n° 13979 | Fiche technique | 17672 caractères | 17672Temps de lecture estimé : 11 mn | 06/08/10 |
Résumé: Sophie Toussaint cherche l'illicite rencontre avec Ben, l'ami de son fiancé Josh. La tension est à son comble : c'est le SuperBowl américain ! | ||||
Critères: fh jeunes frousses extracon copains nympho grossexe grosseins fellation pénétratio -extraconj | ||||
Auteur : Thoma Lacroix |
DEBUT de la série | Série : Sophie pendant le Super Bowl Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Sophie Toussaint s’assit près de la table de la cuisine légèrement fatiguée : elle venait de terminer le nettoyage de la maison. Tout y était net. Il le fallait bien suite à un avant-midi d’époussetage. « Aller hop », pensa-t-elle, « plus que la table de verre de la cuisine et je pourrai prendre un bain chaud. »
Elle pensa à Josh, son copain depuis trois ans. Le temps des premières amours s’était écoulé. Sophie le trouvait attachant, ce n’était plus l’exaltation des tout débuts. Son amour envers lui s’était modifié.
Il arriverait bientôt, mais pas suffisamment rapidement à son goût. Au réveil, elle s’était sentie si émoussée qu’elle aurait sauté sur n’importe quel passant… ou presque ! Elle devait se faire prendre bien fort. En elle, des pulsions, soupçonnées même par Josh, faisaient périodiquement surface.
Maugréant, elle s’était rappelée qu’il terminait exceptionnellement son quart de travail plus tard. L’envie de sortir son gode caché près de la lessiveuse lui prit, mais elle préférait un membre bien réel. En plus, quand elle et Josh baisaient, c’était n’importe où. Ici ou à l’extérieur de la maison, alors que des promeneurs pouvaient les apercevoir. Ce frémissement de bon sexe dangereux la faisait toujours exploser dans un orgasme monstrueux. Cela n’avait pas disparu, il était son bienfaiteur d’orgasmes plusieurs fois par mois. Trop peu souvent à son goût à elle.
Sophie regarda l’horloge et s’aperçut qu’il lui faudrait attendre deux longues heures avant l’arrivée de son copain. Elle entreprit de lustrer la table et les miroirs.
Souriante, elle nettoyait la dernière tache de la maisonnée.
Nue, elle se pencha pour tourner les robinets de la baignoire. Plus rien ne supportait ses seins et Sophie prit plaisir à se regarder dans la glace les caresser. Une demi-heure passée dans l’eau chaude l’avait reposée. Mais elle ressentait toujours l’envie profonde d’être possédée par Josh.
Ses cheveux couleur brique toscane maintenant séchés, elle se demandait comment s’habiller pour l’arrivée de son mec. Devant le miroir, le contact soyeux de la robe d’été noire suscitait en elle d’alléchants souvenirs en ces longs mois d’hiver. Le décolleté aguicheur révélait ses clémentes rondeurs. Sophie sourit et changea de tenue pour un jean moulant et un tee-shirt. Grommelant, elle se dit que les pantalons prendraient trop de temps à être retirés. Ce côté pratico-pratique resurgissait à l’occasion pour cette femme au foyer forcée : son employeur avait fait faillite.
Elle sortit les quatre pièces de tissu pour les revêtir immédiatement. Tournant sur elle-même, elle s’admirait dans le miroir. À 23 ans, elle était canon. Ses longs cheveux reluisaient par delà ses épaules. Son minois abritait de grands yeux bleus aguicheurs, une bouche aux lèvres églantine faites pour une chose. Vous savez laquelle ! Les mains musardaient sur sa taille mince puis vers ses hanches plus larges et agiles, bien habituées aux rythmes de la danse. Sophie se plaça de côté pour s’émerveiller elle-même de sa taille en forme de sablier et de sa poitrine. Son 95 C rendait bien des filles jalouses. En plus, ils tenaient bien droit et haut d’après ce qu’elle avait pu comparer à la piscine et à la gym. Les onomatopées de ses partenaires masculins du passé l’avait aussi réconfortée dans son standing de babe.
Sophie a tout pour faire tourner le regard des hommes. Ses jambes fuselées et son corps équilibré pour une hauteur d’un mètre soixante-quatre – elle y tenait – la rendait si irrésistible. Humpf ! Elle raconte à ses copines jalouses qu’un petit vieux ne s’était pas empêché de lui pincer les fesses ! Pour les ados, la jeune femme était digne des top-models. Deux d’entre eux voulaient faire la pelouse et l’entretien du jardin… gratuitement et pour tout l’été prochain !
Dans le miroir, son image reflétait un corps à mourir d’envie et voilé d’une jupe rouge légère. Le haut consistait en une blouse blanche fine et ajustée au ras le corps. Les boutons semblaient prêts à éclater pour laisser paraître un soutien-gorge simple d’un blanc tout aussi éblouissant. Le son de la voiture stoppant dans l’allée lui signala que l’heure de gloire se présentait enfin.
