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Temps de lecture estimé : 14 mn
11/08/10
Résumé:  Anne-Céline découvre la soumission.
Critères:  vacances jardin fsoumise cérébral exhib nopéné journal -fsoumisah
Auteur : ChrisetPit  (Comme la soumission est douce !)            Envoi mini-message

Série : Journal intime

Chapitre 01 / 04
Découverte de la soumission

Journal intime



Jusqu’à présent, je n’avais jamais ressenti le besoin d’écrire les événements de ma vie. Cependant, ce qui m’arrive mérite que je le consigne pour pouvoir y réfléchir en l’écrivant, me remémorer plus tard ces impressions si importantes aujourd’hui mais si fugitives quand le temps aura passé et, qui sait, laisser un témoignage pour un éventuel lecteur qui découvrirait ce cahier.


Mais, commençons par me présenter (il faut que je me retrouve…). Je m’appelle Anne-Céline, j’ai 47 ans et suis mariée depuis 25 ans à François-Xavier Breillois de la Longinière, polytechnicien, qui a succédé à mon père à la tête d’un grand groupe pharmaceutique international. Son salaire de Directeur Général nous permet de vivre très à l’aise entre notre appartement du boulevard Haussmann, notre maison sur les hauteurs de Cannes et ce château en Dordogne, ma résidence préférée en été et où je me trouve actuellement.


Contrairement à ce que l’on pourrait penser, François m’a épousée par amour. Moi, c’était plutôt par désœuvrement et surtout pour pouvoir vivre l’existence d’une grande bourgeoise en dehors du carcan familial. Le sexe ne m’a jamais beaucoup intéressée ; pendant notre première année de mariage, soyons honnête, j’ai trouvé agréable les caresses de François. J’ai même parfois accédé à certains de ses désirs qui me dégoûtaient un peu comme de prendre son sexe dans ma bouche. Puis je suis tombée enceinte de Charles pour lequel j’ai eu un accouchement très difficile (il paraît que j’étais trop musclée…). Cela m’a détournée pendant longtemps de toute activité sexuelle et, si depuis je ne me suis jamais refusée à mon mari, je ne l’ai jamais plus recherché. Nous faisons chambre à part depuis une dizaine d’années.


Je passe mon temps entre les activités sportives (je suis très fière de mon corps et je l’entretiens du mieux que je peux), les deux associations caritatives dont je m’occupe et une vie mondaine très développée. J’assiste mon mari dans tout ce qui concerne les réceptions inhérentes à sa fonction.


J’aurai certainement l’occasion par la suite de développer certains de ces sujets car je voudrais en arriver à la raison pour laquelle j’entame ce journal.




Mercredi 7 juillet


Je suis au château depuis deux jours pour y passer une quinzaine de repos, seule. Charles devrait m’y rejoindre le 18 pour quelques jours, avant le stage « professionnel » exigé par son école d’ingénieur. Comme tous les jours après le déjeuner, je pars faire une marche sportive d’une dizaine de kilomètres dans le parc et dans la magnifique campagne qui l’entoure.


Le soleil est là, mais une petite brise fraîche vient en atténuer l’ardeur. Je suis vêtue d’une jupe trapèze en lin écru et d’une blouse en soie blanche, un chapeau de paille sur la tête et des chaussures de marche légères. Sur les conseils de mon coach, j’emporte aussi un bâton de marche télescopique en métal léger, pour m’aider à bien rythmer mon pas.


Contrairement à mon habitude, ce jour-là, pour rejoindre le parc, je contourne le corps du château par le nord ce qui me fait passer devant d’anciennes écuries transformées en garages et en logement pour le chauffeur. L’un des garages est ouvert et j’aperçois un homme, torse nu – certainement Adrien, le chauffeur – en train de lustrer le capot de la voiture.


