n° 14037 | Fiche technique | 22349 caractères | 22349Temps de lecture estimé : 14 mn | 05/09/10 |
Résumé: Au bord de péter un câble, mon mari Pierre se décide, suite au suicide d'un de ses collègues, à me laisser partir seule en vacances avec son père à Mimizan, où ce dernier habite. | ||||
Critères: f h hplusag grossexe grosseins vacances piscine cérébral nopéné confession | ||||
Auteur : Deborahborah Envoi mini-message |
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Résumé du précédent épisode : dans le dernier épisode je racontais comment je me suis assez rapidement marié à Pierre, un charmant jeune homme raide dingue de son boulot et le début de ma dépression.
Tout excitée par notre départ et sachant que nous allons dans le sud, je choisis une petite robe légère, coupée aux genoux et fermée sur le devant avec dessous un soutien-gorge discret et aux pieds de petites chaussures style spartiate plate. Mon décolleté est raisonnable, il laisse malgré tout deviner ma forte poitrine sans pour autant rien dévoiler.
Metz – Mimizan voila une belle épopée. Il est 4 heures du matin et nous voilà en route. Nous arriverons vers 18 ou 19 heures pour l’apéro. Le trajet est agréable et je fais un peu connaissance avec Étienne. Rapidement je m’assoupis mais je sens parfois son regard sur mes cuisses qui du fait de la légèreté de la robe, se découvrent assez peu, mais sans doute assez à son goût. Je m’en suis rendu compte mais après tout c’est mon beau père et je n’y vois pas de mal, si ce n’est que son regard me rend toute chose. Il essaye de deviner ma poitrine sous ma robe, mon ventre et mes cuisses. Cela me trouble.
Je me souviens avoir légèrement ouvert les yeux et surpris son regard sur moi. Je vois une grosse bosse dans son pantalon. Et quand je dis une grosse bosse, je peux vous dire que c’est une grosse bosse, une énorme bosse. Aussitôt, je referme les yeux avant qu’il ne se rende compte que je ne dors plus. Mon esprit se met à vagabonder en repensant à certaines scènes de films ou certains dialogues que j’ai eu avec des hommes sur internet. Comme je vous l’ai dit je m’ennuyais et souvent je faisais des scénarios très cochons sur internet avec des hommes particulièrement doués. Parfois même pervers et vicieux et j’avoue y avoir pris goût. Leur perversité, leur langage cru, leurs mots, leurs insultes mettaient le feu en moi et j’ai imaginé à un moment qu’Étienne allait faire de même.
Je mets un long moment à me calmer et me rendormir pour de bon. Des milliers d’images toutes plus salaces les unes que les autres défilent dans ma tête et je sens ma chatte s’humidifier. J’ai envie de me caresser.
Nous arrivons sur Poitiers. Le passage d’Orléans n’a pas été simple pour éviter Paris. Étienne me réveille gentiment en posant sa main sur mon épaule.
– Nous allons nous arrêter déjeuner.
– Bonne idée. J’ai aussi très envie d’aller aux toilettes.
– Oui je me doute. Et moi aussi. Ça fait longtemps que nous roulons, il est temps de faire une pause.
Je sors de la voiture toute engourdie. Je m’étire les bras en l’air faisant ainsi relever et bien saillir ma poitrine. Étienne me regarde et a visiblement du mal à contenir un début d’érection. La situation me gène et m’amuse à la fois. Je suis fière d’être encore capable de faire bander un homme. Pierre s’occupe si peu et si mal de moi qu’à certains moments je me suis demandée si j’avais perdu de mon charme et si cette année et demie de mariage avait eu raison de ma beauté. Visiblement non. Je me suis mise à penser que je pourrais peut-être jouer avec lui oubliant ce que j’avais entendu sur sa réputation de tombeur et de baiseur invétéré.
Avant d’aller manger un morceau, je fais un détour par les toilettes. J’ai, comme toutes les femmes, emporté mon sac à main et je me refais une beauté. Pas de maquillage, mais j’insiste un peu plus sur le rouge à lèvre, je défais un bouton de ma robe laissant un peu plus la vue sur mon décolleté, hésite à en défaire un second mais la robe n’en comporte que peu et si j’en défais un de plus je vais me retrouver avec une vue imprenable sur mon soutien-gorge et je ne peux pas me le permettre. J’abandonne donc cette idée. Puis en me penchant devant le lavabo pour me laver les mains, je me rends compte que finalement on peut avoir une vue suggestive de ma grosse poitrine. Sans vraiment la voir on la devine lourde et ferme.
