n° 14075 | Fiche technique | 59819 caractères | 59819Temps de lecture estimé : 35 mn | 07/10/10 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Viona va accepter de continuer son éveil vers le plaisir sous la direction d'une amie, Léa, et de son mari John. Elle ignore que son propre époux, Loïc, est au courant et même complice du couple. | ||||
Critères: ff ffh 2couples couple couplus fsoumise voir exhib miroir fgode double fdanus fsodo jouet yeuxbandés init -entrecoup -extraconj -cocucont | ||||
Auteur : Viona |
Épisode précédent | Série : Sur le chemin du plaisir Chapitre 02 / 03 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode précédent :
Viona et Loïc sont en vacances dans une île grecque. Ils viennent de faire l’amour, en public, sur la plage privée du club qui les accueille. Tous deux se souviennent de tout ce qui s’est passé depuis un an. La rencontre avec un couple qui pratique l’échangisme, associée à des circonstances exceptionnelles, avait amené Loïc à leur confier son épouse, à son insu, pour la libérer sexuellement. En quelques jours, Viona avait été transformée. Elle n’avait plus peur de montrer sa sensualité et Loïc avait apprécié cette première étape. Maintenant on leur propose de passer à la vitesse supérieure.
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Viona
Ma chérie,
J’ai l’impression que tu as apprécié ce que nous avons fait à la maison et que tu l’as mis en pratique avec Loïc. J’en suis heureuse et cela me conforte dans mon opinion que tu es une femme sensuelle qui ne demande qu’à aimer et faire aimer le sexe. J’espère que maintenant tu en es consciente. C’est pourquoi je te propose de continuer nos petits jeux mais en passant à la vitesse supérieure. Je voudrais t’enseigner les joies de la fellation, de la pénétration profonde, de la sodomie, etc. Tu sais maintenant que nous les femmes avons de nombreuses possibilités non seulement de jouir mais surtout de décupler notre plaisir par toutes ces pratiques. Tu verras, j’ai tout ce qu’il faut à la maison pour commencer sans la présence d’un homme, mais bien sûr John sera disponible si tu le demandes.
Voilà, tu es libre de décider. Il te suffit de répondre oui, et préciser la date de ton arrivée. Dans un premier temps il est préférable que Loïc ne vienne pas. Si tu acceptes je n’ai que deux exigences :
Voilà le message que je viens de recevoir de mon amie Léa. Ma première réaction a été de lui répondre sèchement pour lui signifier ma surprise à ses propositions. Il est vrai que nous avons passé de très bons moments ensemble et que cela m’a aidée dans mes relations avec Loïc. Il est vrai aussi que ma sexualité a progressé, mais de là à me transformer en salope qui aime se faire prendre par tous les trous, il y a un chemin que je n’ai jamais pensé franchir.
Je n’ai pas le temps de pousser plus loin ma réflexion car ma fille m’appelle. En entrant dans la pièce je tombe nez à nez avec une femme qui bavarde avec mes parents. Je la reconnais immédiatement, il s’agit d’Armelle, une amie d’enfance. Nous tombons dans les bras l’une de l’autre et elle me dit :
Pendant le trajet nous avons été plutôt silencieuses, comme si aucune ne voulait vraiment commencer. Mais, arrivées au restaurant, un verre à la main, nous nous lâchons comme deux gamines pressées de savoir ce que l’autre avait fait pendant les grandes vacances. Tout naturellement je demande :
Ma curiosité me rendait redevable et j’ai donc raconté mes dernières expériences avec Léa et John. Je terminai mon histoire en parlant du message que je venais de recevoir. Alors Armelle me dit :
C’est comme cela que le soir même je réponds oui à Léa et que huit jours après un taxi me dépose devant sa maison. Mon amie ouvre la porte et me salue chaleureusement en m’embrassant.
Je retrouve la chambre que j’ai quittée il y a à peine trois semaines, dépose ma valise et me déshabille entièrement pour rejoindre Léa.