À la vue de cet homme presque nu – il ne porte qu’un mini short effrangé, en jean –, un trouble étrange m’envahit, comme si un poing me serrait l’estomac et les entrailles. Je l’observe, il est grand, bronzé. Sa musculature souple roule sous sa peau luisante de transpiration. Je suis surprise car je découvre un homme sous le chauffeur dont je ne connaissais que les yeux bleus, très pâles, dans le rétroviseur de la voiture.


Alors qu’habituellement j’aurais dû passer sans m’arrêter, une « force » me pousse à m’approcher et à le saluer.



Ses yeux perçants me parcourent lentement des pieds à la tête, une chaleur brutale enflamme chaque partie de mon corps exposée à son regard.



Je lui souris et, presque à contrecœur, je me détourne pour partir. Au bout de quelques pas, je passe devant son logement. Sur la terrasse, une table basse avec une revue d’homme et un fauteuil relax, style transat, semblent attendre leur propriétaire.


Je continue à avancer, troublée par ces impressions inhabituelles chez moi. Pourquoi cet intérêt subit pour cet homme dont je ne connais que la nuque et les yeux ? J’entends la porte du garage qui est refermée ; il faut que je me retienne pour ne pas tourner la tête. Je me morigène :



Arrivée au petit bois, je n’y tiens plus, je me retourne. Mais je suis déjà hors de vue. Je reste immobile, partagée, indécise, pendant un long moment. Et puis, c’est plus fort que moi, je reviens sur mes pas. Comme une gamine, j’avance furtivement en me cachant derrière les buissons. Je suis folle !


Arrivée à la lisière du bois, je l’aperçois. Il est couché dans le transat et lit sa revue. Son attitude est bizarre, on dirait qu’il tremble. Je m’interroge. Mais non, ce n’est pas possible ! Ma parole, il se masturbe ! Je suis assez loin mais j’ai encore une très bonne vue : son poing droit est serré autour de son sexe et fait de lents va-et-vient.


Captivée par cette vision – c’est bien la première fois que je vois cela et ça m’excite terriblement – je voudrais m’approcher mais je suis arrivée dans l’allée, il n’y a plus d’obstacles derrière lesquels me cacher. Tant pis, je retire mon chapeau et le tiens derrière moi pour ne pas trop attirer l’attention et, essayant de me fondre dans les pierres de la façade, je me colle contre le bâtiment et je m’approche très lentement. Dans un moment de lucidité, je découvre que mon cœur bat la chamade, que ma poitrine a durci, et que mon sexe est devenu sensible et semble humide ; sensations inconnues qui me bouleversent. Le temps de calmer ma respiration devenue haletante, je m’arrête et je ferme les yeux.



Ces paroles explosent brutalement dans mes oreilles. Je suis perdue ! Il a baissé sa revue et me fixe en plissant les yeux.



Sans me lâcher du regard, il se lève lentement. Son sexe, dressé devant lui m’hypnotise. Je perçois un sursaut lorsqu’il me reconnaît :



Il n’a pas modifié son ton, il va sans doute se venger de toutes ces années de servilité que je lui ai fait vivre. Je suis paralysée par la honte, je ne suis même pas choquée par le tutoiement. En dehors de toute volonté de ma part, je sens mes jambes qui avancent et qui m’approchent de lui. Mon regard ne peut quitter son pénis qui balance doucement devant lui.



La parole est sèche et péremptoire ; subjuguée, je tombe à genoux devant lui. Dans le mouvement, il me prend mon bâton de marche et avec, envoie balader mon chapeau de paille.

Son sexe est là, raide juste devant mon nez, plus fin et plus long que celui de François, autant que je me souvienne. D’une main hésitante, je le prends et j’y pose les lèvres.



Je ne sais trop que faire. Je le prends dans ma bouche et j’aspire.



Perdue, affolée, je le tiens de la main droite et le lèche de grands coups de langue tout en déboutonnant maladroitement mon corsage de la main gauche. De la pointe du bâton, il écarte les pans du vêtement et me regarde :



Ce contact m’électrise et un énorme et délicieux frisson me secoue toute entière. Je ne comprends pas sa question, il doit s’en rendre compte.



