n° 13985 | Fiche technique | 98440 caractères | 98440Temps de lecture estimé : 56 mn | 08/08/10 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Viona et Loic s'aiment mais leur sexualité est assez bridée. La rencontre avec un couple qui pratique l'échangisme va amener Loic à confier sa femme, sans qu'elle le sache, entre les mains expertes de ce couple pour qu'enfin elle puisse se libérer. | ||||
Critères: fh ff 2couples couple couplus hépilé fépilée vacances essayage exhib miroir noculotte intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio double sandwich échange -entrecoup | ||||
Auteur : Viona |
DEBUT de la série | Série : Sur le chemin du plaisir Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Le ciel est bleu. La mer est verte.
Que de banalités direz-vous ! Vous avez raison, mais moi qui suis confortablement allongé sur cette moelleuse serviette de bain, tous les sens exacerbés, sous un soleil magnifique, une mer calme et transparente à quelques mètres, je peux vous dire que tout cela est bien concret pour mon premier jour de vacances.
En réalité ce n’est pas vraiment le premier jour car nous sommes arrivés hier, 1er juillet, dans cette île paradisiaque.
C’est ma femme, Viona, sur les conseils d’une amie, qui s’est occupée de tout. Il faut dire que le site internet de ce club de vacance était particulièrement attractif. D’abord, cet ensemble occupait la totalité d’une petite île Grecque pas très éloignée de la côte. On pouvait choisir entre une chambre dans l’hôtel ou un des bungalows répartis dans la pinède. Les photos montraient un niveau de confort digne d’un trois étoiles en France. Mais ce qui pouvait intriguer un internaute attentif était le texte suivant :
• Une tenue correcte est exigée dans les parties communes et près de la piscine. Toutefois les seins nus sont acceptés près de la piscine ainsi que sur la plage « Hestia ».
• La plage « Hébé » est réservée aux naturistes.
• La plage « Eros » est réservée aux adultes.
• À la réservation on devra préciser la position souhaitée du bungalow par rapport aux plages (voir emplacement sur le plan).
L’amie de ma femme lui avait dit :
C’est ainsi que, dès le lendemain de notre arrivée, nous avons pris le chemin de la plage réservée aux adultes « plus que consentants ».
Et me voilà allongé avec le ciel bleu…
Vous connaissez la suite. Mais je vous dois la vérité, ce n’est pas seulement le paysage qui exacerbe mes sens. En réalité mon épouse est en train de me chevaucher, montant et descendant lentement sur mon sexe, les yeux mi-clos à la recherche de son plaisir. Ses seins oscillent lentement au gré de ses mouvements, aussi fermes que s’ils étaient artificiels comme on peut le voir dans certains films érotiques. Je me retiens de toucher les pointes qui se dressent si fièrement car Viona est si sensible que je peux la faire jouir uniquement en serrant ses tétons. Je ne veux pas que cela vienne trop vite. Nous avons tout notre temps, les vacances ne font que commencer.
Je peux voir des gouttes de sueur perler sur sa peau et je me dis que ce n’est rien par rapport à la mouille qui suinte du vagin de ma cavalière dans lequel ma tige entre, glisse puis ressort avec ce bruit si caractéristique d’une pénétration parfaitement lubrifiée. Mes mains sont plaquées sur ses fesses, au plus près de la raie pour bien les écarter et introduire un doigt trempé de mouille dans son anus. Mais là aussi, je ne veux pas forcer son plaisir. C’est elle qui est maître du jeu. Je ne suis qu’un membre à son service. Je sais qu’elle choisira le bon moment, attendant que mon sperme jaillisse dans son vagin, se mélangeant à sa propre liqueur.
Mais je sens que son rythme ralentit et en regardant son visage, je suis surpris de la voir les yeux ouverts regardant sur sa gauche. Bien sûr, nous savons qu’autour de nous de nombreux curieux nous regardent tout en restant discrets à quelques mètres. On peut voir des hommes manifestement excités par nos ébats et montrant de belles queues bien raides qui sont autant de vivants hommages pour le spectacle que nous offrons. Ces queues d’ailleurs sont souvent prises en main, voire prises en bouches par la ou le partenaire de leur propriétaire.
Le silence est impressionnant, pourtant certains visages montrent un plaisir qui d’habitude se manifeste par des râles, des encouragements et des mots crus. Tous semblent être en communion avec Viona qui n’exprime son plaisir que par son visage. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que cela correspond à un choix de notre part de ne pas dire un mot, ne pas émettre un son pendant que nous faisons l’amour. Viona ne doit progresser et atteindre la jouissance que par la magie de nos deux corps sous le regard de nos spectateurs.
Donc, en suivant son regard, je remarque, à quelques pas de nous, un homme seul, qui se masturbe lentement. C’est vraiment un beau garçon, bien musclé, le corps entièrement recouvert d’huile de bronzage sans un seul poil sur tout le corps. Il ne doit pas avoir beaucoup plus de 25 ans. Sans être lyrique, il fait penser aux athlètes grecs immortalisés par les sculpteurs.
Mais je n’ai encore jamais vu une statue exhibant un sexe en érection de cette taille. Je comprends l’intérêt de mon épouse car vraiment ce jeune homme possède un bel outil. Sa main n’arrive pas à en faire le tour. Quand à la longueur, je l’estimerais supérieure à 20 cm. Pourtant il ne donne pas l’impression d’une grosse queue que l’on peut voir dans certains films. Il est très bien proportionné, assez droit et surtout d’une raideur qui fait envie. Le gland est assez près de nous pour que nous voyions de la liqueur s’en écouler. Il faut dire que les deux couilles sont en proportion du reste.
Après cet examen qui ne dure que quelques secondes, je sens que Viona accélère son mouvement de va-et-vient sur mon vit qui devient presque douloureux tellement il est raide et gonflé. Je sens qu’elle est prête à conclure. Elle amplifie tellement le mouvement que ses fesses claquent contre mes cuisses, remontant jusqu’à la libération de ce pieu si raide et si lubrifié qu’il est littéralement englouti pour aller frapper les parois de sa vulve. C’est trop bon. Je frissonne et ne pouvant plus me retenir, je décharge une telle quantité de sperme que j’ai la sensation de remplir cette grotte d’amour. Viona, avertie par ce frisson caractéristique, contracte son vagin comme elle sait si bien le faire, me donnant l’impression que mon sperme est littéralement aspiré. Sa jouissance se mêle à ma semence, coulant le long de ma queue qui déjà diminue de volume facilitant un écoulement de nos liqueurs jusque sur mes couilles. Encore une fois nous avons atteint cette extase que seuls des amants expérimentés peuvent atteindre.
Viona s’écroule sur moi comme si tous ses muscles se relâchaient brusquement. Mais, comme attirés par un aimant nous dirigeons nos regards vers notre admirateur. Comme s’il attendait notre accord, celui-ci, sans un mot, éjacule avec une telle puissance que le premier jet arrive à quelques centimètres de nos visages. La fontaine semble intarissable, évacuant en plusieurs giclées une quantité de sperme que je n’avais jamais vu. Manifestement les bourses du garçon sont à la hauteur du reste. Viona tend la main pour récupérer quelques gouttes de cette semence qui déjà disparaît dans le sable. Me regardant dans les yeux elle approche le liquide de ses lèvres pour le goûter mais je stoppe son geste :
Un peu déçue Viona se retourne et s’allonge à mes côtés. Je lui susurre dans l’oreille que je l’aime et qu’encore une fois elle a été une merveilleuse maîtresse.
Nous tombons alors dans une douce léthargie et restons l’un contre l’autre, main dans la main, perdus dans nos pensées.
Viona
Il faudra que je remercie cette coquine de Léa de m’avoir indiqué ce petit paradis. Il est vrai que nous avons tout de suite mis la barre assez haute, mais nous avions décidé, Loïc et moi, de franchir ce pas de l’exhibitionnisme dès notre arrivée. C’est la première fois que nous faisons l’amour devant un public si nombreux et non familier. Notre dernière expérience, qui date du jour de l’an, s’était passée avec quatre autres couples que des amis nous avaient présentés. Bien sûr, cela avait été très fort et nous avions tous participé à des scènes des plus hard où hommes et femmes avaient goûté aux joies de l’échangisme, de la sodomie et de la double pénétration. Mais nous étions masqués et dans une villa dont le sous-sol était aménagé pour tous les plaisirs du sexe.