Léa m’entraîne au sous-sol de la maison, ouvre une porte, allume l’éclairage et m’invite à entrer. Nous pénétrons dans une pièce surprenante à plus d’un titre. D’abord elle est très grande avec un plafond plus haut que la normale. L’effet de taille est d’autant plus saisissant que les murs et le plafond sont pratiquement recouverts de miroirs. La pièce est meublée avec des canapés, des fauteuils, des lits et des objets que je ne sais pas identifier à part une croix de Saint-André. Je me retourne vers mon amie qui sourit devant ma surprise et me dit :
Léa fait quelque pas en direction du mur, fait coulisser le miroir et fait apparaître plusieurs étagères remplies d’objets parmi lesquels je reconnais des sex toys de toutes les tailles et de toutes les formes, des masques, des menottes, des sangles, des accessoires en cuir et plein d’autres choses que je n’identifie pas très bien.
Je suis encore tellement sous l’effet de toutes ces surprises que je la suis sans un mot. Je me retrouve plaquée contre la croix de Saint-André pendant que Léa m’entrave les poignets et les chevilles par des liens de tissu. Elle termine en me plaquant les fesses contre la croix, toujours à l’aide d’une bande de tissu. La glace qui me fait face me montre bras et jambes écartées, ne pouvant pratiquement plus bouger. Je suis une captive dont on peut user et abuser. Heureusement que j’ai une totale confiance dans mon amie car je suis totalement à sa merci. Léa approche, m’embrasse à pleine bouche avant de dire :
Je réponds par l’affirmative et en quelques secondes je suis aveugle, ne détectant même plus la moindre luminosité. J’entends Léa s’éloigner, des objets être déplacés, des mouvements autour de moi, puis plus rien. Une main, puis une autre partent à la découverte de mon corps. Ce ne sont pas des caresses, juste des effleurements, partout sauf dans les zones érogènes. Ce n’est pas l’obscurité qui me dérange, car après tout j’ai déjà fait l’amour dans le noir, non, c’est l’impossibilité de bouger, d’aller au-devant de ces mains qui glissent sur ma peau. J’ai la chair de poule et je frissonne. Alors les deux mains convergent vers mes seins qu’elles pétrissent, malaxent, sans toucher aux tétons qui, je suis sûre, doivent se gonfler, se dresser comme de petites queues quémandant des caresses. C’est une bouche qui prend le relais, passant alternativement de l’un à l’autre, tournant autour de chaque téton et, oui oh ! oui, les titillant, les suçant, les mordillant. Je gémis et essaye de pousser ma poitrine en avant mais la caresse s’arrête. Une voix me susurre à l’oreille :
Aussitôt je sens que Léa met en place quelque chose qui entoure l’extrémité de chaque mamelon avec une pression qui s’exerce sur les tétons. Une légère vibration se propage du sein à la pointe. C’est troublant, mais au même moment je sens comme un souffle tiède sur mes petites lèvres aussitôt remplacé par la douce caresse d’une langue qui glisse sur mon capuchon et dégage mon clitoris pour le titiller. La caresse ne s’arrête pas et la langue pénètre dans ma grotte pour l’explorer comme une petite bite, puis ressort pour atteindre mon anus. Le geste est répété plusieurs fois et je sens que de la salive est largement étalée dans mon intimité. C’est si bon que je me tortille en gémissant mais là encore elle arrête ses caresses.
