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Temps de lecture estimé : 10 mn
17/09/10
Résumé:  Nous partons avec Etienne, mon beau père, dîner sur la plage.
Critères:  fh hplusag grossexe grosseins vacances intermast cunnilingu pénétratio fdanus fsodo coprolalie init confession -extraconj -beaupere
Auteur : Deborahborah            Envoi mini-message

Série : Deborah, salope et fière de l'être

Chapitre 04
Mon premier adultère

Résumé : Dans le précédent épisode, nous sommes arrivés à destination et j’ai découvert que mon beau-père avait baisé ma mère le soir de mon mariage.



Nous montons dans la voiture. Je ne porte sur moi que mon bikini et un petit gilet sur les épaules. Mes seins sont encore durs de l’excitation que m’ont procurée les paroles d’Etienne au téléphone. Mes tétons pointent vulgairement au travers de mon haut et ma chatte est trempée. Je suis tellement mouillée que j’ai l’impression d’avoir pissé dans ma culotte. Lui est en maillot aussi et son gros paquet entre les jambes ferait honte à tous les hommes. À peine sommes-nous arrivés qu’il met un caleçon de bain pris dans le coffre. Je suis surprise de ce geste puisque, du coup, je me retrouve seule en bikini alors que lui finalement, fait presque habillé malgré le fait qu’il soit torse nu.


Nous entrons dans un bar à rhum. Beaucoup de jeunes bien bronzés, la vingtaine comme moi. Etienne, apparemment, est bien connu. On s’assoit sur de hauts tabourets au bar. Les mecs me regardent avec insistance. Je me sens un peu gênée. Puis Etienne commande deux rhums-orange bien frais. Nous les buvons rapidement puis deux autres sont déjà servis. C’est trop bon. Je n’en ai jamais bu, mais je sens la chaleur monter en moi. Je me sens bien d’un coup, détendue. Je commence à plaisanter avec Etienne qui souvent passe une main sur mes cuisses ou sur mes épaules. Ses mains parcourent mes cuisses avec délicatesse, tendresse, et douceur.


Au bout d’une heure, nous avons bu quatre ou cinq rhums. J’ai chaud. Je suis en transe, je suis fin excitée. Il me caresse les cuisses et les épaules avec ses mains rugueuses, me susurre dans l’oreille. Puis il m’entraîne sur la piste de danse où l’on se dandine. C’est une biguine. On danse, il passe sa jambe entre les miennes et me fait quasiment asseoir dessus, frottant mon sexe sur sa jambe. On tourne, ça me fait un effet de dingue, j’ai failli jouir sur place. Ses grosses mains en profitent pour me masser les fesses en dansant.


J’en peux plus, je vais devenir folle. Puis la musique cesse, nous retournons au bar. J’ai du mal à marcher, mes jambes flageolent. Entre l’alcool et mon excitation, je suis complètement déboussolée. Je ne sais plus si ce que je suis en train de vivre tient du rêve ou de la réalité. J’ai une espèce de boule dans le ventre qui me rend toute bizarre. Il y a trop longtemps que je n’ai pas fait l’amour. Mes seins me font un mal de chien tellement ils sont gonflés de désir, je ne peux pas rester comme ça. Je vais mourir.



Il me prend par la taille et m’entraîne à la voiture, nous nous asseyons. Pendant tout le trajet, il me caresse les cuisses. Parfois jusqu’en haut, frôlant mon bikini. Je ne tiens plus. Quelques minutes plus tard, nous arrivons à la maison. J’ai faim. J’ai faim de sexe, de queues, de grosses queues. À peine entrés dans le salon, il me jette sur la méridienne, m’arrache mon bas de maillot et se jette sur ma chatte trempée. Impossible de résister. J’attends qu’on me baise depuis trop longtemps pour pouvoir lutter contre mon envie éternellement refreinée.


Etienne me fourre la langue à fond, aspirant mes grandes lèvres, un doigt est venu lui prêter main forte et me laboure la chatte. Puis un deuxième. Ma vue se trouble.



