuilles manuscrites :
Dyna est stupéfaite. C’est la première fois que le Maître sollicite un avis de sa part. Elle balbutie un vague acquiescement et retourne dans son bureau pour se mettre au travail. Il y a là plusieurs chapitres du futur roman et il s’écoule plusieurs heures de saisie, relecture et vérifications avant que Dyna n’arrive au fameux passage. Contrairement à son habitude, elle le lit entièrement avant de le taper.
Elle n’en croit pas ses yeux. Le génie littéraire du Maître a réussi à transformer la scène pornographique à laquelle elle avait assisté la veille en une tranche de vie où la sensualité remplit l’héroïne de bonheur et d’amour envers son amant absent. Malgré une description très précise, presque clinique de la scène, on ne retient que la représentation d’un plaisir simple et naturel, que l’élan amoureux de cette femme vers l’homme qu’elle aime. C’est vraiment du grand art !
Une fois achevée la saisie, Dyna se remet à son classement. Elle préfère attendre le lendemain pour faire une relecture « à froid » avant de remettre son travail au Maître.
C’est le lendemain qu’elle se décide à faire une faute (un seul coup sera bien suffisant !). Ce n’est pas facile, il faut que cela ait l’air d’une faute d’inattention et que ça ne soit pas trop voyant. Elle imprime le tout et va remettre l’ensemble au Maître qui la remercie en bougonnant.
La journée se passe sans incident, de même le lendemain matin. C’est après déjeuner que le Maître lui demande de venir.
Dyna sursaute, ce qui donne beaucoup de naturel à sa réaction.
Dyna se plie en deux, remonte sa légère jupe d’été par-dessus sa ceinture et pose sa poitrine sur le bureau. Si le Maître est surpris par l’absence de sous-vêtement, il n’en dit pas un mot. L’attente du premier coup paraît interminable. Le trouble qui envahit Dyna lui fait serrer les cuisses pressant sur son clitoris emprisonné entre elles.
Le coup arrive, sec et brutal, certes, mais pas aussi brûlant que ceux dont Dyna gardait le souvenir. Malgré cela, le processus de contraction des muscles internes fait son œuvre et la montée du plaisir commence à tordre son ventre. Le deuxième coup tombe, un peu plus cinglant que le premier. Dyna sursaute et contient difficilement un gémissement ; elle se sent devenir humide et a même l’impression qu’une goutte est en train de glisser entre ses jambes. Tous les muscles contractés, elle attend le dernier coup qui la surprend par sa douceur, c’est presque une caresse. Elle est de plus en plus troublée. Ne voulant pas avoir un orgasme ici, devant lui, elle commence à se relever. La voix claque :
Le tutoiement soudain fait fondre toutes ses velléités de protestations. Elle se détend, pose sa joue sur le plateau du bureau et attend.
Quelque chose de frais est déposé sur le sommet de ses fesses, puis les mains du Maître s’en emparent et l’étalent sur toute la surface douloureuse et brûlante. Avec beaucoup de douceur, le massage fait pénétrer l’onguent apaisant. Dyna soupire de bonheur.
Mais le massage commence à devenir caresse. Sa position est telle que sa vulve est presque entièrement offerte à la vue et aux mains du Maître qui ne tarde pas à en effleurer les lèvres puis à y introduire les doigts. Dyna le sent à côté d’elle ; avec la main, elle part à la recherche du sexe de cet homme qui lui procure un tel plaisir. Par-dessus le pantalon, elle palpe le pénis en pleine érection ; elle parvient à ouvrir la braguette et à en extraire un magnifique gourdin qui lui remplit la main.
Après quelques manipulations, elle se tourne, présentant ses fesses et l’introduit en elle. Il s’enfonce lentement jusqu’au fond. Elle est alors parcourue par un grand frisson qui lui secoue tout le corps. Les lents va-et-vient en elle la comblent. Elle n’essaie plus de se contenir et laisse monter en elle cette jouissance qui commençait déjà avant les premiers coups. Elle gémit de plus en plus fort pendant que le Maître, lui, se met à haleter. Il jette un bref cri au moment où il se répand en elle. C’est un nouvel orgasme qui la submerge et qui la laisse pantelante, étendue sur le bureau.
Elle sent derrière elle le Maître qui vacille. Il se retire un peu brusquement et s’assoit dans son fauteuil. Puisant dans ses forces, Dyna se redresse et, la tête baissée se retourne pour se mettre à genoux entre les jambes du Maître et pour le prendre dans sa bouche. Il est au repos, apaisé ; d’une langue affectueuse, elle le flatte gentiment, le bichonne, absorbant tous les résidus de leurs liqueurs intimes.
Les mains du Maître sont sur ses cheveux qu’elles caressent doucement puis, tendrement elles soulèvent la tête :
FIN