C’est alors que je sens un objet se présenter à l’entrée de mon vagin, écarter les chairs et glisser doucement à l’intérieur jusqu’au fond de ma matrice. Un autre objet se présente alors à l’entrée de mon anus. Je le sens forcer le chemin de mon cul mais comme il ne semble pas très gros je n’éprouve pas de douleur. D’ailleurs il stoppe très vite sa progression. Me voilà prise par le con et par le cul. C’est la première fois et c’est bon de se sentir envahie de cette façon. Un troisième objet vient se frotter à mon bouton d’amour qu’il commence à caresser en vibrant. Alors le gode qui me remplit le sexe se met à bouger, se frottant aux parois de ma grotte. Toutes mes zones érogènes sont stimulées et je ne sais plus où donner de la tête. Très vite je suis emportée par des vagues de plaisir qui partent de mon bas-ventre. Alors les vibrations sur mes tétons et sur mon clitoris s’amplifient, montant et descendant au même rythme. Ma douce amie est à mon écoute et elle devine que la jouissance va venir. J’essaie de résister mais en quelques secondes le plaisir me submerge. Je lâche une telle quantité de mouille que j’ai peur un instant d’avoir uriné. Je reprends mon souffle pendant que Léa arrête les vibrations. Je sens qu’elle fait tomber mon bandeau. Il me faut quelques instants pour retrouver mes esprits et découvrir dans le miroir qui me fait face une femme écartelée, le corps en sueur, le visage défait comme après une grande souffrance. Léa qui a suivi mon regard dit :
Elle se dirige vers le miroir, fait descendre un écran du plafond, diminue l’éclairage, approche un fauteuil près de moi et s’installe tout en manipulant une télécommande. Alors commence la projection du film tourné pendant notre petite séance. Je regarde cette étrangère que Léa caresse, appareille et fait jouir. C’est moi, mais ce n’est pas moi. Le corps de cette possédée transpire l’érotisme à tel point que je ressens une excitation dans le bas-ventre toujours rempli par les godes. Léa aussi regarde, mais en plus elle se caresse le clito avec un vibromasseur.
Le film est terminé. Léa se lève, m’enlève les vibros et les godes, me libère de mes liens et nous nous effondrons dans un canapé. Je dis en souriant :
La soirée a été calme et reposante. Comme d’habitude nous avons dîné au bord de la piscine, bavardant de choses et d’autres. John, comme toujours, parfait gentleman, me traitait comme une invitée de marque alors qu’il savait parfaitement pourquoi j’étais là et que Léa lui avait certainement raconté notre première séance. Je les quittai rapidement pour aller me coucher car je ressentais le contrecoup du voyage et des émotions.
Loïc
J’ai conduit ce matin ma chère épouse à l’aéroport pour sa semaine de vacances à Bordeaux. Nous avions convenu que je la rejoindrais le week-end. Elle ne pouvait pas cacher une certaine fébrilité ce qui fait que je lui demandai, en souriant, si elle n’allait pas retrouver un amant pour être dans un tel état. Je la chahutai gentiment en lui rappelant qu’elle venait juste de faire rafraîchir sa récente épilation, ce qui pouvait faire penser qu’elle avait une idée derrière la tête.
Je bois du petit lait à ses propos. Si elle savait que je suis au courant de tout et même l’instigateur de son éducation…
La journée me parait bien longue, uniquement agrémentée d’un SMS de Viona me confirmant son arrivée à bon port. Le soir, enfin un message de Léa me disant que tout va bien et que la vidéo jointe me le confirmera. Dès les premières images ma queue a pris le chemin du ciel et j’ai été obligé de m’astiquer pour relâcher la tension en même temps que Léa. Au même moment le téléphone sonne et je me retrouve assez ridicule avec mon propre sperme sur les mains. C’est Viona :
La vidéo tourne en boucle et c’est elle-même que Viona entend.
Viona
J’ai passé une excellente nuit et je me réveille de bonne heure. Léa est déjà en train de s’activer dans la cuisine.
Je me retrouve pour la deuxième fois dans cet endroit qui déjà m’impressionne moins. Je commence par ouvrir les placards dont les étagères sont recouvertes d’objets sexuels. C’est vrai qu’elle peut rivaliser avec un magasin érotique. Des godes de toutes les couleurs, de toutes les matières, avec des formes parfois surprenantes. Des vibromasseurs simples, doubles. Une collection de plugs de toutes les tailles, certains avec une pierre de couleur à la base. Je pense : « où va se nicher la recherche du détail ! » Je ne parle pas des foulards, bandeaux, cordes manifestement pour des bondages et objets du genre sado maso soft. C’est délirant mais un peu froid, sans âme.