* * *
Josh coupa le contact et sortit de la voiture tout content : aujourd’hui, c’est le Superbowl. Il avait conduit si vite pour arriver à temps, qu’il lui restait une demi-heure avant le match. Les analyses, les paris et les bières allaient être bien utiles aujourd’hui. Le siège arrière soutenait une caisse de 24.
À un mètre quatre-vingt-cinq, Ben le dépassait de quelques centimètres, mais il était nettement moins fort que Josh. C’est en fait Ben qui avait présenté Sophie à Josh au cours d’une soirée. Aujourd’hui, célibataire à vingt-sept ans, il s’en voulait drôlement !
Alors qu’ils passèrent la porte, Sophie sauta au cou de Josh, folle d’amour. Leurs lèvres fusionnèrent fougueusement. Les jambes autour des hanches de son copain, elle s’attendait déjà à ressentir contre son ventre l’effet qu’elle lui procurait. Pas tout à fait, c’est l’effet SuperBowl qui régnait en Josh.
Elle était si torride avec sa courte jupe moulante et son chemisier noué en haut de son nombril. Son ventre apparaissait et sa couleur miel lui posait la question : comment est le bikini ? Josh pensa pendant un quart de seconde à annuler simplement le match. Pour passer aux choses sérieuses, immédiatement quoi ! Mais son ami était là, nul n’avait manqué le spectacle de ses cuisses et de son cul. Ce soir, il se ferait pardonner par Sophie.
Le salon était grand, un sofa faisait face à l’écran plat de la télévision et le portique reliant la pièce au reste de la maison se fermait avec des portes givrées antiques. Les gars étaient bien installés et avaient déjà mis plus de cent dollars dans le bol des gageures jouxtant celui des chips.
« Merde, j’aurais dû m’en souvenir ! Le Superbowl ! Et moi qui t’attends depuis ce matin. » Josh ferma les portes entre le salon et la cuisine et couloir principal.
Le premier quart débuta et les chips, nachos, bières s’agglutinaient sur le sofa des hommes en presque aussi grande quantité que dans leur estomac. Revenant après une tournée de Doritos, Sophie se pencha pour déposer le plateau. Face à elle, son copain, les yeux rivés sur l’écran, manqua le spectacle des seins de sa copine. Ceci frustra Sophie et elle retourna dans la cuisine en claquant la porte.
Ben, lui, n’avait rien manqué. À travers le chemisier, il avait pu voir de biais la chaude teinte des mamelons. Rebondis et semblant fermes, il souhaitait en voir plus, mais craignait d’être surpris par l’enchanteresse. Ben pensait à fourrer sa queue dans le clivage de ses seins. Mieux encore, faire un de ces paris de film porno. Je gagne le match : je baise ta splendide copine directement devant toi !
Sophie revint et se cala dans le divan à côté de son copain. Josh n’y porta guère plus d’attention. Les minutes passèrent et la fin du premier quart approchait. S’ennuyant, elle prit une revue du côté de Ben, la levrette au-dessus de Josh ne résultait qu’en quelques soupirs d’exaspération parce qu’elle lui barrait la vue du match.
Par contre, l’ami n’avait rien manqué du spectacle. Vers Ben s’approchait Sophie comme une lionne. Étirant son bras pour prendre le magazine, il étirait son œil lui aussi. La fosse entre les seins était saillante, le rebondi des melons aussi. Le tissu nacré du soutif se voyait et criait sous le poids du galbe. Remontant le regard vers son visage, il croisa celui de Sophie. Un sourire sexy décoché. Et elle se retire, frôlant langoureusement Josh, le bleu de ses yeux dans ceux de Ben, le front presque en sueur.
Elle tournait les pages, le dos cambré, mettant en valeur sa poitrine. Les rayures de la blouse amplifiaient le cintrage de Sophie. Le bas de son ventre nu montrait un petit anneau de pierres précieuses autour du nombril. À chaque inspiration, la lisière de son buste se haussait de façon hypnotique pour Ben.
Une décharge l’avait traversée quand elle avait fixé le meilleur ami de son copain. Heureusement, les push-up bra n’avaient pas laissé transparaître la pointe de ses mamelons excités.
Un clin d’œil vers Ben, paralysé. Il viendrait, elle en était certaine. Ils viennent tous !
Dans la cuisine, elle sortit le hachoir électrique et le mit en marche sans rien y mettre.
