Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14023Fiche technique19993 caractères19993
Temps de lecture estimé : 12 mn
27/08/10
Résumé:  Je trompe ma femme lors d'une soirée et elle se venge.
Critères:  grp couple extracon cocus collègues piscine échange confession -couple -couple+f
Auteur : Eric            Envoi mini-message

Série : Notre histoire

Chapitre 01 / 03
Notre histoire - Première partie

Je suis cocu. C’est aujourd’hui une certitude. Cette situation c’est moi-même qui l’ai causée, même si, aujourd’hui, elle échappe à mon contrôle. Ma femme me trompe, et me voilà muni d’une paire de cornes qui ne cessent de s’allonger, mais chaque fois que j’y songe je ne peux m’empêcher de bander, et même de me masturber.


Mais laissez-moi vous raconter comment nous en sommes arrivés là. Anne et moi vivons ensemble depuis plus de 10 ans. Elle a 35 ans et c’est une superbe brune à la peau mate et aux yeux verts. Elle mesure 1m72 pour 58 kg, un corps ferme, des formes féminines et une poitrine à tomber par terre.


J’aurais donc dû être le plus heureux des hommes mais, au fil des années, je ne parvenais plus à me satisfaire de sa seule plastique. J‘essayais de lui faire partager mes fantasmes, qu’elle m’exprime les siens. Mais elle restait toujours aussi sage et réservée. Attention : elle n’était pas pour autant une sainte-nitouche et se donnait à moi presque quotidiennement. Nous faisions l’amour dans toutes les positions, dans toutes les pièces de notre maison, je pouvais la lécher, la doigter, elle me suçait et me laissait recouvrir de mon sperme son corps sans jamais protester. Je lui rasais sa belle petite chatte toutes les semaines et elle me laissait bien souvent la faire jouir sous mes doigts tandis que je lui susurrais à l’oreille un fantasme de mon choix. Qui donc aurait pu ne pas s’en contenter, et combien d’hommes souhaiteraient pouvoir n’en faire que la moitié à leur épouse ?


Mais pour moi cela n’était jamais assez. J’aurais voulu sortir en club avec elle, la voir s’occuper d’autres femmes, la donner à d’autres hommes, l’exhiber devant des groupes de mâles qui l’auraient touchée et arrosée de leur foutre. Je rêvais de trio, d’échangisme et de bien d’autres choses encore. Mais si elle m’écoutait raconter toutes ces histoires pendant que je la caressais, il était pour elle absolument hors de question pour elle de les concrétiser. Elle m’écoutait, semblait bien souvent en retirer un certain plaisir, et même une grande excitation, mais c’était tout.


Je me contentais donc de scruter le regard des autres hommes, et des femmes, quand nous nous promenions ensemble, et Dieu sait qu’elle attirait l’attention. Toute sa féminité et son corps superbe ne pouvaient que déclencher les regards. Mais ces fantasmes il n’y avait qu’avec elle que j’avais envie de les vivre. Hors de question pour moi de la tromper, même en pensée. Je lui étais donc depuis toujours fidèle, sans que cela ne me pose d’ailleurs la moindre difficulté, aucune autre femme n’ayant jamais pu susciter de désir équivalent.


Je m’étais donc résolu à me contenter de cela même si, une fois encore, le mot contenter est bien fort car, après 10 ans, je prenais toujours autant de plaisir à la prendre, à lui donner du plaisir et éjaculer en elle. Mes propositions d’expériences nouvelles s’espaçaient donc et elle ne semblait pas s’en plaindre.


Pourtant il y a six mois tout a changé. Nous étions partis en week-end avec deux couples d’amis dans la maison de campagne que Stéphane possédait au bord de la mer. Il faisait beau, l’atmosphère était amicale et enjouée et rien ne laissait présager ce qui allait se passer. Nous nous connaissons tous depuis plus de cinq ans et avons depuis formé une bonne équipe. Stéphane et Christophe n’avaient rien à m’envier quant à leurs épouses car l’une et l’autre étaient deux charmantes blondes, très appétissantes. Béatrice et Sylvie avaient le même âge qu’Anne.