J’explore la pièce elle-même, me faufilant entre le canapé, les fauteuils et les deux lits. Je retrouve la croix de Saint-André avec son miroir. Je découvre deux fuck machines, une horizontale et l’autre verticale. Chacune a deux axes séparés et j’imagine que l’on peut fixer un gode sur chacun. Cela me rappelle une vidéo amateur présentée à la télé dans une émission de gags, tard dans la soirée. On voyait une femme habillée en cow-boy chevaucher une selle de cheval mécanique, comme on peut en voir dans certains bars au Texas. L’image se concentrait sur le visage de la femme qui passait par toutes les expressions. À la fin, lorsqu’elle descendait de sa monture, un gros plan montrait que deux objets sortaient de la selle. L’imagination faisait le reste.
Léa arrive :
Je la suis, elle ouvre une porte que je croyais être un placard. Il s’agit en réalité d’une sorte de couloir qui se termine en cul-de-sac, quelques mètres plus loin. C’est assez étroit mais comme tout est recouvert de miroirs, murs, sol et plafond, on n’a pas l’impression d’être dans un lieu clos. Elle me fait agenouiller sur le sol en plaçant un étroit coussin sous mes genoux et, me faisant pencher en avant, me plaque le ventre sur une sorte de banquette, en verre également, avec deux encoches qui laissent mes seins libres de pointer vers le sol. J’ai une vision de moi en 3D car les miroirs sont placés de telle sorte qu’aucune partie de mon corps ne m’échappe. C’est étrange de pouvoir se regarder sous tous les angles, de la pointe des seins jusqu’à la raie des fesses en passant par le sexe largement ouvert par la position que Léa m’a fait prendre. D’ailleurs elle est derrière moi et je la vois qui approche une fuck machine sur laquelle elle a fixé deux godes, les fameux du manoir anglais. Elle les positionne et je m’attends à en être investie. Mais non, elle revient avec un caméscope dont elle positionne l’écran face à mon visage et enclenche la lecture.
Il s’agit d’un couple déjà nu qui est en train de se caresser. L’homme explore de sa bouche la poitrine de sa partenaire et au même moment je sens qu’une bouche s’empare de la mienne. Léa est allongée sur le sol, face à moi et de ses mains et de la langue elle me caresse dans cette région qui est si sensible. Je retourne vers l’écran ou l’homme continue avec sa partenaire qu’il couche et, tout en continuant de lui caresser les seins avec ses mains, descend son visage pour se plaquer contre sa vulve. La caméra montre en gros plan la langue de l’homme explorer toute la région, dégager le clitoris, plonger dans le vagin, glisser vers l’anus. La femme exprime son plaisir par des gémissements et des frissons. Je ne suis pas en reste car Léa suit à merveille le même scénario et me pratique les mêmes caresses. Manifestement elle connaît le film par cœur car, sans regarder l’écran, elle synchronise ses mouvements sur ceux de l’homme au point que je ressens du plaisir comme mon double.
L’homme se lève, fait placer sa partenaire en levrette, présente son sexe à l’entrée du vagin et d’un coup de reins pénètre jusqu’à la garde. Sans attendre il pistonne avec ardeur ce sexe si accueillant. Mon propre vagin est envahi par une queue de bois qui s’active en suivant le même rythme qu’à l’image. La femme encourage son amant en se tortillant mais surtout en disant :
Il se retire du vagin et l’encule sans effort, d’un coup, à fond, les fesses de la femme claquant contre son ventre. Moi aussi, mon cul est envahi par une queue, mais heureusement plus en douceur car mon sphincter n’est pas encore habitué. Par contre je suis prise par les deux côtés car le gode de mon vagin est toujours en place. Léa me ramone le cul comme mon double qui crie son plaisir :
Mais le film s’arrête, je me tourne vers Léa et lui dis :
J’ai compris et comme je ne veux pas rester sur ma faim je me prête au jeu.
Au moment où je jouis, mon cul et mon vagin reçoivent des giclées d’un liquide tiède qui décuple mon plaisir. Je le sens s’écouler de mes orifices et goutter sur le sol. Léa extrait les deux godes et je vois nettement dans le miroir mon anus, sans doute repu, se refermer tout doucement.
Dix minutes plus tard nous bavardons, un verre à la main au bord de la piscine.