Et il continue de tapoter ma poitrine. Je voudrais qu’il n’arrête pas, tellement c’est bon. Et puis, je réalise que, comme toujours pour mes longues marches, je porte un soutien-gorge sportif, genre brassière de tenniswoman, pour maintenir fermement ma poitrine, devenue plus lourde avec l’âge. Je lui explique tant bien que mal d’une petite voix que je ne reconnais pas.


D’un geste violent du bâton qu’il tient toujours en main, il me montre le château.



Encore une fois, je ne maîtrise pas mon corps. Je me relève, ramasse mon chapeau et… je me retrouve dans ma chambre. J’ai perdu tout souvenir du comment j’y suis arrivée.


Là, nue, dans ce décor familier, je réalise ce que je suis en train de faire. «  Mais, qu’est-ce qui m’arrive ? Qu’est-ce qui me prend d’écouter ce type ? D’accepter qu’il me parle ainsi ? Et de lui obéir ?  » Ces paroles tournent en rond dans ma tête.


Mais je suis prisonnière de mes sensations : mes mains touchent mes seins aux mamelons durs et aux tétons dressés, descendent sur mon ventre et d’un doigt curieux, je découvre ma vulve mouillée – ce qui ne m’est jamais arrivé à ce point ! – et mon clitoris enflammé de désir. Je ne me suis jamais caressée, j’aurais presque envie de commencer mais il faut que je retourne le voir. Je dois obéir, c’est plus fort que moi.


Je ne prends même pas le temps de passer par la salle d’eau pour me rafraîchir, j’enfile cette petite robe blanche qui se boutonne sur le devant, directement sur ma nudité et je pars pour le rejoindre. J’entrouvre ma porte et observe le couloir à droite et à gauche avant de sortir, car je suis encore assez lucide pour craindre de croiser une employée de maison sachant que mon état n’échapperait pas au regard d’une femme, mais à cette heure-ci, le service est arrêté et la maison est vide.


Arrivée en haut de l’escalier, dans l’appréhension de ce qui m’attend, mais aussi avec cet espoir insensé de plaisirs inconnus, je suis prise d’un orgasme qui me plie en deux. Je reste là, accrochée à la rampe, serrant convulsivement mon clitoris entre mes cuisses croisées. Mes seins me brûlent, ma respiration est haletante, entrecoupée de petits gémissements. Tout mon être, raidi, vibre de plaisir jusqu’à ce que je tombe assise, essayant de récupérer la maîtrise de mon corps et de mes idées.


Épuisée, je me relève, je n’ai jamais vécu cela, c’est à la fois terrifiant et délicieux. Lentement et encore tremblante, je descends l’escalier et sors. Le soleil tape dur et, malgré le petit vent, la chaleur me tombe dessus, d’autant plus que ma robe, toute blanche, sans manches et au tissu très fin ne protège guère mon corps dénudé. L’impression est extraordinaire de sensualité : mes seins ballottent et, caressés par l’étoffe, mes mamelons rigides m’envoient des ondes délicieuses à chaque pas. Par contre, la perception de l’air sur ma vulve sans protection me donne l’impression d’être exposée à tous les regards et ça m’est plutôt désagréable sur le moment.


Il n’y a plus personne devant chez Adrien. M’approchant, je vois un post-it collé sur la couverture de la revue :



Le belvédère est une sorte de terrasse circulaire, située à une douzaine de mètres du sol et coiffée d’un toit conique. On accède à cette terrasse par un escalier courant sur les murs d’une haute pièce située en dessous, un petit peu comme dans un phare marin. Cette construction, perdue dans les arbres, n’est pas en mauvais état mais n’a pas encore été restaurée ; en effet, le parc a été laissé à l’abandon durant une cinquantaine d’années et des arbres ont poussé au hasard. Actuellement, les jardiniers font des recherches pour retrouver le plan original du parc avant de faire les abattages qui s’imposent pour mettre cette construction en valeur.