« C’est ta copine que je vais toucher, mon cher Josh ! » pensa Ben en se dirigeant vers Sophie. « Ce sera un magnifique laydown ! »
Les portes closes derrière lui, Ben s’approcha de Sophie sachant fort bien qu’il réussirait aussi un touché. Elle avait en main un Ice-pop. Le regard séduisant et la langue titillant la glace, Sophie s’approchait de son nouvel amant. Sa langue rose et pointue faisait le tour langoureusement en léchant le sommet de la friandise. Il déposa ses mains sur ses hanches et patienta le temps qu’elle finisse sa glace. Avides, ses yeux noirs plongeaient dans la blouse de Sophie, pleine de désirs et de péchés.
Avoir son copain dans la pièce à côté et la perspective de le tromper excitait au plus haut point Sophie : leur relation n’était plus la même. Elle poussa la glace par delà ses lèvres pulpeuses, étirant le cou vers le haut. Sophie glissa l’Ice-pop au fond de sa gorge. Ben ne sut pas si c’était le froid de la glace ou la sensation tactile profonde qui provoqua un frémissement. Tout aussi délicatement, son index et son pouce retirèrent la longue friandise : coulissant hors de sa bouche, un mince filet de salive resta accroché à sa fine langue.
Moqueuse, Sophie tendit l’Ice-pop en un morceau, mais fondu, à son nouveau compagnon. Ben n’en fit qu’une bouchée. Fini, les esquimos ! Il l’accula au comptoir pour l’embrasser en la prenant par la taille. Ses lèvres contre les siennes, sa langue vint aussitôt contre la sienne, jouant au tourniquet. Sophie croisa ses jambes derrière lui et elle commença à se frotter au sexe masculin.
Elle senti sa queue croître. L’activation faisait son effet en elle aussi. Ben semblait parfois la mordre et descendait jusqu’à ses seins. La transpiration exultait des deux corps et quand il fut certain qu’elle était bien en place sur le comptoir, ses mains libres partirent vers le buste de Sophie. Pressé, il ne détacha même pas les boutons et tripota les seins à travers le tissu sans délicatesse.
Elle éteignit le robot culinaire et continua de se pelotonner contre le sexe de Ben. Il était bien grand et Sophie voulait en avoir le cœur net. Il avait entre-temps réussi à déboutonner le haut féminin. Les seins bronzés semblaient plus séduisants encore avec le soutif blanc neige. Alors qu’il allait le défaire à l’arrière, elle le repoussa.
Le son de la fermeture éclair et de la ceinture rassura Ben. Elle s’agenouilla, adossée au comptoir, le visage face au caleçon déformé. Sophie saisit le pénis et avait vraiment hâte de se faire baiser par cette grosse trique. Le temps pressait.
Ses mains agiles parcoururent le membre viril alors qu’elle fixait Ben. Il souriait : il allait bientôt se tailler un chemin dans les chairs de la copine de son meilleur ami. En plus, il était à son insu à cinq mètres de lui. De sa position de guet, Ben admirait les quelques grains de beauté qui habitaient la poitrine de sa ravissante suceuse.
Déjà satisfaite de sa grosseur, il grossissait entre les doigts et il dépassait maintenant la taille du pénis de Josh. Wow ! S’il fallait qu’il nous surprenne ! Cela l’excita encore plus. Sa bouche s’approcha lentement du bout de son membre et d’un rapide coup de langue elle humidifia ses lèvres pleines de convoitise.
One shot ! et c’est dedans.
Sophie lécha le long des vingt centimètres et plus, laissant une traînée suave. Ses doigts peinaient à faire le tour de l’axe.
Bien raide, il sentit la langue de Sophie tournoyer sous ses couilles et il quitta momentanément le doux visage de sa complice. Les yeux clos, il perçut la remontée de Sophie le long de sa flèche. L’angoisse montait en lui pour l’apothéose de se sentir finalement s’enfouir dans sa bouche.
Le minois de Sophie serpentait jusqu’à son gland qu’elle prit entre ses lèvres.
Ben distingua à travers les lèvres de So, la langue gracile qui s’agitait en tout sens. Après être remontée, Sophie, courba la tête pour ramener à l’horizontale le pénis de Ben. Face à elle s’étendait l’artère de Ben, large comme deux règles d’écolier.
« Oh, mais quand va-t-elle me sucer ? Je suis à poil, il ne me reste que les chaussettes et ma chemise. Allez… »
La queue raide entre les jambes, Ben s’approcha tranquillement des portes givrées et les ouvrit comme si de rien n’était. En lui, un désir obscur le poussait vers Sophie pour des raisons évidentes. Mais ça…
Sophie avait fini de licher la verge de Ben et s’apprêtait à l’enfourner le long de sa langue jusqu’au creux de sa gorge. Les deux mains sur le large membre, ses lèvres progressaient, sa mâchoire s’étirait. Elle savait qu’elle n’avait jamais eu de pénis aussi imposant à sucer. So avait hâte qu’il vienne prendre possession de sa chatte. Sophie se connaissait : elle tirait des pipes comme pas une, et Ben allait le découvrir !