Le repas expédié, au lieu de retourner au sous-sol, Léa m’invite à m’installer dans un transat. Elle me laisse quelques minutes et revient avec une boite en carton.
Je réponds « fraise » et elle fouille dans sa boite pour sortir une sucette qu’elle me propose. Je suis interloquée car ce que je tiens maintenant dans la main est une friandise d’une forme très particulière. On dirait un sexe d’homme avec le gland et les bourses. C’est très bien imité et seul le bâton qui prolonge les bourses semble incongru.
J’obéis et entreprends de sucer, de lécher, de gober cette queue factice. Mais Léa ne semble pas satisfaite de mon travail car elle me prend la sucette et me la propose en simulant un mouvement de va-et-vient. Tout va bien tant qu’elle ne fait pénétrer que le gland, mais dès qu’elle pousse plus loin, je suis prise d’un haut-le-cœur. Chaque tentative produit la même réaction. Elle n’insiste pas, et me questionne.
Quelques minutes plus tard, elle est devant moi, un spray à la main.
Je lui donne mon autorisation, d’autant que j’ai déjà eu l’occasion d’être traitée par mon médecin, et elle me pulvérise une dose en direction du fond de ma gorge. L’effet est quasi immédiat et cette région est comme endormie.
Et je m’applique à nouveau sur le membre que Léa m’introduit dans la bouche, tantôt le laissant immobile, tantôt lui imprimant un mouvement de va-et-vient, tantôt poussant le gland contre mes joues. Au bout d’un moment elle stoppe, et dit :
J’obéis et suis le mouvement de retrait de la sucette. Elle est dehors et Léa marque du doigt la limite de ce que j’ai sucé. Un instant je ne la crois pas car j’en aurais absorbé près de dix centimètres dans ma gorge, sans aucune gêne.
Et voilà, pendant une journée et une nuit j’ai suivi les instructions à la lettre. J’ai même fait preuve d’initiative en ajoutant quelquefois un gode dans mon vagin pour sentir, à nouveau, le plaisir de la double pénétration. Inutile de vous dire que je me suis caressée très souvent pour faire tomber la pression.
Loïc
Toujours fidèle à sa promesse, Léa me fait parvenir la vidéo du jour. C’est la première fois que je vois ma tendre épouse en levrette prise par deux bites de bois qui s’activent en elle. Mais aussi, et peut-être ce qui me marque le plus, c’est de l’entendre parler si crûment de ses envies et de sa jouissance. Je repasse la vidéo de nombreuses fois et à chaque passage, grâce à toutes ces glaces, c’est une Viona différente que je découvre. Ce décor la montre plus que nue, chaque partie de son corps est exposée, chacune de ses réactions analysées. Même après tant d’années de vie commune, je n’avais jamais vu Viona, comme on dit, sous toutes les coutures. Cette vidéo, si sexuellement brutale, paradoxalement m’attendrit. Ma femme, mon amour, je suis impatient de te retrouver pour te dire combien je t’aime.
Un petit texte accompagne le film, expliquant que maintenant Viona est seule dans la maison. Je souris en l’imaginant, passant d’une pièce à l’autre, un plug dans l’anus et une sucette dans la bouche. Quel charmant spectacle ce doit être !
Viona
À son retour, Léa me questionne pour savoir si tout s’est bien passé et si j’ai fait des progrès. Je lui montre alors la taille de la sucette et la profondeur à laquelle j’ai pu l’absorber. À sa question sur le plug, je réponds en sortant celui que je garde en moi. Je suis maintenant comme l’élève qui attend le jugement de son maître.
Le lendemain, nous partons comme deux ados qui vont regarder les garçons et faire les boutiques. La seule différence est que nous ne portons qu’une robe légère avec absolument rien dessous. Je me souviens que la dernière fois, seulement trois semaines, Léa avait dû m’enlever mes sous-vêtements pour que je me mette à son diapason. Aujourd’hui, c’est une Viona convertie qui la suit. Il est vrai que Loïc aime lorsque je ne porte pas de culotte et c’est ce que j’ai fait pendant toutes nos vacances. Encore une fois nous apprécions le regard des autres, souvent amusé, quelquefois outré par notre tenue. Bien sûr, nous faisons attention de ne pas nous montrer devant des familles, mais les hommes et les femmes seules sont des proies de choix.