Nous voilà donc à table. Nous échangeons quelques futilités. Il me parle de Pierre, me demande si tout va bien et si je ne m’ennuie pas trop. Si j’ai l’intention de travailler et je lui explique que Pierre s’y oppose et veut une femme au foyer qui s’occupe des enfants. Que d’ailleurs, à ce sujet là, on s’applique à en avoir un depuis prés d’un mois.
Une fois le repas terminé nous remontons dans la voiture et repartons pour finir le périple. Encore quelques heures et nous y serons.
Dans la voiture, nous continuons à discuter et rapidement je me sens en confiance. Étienne est vraiment charmant. Je regarde longuement sa carrure et ses mains de travailleur. De larges battoirs, avec des doigts rugueux et épais, des mains d’hommes. Dans mes pensées j’aimerais qu’elles parcourent mon corps, qu’elles le râpent, le griffent. Voilà que mon corps réagit à nouveau à ces pensées, ma chatte une fois de plus s’humidifie et mes tétons se dressent malgré moi sous ma robe. Je ne pense pas qu’il s’en soit rendu compte et je finis par lui dire que je vais faire une sieste. Il me dit d’en profiter pour me reposer et décompresser.
Dans mon sommeil, je suis encore à la merci d’images pornographiques ou des femmes se font plus ou moins maltraiter par des hommes bien montés. Elles se font prendre debout, assises, couchées. Mon Dieu dans quel état je suis. C’est à force de regarder ce genre d’images sur le net. Je suis une grande malade. Il faut que je me calme.
Le temps passe. Et nous voilà arrivés. Enfin !
J’en pouvais plus de cette voiture. Bien que très confortable, je devenais claustrophobe.
La maison est magnifique, en bordure de Mimizan. On pourrait presque aller à la plage à pied. La ville n’est pas très loin, c’est vraiment superbe. À l’intérieur, un grand salon avec une grande cuisine américaine et un immense canapé avec une méridienne face au téléviseur. À l’étage, quatre chambres, salle de bain avec une douche et une baignoire à bulles. Je me dis qu’il a dû très bien gagner sa vie et que la mort de sa femme a dû lui permettre de finir la maison grâce sans doute aux assurances. Puis derrière, un grand jardin et une piscine relativement grande. Je m’imagine déjà en train de bronzer.
Rapidement nous vidons la voiture et il me donne la chambre à côté de la sienne. Je regrette d’ailleurs un peu parce qu’il va me falloir être discrète et j’ai bien l’intention de pratiquer mon exercice favori : la masturbation. Et cela le plus rapidement possible. Je n’en peux plus, il faut que je jouisse.
Il me dit que nous allons dîner dans un petit restaurant au bord de la plage. Je décide donc d’aller me rafraîchir et de prendre une douche. Il acquiesce en me disant qu’il va ranger la maison en attendant et regarder son courrier.
J’entre dans la salle de bain et me déshabille. Dans la douche, dont le verre est totalement transparent, je fais couler l’eau. Hum l’eau tiède sur ma peau me redonne vraiment un coup de fouet. Je passe la pomme de douche sur mes seins qui réagissent au quart de tour, les images, à nouveau, se bousculent dans ma tête, mon Dieu j’ai tellement envie de jouir, je passe entre mes cuisses arrose mon bouton d’amour, je me sens défaillir au moment même où l’eau frappe mon clitoris, je ferme les yeux, je sens que ça vient, je vais jouir, ma respiration s’affole, j’ai les tétons tendus à m’en faire mal, c’est irrémédiable, je vais exploser là, maintenant.
– Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Mes jambes menacent de céder sous la pression de mon orgasme, il m’a fallu toute la force de mon corps pour ne pas hurler. Mon Dieu que c’est bon !
Je mets un moment à reprendre mes esprits mais je ne suis pas calmée pour autant. Je m’engouffre dans ma robe de chambre et file dans la chambre pour me préparer. Je ne sais pas quoi mettre, je n’ai pas trop de trucs d’été. Mais finalement j’opte pour une autre petite jupe un peu plus courte et un petit chemisier. Effectivement je me regarde dans la glace elle arrive mi-cuisse, voire un peu au-dessus, j’enfile un string blanc en dentelle transparent - il y a bien longtemps que j’en mettais plus à cause de Pierre - et un soutien-gorge pas très efficace en terme de maintien car il laisse ma poitrine balancer plus ou moins naturellement mais il met bien en valeur la profondeur entre mes seins. Le chemisier ne se ferme pas trop haut ce qui permet de laisser un joli décolleté et une vue imprenable sur ma poitrine si je me penche un peu plus que ce qui est raisonnable. Le tout reste quand même correct si on ne fait pas d’acrobatie. Je finis avec une paire de spartiate mais à petits talons cette fois.