Donc ce matin, je n’étais pas très rassurée, mais je ne voulais pas décevoir mon chéri. Quoique je ne sois pas sûre que Loïc ait bien été à l’aise en arrivant sur cette plage réservée aux adultes…
Il est à peine dix heures mais il y a déjà pas mal de monde installé. Personne ne porte la moindre pièce de vêtement. Il reste beaucoup de place sur cette plage de sable fin mais nous choisissons de nous installer quasiment au centre tout en conservant un espace de plusieurs mètres avec nos voisins. La plupart nous saluent et nous sourient. Tout est calme. Les gens discutent ou se couvrent le corps de crème à bronzer. La majorité est rasée ou épilée.
En un instant nous enlevons nos maillots, et on s’installe sur de confortables coussins de plage que nous avons apportés de notre bungalow. Commence alors le traditionnel étalage d’huile de protection. C’est une obligation pour nous qui n’avons pas encore profité du soleil, avec une attention particulière pour les seins et le sexe. Ce serait une catastrophe si nous attrapions un coup de soleil sur des parties que nous avons envie de « chauffer » d’une façon plus coquine.
Pour nous mettre en condition c’est Loïc qui se charge de m’étaler de la crème sur le corps. Il constate très vite que cela me fait de l’effet car la pointe de mes seins se dresse comme de minuscules phallus. Il sait combien je suis sensible à cet endroit et ne s’attarde pas. Même effet lorsqu’il s’approche de mon sexe où le clitoris réagit au quart de tour. Tout va bien. Pour ma part mon appréhension s’est dissipée.
À mon tour de m’occuper de lui. J’étale consciencieusement l’huile mais je suis inquiète de ne pas sentir le moindre frémissement de sa verge alors que je verse le produit dessus. Je lui demande alors de plier les jambes et sans avertissement lui introduis un doigt dans le cul. La réaction est immédiate et me rassure sur sa motivation. Sa verge semble s’animer, vibre, ondule et commence à gonfler. Loïc me sourit, rassuré.
Alors je prends en main la situation. Nous convenons de rester simples avec une position des plus classiques et surtout de ne pas parler, crier, gémir ou employer des mots crus. Le plaisir ne doit venir que du frottement de nos deux corps. Nous devons atteindre l’orgasme avec comme seule aide extérieure le regard de nos voisins. C’est l’étape ultime qui doit consolider notre progression dans le plaisir.
Loïc, allongé sur le dos me voit alors plonger vers son sexe. Je titille son nœud avec ma langue en insistant sur le méat. Immédiatement sa tige commence à se déployer. Je l’introduis dans ma bouche et stoppe tout mouvement. Alors le miracle se produit comme chaque fois. Doucement son sexe gonfle et grandit jusqu’à me remplir totalement. Que c’est bon de sentir son gland tout au fond de ma gorge. Merci encore à Léa de m’avoir initiée à la fellation. J’aime tellement sucer maintenant que je dois toujours me retenir pour ne pas précipiter l’éjaculation de mon partenaire et recevoir son sperme dans ma gorge afin de l’avaler jusqu’à la dernière goutte. Je dois me raisonner pour sortir la verge déjà raide de ma bouche, l’enduire de salive et la présenter à l’entrée de ma vulve. Je commence alors à monter et descendre sur ce pieu que j’aime tant. Vraiment cette position est très agréable. Je domine mon amant et je peux regarder tout autour de moi. Manifestement nos voisins ne sont pas insensibles car tous les regards convergent vers nous. Je sens alors les mains de Loïc qui cherchent à écarter mes fesses pour certainement faciliter la vision sur nos deux sexes en action. Oh, il introduit un doigt dans mon cul et le fait aller et venir au même rythme que j’applique à sa queue.
Que c’est bon, mais comme il m’est difficile de ne pas gémir ou même de crier comme je le fais d’habitude. Je pense sans le dire : « oui… continue… plus fort… éclate-moi le cul, moi je vais te baiser et capturer ton sperme dans ma grotte humide ».
Mais tout autour de nous je perçois des mouvements. Manifestement ce doigt dans mon cul a servi de détonateur et je ne vois que sexes en érection, caresses, masturbations et bouches gourmandes.
Un homme solitaire attire mon attention. D’abord je me fais la remarque qu’il est beau, bien bâti avec de larges épaules, le corps luisant. C’est en dirigeant mon regard vers son ventre que je découvre un membre d’une taille comme je n’avais jamais vue. Pourtant le grand black qui m’a baisé pendant notre petite orgie du jour de l’an était bien monté. Je n’avais pas pu le sucer en entier car son gland butait au fond de ma gorge avant que je n’atteigne ses couilles et, malgré tout nos efforts, il n’avait pas pu m’enculer. Mais là, j’ai devant mes yeux l’objet que toute femme expérimentée souhaite pouvoir honorer un jour. Je l’imagine remplissant totalement mon sexe et pourquoi pas, mon cul. En six mois Loïc et moi avions pratiqué régulièrement la sodomie en utilisant son sexe bien sûr, mais aussi des godes de plus en plus gros.
Je croise alors le regard de Loïc qui lit en moi comme dans un livre ouvert et commence à donner des coups de rein pour pousser sa queue au plus profond de moi. Alors la magie opère, je sens comme une poussée au niveau de mon cul qui me fait accélérer et amplifier mon mouvement de va-et-vient. Je pense :
Vraiment ces vacances s’annoncent merveilleuses. Merci de m’avoir initiée à tous ces plaisirs, à accepter de me partager avec d’autres, à accepter de me donner à d’autres. Notre amour n’est jamais terni par la jalousie mais ressort renforcé après chaque expérience dans la recherche du plaisir.
Voilà, je sens le frisson qui annonce l’éjaculation de mon amant. Je suis également au bord de la jouissance. Son sperme jaillit en telle quantité que je sens cette chaude liqueur ruisseler et je m’effondre comme foudroyée.
J’embrasse Loïc à pleine bouche, mêlant ma salive à la sienne avec tout de même le regret de ne pas pouvoir y mêler son sperme comme nous le faisons quelquefois.
Nous tournons alors notre regard vers cette si belle queue juste au moment où un premier jet de sperme tombe à quelques centimètres de nos visages. D’autres suivront, moins puissants mais, ciel, quelle quantité ! Je veux le goûter mais Loïc me retient. Il a raison mais je ne peux cacher mon dépit.
Il me console alors avec les mots que je voulais entendre : oui, si ce garçon est d’accord, nous jouerons de ce vit et déjà j’élabore des plans.
Loïc
Que de chemin parcouru. Voilà que nous venons de franchir une nouvelle étape dans notre sexualité. Qui aurait imaginé que nous puissions en arriver là.
En réalité tout a commencé l’année dernière par un concours de circonstances que la vie parfois nous réserve.
Ce dernier vendredi de juin, nous sommes sur la route qui nous conduit vers un petit village de Dordogne où nous avons réservé une chambre à l’hôtel du coin. Samedi, nous sommes invités au mariage d’une collègue de ma femme. Comme ce n’est pas tout à fait à côté de la région parisienne où nous vivons, nous avons programmé d’amortir le voyage en prolongeant notre séjour par quelques jours de vacances.
Il est près de 23 heures lorsque nous arrivons à l’hôtel. Il faut dire que nous avons dû déposer notre fille, Anne, à l’aéroport, car elle partait en stage linguistique. Au moment de prendre possession de notre chambre, le veilleur nous annonce que le restaurant est fermé et qu’il ne peut même pas nous servir un repas froid. Inutile de dire que nous sommes déçus car nous avons fait le voyage pratiquement sans s’arrêter. On insiste mais rien à faire. Il consent pourtant à nous indiquer l’adresse d’un club privé qui propose à ses clients un buffet froid. Ce n’est pas loin et ça nous évite de prendre la voiture. Un peu de marche nous fera du bien.
Nous voilà arrivé devant l’adresse indiquée. Heureusement que le veilleur nous avait prévenu car rien n’indique vraiment la présence d’un bar ou d’un restaurant si ce n’est cette porte monumentale sur laquelle on peut lire :
La retourne
Club Privé
Je sonne et nous attendons quelques secondes pour voir apparaître une serveuse :
Je réponds que non mais indique tout de suite que nous venons de la part de Patrick, notre veilleur et que nous sommes affamés
Soulagés, nous la suivons jusqu’à une petite table qu’elle débarrasse et essuie. En se penchant, sa jupe, qui est manifestement de la famille des minis, dégage une vue plongeante sur la croupe de sa propriétaire. C’est plus qu’agréable car rien ne cache ses fesses. Pas la plus petite culotte. Même pas un string. Viona qui fait la même découverte me regarde d’un air surpris et interrogatif. Mais la serveuse termine et nous nous asseyons de part et d’autre de la table. Toujours galant, je laisse la banquette à Viona ce qui fait que je tourne le dos à la salle.
