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Temps de lecture estimé : 14 mn
11/08/10
Résumé:  Pendant le SuperBowl, Sophie se tape le meilleur ami de son fiancé. Le quart est dédié à la phase de pénétration de l'équipe adverse. Ben y excelle.
Critères:  fh jeunes couleurs frousses extracon copains grossexe grosseins fellation pénétratio -totalsexe
Auteur : Thoma Lacroix

Série : Sophie pendant le Super Bowl

Chapitre 02 / 03
Ben fait la cuisine

La queue raide entre les jambes, Ben s’approcha tranquillement des portes givrées et les ouvrit comme si de rien n’était. Il venait de venir… dans Sophie, la copine de Josh. Juste à côté, la télévision crachait les meilleurs jeux du match le plus important : le Superbowl. Les reprises télé captivaient Josh, le fiancé de Sophie. Combien d’Américains rêvaient d’y être en personne. C’était un devoir de le regarder. Quant à Ben, c’était un devoir de prendre soin de Sophie dans la cuisine adjacente !




Sophie avait fini de licher la verge de Ben et s’apprêtait à l’enfourner le long de sa langue jusqu’au creux de sa gorge. Les deux mains sur le large membre, ses lèvres progressaient, sa mâchoire s’étirait. Elle savait qu’elle n’avait jamais eu de pénis aussi imposant à sucer et la rouquine comptait en profiter. Avisée, Sophie avait hâte qu’il vienne prendre possession de sa chatte. Mais d’abord Sophie se connaissait : elle tirait des pipes comme pas une, et Ben allait le découvrir !

À mi-chemin, elle prit une pause. Regardant la base du grave morceau, elle pensa au dernier décimètre à engloutir. « Putain qu’il est gros ! » Donc, elle recula sa tête un petit peu, le lichant copieusement. Tous deux perdaient la notion du temps qui lui pressait : le premier quart de la partie s’achèverait bientôt.


L’écume s’accumulait sur sa verge et Ben sentait Sophie remonter la pente pour l’avaler au complet. Elle baise le gland épais et se reprend à plusieurs reprises pour l’aspirer. Jusqu’au bout cette fois. La vingtaine de centimètres était au chaud, totalement cloîtrée au plus profond de sa bouche et de sa gorge.

Les yeux clos. L’intensité de l’immobilité. Sa tête remuait de haut en bas. Ben était émerveillé de voir cette femme pouvoir le sucer entièrement, c’était une première. Il sentait la langue frétiller, coincée entre son gros membre et la mâchoire de la copine de son meilleur ami. Le souffle chaud de Sophie exultait de ses narines sur sa peau sensible.


Sophie était perdue dans ses pensées fantasques. Elle rêvait déjà au moment où Ben allait la posséder pour vrai. En attendant, elle fonctionnait sur le pilote automatique, répétant les mêmes gestes féminins millénaires.

Elle se guidait en posant les mains sur les hanches nues de Ben. Son nez butait contre ses forts abdominaux et la cuisine s’emplissait des bruits de succion. Ben mourrait d’envie de pénétrer violemment sa fine gueule. Il avait vraiment envie de lui saisir la tête et de lui baiser la gorge, mais c’en aurait été fini de la petite chatte dont Josh se tarait si souvent. Sophie lui aurait vivement refusé tout autre délice.


La télévision noyait les sons provenant de la cuisine alors que Sophie festoyait férocement sur la trique de Ben. Elle était si habile que son énergie ne faisait pas mal du tout, elle avec une bouche en velours. Ben prit possession de sa tête et il gémit plus intensément. Il agrippa ses cheveux et tirait rapidement sa tête le long de sa hampe d’amour.



Elle était sublime avec ses cheveux en bataille et ses joues creuses. Les râles moites émanaient de la bouche pleine de Sophie. Elle était bonne et savait qu’il ne pourrait résister plus très longtemps.



Sa seule réponse fut de lever les yeux et de continuer à astique la queue noire. Empoignant ses cheveux, il percuta sa queue plus profondément dans sa gorge veloutée. Aucune femme ne l’avait jamais gobé si ardemment. Un brin de panique prit Sophie alors que Ben s’activait plus agressivement avec sa tête. Ses narines dilatées inspiraient et expiraient un souffle chaud, rempli d’effluves sensuels. Heureusement, ses mots doux la mettaient en confiance et elle ne rechignait pas cette première expérience si unique.