Je me réjouis de la discrétion d’Adrien et de voir qu’il cherche à cacher à des yeux indiscrets ce que je me figure qu’il va me faire. En route, mon imagination va bon train ; je rêve de scènes érotiques, toutes plus lascives les unes que les autres. C’est dans cet état d’excitation que j’arrive au pied du belvédère. La porte en bois est entrouverte, je la pousse doucement et entre, guillerette.


La pièce, éclairée par toute une série de fenêtres sur le pourtour, est relativement claire, un rayon de soleil dessine même un rectangle éblouissant sur le sol. Je distingue tout de suite Adrien, assis sur les dernières marches de l’escalier. Il a enfilé un t-shirt noir.



Le ton, coupant, arrête mon élan. Refroidie soudainement, je m’immobilise, les bras ballants, ne sachant que répondre.



Consternée, j’obéis puis, humblement, je lève les yeux sur lui.



Tout à coup, je prends conscience que l’excitation sexuelle qui m’habitait se transforme en une autre sorte de trouble. La soumission que je ressens vis-à-vis de cet homme m’apporte du calme et de la sérénité qui apaisent un peu mes sens. C’est une jouissance différente mais tout aussi profonde.



Ce dernier ordre claque alors que je me précipitais pour ouvrir les boutons. Comprenant la volonté d’Adrien, je regarde alors comment je suis éclairée par le rayon de soleil ; je me déplace légèrement pour être en plein dedans. Lentement, en le regardant dans les yeux, je déboutonne les six boutons qui ferment la robe puis, peu à peu, j’écarte les pans, dévoilant ma nudité. Le simple frôlement du tissu est presque douloureux sur mes tétons, tellement ils sont sensibles et, surprise immense, je sens un liquide visqueux couler entre mes jambes (moi qui ai presque toujours été obligée d’utiliser de la vaseline dans mes rapports sexuels !).


D’un coup d’épaule, je fais glisser la robe qui se dépose à mes pieds. Je suis totalement nue devant lui. Son regard s’attarde sur mes seins dressés puis sur mon ventre plat et, enfin, sur la toison qui garnit mon pubis. Toison que je n’ai jamais eu à entretenir car elle se limite naturellement. Aucun poil ne pousse dans les plis de l’aine et les lèvres de mon sexe sont garnies d’un très fin duvet quasiment transparent. Je sens le poids de son regard sur ma peau qui s’enflamme presque autant que s’il m’avait touché. À nouveau, je suis parcourue d’ondes de chaleur. Tout mon être réclame des caresses pour calmer cette attente presque douloureuse.

Ayant achevé son examen, son regard remonte vers mon visage.



Je réalise alors que je le regardais avec un air de défi qu’il ne pouvait accepter. Je baisse la tête et, glissant insensiblement les pieds, j’entame une rotation complète. Ces tout petits mouvements qui font jouer la plupart des muscles de mes jambes, se répercutent jusque dans mes petites lèvres et mon clitoris. Le tour terminé, de nouveau face à lui, je me trouve dans un drôle d’état et quand il me dit :



… moi qui ai pourtant reçu des centaines de compliments plus ou moins mondains, je suis bouleversée à un tel point qu’un nouvel orgasme se déclenche, faisant tinter mes oreilles, haleter mon souffle et m’oblige à me plier en deux et à croiser les cuisses.


Immédiatement, la voix claque :



Abasourdie, je me redresse péniblement.



De peur de provoquer un nouvel orgasme, j’ose à peine bouger les jambes. J’avance doucement en faisant glisser mes pieds sur le sol. Il se penche et ramasse à côté de lui mon bâton de marche dont il a réduit la longueur de moitié. Il m’arrête en me touchant le ventre avec la poignée.