Un moment, je propose à mon amie de repasser au magasin de chaussures ou nous avions joué à provoquer le couple qui servait. Lorsque nous entrons, l’homme qui nous reconnaît appelle : « Chérie, viens voir qui nous rend visite ». À ces mots son épouse apparaît et, souriante, nous fait la bise comme à de vieilles connaissances. Je la regarde et demande :
Je n’ai pas besoin de préciser et elle répond :
Quelques pas nous conduisent tous les quatre dans cette remise que j’ai visitée lors de notre passage. Les murs sont couverts par des étagères pleines de boites à chaussures, mais il reste de la place pour une table et deux chaises. L’homme et la femme sont côte à côte, face à nous qui avons pris place sur les deux chaises. Alors la femme soulève sa jupe et fait glisser son slip. Je ne peux m’empêcher de dire :
Pendant ce temps elle s’exhibe devant nous, sans pudeur, parfaitement à l’aise. Son attitude me donne une idée. Je me lève, m’approche d’elle et demande en avançant la main vers son pubis :
Comme personne ne réagit, je pose ma main délicatement sur son sexe que j’effleure, comme pour tester la qualité de l’épilation et comme je n’ai toujours pas de réaction, je continue mon exploration en disant :
Je la fais pivoter et spontanément elle se penche pour répondre à ma question. Là aussi j’effleure la peau libérée des poils.
Elle se retourne, mais maintient sa jupe levée et répond :
Je suis toujours à côté d’elle et sans prévenir, pose ma main sur le pantalon du mari qui montre une belle bosse.
Tout le monde rit de ma blague. Mais je veux pousser un peu plus loin. En retournant m’asseoir, je m’adresse à Léa :
Léa, qui a compris mon but, réplique, en même temps qu’elle dirige sa main sous sa robe pour simuler une caresse :
L’invite est sans équivoque, d’autant que ma complice relève sa robe et fait voir son sexe à tous. Le couple s’interroge du regard, hésite. Alors je défais les bretelles de ma minirobe, la laisse tomber sur le sol et lance à la volée :
Un instant je me demande si je ne suis pas allée trop loin, mais je vois la femme se tourner vers son mari et l’embrasser. Ouf, c’est parti ! En effet tous deux se déshabillent mutuellement et aussitôt l’épouse s’agenouille pour prendre la verge, la branler, la sucer. Il ne lui faut pas longtemps pour la rendre dure à souhait. Alors elle se tourne et en écartant les jambes se plaque contre la table en se penchant en avant. L’homme, à son tour, s’agenouille et de la bouche et des mains caresse son épouse. Pendant ce temps Léa s’est mise nue et comme moi se caresse la poitrine et le sexe. Mais comme maintenant les amants nous tournent le dos nous nous levons pour nous placer de part et d’autre de la table. Nous sommes aux premières loges et le couple peut aussi nous voir en train de nous caresser. L’homme qui s’est relevé présente son sexe à l’entrée du vagin et l’introduit jusqu’à la garde. Sans attendre il commence ses mouvements tout en regardant le spectacle de ces deux femmes qui se donnent du plaisir.
La mécanique est lancée et très vite sa femme signale sa jouissance. De notre côté nous ne sommes pas en reste. D’une main je caresse les fesses du mari, allant jusqu’à lui palper les bourses, et de l’autre je me branle le clito. Je capte le regard du baiseur et je lui fais un clin d’œil complice, auquel il répond par un sourire. Il pistonne avec vigueur le con de son épouse, semblant infatigable. Je me penche vers la femme et lui dis :
Quel mari n’obéirait pas à une telle requête ? Bien sûr il investit aussitôt le cul de son épouse et toujours avec la même vigueur, la travaille en profondeur. Il semble ne jamais s’arrêter alors que sa femme jouit à nouveau. Pendant encore plusieurs minutes il s’active avant d’éjaculer avec un rugissement animal.