Toutefois Stéphane et Christophe m’avaient raconté, lors d’une soirée entre hommes, que chacun de leur côté ils étaient déjà sortis à plusieurs reprises en club avec leurs épouses et qu’après quelques essais, destinés à tester leurs envies et leurs motivations, ils avaient eu tous les quatre des rapports avec plusieurs autres partenaires dans de multiples configurations. Je leur avais confessé mes vaines tentatives et l’espoir d’y parvenir un jour.


Après une après-midi passée au bord de la piscine, nous étions sortis au restaurant puis étions allé danser en arrosant ces étapes de divers alcools. J’avais été désigné comme celui qui devait reconduire tout le monde au bercail et je m’étais donc limité aux jus de fruits. De retour à la maison nous nous étions installés autour de la piscine, sous le ciel étoilé, et avions porté quelques toasts aux uns et aux autres.


Les conversations avaient pris un tour de plus en plus érotique au fur et à mesure de la soirée et c’est Béatrice qui, la première, nous avait avoué ses sorties en club et le plaisir qu’elle y prenait. Sylvie, un peu poussée par son mari, avait fini par nous confirmer la même chose. Anne souriait et ne semblait pas choquée outre mesure mais confirmait simplement qu’elle ne l’avait pas fait et ne le ferait sans doute jamais, sans porter un jugement de valeur sur ses deux amies. Elle les encourageait même à continuer si elles y prenaient plaisir. Je ne sais pas si ce sont ces paroles, ou tout naturellement la suite de cette soirée, mais Stéphane nous proposa juste après un bain de minuit dans la piscine.


Après ces confessions intimes, et surtout quelques verres d’alcool, la proposition ne sembla choquer personne, même si nous ne nous étions jamais trouvés ensemble dans une telle situation. Au pire avions-nous pu apprécier les séances de bronzage topless de ces dames. Au milieu des rires et des exclamations je vis Stéph et Chris plonger les premiers dans le plus simple appareil, bientôt rejoints par Béa, Sylvie,… et Anne ! Elle me surprenait encore, car je l’avais immédiatement surveillée du coin de l’œil quand Stéph avait fait sa proposition. Si elle avait paru un peu surprise au départ, dès qu’elle avait pu constater que ce n’était pas une simple parole en l’air elle s’était bien vite mise dans le plus simple appareil.


J’étais donc le dernier à sauter dans l’eau, les pensées troublées par ce que j’étais en train de vivre. Moi qui désirais exhiber Anne, je me voyais déjà la faire sortir de l’eau devant nos amis et la présenter sous tous les angles à leurs regards. Je l’imaginais s’approcher d’eux, chacun lui demandant de lui montrer son plus beau profil, la touchant et scrutant son intimité, sans qu’Anne ne semble s’en offusquer. Autant vous dire que lorsque je sautai dans l’eau je ne pouvais dissimuler mon érection. Elle n’avait bien entendu échappée à personne et je m’attirai les remarques égrillardes de mes amis. Étant plutôt bien pourvu cela semblait avoir émoustillé Sylvie et Béa qui s’approchèrent en riant pour me prendre la chose en main.


Je tentais bien de les repousser mais il était difficile pour moi de le faire sans casser l’ambiance, cela étant fait presque naturellement et dans la bonne humeur. Anne ne disait rien et les laissait faire, sans tenter de les en dissuader. Je renonçai donc à me défendre et acceptai leurs caresses sur mon membre en érection. Béa et Sylvie complimentèrent Anne de disposer d’un tel étalon. Après ce qu’elles venaient de nous avouer elles ne se privèrent pas de dire qu’elles aimeraient pouvoir aussi y goûter. Elles n’allèrent cependant pas plus loin et s’en retournèrent, pas mal excitées, vers leur conjoint respectif, dont elles commencèrent à s’occuper, d’abord discrètement, puis avec de moins en moins de retenue.