Pour l’instant, notre unique préoccupation est de commander à manger et à boire. Nous parcourons la carte qui propose une grande variété de sandwichs, de toasts et de salades. Le foie gras est omniprésent, ce qui n’est pas une surprise. Par contre ce qui est intrigant ce sont les noms des plats. Mais la serveuse revient et nous nous entendons commander :
Je pense avoir mal entendu et répond sans sourciller : va pour celui-là. Elle continue :
• Si vous ne souhaitez pas être dérangés, tournez le côté rouge dans la direction de la salle.
• Si vous voulez participer ou partager, alors tournez le vert.
Sur ces paroles elle part en laissant le carton côté rouge, sans que nous n’ayons prononcé une parole car c’est comme si elle nous avait parlé Chinois.
Je ne sais pas si c’est la fatigue du voyage mais nous restons sans réagir, sans parler et d’ailleurs la voilà qui revient avec notre commande. Nous avons tellement faim que nous nous précipitons sur la nourriture, sans oublier le fameux vin, pas mauvais d’ailleurs.
Alors seulement, je regarde autour de moi. La salle n’est pas très grande avec une vingtaine de tables. La plupart sont occupées par des couples. On peut voir certains se lever pour aller bavarder avec d’autres. L’ambiance est amicale et décontractée. D’autres se dirigent vers une porte que je n’avais pas remarquée jusque-là. Nous sommes suffisamment près pour que je lise l’inscription « Privé ». Cette porte n’a pas de poignée et c’est en fait la serveuse qui l’ouvre depuis le comptoir. Manifestement, c’est après cette porte que commence la partie réservée aux membres du club. Mais quel type de club ?
La salle se vide doucement. Je me tourne vers Viona que je surprends en train de sourire, le regard dirigé derrière moi. Le miroir placé au-dessus de la banquette me permet de voir que ce sourire semble s’adresser à la table voisine également occupée par un couple. L’homme nous tourne le dos, mais la femme qui fait face à mon épouse la regarde fixement avec le sourire aux lèvres.
Mais un homme s’approche d’eux, échange quelques mots et tout trois se dirigent vers cette fameuse porte. J’ai tout de même le temps d’examiner la « conquête » de Viona. C’est vraiment une belle plante, blonde aux cheveux courts, le visage légèrement maquillé mettant en valeur une bouche charnue, seulement vêtue d’une robe noire suffisamment moulante pour deviner l’absence de soutien-gorge. Je remarque que Viona également la suit des yeux et lorsque nos regards se croisent je ne peux m’empêcher de la taquiner :
Je ne suis pas surpris par sa mauvaise foi car mon épouse est plutôt réservée et jamais nous ne parlons directement de ce genre de chose ou de sexualité.
Mais il se fait vraiment tard et nous décidons de rentrer à l’hôtel. J’appelle la serveuse pour l’addition et en profite pour lui demander de quel type de club il s’agit :
Sur ces mots, je me dirige vers la fameuse porte et, en effet, me retrouve à l’entrée d’un long couloir. Une autre porte se présente sur ma droite mais la présence d’un digicode confirme le caractère privé. En avançant je remarque que le mur de gauche est recouvert de gravures et de photos. C’est à ce moment que je comprends la nature de ce club. Il s’agit certainement d’un club échangiste. Que n’ai-je pas compris plus tôt ? Il faut vraiment que je sois fatigué pour ne pas avoir fait le lien entre tout ce que nous avons vu depuis que nous sommes entrés.
Les gravures sont toutes des plus coquines et représentent des couples expérimentant différentes façons de faire l’amour entre un homme et une femme. Les photos sont encore plus explicites. Ce ne sont que corps nus en couple, à trois, à quatre et même plus. Tous ont le visage « flouté ». Je comprends que manifestement des concours sont organisés car des diplômes sont donnés, par exemple :
On ne doit pas s’ennuyer derrière cette porte. J’aimerais essayer un jour mais comme je n’envisage pas de le faire sans Viona, ça me paraît compromis.
Aucune photo sur le côté droit du couloir, mais une succession de fenêtres complètement occultées par d’épais rideaux. Je crois que toutes sont parfaitement opaques lorsqu’une sorte de murmure m’attire devant l’une d’elle. Oh divine surprise ! Le rideau n’est pas tiré complètement, laissant un espace suffisant pour que je puisse regarder de l’autre côté.
Un lit trône au milieu de la pièce. L’éclairage est assez faible mais comme les murs et le plafond sont recouverts de miroirs, c’est largement suffisant pour que je puisse bien voir. Et, il y a matière à regarder.
Deux femmes sont allongées tête-bêche sur le lit, la tête entre les cuisses avec des mouvements montrant bien que chacune caresse sa partenaire. D’ailleurs j’entends toujours comme un murmure qui semble bien venir de l’autre côté. En suivant ce bruit, je remarque un haut parleur flanqué d’un bouton, fixé au-dessus de la fenêtre. En jouant sur le bouton, je comprends que je peux augmenter le niveau du son. Alors j’entends parfaitement ce qui se passe de l’autre côté. J‘entends parfaitement le bruit humide de la langue qui joue avec le clitoris ou de celle qui cherche à pénétrer au maximum dans le vagin.
Ce n’est pas possible, des micros sont répartis dans toute la pièce, même sous le lit. C’est pour cela que j’ai l’impression d’être au cœur de l’action. D’ailleurs le bruit change, il est plus saccadé, plus humide. Je vois une des femmes introduire un doigt, puis deux puis trois dans le vagin de son amante, tout en continuant de la lécher avec frénésie. La seconde ne tarde pas à lui rendre la pareille. Le rythme s’accélère et ce ne sont que râles étouffés jusqu’à ce que la jouissance les emporte.
Trop attiré par ce qui se passait sur le lit, je n’avais pas prêté attention sur les côtés. Deux hommes sont présents dans la pièce. Chacun est placé en retrait, de part et d’autre du lit, le sexe en érection manifestement entretenu par une légère masturbation. Moi, je n’ai pas besoin de me masturber. Je dois même faire de la place dans mon pantalon pour que ma queue puisse se développer librement.
À ces paroles, je regarde à nouveau vers le lit. Les deux femmes n’ont pas bougé mais je peux voir leur visage car elles ont cessé de se gouiner. Oh, mais je reconnais la femme de gauche, enfin je veux dire celle dont le visage est à gauche et qui est placée dessus. C’est la fameuse voisine aguicheuse, la belle blonde. Dans sa position je peux confirmer ce que sa robe cachait si peu : deux gros seins qui se balancent et une croupe que je ne vois que de profil. Placé comme je suis, je ne vois pas son cul, dommage. Celle de droite lui répond :
Chaque homme avance lentement, présentant son mandrin aux bouches gourmandes. Léa est la première à engloutir jusqu’à la garde le sexe de son partenaire. Elle commence à le branler et je peux voir un filet de salive s’écouler à la commissure de ses lèvres.
L’autre couple n’est pas en reste. Monique qui est couchée sur le dos, penche la tête en arrière pour faciliter la pénétration. Elle reste immobile, la bouche grande ouverte et c’est l’homme qui, doucement introduit son gland. Il s’arrête un instant puis reprend sa progression. On a l’impression qu’il est à l’écoute de sa partenaire, prêt à stopper au moindre geste, mais Monique le laisse s’enfoncer jusqu’au bout sans réagir. Il commence alors à baiser cette gorge si accueillante.
Pendant plusieurs minutes les verges entrent et sortent des gorges qui les accueillent. L’homme que suce Léa lui prend la tête entre ses mains, l’immobilise et utilisant sa bouche comme un vagin entre et sort de plus en plus rapidement. J’entends presque le bruit que fait son gland lorsqu’il butte dans le fond de sa gorge. Manifestement Léa a du mal pour reprendre sa respiration car elle fait comprendre à l’homme de retirer son sexe. Pendant qu’elle retrouve son souffle, elle tourne la tête dans ma direction. Je comprends immédiatement qu’elle m’a vu car elle sourit.