Joignant le geste à la parole, il me relève et dépose un baiser sur mes lèvres pendant que ses mains s’égarent sur mes fesses. Ses grosses mains les prennent, les pressent, les malaxent, les écartent. Sa langue passe entre mes lèvres que j’ouvre pour lui donner ma langue. Je sens le propre goût de ma chatte. Nous nous embrassons fougueusement, nos langues se mêlent, je le tiens par la taille. Je sens son sexe contre mon ventre, puis doucement, il me retourne pour me mettre dos à lui. Cette fois, je sens son engin entre mes fesses. Il prend mes seins à pleine main et les dégage du maillot. Il les pelote fermement tirant sur les pointes sans trop de ménagement. À ce moment-là, j’ai failli m’évanouir tellement il les a pressé fort et tellement ils étaient tendus.



Pour seule réponse, je pousse mes fesses plus fort en arrière, contre lui.



Il me doigte la chatte. On entend les clapotis de ses doigts dans ma grotte d’amour. Je suis à point. Doucement, il me pousse sur la méridienne pour me mettre en levrette. J’adore cette position si longtemps abandonnée. J’adore cette sensation de mes gros seins qui pendent et ballottent dans le vide. Il descend lentement le long de mon dos en m’embrassant. Il passe sa tête entre mes fesses qu’il maintient largement écartées.


À l’instant même où il pose sa langue contre ma chatte, il a extirpé mon clitoris de sa cachette, l’a pris entre ses doigts et l’a pressé de toutes ses forces. J’ai joui comme une furie en poussant un cri. Mes mains tiennent un oreiller et ma tête se pose maintenant contre pour mieux me cambrer. Je suis prise de convulsions, mon ventre est secoué de partout, ça faisait si longtemps !


Il continue à me lécher, je sens le plaisir revenir au galop. Il introduit deux doigts dans ma chatte tellement je suis déjà dilatée, je ne rêve que d’une chose : qu’il me déchire avec sa grosse queue et qu’il m’insulte comme il le faisait au téléphone. Puis il remonte vers mes seins tout en me doigtant, il me les malaxe. Mon dieu que c’est bon, je sens que je vais jouir un fois de plus. Je sens que ça monte.



Un fois de plus, mon corps est parcouru de spasmes. Incroyable, mon cœur va exploser. Il va me tuer à cette allure-là. Je perds la notion du temps et de l’endroit. Puis soudain, je sens son gland qui me fait l’effet d’un poing à l’entrée de ma chatte. Il pousse doucement, il a du mal à entrer tellement il est gros. Rien que le bout du gland déforme déjà mes lèvres, je sens que ça va être magique.



Puis prenant appui sur ses pieds, il force l’entrée de ma chatte qui s’élargit sous la pression. Je me mets à gueuler tellement il me fait mal, mais je ne demande que ça. J’ai envie que sa grosse queue me transperce, qu’elle me ressorte par la bouche, j’ai tellement envie de jouir.



Une fois de plus, je suis tétanisée par l’orgasme qui me foudroie alors que je sens son sperme gicler en moi en longues saccades. Je tressaute comme une carpe hors de l’eau. Bouche ouverte. Complètement déboussolée. Puis il s’effondre à côté de moi. Me laissant, la chatte baveuse et dégoulinante. J’ai encore envie mais je suis épuisée. Doucement, il se relève et m’aide à faire de même. Il m’embrasse tendrement, me caresse les fesses. Sa langue dans ma bouche me fouille et je lui rends son baiser. Nous restons là un moment à nous regarder.



Il revient avec deux rhums. On les boit quasiment sans rien dire. Je n’avais même pas remarqué qu’il avait remballé son matériel. Quand je pense qu’il vient de me baiser et que je n’ai même pas vu sa queue. Je suis assise cul nu et les seins à l’air, sans aucune pudeur, sur la méridienne. J’ai encore les tétons pointés, mes seins me font encore mal et j’ai encore envie mais je n’ose rien dire. Nous buvons notre verre sans un mot. Puis je me lève.