Pour ma part j’avais rejoint Anne et m’étais excusé de m’être laissé faire. Elle me dit que ce n’était rien, n’ayant pas moi-même été demandeur. Ainsi rassuré, je tentai quelques petits bisous et caresses sous l’eau mais je la sentais quelque peu réticente. Il n’en était pas de même en face de nous. Nos deux couples avaient sans aucun doute dépassé le stade des préliminaires. J’étais de plus en plus excité par la situation et me faisais de plus en plus pressant avec Anne qui finit par se laisser toucher sous l’eau et que je pus enfin pénétrer. Mes fantasmes allaient-ils enfin se concrétiser ? Pourrais-je la baiser devant nos quatre amis ? Serait-elle d’accord pour aller plus loin ? Mon esprit s’échauffait de plus en plus vite, au point que j’avais bien du mal à me retenir de jouir. Cependant Anne et moi étions bien moins démonstratifs que nos amis. J’étais contre la paroi et Anne face à moi, le dos tourné vers eux. Nos mouvements étaient mesurés mais j’étais quand même en train de la prendre !


Je regardai Sylvie et Béa se rouler des pelles, tandis que Stéph et Chris les prenaient à grands coups de reins, leurs caresses ne se limitant pas à leurs propres compagnes. Au bout de quelques minutes arriva bien ce qui devait arriver. Ils s’échangèrent leurs partenaires qu’ils besognèrent avec le même entrain sans qu’elles ne semblent y trouver à redire, bien au contraire.


À la vue de ce spectacle je ne pus me retenir plus longtemps et déchargeai une longue giclée de sperme dans le sexe de ma petite femme. Comme d’habitude je fermai les yeux et nous nous embrassâmes tendrement, en nous jurant notre amour. De l’autre côte de la piscine la jouissance était aussi au rendez-vous et les rugissements de satisfaction accompagnèrent les cris de jouissance de ces dames.


Après un grand silence, pendant lequel chacun tenta de retrouver ses esprits, chacun y alla de son commentaire. D’un côté nos quatre échangistes qui comparaient et revivaient leurs performances sexuelles du soir (pour eux aussi c’était une nouveauté puisqu’ils ne l’avaient jamais fait ensemble) et de l’autre nous deux, enlacés, qu’ils appelaient les amoureux. C’était gentil et permettait habilement de recréer un lien avec nous. Je vis même Anne sourire. Nous restâmes encore une dizaine de minutes dans l’eau avant de ressortir et nous allonger nus sur les transats.


Chris et Béa allèrent bien vite dans leur chambre et Anne se leva ensuite. Elle n’avait pas pris la peine de se rhabiller et je la regardais s’approcher dans le plus simple appareil de nos amis pour leur souhaiter une bonne nuit. Elle était vraiment belle et je n’avais peut-être jamais été autant amoureux d’elle. J’allais la rejoindre quand elle me dit que je pouvais encore rester un peu, le temps qu’elle se douche. Je me rapprochai donc de Sylvie et Stéph et devisai avec eux.


Sylvie revint bien vite sur la soirée et sur ce qu’ils avaient faits. Elle me dit espérer ne pas avoir choqué Anne par son comportement. Stéph lui avait déjà parlé, merci la discrétion, de mes envies et tentatives avec elle, et de son refus. Elle en profita pour me complimenter sur Anne, m’avouant que lors de leurs sorties elle prenait le plus grand plaisir à faire l’amour à d’autres femmes, même si elle ne se sentait pas lesbienne, et qu’elle se verrait bien s’occuper d’elle. Stéph, bien chaud comme d’habitude, lui rappela cependant qu’elle ne disait jamais non aux hommes et que cela semblait même aussi beaucoup lui plaire. Il affirma même, sans être démenti, qu’elle avait déjà accueilli plus de 5 partenaires masculins lors d’une même soirée, sans parler des pipes…


À ces évocations je me disais qu’il avait beaucoup de chance et j’imaginais déjà Anne accepter de vivre les mêmes expériences. C’est ma chérie que je voyais lécher les minous d’autres femmes et se faire prendre ensuite. Mon érection accompagna aussitôt ces pensées. Elle se renforça encore quand Stéphane avoua, sans que Sylvie ne semble s’en offusquer, qu’il aimerait aussi pouvoir baiser Anne, car elle possédait un corps superbe et une petite chatte épilée plus qu’appétissante. Le salaud ! Il n’en avait pas perdu une miette. Je l’avais en effet rasée intégralement le matin même, sans deviner qu’elle exhiberait son intimité ce soir-là.