Je me sens comme un enfant pris en faute et je m’enfuis mais quelques mètres plus loin un autre spectacle m’attend car là aussi le rideau a été ouvert :
Une femme est en train de bander les yeux d’un homme et elle lui dit :
La femme se dirige vers la porte, l’ouvre et tout en mettent un doigt sur ses lèvres pour indiquer de garder le silence, fait entrer trois jeunes hommes. Les trois garçons sont déjà en érection et ils montrent trois belles queues d’une taille tout à fait normale.
Alors le tableau se met en place. Deux hommes se positionnent comme prévu, pendant que le troisième reste en retrait.
Le mari entreprend de préparer ce cul qui lui est destiné pendant que son sexe et son propre œillet font l’objet de la même attention. Les deux hommes gardent le silence mais le mari montre une terrible excitation en grognant et gémissant.
La femme dit alors :
Pendant que le trio s’active, elle sort une caméra et filme la scène.
Le mari obéît à ces ordres et introduit son mandrin avec une telle force que l’homme qu’il domine retient un cri. Il se décontracte seulement lorsque la queue qui le dilate commence son va-et-vient.
Sans lui laisser le temps de répondre, le troisième homme qui s’était déjà positionné introduit son sexe dans la bouche ouverte du mari. Surpris, celui-ci recule. Alors sa femme dit :
Le mari s’exécute en s’avançant au-devant du sexe qu’il commence à lécher du bout des lèvres. Mais l’homme ne se satisfait pas de ce traitement et pousse sa verge en forçant la bouche rebelle. Il est pourtant très attentif à ne pas la faire pénétrer trop profond. Il commence un très léger mouvement de va-et-vient car il sait que cette bouche est vierge, qu’aucune queue n’a jamais emprunté ce chemin. Le mari se décontracte peu à peu d’autant qu’il est toujours occupé à pistonner le cul qui l’accueille. Petit à petit, sa bouche se fait plus gourmande et c’est elle qui, tout naturellement, prend le contrôle de la fellation.
Alors la femme, qui continue de filmer, fait un signe à l’homme qui lèche le cul de son mari. Manifestement le scénario a été écrit à l’avance et chaque acteur connaît son rôle sur le bout de la queue. Je le vois se relever, s’enduire les doigts de crème et sans prévenir, mais sans brutalité en enfourner un, puis deux, puis trois, dans la rondelle qui n’oppose aucune résistance. Il faut dire que la préparation avait été parfaite et que l’œillet du mari avait été dilaté.
Si j’ai bien compris le scénario, la bouche et l’anus du mari étaient vierges avant cette soirée et la femme avait prévu de remédier à cet état. Ce qui m’épate c’est qu’un anus vierge puisse réagir si fortement aux caresses au point d’ouvrir un passage si grand.
Mais avant même que le mari ne proteste, sa femme lui dit :
Le mari ne dit rien et reprend, avec peut être plus de force, la fellation et la sodomie.
Les doigts dans son cul vont et viennent doucement sans qu’il ne réagisse. Pourtant sa femme remarque que, petit à petit, il modifie son propre mouvement de va-et-vient pour reculer au moment où les doigts avancent. La femme fait un signe à l’homme qui retire ses doigts, présente son gland et le fait pénétrer sans difficulté. Le reste de la queue suit le même chemin et sans attendre, commence à pistonner ce trou finalement très accueillant. Le mari n’a pas protesté même si au moment où le gland l’envahissait, je l’ai vu chercher à retrouver son souffle.
Le spectacle est ahurissant. Quelques minutes avant, j’avais l’impression que le mari subissait le gage de sa femme avec le viol de sa bouche et son anus. Mais maintenant la situation est inversée. C’est lui qui impose son propre rythme.
D’ailleurs il accélère et on entend nettement des bruits de clapotis, comme c’est le cas de la baise dans le vagin des femmes.
C’est le premier à jouir mais, comme il est empalé à l’avant et à l’arrière, cela ne se remarque que par une tétanie de son corps. L’homme qu’il suce saisit alors sa tête entre ses mains et éjacule sans prévenir. Le mari ne pouvant pas bouger se retrouve dans l’obligation de recueillir la semence et de l’avaler. C’est le moment où son enculeur lâche la purée en poussant des petits cris.
Le temps s’arrête puis les queues glissent hors de leur étui. Les quatre hommes restent figés et on peut voir du sperme couler lentement des culs et de la bouche honorés. La femme enlève alors le masque de son mari. Il constate que, finalement, seuls des hommes ont participés à cette initiation. Il dit à sa femme :
On entend alors une voix dire :
Il s’agit du garçon enculé par le mari.
La femme répond :
Le mari dit alors :
Mais je n’assiste pas au bouquet final car il faut que je rejoigne Viona. J’ai été absent trop longtemps.
En la retrouvant elle me dit :
Elle se lève, se dirige vers la porte qui s’ouvre immédiatement. La serveuse a compris car elle me regarde en riant.
Il faut attendre plus d’un quart d’heure pour que Viona revienne. Elle a du mal à cacher son trouble car elle a les joues rouges et je vois bien que ses tétons pointent sous son chemisier.
Nous voilà sur le chemin du retour. Quelques minutes plus tard nous ouvrons la porte de notre chambre. Viona se dirige la première vers la salle de bain qu’elle n’occupe que quelques minutes. Lorsque je la rejoins dans la chambre, je la découvre allongée, nue sur le lit.
Je comprends l’appel. Viona n’est pas du genre à faire le premier pas si elle a envie de faire l’amour. Je sais déchiffrer ses messages et ce soir, il est évident car ma belle ne peut cacher ses tétons qui sont comme gonflés et pointent vers le plafond. C’est le signe caractéristique de son excitation. Je réponds d’un air désinvolte :
Mais je m’allonge à ses côtés, l’embrasse et commence à la caresser. Nous faisons l’amour, comme toujours attentifs au plaisir de l’autre, sans précipitation mais aussi sans grande originalité. Puis nous nous endormons apaisés.
Le lendemain, après une grâce matinée chacun part de son côté. Viona à un rendez-vous chez le coiffeur et pour ma part, j’ai rendez-vous avec une chaise longue au bord de la piscine de l’hôtel.
Viona
En allant vers mon rendez-vous de coiffeur, je me suis surprise à dévisager toutes les femmes que je croisais de peur de reconnaître la serveuse ou ma dragueuse blonde, Léa. Mais je ne suis pas sûre que ce soit de peur de… en réalité ce serait plutôt que je souhaiterais les rencontrer.
Vraiment cette soirée sortait de l’ordinaire. J’ai pensé un instant que c’est Loïc qui avait tout organisé, mais à la réflexion ce n’était matériellement pas possible. La serveuse en mini et sans culotte, les sandwichs dotés de noms à double sens, le vin « liqueur du con », tout était bizarre. Surtout la femme qui me faisait face et qui n’arrêtait pas de me regarder, me déshabillant du regard tout en me souriant. Bien sûr, c’est après avoir franchi cette porte que j’ai compris où nous étions. Les photos et les gravures étaient explicites. Mais je n’ai jamais été attirée par ce genre d’exhibition et déjà je m’apprêtais à retourner vers Loïc lorsque j’ai entendu distinctement :
Ces paroles venaient distinctement comme si la personne était dans la pièce. Une fois la surprise passée j’en recherche l’origine. C’est juste là et je découvre que je peux voir de l’autre côté d’une fenêtre dont les rideaux sont mal fermés. J’approche mon visage et découvre un spectacle ahurissant. J’ai d’abord un geste de recul car j’ai peur d’être découverte tellement je suis proche. Mais je me rassure car autant la pièce de l’autre côté est claire autant le couloir où je suis est dans une demi-obscurité
Deux personnes sont allongées sur le lit qui remplit la moitié de la pièce. Un homme, allongé sur le dos et une femme qui le chevauche. J’ai une vision directe du sexe de l’homme que la femme fait entrer et sortir de sa vulve avec violence. J’entends distinctement ses fesses frapper les cuisses de l’homme. Tout deux ne parlent plus. Ils sont concentrés sur leur plaisir.
En prononçant ces paroles, la femme tourne la tête dans ma direction et oh, je la reconnais, c’est ma blonde aguicheuse.
Alors l’homme que la comparse de ma blonde astiquait avec sa bouche, avance vers le lit. Il présente son sexe qui à tout du gourdin à l’entrée du cul de Léa et, sans effort, sans violence, sans à-coup, l’enfile jusqu’à la garde. La bouche de Léa s’ouvre comme si elle cherchait de l’air et on est presque surpris de ne pas voir le gland de l’homme ressortir par cet orifice.