C’est en silence, un peu gêné, que le couple se rhabille. La femme essuie rapidement le sperme qui a coulé sur ses cuisses. Léa prend la parole :
Dans la rue, Léa me confie qu’elle est persuadée que ce couple est partant pour ses soirées. Pour elle ce sont des exhibitionnistes qui s’ignorent.
Le soir, nous racontons cette histoire à John alors que nous prenons le frais dans le jardin. Il prend un air agacé pour dire :
En effet son sexe semble s’être gonflé d’excitation. Nous le regardons en souriant et Léa fait une proposition
Sans un mot je me lève, ils me suivent et nous nous retrouvons dans la pièce des délices. Toujours sans rien dire j’ouvre une armoire et choisis deux godes pour la machine.
John s’occupe de tout. Il fixe les deux godes sur la machine et, prudent, les enduit avec un lubrifiant. Puis il se tourne vers moi, me caressant des mains et de la langue, vérifiant que ses doigts pénètrent aisément dans mon sexe et mon anus. Il ne faut pas longtemps pour qu’il me juge assez préparée. Il faut dire que c’est la première fois qu’un homme, autre que mon mari, me caresse pour l’amour.
Il me fait prendre position et présente le premier gode vers mon œillet. L’introduction est difficile et je dois me décontracter longuement avant qu’il réussisse. J’ai peut-être été trop ambitieuse, mais je ne peux plus reculer car le second fait déjà son chemin dans mon vagin. Voilà, je sens ces deux monstres qui me remplissent et j’imagine mon œillet déformé par ce gros bâton. Je ne ressens pas vraiment de douleur mais plutôt une sensation de gêne. J’entends John me dire à l’oreille :
Je ne réponds pas car je suis comme sonnée. Tout doucement je m’habitue et très lentement, avec précautions, je m’avance et je recule sans toutefois aller jusqu’à ressortir les godes de leurs fourreaux. Pendant ce temps, John et Léa se sont placés face à moi et tout en me regardant, ils se caressent et s’excitent. C’est bon de voir Léa prendre en bouche la verge de son mari, c’est bon de le voir sucer son clito, quel spectacle de voir à quelques centimètres de mon visage la queue luisante de mouille entrer dans le vagin puis forcer le passage du cul !
Tout cela m’excite et sans me rendre compte je me baise de plus en plus intensément. Mes orifices ont pris la mesure de leurs conquérants et ils se sont adaptés. Je ne ressens plus que du plaisir, pas de gêne, pas de douleur. J’entends Léa dire :
Je mets un moment pour comprendre qu’elle me propose John. Je pense : non, je ne peux pas accepter, ce serait tromper Loïc. Tais-toi idiote, ne joue pas sur les mots, tu l’as déjà fait avec Léa, avec les sex toys, avec les commerçants et combien de fois par la pensée. Tu dois le faire pour enfin accepter ta sensualité et assumer ta nouvelle sexualité.