Je bandai encore plus et ne tentai même pas de cacher mon sexe, d’autant plus que Stéph avait entrepris de caresser et de doigter Sylvie sous mes yeux. Elle semblait apprécier cette situation et accompagnait de tout son corps ces caresses. Je ne pouvais détacher mes yeux de ses cuisses, qu’elle écartait de plus en plus pour faciliter les mouvements de plus en plus profonds de son mari. Stéphane semblait prendre plaisir à enfoncer et retirer lentement ses doigts de sa chatte, totalement épilée également. Je voyais ses doigts luisants de ses secrétions aller et venir entre ses lèvres gonflées tandis qu’il la caressait sur tout le reste du corps de son autre main


Sylvie gémissait de plaisir et avoir un spectateur auprès d’elle ne semblait pas la gêner, mais au contraire l’exciter d’autant plus. Nos regards se croisèrent quand je vis Stéph parler à son oreille en me souriant. Elle s’approcha de moi sans mot dire et prit mon sexe en bouche sans autre forme de procès. J’étais interdit, ne bougeant pas et n’essayant pas non plus de la dissuader. Stéph continua de la pénétrer de ses doigts puis enfonça son sexe en elle tandis qu’elle poursuivait sa fellation. Elle savait s’y prendre et je vivais mon premier trio, même si ce n’était pas celui que j’avais rêvé. Stéph lui murmura à nouveau à l’oreille et Béa vint au-dessus de moi. Me chevauchant elle prit mon sexe en main et elle le fit pénétrer lentement dans son sexe. Elle commença alors de longs et profonds mouvements de va-et-vient, gémissant les yeux fermés. Je la regardai, vis mon sexe s’enfoncer dans sa vulve glabre, comme s’il s’était agi d’un autre. Elle se retourna et, de dos cette fois, elle s’empala à nouveau sur ma bite dressée.


J’avais son petit cul bien rond sous les yeux et voyais distinctement son œillet plissé chaque fois qu’elle se penchait un peu. Je la sentais de plus en plus mouillée. Ma queue luisait de ses secrétions vaginales. Je lui dis que j’allais bientôt venir. Elle se retourna à nouveau, prit mon sexe en bouche, et me branla jusqu’à ce que je jouisse. Elle avala ma semence puis embrassa Stéph avec qui elle partagea ce goût.


J’avais vécu tout cela de façon irréelle mais aussitôt après avoir joui je repensai à Anne que je devais rejoindre et que j’avais laissée seule plus longtemps qu’une simple douche. Je remerciai aussi bien et aussi vite que je pus mes deux amis, qui avaient aussi apprécié, et me dirigeai vers notre chambre. La lumière était éteinte et Anne dormait déjà. Je me glissai le plus silencieusement possible entre les draps et m’endormis aussitôt contre elle. Le reste du week-end fut tout à fait normal et nous prîmes le dimanche soir la route du retour.


À peine avions-nous fait quelques kilomètres qu’Anne se tourna vers moi et me demanda si j’avais quelque chose à lui dire. Je pâlis et lui dis que non. Elle éclata alors, entre sanglots et colère, me disant qu’elle savait parfaitement ce que j’avais fait avec Sylvie. J’étais un salaud, un porc, un dégueulasse… Je ne pouvais et ne voulais pas ajouter le mensonge à ce que j’avais fait. Je lui confirmai donc ce qui s’était passé, mais en avait-elle besoin ? Je lui dis, ce qui était vrai, que j’avais été pris par surprise et que, pendant quelques instants, je n’avais plus pensé à elle. Je lui disais l’avoir aussitôt regretté mais comment pouvait-elle me croire ? Je lui disais que je l’aimais toujours, ce qui était vrai, et que je n’avais pas voulu la tromper, ce qui était aussi vrai.