Martine monte alors sur le lit en enjambant l’homme que chevauche Léa et lui plaque son sexe sur le visage. L’homme s’empresse de le caresser de la langue et des doigts.
Mais c’est Léa qui mène le bal. Les deux hommes ne sont que des pieux qu’elle utilise à sa guise. Elle bouge doucement, montant et descendant, laissant les deux bites sortir de ses orifices avant de les engloutir à nouveau. La vision est extraordinaire. Voir ces deux tiges sortir de Léa, osciller en se frottant l’une à l’autre avant de disparaître, littéralement aspirées. Mais ce qui me trouble le plus c’est de voir que l’œillet reste grand ouvert, comme dilaté, déformé par la queue qui l’encule. C’est surréaliste.
Les minutes passent. Mais l’amazone accélère, entièrement concentrée sur la montée de son plaisir. Alors je l’entends, crier.
Mais on entend les deux hommes dire :
À ces paroles les deux femmes sautent du lit, placent les deux hommes côte à côte, s’agenouillent devant eux et en un seul mouvement, engloutissent la verge jusqu’aux couilles. Il ne faut pas plus de quelques va-et-vient pour que les hommes jouissent. Les femmes s’immobilisent, attendant que les queues ramollissent et glissent hors de leur gorge.
Alors chacune ouvre la bouche et présentent le sperme recueilli à leurs amants. Je suis si près que je peux voir leurs langues présenter cette crème blanche comme une offrande.
Puis elles se font face et s’embrassent à pleine bouche. On peut deviner les langues qui poussent, mélangent, malaxent les deux spermes pour n’en former qu’un. Enfin elles se séparent et je peux voir Martine déglutir et elle dit en souriant :
Mais Léa ne répond pas. Elle ne peut pas car elle a conservé le mélange dans sa bouche. Elle se lève, fait un pas vers la fenêtre, et regardant droit devant déglutit plusieurs fois en souriant. Tout en continuant de sourire, elle collecte du doigt le sperme qui a coulé sur son menton et à la commissure de ses lèvres. Toujours en souriant elle le tend dans ma direction comme une invitation à le sucer.
Mon dieu, je suis découverte. J’ai honte. Je recule et me dirige vers le bar. Mais le spectacle m’a troublée plus que je ne pense. Mes mamelons pointent à en percer mon chemisier, je suis en sueur et me rend compte que ma culotte est trempée. C’est incroyable, d’habitude il faut me caresser pour que mon vagin soit humide à ce point.
J’attends quelques minutes avant d’ouvrir la porte du bar. Je n’ai qu’une envie, c’est de rentrer à l’hôtel.
Loïc n’a pas été dupe du prétexte que j’ai utilisé pour m’étendre nue sur le lit. Nous avons fait l’amour et j’ai bien senti que lui aussi avait été excité par cette soirée. Comme toujours, il a été doux et prévenant m’amenant au plaisir avant qu’il n’éjacule. Mais j’aurais aimé plus de vigueur, qu’il me prenne en levrette pour encore mieux me sentir envahie par sa queue jusqu’au fond.
Allons Viona, sois raisonnable, oublie ce que tu as vu. Pense à te faire belle pour ce soir.
Loïc
Ce mariage s’annonce sous les meilleurs auspices. Les femmes rivalisent d’élégance. La plupart ont choisi des tenues légères en accord avec la douceur du climat, ce qui n’est pas désagréable. Viona m’a plusieurs fois rappelé à l’ordre quand je regardais avec trop d’insistance un décolleté un peu profond, une chute de reins avenante ou un corps mis en valeur pas une petite robe bien moulante. Il faut dire que, comme beaucoup, j’ai bien profité du champagne servi pendant le cocktail. Les organisateurs ont eut l’excellente idée de proposer un service de transport pour reconduire les invités à la fin de la soirée.
On nous invite à passer à table et nous nous dirigeons vers notre table ou quatre personnes sont déjà installées.
Et là, stupeur ! Je reconnais Léa. Heureusement je me reprends très vite et nous nous asseyons en saluant nos voisins. Le serveur a la bonne idée de nous amener le premier plat, ce qui fait diversion. Petit à petit nous faisons connaissance, bavardons, plaisantons. À mesure que la soirée avance, nous nous retrouvons seuls avec Léa et son mari, l’autre couple s’éclipsant souvent pour aller bavarder avec des amis.
C’est ainsi que nous apprenons qu’ils sont mariés depuis trois ans, qu’ils n’ont pas d’enfant, que Léa est psychologue, que John est agent immobilier et qu’ils habitent une villa près de Bordeaux. Ils ne doivent pas avoir plus de 30 ans.
De notre côté, nous leur apprenons que nous nous sommes marié à 20 ans, que nous avons une fille de 15 ans actuellement en Angleterre, que Viona est professeur d’Anglais et que je dirige une petite entreprise dans le bâtiment
C’est vraiment un couple sympathique et nous bavardons comme de vieux amis. En deux mots, je n’ai pas vu le temps passé. Le repas se termine et nous nous dirigeons dans la pièce à côté aménagée comme une boîte de nuit avec piste de dance, sono et DJ.
Au début chaque couple danse avec son partenaire mais, bien sûr, rapidement nous nous invitons les uns les autres. Viona dance avec John mais aussi avec Léa. John et moi ne sommes pas très doués pour la valse ou le tango. La soirée avance, les slows se succèdent et la lumière se réduit de minute en minute. Il fait chaud, le champagne coule à flot.
C’est ainsi que je surprends Viona littéralement collée à John, son bassin plaqué contre le sien. Elle s’abandonne entre ses bras, la tête sur son épaule. On ne glisserait pas une feuille de cigarette entre leurs bas-ventres. On dirait qu’ils font l’amour debout. Dans la pénombre, je vois que les larges mains de John sont plaquées sur les fesses de ma femme, les pétrissant, les malaxant au point que sa robe est remontée assez haute pour laisser entrevoir le bas de sa culotte.
Je ne peux pas trop m’offusquer car de mon côté, je flirte outrageusement avec Léa. Elle aussi a remarqué l’attitude de nos époux et nous les suivons discrètement. C’est la première fois que je vois Viona dans cette situation et je ne sais pas comment réagir. Mon sexe décide pour moi car je le sens gonfler et se redresser. Léa ne peut pas ignorer ce bâton qui se glisse entre nous deux. Je suis mal à l’aise mais mon érection ne faiblit pas car je vois Viona plaquer ses mains sur les fesses de John. Léa réagit en se plaquant encore plus fort contre moi en ondulant du bassin. Elle me susurre à l’oreille :
Elle ajoute en se frottant contre moi et en riant :
Mal à l’aise, je ne réponds pas et je suis sauvé par la musique qui s’arrête. La lumière revient doucement permettant à tous de reprendre une attitude plus correcte.
Plus la soirée avance, plus Viona me surprend car lorsqu’elle danse avec Léa, elle a le même comportement. Il faut dire que les deux femmes dégagent une sensualité extraordinaire. Une blonde et une brune, même taille, élancées, poitrine contre poitrine, ventre contre ventre avec un déhanchement à damner un saint.
Le DJ lance une série de rock et nous reprenons notre souffle à notre table. Je me lève pour aller fumer une cigarette dehors. Léa se lève aussi et nous allons marcher dans le jardin polluer la nature. Après un moment de silence, elle me dit :
Nous scellons notre pacte par une poignée de main et revenons dans la salle. Les slows sont de retour. La lumière à nouveau tamisée. Nous retrouvons nos époux dans le coin le plus sombre. Il faut se rapprocher pour voir que ma femme caresse le bas-ventre de John à travers son pantalon et lui n’est pas en reste pour lui rendre la pareille. Léa s’approche, saisit la main de Viona, porte ses doigts à sa bouche et la regardant dans les yeux lui dit :
Et elles se mettent à danser.
C’est comme cela que le lendemain, je prends l’avion pour Paris sous le prétexte d’une réunion imprévue sur un chantier.