Ses yeux restaient fixés aux siens avec cette attitude que l’on connaît des vraies suceuses, alors que sa tête continuait son voyage de haut en bas. C’était si érotique d’avoir la femme de son meilleur ami à genoux et empalée sur son sexe, baveuse comme une princesse déchue. Josh, juste à côté, rendait le tout si illicite qu’un simple coup d’œil et c’en aurait été fini. Le fiancé aurait vu sa copine à genoux, les vêtements froissés, la tête en bataille, les lèvres dilatées autour de l’immense queue de Ben.



Il savait qu’elle reviendrait pour plus, après tout il était l’ami de Josh et repasserait sa femme.



Ben faillit juter en l’entendant parler si crûment. Après tout, ils étaient pressés. Elle sentait bien qu’il arriverait bientôt au bout de l’insupportable. Sophie reprit prestement sa hampe entre ses lèvres. Couvrant le gland en premier, tout le pénis disparut au chaud d’un coup. Un remous sur le sofa du salon l’alerta, mais il était trop tard. Sophie, continuait son périple sans y porter attention, le jeu était si avancé. Heureusement, ce n’était que Josh qui changeait de position.



C’était le cas, presque chaque matin une petite pipe pour son mec.



Elle le maintenait par les hanches, mais prit quand même un petit moment pour éloigner quelques cheveux collés à ses joues. Ben y alla d’une butée plus forte, s’enfouissant dans sa gorge serrée. Malgré l’habitude, Ben s’enfonçait très creux et Sophie eut un spasme qui fit flipper son amant.



Son gland surexcité éjacula par giclées dans sa fine bouche, remplissant son estomac. Sophie garda sur son regard souriant à son visage froissé par la jouissance.


Josh était assis à quatre mètres inconscient que sa jeune femme aspirait à genoux la semence de son meilleur ami. La jolie rousse gargouillait les gorgées crémeuses, impressionnée par la quantité produite par Ben. Quand il avait commencé à jouir, Sophie avait essayé de ne rien perdre de ce présent. Quelques gouttes pendaient à ses lèvres et à son menton. Quelle soirée incroyable à goûter l’intimité de son meilleur ami ! Ben avait taché la douce peau de ses seins et le bord de son soutif. Sophie ne lui en tiendrait pas rigueur.

Elle fut si étonnée de voir que Ben était toujours raide après l’éjaculation.



La soulevant, il vit qu’elle regardait toujours son membre, souriante d’appréhension. Sophie avait maintenant le cul adossé au comptoir et le string tout mouillé.



Il répondit en retroussant sa jupe fripée, lui retirant sa culotte et la jetant vivement sur la céramique. Ben avait maintenant Sophie assise devant lui, la chatte humide prête à accueillir sa queue.



Ben frottait son gland contre les lèvres chaudes de Sophie, l’électrisant.



Sans plus de mots, il s’enfonça promptement de toute sa longueur. Elle dut mordre sa lèvre quand l’énorme gaule déplaça ses chairs ! Un fort gémissement s’enfuit d’elle. Sa douleur d’être remplie et étirée si rapidement aurait été perceptible dans tout le quartier, n’eût été de son copain siégeant dans la pièce d’à côté. La télé allumée, Josh bénéficiait d’un spectacle sportif incroyable. Mais, son ami Ben profitait bien plus de la soirée avec sa lance nègre enfouie dans son vagin. Il la déposa sur le comptoir pour poursuivre ses coups. Sophie, toute garnie ; la baise s’annonçait des plus chaudes.



Ben souriait d’un large et heureux visage. C’est vrai qu’elle était étroite malgré son expérience. Il maintenait tout simplement son pénis en elle, sans bouger ni rien. Sophie frissonnait d’avoir son gland si épais profondément en elle.



Sa vulve s’agrippait à son sexe.



Un sourcil s’éleva et Ben retira sa verge en un long moment propre à sa taille. Puis, commença à baiser Sophie vite – très vite. Sortant et allant rapidement dans la chatte chaude qu’il envahissait, elle serait bientôt toute garnie.



Elle serrait le comptoir et ses jointures étaient devenues blanches. La couleur rouge s’était emparée de son corps en entier. La sueur recouvrait ses moindres recoins et rondeurs. Le plaisir qu’elle ressentait de cet amour défendu et celui d’être mise en pièce par l’arme de Ben lui fit perdre la tête.