Étienne me félicite sur mon choix et me dit que je suis ravissante, je le remercie en rougissant. Et il file sous la douche. Il revient trente minutes plus tard vêtu d’un pantalon en lin et d’une chemise ouverte sur son torse velu et fort. Mon Dieu qu’il est beau cet homme de 60 ans, un homme superbe, une montagne de muscles. J’en mouillerais encore ma culotte. Il faut que je me retienne.
– Allons-y, dit-il.
– Oui j’ai faim.
Au restaurant, nous nous mettons à plaisanter sur le dos de Pierre qui ne sait pas profiter de la vie, qui ne pense qu’à son travail. Puis on parle un peu de sa femme, la circonstance de son décès, ce qu’il a ressenti, la peine, la solitude, puis il se reprend. Bref, après ce petit coup de blues, ça va mieux, il profite du temps qui lui est donné bien décidé à ne rien laisser passer pour se faire plaisir. Je suis complément d’accord avec lui.
Puis nous rentrons. Chacun dans sa chambre. Je me caresse en pensant à lui, j’ai honte mais ne peux m’en empêcher. Je finis par jouir aussi discrètement que possible. J’essaye d’écouter chez lui en posant mon oreille contre le mur mais rien. Pas un bruit. Je suis finalement déçue.
Le lendemain matin quand je me lève, le petit déjeuner est prêt sur la terrasse et il fait un temps superbe. J’ai enfilé quelques habits vite fait, histoire d’être présentable, un soutien-gorge et un slip. Nous déjeunons ensemble et il me dit qu’il a deux ou trois courses à faire et que pendant ce temps je n’ai qu’à profiter de la piscine pour bronzer un peu. N’ayant que des maillots une pièce, je me pense en moi-même que ça ne va pas être facile.
Je me décide quand même d’aller nager un peu, puis je m’allonge sur la serviette. Il fait beau c’est vrai que c’est dommage de ne pas profiter de ce soleil. Je défais donc le haut de mon maillot, le roule sur mes hanches et me couche sur le ventre. C’est le bruit de la voiture dans l’allée qui me fait sursauter et j’ai juste le temps de me réajuster avant qu’il arrive. Je l’aide à ranger les courses. Il a acheté pour nourrir un régiment.
– Ce soir barbecue et sortie en boîte, ça vous tente ?
– En boite ? ça fait bien longtemps que je ne suis pas allé danser.
– Et bien, c’est le moment.
– Oui, vous avez raison, c’est les vacances après tout.
– Demain, on ira faire du shopping, je vous montrerai la ville et on fera peut-être un saut jusqu’à bordeaux ou Arcachon.
– Bonne idée. Merci Étienne de vous occuper de moi, c’est très gentil.
– Tout le plaisir est pour moi, ma chère. Faut que je prenne soin de ma belle-fille quand même, non ! Délaissée qu’elle est.
Je souris en rougissant, imaginant déjà comment j’aimerais qu’il s’occupe de moi.
La soirée barbecue est bien arrosée : apéro, vins rosés et un petit digestif. On se prépare alors pour aller en boite de nuit. Chacun son tour on prend une douche afin de se débarrasser des odeurs de graillon du feu et on se retrouve dans le salon. Lui vêtu d’un jean et d’une chemise, moi d’une petite robe plus courte que d’habitude, un peu au-dessus de la mi-cuisse et des chaussures à talons assez hauts qui font bien ressortir mes mollets et ma chute de reins. En haut la robe est assez largement ouverte afin de laisser un décolleté tout ce qu’il y a de plus suggestif avec un petit soutien-gorge à balconnet en dentelle complètement transparent. Ce sont quelques atours que j’avais acheté pour faire plaisir à Pierre qui s’en est désintéressé si bien que les atours ont fini au fond de l’armoire. À vrai dire j’ai acheté un tas de trucs très coquins que je n’ai jamais eu l’occasion de mettre après quelques échecs cuisants. Sans savoir pourquoi, je les ai amenés.
Étienne ne peut s’empêcher de rester bouche bée quand je débarque dans le salon.
– Et bien dites donc ! Si on m’avait dit que j’avais une belle-fille aussi séduisante. Je ne l’aurais pas cru.
– Merci Étienne. Vous me flattez.