Viona
Contrairement à ce que je pensais, je n’avais pas tourné la page sur la soirée au club. Dès que j’ai reconnu Léa, les images de la veille sont revenues et ne m’ont plus quittée. Ces pensées, plus l’alcool, me mettent dans un état second. Lorsque je danse avec nos nouveaux amis, je suis attirée par leur corps. J’aime sentir le sexe de John contre mon bas-ventre. Mes seins se tendent vers la poitrine opulente de Léa. En fin de soirée, je suis tellement une autre que je palpe la bite de John. Heureusement que Léa nous sépare car, pour la première fois de ma vie, je l’aurais entraîné dans le jardin pour qu’il me prenne comme une salope.
Dès que nous commençons à danser, Léa me dit à l’oreille :
Le lendemain, Loïc m’annonce qu’il doit remonter à Paris pour une histoire de chantier. Heureusement que Léa m’a invitée ces quelques jours chez elle. En plus, elle habite une villa magnifique avec une gigantesque piscine totalement protégée des regards indiscrets. Après avoir déposé mon mari à l’aéroport, je retrouve ma nouvelle amie qui enchaîne des longueurs. Pas étonnant qu’elle soit si fine et bien bâtie.
Je remarque alors qu’elle ne porte pas de haut. Il faut dire que sa poitrine est opulente mais ferme. Sûrement la natation.
Je n’ai pas le temps de réagir qu’elle défait le haut de mon maillot et le laisse tomber au sol.
Elle revient presque aussitôt et commence à étaler la crème sur mes mamelons. C’est immédiat. Bien que ses mouvements soient sans équivoque, mes tétons réagissent et se gonflent en se dressant.
Après le repas je monte dans ma chambre pour joindre ma fille par vidéo-internet et nous bavardons plus d’une heure.
Lorsque je redescends je trouve Léa assoupie au bord de la piscine Elle est totalement nue face au soleil. Curieuse, indiscrète, je profite de cet instant pour regarder de près son sexe totalement épilé. Comme elle s’est endormie les jambes repliées, je peux voir la raie des fesses et son anus sans un seul poil. Deux jours auparavant, j’ai vu cet anus dilaté par une queue qui le forçait. C’est difficile à imaginer.
Je m’allonge à ses côtés mais, curieusement, je me sens ridicule avec mon maillot. Finalement je le fais glisser et me voilà totalement nue. Ce n’est pas tout à fait vrai car il me reste encore pas mal de poils.
Léa ne tarde à se réveiller et me voyant ainsi, me dit :
Mais le téléphone sonne et elle rentre dans la maison pour répondre.
En l’attendant je me promène et découvre un jacuzzi. Je le mets en marche et m’amuse avec le tableau de commande digne d’un airbus. Un des réglages contrôle une sorte de canule placée au milieu du bassin. Par jeu je m’accroupis et place ma fente juste au-dessus du jet de bulles. Je suis saisie, c’est surprenant et très bon. Le jet pénètre dans le sexe, chatouille mon clito et masse ma rondelle. Je n’ai jamais ressenti un tel effet, même le sèche-cheveux ne peut pas rivaliser. J’ai l’impression d’être remplie par de multiples petites verges qui s’agitent dans tous les sens et découvrent des régions jamais explorées. Je ne peux pas m’empêcher de caresser mes seins, faisant rouler mes tétons entre mes doigts. Le plaisir arrive très vite et je dois me retenir pour ne pas tomber dans le bassin.
Je reprends mes esprits et entend alors derrière moi :
Et c’est comme cela que Léa m’a épilée. Quand elle m’a présenté un miroir, j’ai vraiment eu l’impression de regarder le sexe et l’anus d’une étrangère.
Au dîner, je comprends qu’elle a tout raconté à John car je surprends son regard vers mon bas-ventre. Il faut dire que je ne porte pas de culotte, sur le conseil de Léa, pour soi-disant éviter l’irritation. La coquine !
Il a eu sa récompense après le dîner. Nous étions tous installés dans de profonds fauteuils et, comme par hasard, il était juste en face de moi, avec un air de chien battu. J’ai eu pitié et lentement en remontant ma robe, j’ai largement écarté les cuisses. Léa a éclaté de rire et tout en se mettant nue, s’approche de son mari, sort le sexe en érection et dit :
Ils se lèvent et partent main dans la main.
Quelle journée. Comment j’ai fait pour, en l’espace de quelques heures, m’afficher totalement nue, me faire surprendre en pleine masturbation et me faire épiler ? Le pire c’est que je ne regrette rien. Si, je regrette que Léa ne m’ait pas offerte à John.
Non… Non. Comment je peux penser une telle chose ? Loïc, je t’aime.
Le lendemain, Léa m’accueille en m’embrassant sur la bouche.
D’un geste, je me mets « en tenue » c’est-à-dire totalement à poil.
Le petit déjeuner expédié, la piscine nous attend. Léa plonge immédiatement et commence ses longueurs. Je m’assois au bord, les pieds dans l’eau, sans rien faire, juste profiter du moment. Je suis perdue dans mes rêveries lorsque la tête de Léa émerge près de moi.
En disant ces paroles elle s’approche encore plus prêt. Ses yeux sont au niveau de ma fente et elle scrute ma nouvelle nudité.
Je m’exécute sans pudeur tellement nous sommes devenues complices. Alors je sens un attouchement sur mon œillet. Surprise je baisse le regard et croise celui de Léa qui commence à me lécher. Je pense à me reculer mais mon corps ne réagit pas, au contraire j’avance le bassin pour lui faciliter la tâche. Seule une femme est vraiment capable de caresser une autre femme. Loïc ne m’a jamais fait monter aussi haut que ce soit par la queue ou par la langue. Je retrouve les sensations de mon adolescence où nous nous gouinions dans nos lits d’interne. Nous étions débutantes et Léa est une experte.
Dans un premier temps, elle me lèche de haut en bas, du clitoris à l’anus. Puis, toujours avec sa langue, elle s’attarde d’abord sur mon clito qu’elle décalotte et suce du bout des lèvres. C’est divin. Arrivée à ma fente, elle écarte les petites lèvres pour pousser sa langue le plus profond possible. Comment fait-elle pour aller si loin, on dirait une queue. Alors elle s’attaque à mon cul. Je suis vierge de ce côté-là. Elle le sait, aussi elle commence à l’apprivoiser par petites touches. Elle me tend un doigt et je comprends que si j’accepte de le sucer, c’est lui donner le feu vert pour continuer. C’est ce que je fais.
Tout s’accélère, j’ai l’impression d’avoir plusieurs personnes qui me caressent. Une titille mon clitoris, l’aspire, le fait rouler avec ses lèvres. Une autre me pénètre avec ses doigts en les faisant aller et venir en produisant des clapotis. Mais la troisième… Ah, je devine plus que je ne le sens mon œillet s’ouvrir sous la pression amicale de ce doigt que j’ai sucé. Il ne résiste pas, on dirait qu’il attendait ce moment depuis longtemps. Je m’adresse par la pensée à tous ces instruments qui participent à mon plaisir :
Le plaisir me tétanise, tout mon corps se tend comme un arc. Puis le calme revient et mes envahisseurs se retirent. Léa me montre ses doigts couverts de ma liqueur et je vois qu’elle a introduit les cinq doigts d’une main dans mon vagin. C’est impossible, comment ai-je pu les absorber. Pourtant Léa confirme en hochant de la tête. Elle me tend également le violeur de cul et je m’apprête à le nettoyer avec ma langue.
Et elle se lèche les mains comme un enfant le fait d’une cuillère pleine de chocolat.
Elle sort de la piscine et va s’allonger. Moi, je me lève et plonge. Mes muscles se relaxent sous la douce pression de l’eau. Après quelques brasses je rejoins ma douce amie et m’installe à ses côtés.
Je pense en moi-même : ne sois pas une ingrate. Tu dois aussi apporter du plaisir. Elle si belle et reconnais que tu as envie d’explorer son intimité, de la faire jouir par ta bouche et tes doigts.
Je me tourne vers elle, commence à la caresser, plonge la tête entre ses cuisses et entreprend de la faire monter aussi haut qu’elle l’a fait pour moi. Je m’applique si bien qu’elle jouit plusieurs fois en poussant des cris si forts que j’en suis surprise. Une fois reposée, elle se tourne vers moi et dit :
Sur ces mots elle se lève et dit :
En descendant de ma chambre, je suis surprise de voir Léa avec une perruque noire et de larges lunettes de soleil.
Par conte elle porte une robe avec un décolleté si profond que c’est un pousse-au-crime. En souriant elle me montre qu’elle ne porte pas de culotte.
C’est comme cela que nous sommes parties faire du shopping.