Je suis là, debout devant lui, la tête baissée et le corps brûlant du désir qu’il me touche, qu’il me caresse. Et lui, il est assis, souriant, faisant balancer la boucle de sangle servant de dragonne devant mes seins. D’un mouvement presque involontaire, j’avance la poitrine.



Encore une fois, la voix sèche a claqué. Je place mes mains derrière moi et, rejetant mes épaules en arrière, arrogante, je tends ma poitrine vers lui. «  Ah ! Qu’il me caresse les seins ! Qu’il me pince les bouts ! Qu’il me les torde ! Qu’il me les morde !  ». Je suis folle ! Folle de désir…


Lui, calmement, son regard pâle vrillé sur moi et un petit sourire aux lèvres, promène la dragonne sur mes épaules puis sur le dessus de ma poitrine. Mon ventre se tord, tous mes muscles sont tétanisés dans l’attente, l’espoir d’une libération. Et le bâton s’éloigne. Il me chatouille les flancs, roule sur mon ventre puis mes cuisses. Les yeux fermés, j’attends, je prie ; alors, il parle :



Tout mon être se révolte, je sens des larmes de frustration qui coulent sur mes joues. Mais l’ordre est péremptoire, j’écarte les jambes. En m’effleurant l’intérieur des cuisses, il remonte vers mon intimité. Malgré moi, malgré toute ma volonté de résister, de montrer ma déconvenue, je ne peux empêcher un sursaut lorsqu’il atteint mes lèvres et les écarte. La fraîcheur du métal sur mes petites lèvres congestionnées et la douceur du contact annihilent mes velléités de résistance. Mon bassin bascule et, tel un animal en rut, je me frotte avec délice sur ce morceau de métal.


Ahhhrg ! Que c’est bon…


Au moment où je vais plonger, Adrien retire le bâton. Je reste là, inassouvie, l’esprit vide, totalement abêtie.



L’injonction me sort de ma léthargie. Je me mets à genoux entre ses jambes et c’est là que je constate qu’il est nu sous la ceinture. En entrant, j’avais remarqué qu’il avait enfilé un t-shirt mais, préoccupée par mes propres sensations, je n’avais pas vu qu’il ne portait rien en dessous. Son pénis, turgescent, est devant mes yeux. Les instructions pleuvent :



Passivement au début, j’exécute chacune des consignes. Progressivement, je commence à percevoir ses réactions et à m’y adapter de moi-même ; le désir de l’amener au plaisir me fait prendre des initiatives qu’il approuve par des grognements de plus en plus rapprochés. J’arrive à le faire glisser presque entièrement dans ma bouche, le gland enfoncé dans mon arrière-gorge. Je commence à être fière de moi, je n’ai plus de haut-le-cœur…


Après quelques minutes, je remarque des vibrations qui font tressauter sa queue dans ma bouche. J’imagine que c’est la fin, qu’il va prendre son plaisir… Il me repousse brutalement, prend son sexe dans la main et, dans un cri sourd, éjacule à longs traits. Je reçois son sperme sur la bouche, le menton et tout le corps, j’en ai même sur les genoux. Pour la première fois de ma vie, j’ai l’occasion de goûter du sperme. C’est salé-sucré, légèrement amer et, malgré la consistance visqueuse, ce n’est pas désagréable ; je m’essuie le visage avec mes doigts que je lèche. Il me regarde faire en souriant.



C’est extraordinaire, ce compliment me remplit de bonheur et vient effacer toutes mes frustrations.



Je me retourne et ramasse ma robe. Tant bien que mal, je l’utilise pour essuyer les traînées de sperme qui commencent à sécher sur mon corps puis je l’enfile. Elle est chiffonnée, tachée et colle à ma peau à certains endroits : pourvu que je ne rencontre personne ! Au moment où je passe la porte, il m’interpelle encore :



J’ai réussi à regagner ma chambre sans encombre. J’ai pris une douche et me suis mise à rédiger ce journal. Je suis juste descendue une demi-heure pour dîner. Il est 1 h 20, je vais me coucher.



À suivre…