– Non ! Je suis sincère. Il va falloir que je vous surveille si je veux vous ramener à mon fils parce que vous allez faire tourner les têtes.
– Arrêtez ! Vous me gênez.
En vérité, j’adore qu’il me flatte ainsi et si je pouvais, je lui montrerais ma gratitude à ma manière. Mais encore une fois je refreine mes instincts.
Dans la boîte, un monde fou. Nous buvons encore quelques verres, nous dansons, plaisantons puis vient le moment des slows. Beaucoup de mecs tournent autour de moi. Ma robe a tendance à virevolter et dévoile mes cuisses assez largement parfois on doit apercevoir mon string. Aussitôt Étienne prend les devants et m’entraîne sur la piste au grand regret de certains qui auraient certainement aimé profiter de la situation. Un peu alcoolisée, je me sens légère comme une plume, je ris parfois un peu niaisement aux plaisanteries d’Étienne. Je sens parfois sa main frôler subrepticement mes fesses ou un sein, au travers de ma robe. Je laisse faire, lascive. À un moment je sens même qu’il bande, son sexe pèse contre ma jambe ou contre le bas de mon ventre. Je suis en feu, je voudrais qu’il me prenne là, devant tout le monde, comme une bête. Je deviens folle, il faut qu’on me baise, qu’on me défonce, qu’on me déchire et lui a apparemment ce qu’il faut pour me faire hurler de plaisir comme je sais si bien le faire. Je me laisse de plus en plus aller à ses caresses mais la soirée est déjà bien avancée et déjà on annonce la fermeture de la boite. Nous finissons nos verres et partons en me laissant sur ma faim. À peine arrivés nous nous souhaitons bonne nuit et regagnons chacun notre chambre. Là je me masturbe comme une cinglée, en levrette, à m’en faire mal au clitoris, le griffant, le pinçant pour que ça aille plus vite, pour enfin étouffer dans mon oreiller un cri rauque que, j’espère, personne n’aura entendu.
Une fois mes esprits retrouvés, je me suis demandée ce qu’Etienne pouvait bien faire lui qui bandait si fort. Peut-être a-t-il fait de même ? Je l’espère. Quoi qu’il en soit, je veux profiter de mes vacances. Au diable les maillots de bain une pièce, demain je m’achète un deux-pièces et je me ferai bronzer en topless si le cœur m’en dit.
Dans la matinée je décide d’aller faire un petit tour à pied jusqu’au village. Quelques petites boutiques dont une de lingerie, attirent mon attention. J’entre dans un petit magasin de fringues pour voir si je trouve un maillot de bain. Je demande à la vendeuse qui me parait sympathique et qui gentiment commence à déballer ce qu’elle a. Manque de chance, elle n’a pas tout à fait ma taille mais je trouve finalement un maillot de bain qui pourrait me convenir : jaune fluo mais un peu petit. Dans la cabine d’essayage, il me cache difficilement les seins qui débordent de partout de plus comme je ne me rase pas (le sexe) les poils se voient presque en transparence. Décidément, je ne peux pas prendre ce maillot ça fait moche. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je jette mon dévolu sur un autre bikini noir qui cache mieux ma toison mais vraiment trop petit pour mes seins. Il en cache une bonne partie mais les écrase assez pour qu’ils débordent copieusement de chaque coté. C’est un peu vulgaire mais je n’aurai qu’à ne pas mettre le haut.
Après le déjeuner je décide de m’allonger le long de la piscine et Étienne décide d’aller faire une petite sieste. Je prends le temps d’enfiler mon nouveau maillot de bain et me colle sur ma serviette, le soleil brûle et Étienne qui n’est pas encore couché vient me voir.
– Vous devriez mettre de la crème, nous ne sommes pas à Metz, vous allez ressembler à une écrevisse en un rien de temps.
– Oui, je sens que ça me brûle déjà, dis-je en tournant la tête vers lui.
Il est en maillot de bain, torse nu. Une baraque poilue, aux muscles saillants et, mon Dieu, un de ces paquets dans son maillot, j’en reviens pas, ce n’est pas possible, ça ne peut pas exister. J’ai vu des trucs énormes sur le net, jamais je n’ai pensé qu’on puisse en trouver en vrai. Enfin bref vous me comprenez. Je m’arrête de parler tout net devant ce spectacle. Il s’approche avec son tube de crème qu’il avait déjà à la main et commence à m’en mettre sur le dos.
– Vous permettez ?
– Heu… oui, oui, dis-je en bredouillant.