Le soir nous racontons à John tout ce que nous avons fait :
Rouler en décapotable avec les jupes au ras du cul.
Attirer le regard des hommes et des femmes qui n’arrivaient pas à croire ce qu’ils voyaient et repassaient plusieurs fois devant la terrasse où nous déjeunions.
Mais le plus jouissif a été de rentrer dans un magasin de chaussures tenu par un homme et sa femme. Le regard de l’homme lorsqu’il découvre le sexe de Léa à portée de mains ! Pas de doute, il bande fort et fait durer le plaisir en lui faisant lever les jambes le plus haut possible. Sa femme aussi a été plus que troublée lorsqu’elle a vu mon sexe. Sous le prétexte de me montrer certains modèles, elle m’entraîne dans l’arrière boutique. Après m’avoir fait asseoir, elle me questionne :
Pouvant difficilement faire la majorée, je relève ma robe et écarte les cuisses.
Elle me presse alors de questions :
Évidemment, je ne peux que l’encourager.
Quelques minutes plus tard, alors que nous sortons du magasin, l’homme affiche à la porte :
En fait, John est rentré de bonne heure et nous le retrouvons dans la piscine. Il en sort pour nous saluer et je peux voir qu’il est nu, d’une nudité si parfaite que son sexe et ses bourses attirent les regards. Léa enlève sa robe et je fais de même sans hésitation. Cela me paraît naturel.
Nous dînons puis retournons au bord de la piscine. Il a rapporté une bonne bouteille de cognac offerte par un client et nous l’apprécions confortablement installés dans des transats. Une langueur nous gagne. Nous ne parlons plus et profitons de la douceur de cette soirée.
Mais John se penche vers sa femme et lui parle à l’oreille. Elle dit à haute voie :
Alors il s‘adresse à moi :
Ces paroles me surprennent car jusqu’à maintenant, John n’a toujours été que spectateur. Il est vrai que moi aussi je me sens toute chaude des aventures de l’après-midi. Après tout, je leur dois bien ça. Ce n’est pas vraiment tromper Loïc et en plus, il n’en saura rien.
John s’allonge et je lui présente ma chatte à lécher. Dès qu’il commence, je vois son pénis se déployer. Pas de doute, je lui fais de l’effet. Léa est en retrait et je lui dis :
Elle s’exécute et le gobe, le suce, le lèche comme une gourmandise. C’est torride. Je l’ai déjà vu faire au club avec d’autres hommes mais là, je participe à l’action. Son mari me suce le con, me titille le clito, introduit sa langue dans mon anus. Très rapidement la queue de John atteint une taille que je n’avais jamais vue, ni chez Loïc, ni chez les amants de sa femme. Léa se l’enfourne en une seule poussée dans le vagin. Nous nous faisons face. J’ai une vue plongeante sur le pieu qui dilate sa vulve et elle peut voir son mari en action dans mon sexe. Elle me sourit et dit :
Elle accélère le mouvement de bas en haut tout en ondulant du bassin et en effet, je sens que John éjacule.
Elle extrait alors le pénis de son sexe, le prend dans sa bouche et le nettoie consciencieusement. Alors elle reproduit le même geste qu’au club et récupérant quelques gouttes épaisses avec un doigt me le tend pour goûter. Aucune vitre ne nous sépare et comme je n’ouvre pas la bouche, elle étale le sperme sur mes lèvres. Même si j’éprouve encore une répugnance, je me force à goûter cette pate blanchâtre étalée sur mes lèvres. C’est ainsi que pour la première fois de ma vie j’avale un peu de semence d’homme. Ce n’est pas mauvais, au contraire ce petit goût âcre me plaît. Je montre à Léa ma satisfaction en prélevant moi-même des filets de sperme sur son menton et en suçant ostensiblement mon doigt.
C’est le déclencheur de mon plaisir. J’écrase John avec mon sexe mais il résiste et lèche, lèche tout ce qu’il peut récolter de la liqueur qui s’écoule.
Nous reprenons nos esprits, retournons nous asseoir, mais personne ne parle.
Je me lève pour aller me coucher et nous souhaitons le bonsoir comme si rien ne s’était passé.
Que d’émotions pendant ces deux jours. J’ai presque trompé mon mari. Oh, il ne faut pas se voiler la face, j’aurais bien aimé qu’une belle queue me prenne ce soir. Je suis une salope. Mais Loïc arrive demain. Comment va-t-il réagir à mon épilation ? Ne va-t-il pas deviner ce que nous avons fait ?
Loïc
Alors que je suis dans l’avion pour Paris je me fais des reproches et me demande si j’ai bien fait de laisser ma femme chez ces personnes qu’après tout, nous ne connaissons que depuis 48 heures. En plus, j’ai confié la mission de dévergonder mon épouse à une quasi inconnue.
Heureusement, dès mon arrivée à Roissy, ma messagerie m’indique la présence d’un MMS. La photo jointe me montre ma chérie langoureusement allongée au bord de la piscine, avec uniquement le bas de son bikini. Sa poitrine est généreusement offerte aux rayons du soleil et son sourire montre sans ambiguïté sa satisfaction. Je suis rassuré, tout va bien, Léa a déjà su mettre Viona en confiance.
Seconde photo, vers 16 h, montrant mon épouse dans une position sans équivoque. Elle est nue, accroupie dans un bassin où on devine un jet de bulles dirigé vers son sexe, et en train de faire rouler ses tétons entre ses doigts. Elle est seule, concentrée, les yeux fermés avec une expression sur son visage qui montre le plaisir qu’elle se donne. Je suis surpris car j’ai toujours pensé qu’elle n’était pas attirée par les plaisirs solitaires.
Mais ce n’est rien comparé à la photo que je reçois vers minuit. On voit Viona avachie dans un fauteuil, la jupe totalement relevée, les cuisses écartées avec son bas-ventre largement exposé aux regards. Et les regards sont ceux de John et de Léa. John montre un sexe en érection littéralement tenu en laisse par une Léa dans le plus simple appareil. Heureusement, un texte accompagne cette photo et atténue une réaction de mari bafoué. Je me calme en me rappelant que c’est moi qui suis à l’origine de cette situation. Alors, et alors seulement, je remarque que le sexe de ma femme est vraiment exposé aux regards. Plus un seul poil ne le protège. J’utilise même la fonction zoom pour regarder de plus près. Il est magnifique. Elle a raison de le montrer. Je voudrais pouvoir le toucher. Mais il faut être patient.
Le lendemain, après une nuit peuplée de rêves érotiques, j’ouvre les yeux pour constater que j’ai déjà deux photos qui m’attendent. L’une montre Léa en train de gouiner ma Viona pratiquement écartelée avec ses propres mains qui écartent sa chatte et son cul. L’autre est du genre copier-coller sauf que les femmes ont inversé leur position. Le texte qui accompagne ne fait que confirmer ce que les photos montrent : Viona se libère de ses tabous à une vitesse qui nous surprend tous. Mais c’est une bonne nouvelle.
De plus Léa m’informe qu’en principe, elle ne va pas chercher à aller plus loin pour l’instant et qu’elle programme juste une sortie shopping entre femmes. Je réponds que, comme convenu, je serai de retour à la villa le lendemain après-midi.
C’est donc avec surprise que le lendemain matin je reçois une vidéo par mail. Bien sûr, je la visionne sans attendre. On y voit les deux femmes chevaucher John jusqu’à la jouissance. Manifestement Viona adore maintenant se faire reluire de cette façon ce qui est déjà un grand changement. Mais ce qui me frappe le plus c’est de la voir avec du sperme sur les lèvres, de le goûter et d’en redemander. Cette vision me fait tellement bander que je me branle en repassant la vidéo jusqu’à ce que je crache mon sperme en disant tout haut :
Quelques heures plus tard, c’est ma petite salope en herbe qui m’accueille sur le pas de porte de la villa, uniquement vêtue d’un tout petit bikini. Elle m’embrasse à me couper le souffle tout en se frottant à moi comme une chatte en chaleur. Cela fait seulement deux jours que nous sommes séparés mais ce n’est plus la même femme que j’ai quittée. Elle irradie de sensualité et je me retiens pour ne pas passer mes mains sur son cul et sur sa chatte.