Alors commence la grande danse de l’amour quand tout est permis. Lorsqu’il m’a retiré les godes je me suis sentie vide mais sa queue m’a rapidement comblée. Je me demande si je n’ai pas perdu connaissance sous les orgasmes à répétition. Pourtant lorsque nous avons regardé tous les trois la vidéo de cet instant, je ressemble à une furie qu’un cavalier cherche à dompter. Je crie, rugis, encourage mon cavalier, me tortille dans tous les sens sous les caresses de mes deux amants. Léa s’est associée à son mari pour me pousser dans mes derniers retranchements. Elle me presse les seins, fait rouler mes tétons entre ses doigts. Dès que John change d’orifice elle occupe celui qui est libéré avec trois ou quatre doigts qu’elle me fait sucer à chaque fois. Un seul moment j’arrête de parler, c’est lorsque John prend possession de ma gorge. Je m’applique à l’accueillir le plus profond possible. Je le branle uniquement par mes lèvres, je le suce avec ma langue et surtout j’aspire, creusant les joues. J’ai perdu la notion du temps et j’ai l’impression qu’il jouit très vite dans ma gorge. Que c’est bon de sentir sa crème sortir en jets puissants ! Que c’est bon de l’avaler avec gourmandise ! Je suis heureuse, j’ai réussi à faire jouir un homme par ma bouche. Je m’effondre sur le sol, littéralement épuisée et je pleure. Mes amis se penchent vers moi :
J’ai passé une nuit peuplée de cauchemars. Loïc doit arriver dans l’après-midi et John a prévu de passer le prendre à l’aéroport. J’ai été faire une course pour Léa et à mon retour je trouve une enveloppe à mon nom, scotchée sur la porte de la villa. Je l’ouvre et lis :
Mon amour,
Tu te souviens certainement de la soirée du mariage où nous avons rencontré nos amis. Je suis sûr que tu as encore en mémoire combien tu étais entreprenante avec John. Ton attitude a provoqué certaines réflexions à Léa, dont elle m’a fait part pendant notre sortie dans le jardin. Elle te trouvait très sensuelle et n’arrivait pas à croire que notre sexualité était assez sage. Pour elle tu avais un potentiel qu’elle se faisait fort de développer si je te confiais à elle pour quelques jours. Voilà la raison de mon retour précipité à Paris.
La suite tu la connais. Tu ne peux pas nier que cela t’a plu et d’ailleurs nous en avons bien profité pendant nos vacances.
Quant à cette semaine, c’est toi qui as décidé de venir, en pleine connaissance de cause. Le programme de Léa était sans équivoque. Je suis heureux que tu aies accepté. Depuis le début de cette aventure, ton amie me tenait informé de tout ce que vous faisiez grâce à des vidéos. Je t’ai accompagnée pas à pas, depuis le jacuzzi du premier jour jusqu’à la soirée d’hier avec John.
Voilà, tu sais tout.
Nous t’attendons tous les trois au sous-sol. Tu n’as sûrement pas oublié que tu t’es engagée auprès de Léa pour me donner à elle en cas de réussite. La vidéo d’hier démontre clairement que c’est une réussite.
À tout de suite.
Loïc
Je suis époustouflée par ce que je viens de lire. D’abord c’est la colère qui l’emporte, mais petit à petit je me reprends et m’attribue une bonne part de responsabilité. Loïc n’a fait qu’amorcer la pompe et moi j’ai fait le reste consciemment. Je me demande comment il a réagi quand je me suis fait prendre par tous les trous avec la queue de John.
Lorsque j’ouvre la porte de la pièce aux délices, trois visages me regardent. La question que chacun se pose est « comment va-t-elle réagir ? » Je ne dis mot mais je me dirige vers mon mari avec un air sévère et l’embrasse sur la bouche. On peut presque entendre un ouf de soulagement. Puis je dis :
Personne n’oubliera cette soirée, surtout mon mari. Il a été notre jouet, oui, je dis « notre » car moi aussi j’ai participé. Il a connu le plaisir de la sodomie, j’ai appris après qu’il avait préparé son anus, enculé par John, enculé par Léa et moi à l’aide d’un gode-ceinture. Il nous a léchées longuement jusqu’à ce que nous ayons des orgasmes. John a utilisé sa bouche pour se vider et il a dû tout avaler. Mais ce dont il se souviendra, c’est le moment ou je lui ai présenté un verre dans lequel j’avais recueilli son propre sperme. Encore maintenant je me demande ce qui m’est passé par la tête. Il a hésité, avaler le sperme qui sort d’une queue et boire du sperme dans un verre sont deux choses très différentes. Je me demande encore si moi je l’aurais fait, en tout cas lui l’a fait sans broncher. Il a dû considérer cela comme une punition pour son stratagème.
Nos amis nous ont laissés seuls. Alors pendant deux heures nous avons parlé, sans rien nous cacher, sans nous juger. Nous nous aimons mais ne voulons pas prendre de risques, aussi nous décidons de toujours être ensemble si nous continuons nos expériences.
…
Perdue dans mes pensées je mets un moment pour revenir à la réalité. Loïc est près de moi, nous sommes sur la plage, oui bien sûr en vacances en Grèce depuis hier.