Une fois dans la douche, je me lave de partout puis soudain, Etienne entre dans la salle de bain. Je sursaute. Il me regarde en train de me laver. Je perds toute pudeur. Il est nu. Je vois son énorme sexe pendre entre ses jambes. Je coupe l’eau instinctivement. Il ouvre la porte de la douche puis entre. Je remets l’eau tiède en route. Il me lave. Passe ses mains partout sur mon corps, je redémarre. Il bande et cette fois, je la vois. Dure, raide, énorme. Je la caresse, la masse, la branle. Il me chuchote des insanités aux creux de l’oreille.


Puis il me retourne contre la faïence, enduit mon anus de savon et soudain je sens son doigts entre mes fesses sur mon anus. Je sais ce qu’il a en tête. Son doigt entre tout seul, tellement je suis excitée, je pousse pour l’aider à entrer. Il enfonce son doigt et déjà je sens sa main contre mes fesses. C’est qu’il me l’a mis en entier. Il tourne, entre et ressort. J’adore cette sensation de soumission dont le seul but est de me fourrer sa queue dans mon cul. Puis au bout d’un moment, il en met un second qui entre plus difficilement. Mais bientôt, je les ai tous les deux bien profond dans mon fondement. Il les écarte, les tourne, les bouge en rajoutant toujours du savon pour que je sois bien glissante. Je commence à sentir une drôle de sensation me remonter dans les reins et mon ventre. Cette situation est si humiliante. Moi, la tête contre la faïence, en train de me faire doigter l’anus par cet homme. Rien que d’y penser, je mouille comme une folle. Je ne peux m’empêcher de passer, sans qu’il me le demande, une main entre mes cuisses pour me masturber.



Ses paroles me rendent folle. Je pousse un long soupir de plaisir quand mes doigts griffent mon clitoris.



Et tout en me parlant, il se met à entrer et sortir ses doigts de plus en plus vite et de plus en plus profonds dans mon cul. Puis il met un troisième doigt qui cette fois me détend fortement l’anus. Je pousse un petit cri de surprise et de douleur.



Puis il ressort ses doigt de mon cul et pose son énorme gland son mon anus. D’une poussée, il me pénètre. J’ouvre la bouche, une fois de plus comme un poisson hors de l’eau. Je sens comme un coup d’électricité entre mes reins.



Il le ressort, l’enduit de savon et le remet. Il rentre plus facilement. Je gémis.



Doucement, par à-coups, je le sens me pénétrer. Je n’ai pas vraiment mal, c’est une sensation étrange qui m’envahit. Mi-douleur, mi-plaisir. Une sensation qui me parcourt les reins de long en large, qui me fait un genre de courant électrique et à la fois des chatouillis dans le ventre bien que mon anus me fasse mal et semble se déchirer sous la pression. Ce mélange de sensations me rend complètement folle. J’ai envie de l’encourager à continuer plus fort pour ressentir ce bien-être d’être remplie et de le supplier d’arrêter par honte et douleur de mon anus.



Me tenant fermement par les hanches, il enfonce les derniers centimètres qui restaient encore dehors d’une seule poussée dans mon cul.



Il commence à aller et venir dans mon cul sur toute la longueur de sa tige tout en me labourant les hanches de ses grosses mains rugueuses. Il me lance des insultes, me disant que ma mère est une none à côté de moi et qu’il va faire de moi la dernière des salopes. Que d’ici la fin des vacances, il aura transformé mon anus en un hall de gare. Et toutes ces paroles montent dans ma tête comme une balle et me tuent sur place quand mon orgasme explose. Je hurle dans la douche à m’en rompre les cordes vocales, alors qu’il me défonce le cul à grand coup de reins.


Je suis pleine de son sexe et je le sens gicler en moi. Venir entre mes fesses. Je suis morte, il me tient pour ne pas que je m’écroule comme une merde. Il me tient contre la faïence toujours sa queue raide au plus profond de mon cul. Il finit de se vider dans mon intestin. Puis finit par ressortir. Je suis haletante, pantelante, heureuse mais l’anus en compote. J’ai enfin joui comme j’en rêvais. Quand je reprends plus ou moins mes esprits, il est parti. Je sors de la douche. M’essuie et retourne dans ma chambre, me jette sur le canapé et m’endors quasi instantanément.


Vivement demain.