Et elle ajoute en me parlant doucement à l’oreille :
Sans me laisser le temps de répondre et sûrement surprise par sa propre audace, elle enchaîne :
En effet notre hôtesse est en train de nager et dès qu’elle nous voit, elle sort pour venir me saluer. Elle est totalement nue et tout à fait à l’aise dit :
Je pense : bien joué, cela facilite le travail de ma chérie. Et je réponds :
Je pense à nouveau : bravo, décidément Léa, tu es très forte. Je vois alors mon épouse enlever le minuscule haut tout en me regardant avec un air de petite fille sage. Je la regarde, m’approche d’elle, passe doucement une main sur ses seins et dis :
Je m’éloigne pour me déshabiller tout en surveillant d’un œil les deux femmes. Je vois mon épouse montrer son bas à Léa avec un signe interrogateur. Oh, que ce petit jeu m’amuse. Je me mets nu et reviens vers elles.
Léa, un sourire aux lèvres dit :
Alors Viona, radieuse et tout à coup libérée répond :
Je pense :
Alors, même prévenu par les photos, je reste sans voix. C’est une beauté avec ces lèvres enfin libérées où je peux voir une humidité qui perle comme au départ d’une source.
Léa intervient à nouveau :
Viona, se tourne et se penche en avant pour me faire admirer sa raie des fesses et son petit trou que je découvre vraiment pour la première fois. Je suis toujours sans voix. Heureusement je suis sauvé par un petit rire de Léa qui dit en montrant mon sexe à ma femme :
En effet j’ai un début d’érection. J’arrive tout de même à remercier mon épouse du merveilleux cadeau qu’elle m’a fait et je félicite Léa pour cette idée.
La tension retombe. Nous nous installons au bord de la piscine, vite rejoins par John. L’ambiance est détendue ; nous dînons et paressons des heures, petit à petit enivrés par toutes les bonnes bouteilles que John sort de sa cave. Il est plus de deux heures lorsque nous rejoignons nos chambres. Nous avons remercié nos amis de leur hospitalité car ils partiront avant nous demain matin. De notre côté nous traînerons un peu avant de reprendre notre périple par une visite de Bordeaux. Léa submerge mon épouse de bonnes adresses que nous devrons visiter.
Nous sommes tellement fatigués par la tension nerveuse de nos retrouvailles avec aussi, je dois l’avouer, un petit excès d’alcool, que nous nous couchons comme un vieux couple, sans faire l’amour.
Le lendemain nous arpentons consciencieusement les rues et les quais de Bordeaux pendant plusieurs heures.
En passant dans une petite rue, Viona s’arrête devant une boutique qui vend de la lingerie et des maillots de bain. J’ai compris, nous sommes devant un des magasins que lui a recommandés Léa. Je l’encourage en disant :
Nous entrons. Une jeune femme nous accueille. Je m’empresse de parler le premier pour être sûr que Viona ne recule pas.
Et j’ajoute :
La vendeuse sourit et dit :
Elle nous quitte en fermant la porte derrière elle. Viona fait sa sélection en me demandant mon avis. Je ne peux que répondre positivement car tous ses choix sont très érotiques, mettant en avant sa poitrine et sa croupe. Quel changement.
Elle sort et se dirige vers la vendeuse pour poser quelques questions. Pendant ce temps, je fais ma propre sélection. J’entends la vendeuse dire :
Nous n’attendons pas longtemps. Viona essaye les sous-vêtements et met de côté ceux qu’elle veut prendre. Alors je lui montre ce que j’ai sélectionné de mon côté. Il s’agit de :
• Un soutien-gorge « redresse-seins » qui soulève ses mamelons et laisse les tétons pointer.
• Un string fendu devant qui laisse la chate de ma chérie accessible aux doigts et à ma bite.
• Deux pendentifs équipés de pinces que je fixe sur ses tétons.
Elle passe sa main sur mon sexe, ouvre mon pantalon et extrait mon pénis en érection. Alors elle se tourne et s’asseyant sur mes genoux fait pénétrer l’objet de son désir dans son vagin. Il pénètre si facilement que je n’ai pas de doute sur sa propre excitation. Alors elle oscille du bassin en provoquant une rotation de son vagin autours de ma queue. Je ne peux pas m’empêcher de penser : jamais elle n’aurait fait cela avant. La glace qui nous fait face renvoie l’image d’une Viona concentrée sur son plaisir. On voit les bijoux se balancer au rythme de ses oscillations entraînant les tétons dans la dance.
Maintenant elle se baise sur mon vit, montant et descendant de plus en plus fort, frappant ses fesses sur mes cuisses. La glace renvoie l’image de nos sexes en action. C’est extraordinaire car ma petite salope qui a maintenant les yeux fixés sur sa fente, avance la main pour me caresser doucement les couilles puis la dirige vers son clitoris. Ce spectacle m’enchante mais je ne peux plus me retenir. J’éjacule alors que Viona me sourit et dit tout doucement.
Cela faisait longtemps que nous n’avions pas été aussi bien ensemble avec en plus cette petite pointe d’érotisme qui change tout. Merci Léa, pour tout.
Nous nous séparons et au moment de se ré habiller je demande :
Au moment de payer Viona dit à la vendeuse :
C’est ainsi que nous avons vraiment commencé nos vacances. Ces quelques jours sont passés comme dans un rêve. Sea, Sex and Sun ont été notre tempo. J’ai même baisé Viona au bord de la route, plaquée contre un arbre. La peur ou plutôt l’envie d’être surpris a décuplé notre plaisir. Mon regret a été de ne pas pouvoir la prendre par le cul, mais je sais maintenant que ce n’est que partie remise. Elle m’a même demandé si je ne voulais pas me faire épiler le sexe et les couilles sous le prétexte que cela allait augmenter mon plaisir comme cela est le cas pour elle. Mais le moment le plus fort a été lorsqu’elle m’a branlé dans un restaurant, puis après m’avoir fait cracher mon sperme, se glissant sous la table en disant qu’il ne fallait pas que je tache mon pantalon, m’a complètement nettoyé de la langue et de la bouche.
Oh ce regard, quand elle est revenue s’asseoir ! Que de promesses il contenait.
Mais il a fallut revenir à Paris et j’ai repris le travail. Nous avons récupéré notre fille et elles sont parties chez les parents de ma femme.
Mon cher Loïc, Viona m’a appelé et raconté en détails et avec gourmandise vos prouesses pendant vos vacances. Tu vois comme j’avais raison. Maintenant il faut continuer. Je te joins le mail que je vais lui envoyer, mais j’attends ton accord. Encore une fois tu peux arrêter à tout moment.
Voilà le texte du message de Léa pour Viona.
Ma chérie
J’ai l’impression que tu as apprécié ce que nous avons fait à la maison et que tu l’as mis en pratique avec Loïc. J’en suis heureuse et cela me conforte dans mon opinion que tu es une femme sensuelle qui ne demande qu’à aimer et faire aimer le sexe. J’espère que maintenant tu en es consciente. C’est pourquoi je te propose de continuer nos petits jeux mais en passant à la vitesse supérieure. Je voudrais t’enseigner les joies de la fellation, de la pénétration profonde, de la sodomie, etc. Tu sais maintenant que nous les femmes avons de nombreuses possibilités non seulement de jouir mais surtout de décupler notre plaisir par toutes ces pratiques. Tu verras, j’ai tout ce qu’il faut à la maison pour commencer sans la présence d’un homme mais bien sûr John sera disponible si tu le demandes.
Voilà, tu es libre de décider. Il te suffit de répondre oui, et préciser la date de ton arrivée. Dans un premier temps il est préférable que Loïc ne vienne pas.
Si tu acceptes je n’ai que deux exigences :
• Venir avec un résultat récent d’analyses pour les MST. Sécurité pour tous.
• Mettre ton mari à ma disposition pour l’initier, comme toi, aux joies de la fellation et de la sodomie.
Ma décision était prise depuis notre retour. Viona avait changé. Elle semblait plus libre, plus amoureuse. Il fallait continuer. Je savais qu’elle allait découvrir toutes ces choses sans moi, avec Léa et un autre homme. Mais c’était le sacrifice que je devais accepter. Je répondis donc à Léa : Oui, je suis d’accord pour tout.
Maintenant Viona pouvait prendre sa propre décision en toute connaissance de cause. Elle connaissait le programme et si elle répondait positivement c‘est qu’elle en ressentait le besoin pour notre sexualité.
Deux jour plus tard ma femme me téléphone et me demande si je ne voyais pas d’inconvénients à ce qu’elle parte une semaine à Bordeaux chez nos nouveaux amis. Je pourrais la rejoindre pour le week-end.
Les dés étaient lancés.