Ses mains rugueuses parcourent mon dos. Mon Dieu, je vais défaillir. Il passe la main sous l’attache de mon haut.
– Vous devriez défaire votre haut, il va laisser une trace ce serait dommage.
– Ah oui ?
– Bien sûr, dit-il en tirant sur la ficelle et la jetant de chaque coté.
Me voilà le dos nu. Puis il s’attaque à mes cuisses. Le maillot est un peu petit et ne cache pas toutes mes fesses. Il en profite pour mettre de la crème dessus tout en resserrant le maillot dans la raie façon string. Je suis dans un état proche de la syncope. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’emballe. Je suis sûre qu’il le sent. Mon Dieu, quelle honte ! Mais ses mains… humm… ses mains sur mon corps. Un homme, un vrai.
– Vous voulez vous retourner ?
– Heu… non, non, ça ira je vais me débrouiller.
– Vous êtes sûre ?
– Oui, oui… non ! Enfin… je pense.
– Très bien.
Il se lève et rentre dans la maison. Je suis en transe. Je sens ma chatte dégouliner entre mes cuisses. Je suis au bord de l’orgasme. Il disparaît de ma vue. Je serre mes cuisses pour maintenir mon excitation. Je me fais des films salaces, d’une violence extrême. Il faut que je jouisse. Ma main s’égare entre mes cuisses passe sous mon maillot, j’appuie sur mon bouton d’amour et en moins de trente secondes je pousse un râle de jouissance que je n’ai pu, cette fois, étouffer. Je retombe sur ma serviette comme une morte, quelques spasmes parcourent encore mon corps. Puis je m’assoupis.
Quand je me réveille, il fait encore chaud c’est la soif qui me sort de ma torpeur. Je me lève seins nus et le haut de mon maillot à la main me dirige dans le salon puis la cuisine pour boire un verre. Je bois tranquillement mais il me semble entendre des bruits bizarres venant de l’étage. Comme si quelqu’un parlait. Il n’est pas seul ? Je remets rapidement mon haut puis monte très doucement l’escalier qui heureusement ne fait pas de bruit. Je m’approche de la porte de sa chambre. Effectivement, il parle.
– Oui ma belle, tu m’excites. Tu aimes ma grosse queue ? Je peux t’appeler Deborah ?
Mon sang ne fait qu’un tour. Il fait quoi ? Qui veut-il appeler Deborah ? Un téléphone rose. Je suis sûre que c’est ça. Je m’approche encore pour mieux écouter ce qu’il dit.
– Vas- y suce bien ma grosse tige, salope.
– Je suis sûr que t’es aussi salope que ta putain de mère. Si tu savais ce que je lui ai mis le jour de ton mariage.
Quoi ? Il a baisé ma mère le jour de mon mariage. La salope. Il a fallu qu’elle se le fasse. Je suis jalouse et hors de moi.
– Elle a pris ma grosse queue bien au fond de sa chatte mais m’a refusé son cul. Mais toi je suis sûr que tu vas la prendre. Tu vas voir je vais te déchirer le fion grosse pute.
– …
– Humm… vas-y, prends-la ! Suce !
J’entends qu’il se masturbe. Je suis à nouveau dans un état incroyable. J’imagine déjà sa grosse queue dans sa main.
– Vas-y plus vite, comme ça, oui… je vais tout te mettre dans la bouche.
– Ahhh !
Je ne sais plus quoi faire. Je l’entends jouir. Rapidement, je redescends prés de la piscine comme si rien n’était mais dans tous mes états. Quand je pense qu’il a baisé ma mère… Décidemment, elle ne me lâchera jamais. Assise dans le transat, j’essaye d’imaginer la scène. Une main se glisse dans ma culotte, j’écarte les cuisses, les yeux fermés sans même me rendre compte qu’il pourrait débarquer d’un instant à l’autre. Une petite jouissance discrète a raison de moi. Quelques minutes plus tard il apparaît, souriant.
– Deborah, vous avez pris des couleurs. Vous êtes toute rouge.
– Oui j’ai chaud.
– Il fait beau ici, n’est-ce pas ? Si on dînait en bord de plage ?
– Très bonne idée.
– On y va en maillot, on sera mieux.
– Heu … d’accord. J’emmènerai un petit haut au cas où j’aurais froid.
– Très bien.
Son regard ne quitte pas mes seins. Les tétons rigides auraient pu transpercer le tissu. Mes seins encore gonflés par l’excitation, débordent outrageusement. Il veut qu’on sorte comme ça. Soit, allons-y !
À suivre…