Souriant et sûr de lui, Ben continuait et pilorier son one-night-stand.



L’étincelle dans ses yeux disait tout.



Ses râles étaient intermittents et ne perçaient invraisemblablement pas les oreilles de Josh à quelques enjambées d’eux. Le fiancé était rivé à l’écran. Tant d’argent était en jeu : près de cinq cents dollars pour une finale, raisonnable quoi ? Même s’il perdait, il croyait toujours avoir, à ses côtés et pour longtemps sous son toit, la prunelle de ses yeux : Sophie. Son seul défaut était qu’elle n’aimait pas le football.



La tête de Sophie était renversée et touchait à la fenêtre derrière l’évier. Son dos arqué était si cambré que la grosse trique de Ben pénétrait, scrutait avec aisance et force son intérieur. Les étincelles émanaient de son repère divin. Sophie se sentait boulonnée et se maintenait au mobilier de la cuisine dans un dernier recours face aux assauts matraqués de l’ami. Ses larges seins cahotaient dans tous les sens contre le précieux rempart de soie sensé d’ordinaire les supporter. Ben n’avait que faire d’habits et ne souhaitait qu’une chose : que ses tétons s’extirpent d’eux-mêmes du soutif constricteur. Il aurait le plaisir vicieux de les avoir libérés par ses butées dans le chaud vagin de sa nouvelle copine.



C’était si bon. Elle n’avait jamais senti autant de désir en si peu de temps. Sa chatte était encombrée, ô combien distendue et surtout enivrée par Ben. Sophie était baisée ; braquée même si fort qu’elle ne pouvait que se tenir sur les mains, Ben lui poignait les fesses et l’empalait sur son pénis de la cime à la racine. Et tout ça, sans que Josh entende que dalle et avec les risques énormes. Elle s’en foutait à présent. Ses jambes vibraient derrière Ben, indication de ses orgasmes futurs. Le volume de la TV était la seule raison qui l’empêcherait d’être prise sur le fait de ce brutal acte d’amour. Oui, être prise avec le meilleur copain noir avec l’érection de l’homme entre ses cuisses juteuses et le corps en liesse.



Il avait raison et il la pistonna plus fort, ses biceps supportaient Sophie qu’il enfilait encore et encore avec son aiguille raide, non, son javelot d’acier, à juste titre, trempé.



Son corps en sueur luisait dans la clarté crue de la cuisine. Il garderait longtemps à l’esprit l’incroyable soirée qu’il vivait en ce moment. Sophie venait à lui à chacune de ses charges en elle. Son dos arc-bouté, Sophie venait à sa rencontre pour s’embrocher le plus fort et profondément possible. La soirée réservait des surprises que personne n’aurait imaginées. Josh encore moins.



Ben était hypnotisé et exalté par les remous de la prodigieuse poitrine distante de son visage d’à peine quelques centimètres. Ralentissant son rythme. Les seins de Sophie ondulaient prétentieusement. Il s’arrête même de me baiser, pensa Sophie.



Il prit la base de son tee-shirt et la libéra pour son propre bonheur de la pièce de vêtement. Quand elle comprit ce qu’il voulait faire, elle soupira d’aisance, la séance de ramonage allait recommencer. Ben lança au sol le chandail et Sophie dégrafa son soutien-gorge qui tomba sur le plancher aussi.



Prenant son temps, Ben sortit son sexe presque totalement hors de Sophie qui sentit immédiatement son con rétrécir à sa taille normale.



Il smasha d’un coup sa bite au plus profond de Sophie ! Elle cria de stupéfaction quand il fourra sa queue en elle, frayant son chemin et bourrant les chairs rouge vif d’une Sophie extatique. Cela en fut trop pour les oreilles de Josh qui se retourna inquiet.



Elle encerclait ses seins d’un bras, comme ultime protection. C’est qu’elle triturait ses mamelons au moment où Ben comprimait à nouveau sa longue et épaisse queue en elle.