Mais elle mit fin aussitôt à notre discussion en m’enjoignant de reprendre le volant et de retourner à la maison. J’étais mortifié et atterré. Moi qui n’avais toujours rêvé que de lui faire prendre du plaisir, et rien que cela, étais pris en faute et l’avais trompée. Je ne dis plus un mot et l’atmosphère fut pesante pendant tout le retour et les jours qui suivirent. Je n’avais qu’une seule peur : la perdre. Mais il était impossible de connaître ses pensées car elle m’interdisait de prononcer toute excuse, et puis de toute façon le mal n’était-il pas déjà fait, alors qu’elle-même ne s’adressait quasiment plus à moi.


Cependant, après environ deux semaines, son attitude commença à évoluer. Un soir elle m’expliqua qu’elle me laissait une chance supplémentaire, la dernière, mais qu’elle se refuserait dorénavant, jusqu’à ce qu’elle juge le temps venu, à toute caresse, baiser et a fortiori relation sexuelle. Je m’empressai d’accepter, tenant trop à elle. Elle me dit également qu’elle comptait retrouver d’anciennes amies pour passer ses soirées, entre femmes, m’interdisant pour ma part toute sortie. J’acceptai, là encore.


Voilà donc six mois que cela durait ainsi. J’attendais qu’elle ait enfin passé l’éponge et que nous puissions reprendre le cours de notre vie. Mais ce midi j’ai croisé Stéphane que je n’avais plus revu depuis ce week-end. Il semblait au courant de mes malheurs et je n’ai pas eu à lui expliquer en détail la situation. Cependant il vient de m’apprendre ce que je vous annonçais au début de ce message.


Une dizaine de jours après ce week-end Anne a demandé à le rencontrer, avec Sylvie. Ils ont tout de suite compris quel était le problème et étaient prêts à plaider ma cause, eux-mêmes ayant annoncé auparavant leur pratique du libertinage, et l’assumant. En fait, Anne était venue avec de toutes autres intentions. Elle leur annonça qu’elle souhaitait se venger de moi et me punir par là où j’avais pêché. Elle s’approcha donc de Steph et l’embrassa avant de faire de même avec Sylvie. Je ne vous explique pas comment cela se termina. Elle recommença une autre fois avec eux, puis avec Chris et Béa.


Mais elle ne s’arrêta pas là. Elle leur demanda ensuite de l’emmener lors de leur prochaine sortie en club, sans m’en dire un mot bien entendu. Le jour où elle m’avait dit aller voir son amie qui venait d’accoucher fut sa première sortie en club libertin. En fait de camarade elle se tapa à nouveau Sylvie et Stéph mais aussi plusieurs inconnus présents ce soir-là. Elle recommença la semaine suivante, avec Chris et Béa, expérimentant les relations entre femmes sans oublier de nouveaux partenaires masculins. Depuis ils étaient sortis à nouveau avec elle, Anne semblant à chaque fois repousser un peu plus loin ses limites. Elle éprouvait semble-t-il de plus en plus de plaisir à se faire défoncer par de multiples partenaires, en double ou triple pénétrations, pour finir par des douches de sperme. Depuis trois mois il avait entendu dire qu’elle venait régulièrement seule l’après-midi et qu’elle avait la réputation de satisfaire tous les hommes présents. Des gang-bangs avaient même été organisés spécialement à son intention. Cela donnait un tout autre éclairage à toutes ses sorties depuis plusieurs mois.


Est-ce donc bien la Anne que je côtoie tous les jours ? Celle que j’aime ? Comment donc a-t-elle pu se donner à des dizaines, voire des centaines, d’autres hommes ? Tout ce qu’elle fait ce sont les fantasmes que je voulais vivre avec elle. Que dois-je faire ? Lui dire que je sais ? Aidez-moi, svp ! Je suis cocu, mais je crois que j’aime la petite salope qu’elle est devenue. Je ne veux pas qu’elle cesse, je veux seulement la conduire moi-même vers toutes ces queues.