Sophie pinçait ses tétons durcis par le plaisir

Sa bague de mariage reluisait de tout son éclat et était enduite d’une couche de sueur. Ben avait remarqué entre les seins le rappel en or qu’il baisait la femme de son meilleur ami et cela l’excitait au plus haut point. Presque autant que les seins de perle aux aréoles vives que Sophie gardait encore contre ses paumes. Il fixait l’alliance et les seins opulents de sa maîtresse, conscient qu’il pénétrait de long en large la moule la plus étroite qu’il avait connue. Un acte à perpétrer juste à côté de son propriétaire. Juste à la voir reluire au milieu de la poitrine agitée de Sophie lui donnait des forces pour la sauter davantage.



C’est à ce moment qu’elle relâcha son emprise sur ses seins et Ben put finalement admirer le 95 C de sa nouvelle conquête. Son étroit silo l’accepte de peine et de misère, mais ses seins prodigieux étaient plus libres que jamais. Que de sensations sa trique provoquait en elle ! Ses cheveux roux ondulèrent vers l’arrière et vibraient à chaque assaut de Ben. Les seins rebondissaient sous ses chocs et il s’en régalait.


Il aperçut un éclair de plusieurs secondes dans ses yeux, nappés par l’immense luxure des ébats. La jouissance venait constamment et Ben en était fier. Sophie redoutait presque le moment du vrai orgasme qui approchait. Le régal d’avoir la queue de Ben coulisser en elle, de sentir son gland frotter contre ses parois intimes lui donnait une euphorie encore jamais ressentie.

Voyant la belle rousse entre ses bras et prisonnière de son sexe, Ben la baisait avec toutes ses forces. Ses collines chique-choquaient dangereusement et il souriait d’ébahissement. Sophie haletait, la conscience nul sait où, mais son corps électrifié par les ardeurs de Ben. Les seins de Sophie sautaient maintenant partout, claquant l’un contre l’autre comme les deux personnages.



Ben regarda la jolie rousse, sa poitrine fulgurante et bondissante, la pièce autour de lui avec leurs vêtements jonchant en partie le sol. Le paysage surréaliste d’avoir son meilleur ami juste à côté et dans ses bras sa salope de copine. Tout était… parfait pour lui.



Ben l’écouta et ne cessa pas de la pénétrer. À sa place, qui aurait stoppé ?! Sous son nez la poitrine de Sophie se baladait de droite à gauche sous ses efforts.



Tout fier…



Elle était si proche de le dire. Son grand sourire n’attendait que la confirmation vocale de ce que sa trique sentait enfouie dans l’étroite moiteur de Sophie.



Ses poussées allaient si creux en elle. Ses seins surexcités se frottaient aux pectoraux de Ben. Ses doux seins se pressaient contre lui. Son look alors qu’il la fuckait, la sensation de ses tétons frottant contre son corps alors qu’ils étaient si près l’un de l’autre, le rendait fou !



Sophie lui appartenait. Elle se sautait elle-même sur son membre considérable. Sophie se poussait contre lui avec ses bras étirés sur le comptoir, la sueur ruisselait sur toute sa peau chaude. Comme possédés, Ben et Sophie se fuckaient jusqu’au moment où, tressaillant, Sophie se cambra, jetant sa tête derrière.

Sophie fut prise de secousses, tenant prisonnière le gland épais de Ben en son fort, ressentant le plus gros champignon de sa vie, électrifiée par le plus gros climax ne l’ayant jamais balayée. Tétanisée. Ben continua de la pistonner. Plusieurs muscles bougeaient en elle. Il se frayait un chemin, non, une voie rapide, dans ses chairs. Sophie avait le souffle coupé, la respiration sur stop, la jouissance dans le tapis !


Il se vidait pour la deuxième fois en elle. Son lait s’épandait contre ses chairs, tapissant de spermatozoïdes afros sa moule Blanche-Neige ! Sa tête à lui aussi était dans les nuages. Son corps frissonnait moins que le sien, mais l’extase de sauter la femme de son meilleur ami, tellement hot et sensuelle le faisait flipper.



Tout d’un coup, il souleva Sophie, assoiffée. Elle se retourna vers lui, la tête dans le tournis et pris son suçon en bouche. Sur le carrelage froid, ses pieds avaient atterri et lui renvoyèrent de somptueux frissons. Il goûtait si bon ! Elle prendrait un autre service de cette giga portion. Ben caressait son visage, l’envie de la baiser à nouveau resurgissait. Non, elle ne l’avait jamais quitté. Les yeux écarquillés, elle se réjouissait déjà à l’idée de subir les charges de Ben.



Sophie aussi !




À suivre…