n° 14068 | Fiche technique | 34226 caractères | 34226Temps de lecture estimé : 20 mn | 25/09/10 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Élodie découvre de nouveaux jeux sexuels avec son amie Mélanie. | ||||
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Auteur : Caval (Naturiste et cavalier) |
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Résumé : Élodie, 19 ans, a découvert le naturisme avec son frère et deux amies l’été dernier. Pour l’heure, elle est en bac informatique et loge chez une amie, Mélanie.
Élodie a fait découvrir à sa logeuse les plaisir du naturisme, puis est devenue son amante. Mélanie vient de raconter à Élodie sa première expérience saphique. Ce fut également pour elle un trio : le frère de son initiatrice et la copine de celui-ci.
***
Je comprenais tout à fait ce qu’elle voulait : être libre dans ses amours. Elle était bisexuelle et je pense que je le devenais aussi. L’amour que j’éprouvais pour elle ne devait pas être exclusif. Mais je réalisais aussi que notre relation était certainement plus forte que celle qui existait entre mon frère et son copain. Eux ne vivaient qu’une relation sexuelle dénuée d’amour, même s’ils étaient de réels amis. Entre Mélanie et moi, l’amitié s’était muée en amour.
Effectivement, mon amante-logeuse refit venir chez elle les deux hommes que j’avais déjà vus. Je n’en éprouvais pas de jalousie. Peut-être que si elle avait fait venir des femmes, j’aurais eu plus de mal à l’accepter. Elle faisait attention également à n’inviter ses amants que dans la semaine de façon à préserver nos moments de tendresse des week-ends. Le samedi soir et le dimanche étaient pour nous synonymes de folies sexuelles entre femmes.
Un jour elle me demanda si j’avais un copain dans mon lycée :
Pourtant, quelques jours plus tard, elle me montra ce qu’elle venait d’acheter par correspondance : deux godemichés, l’un en latex et l’autre plus gros, avec un embout transparent et une base en cuir. Je fus excitée rien qu’à les voir sur son lit. Nous basculâmes sur le lit et nous nous sommes pelotées plaisamment pendant plusieurs minutes, visitant chaque parcelle de nos corps avec nos lèvres, nos langues et nos doigts. En un 69 endiablé, nous nous léchions la chatte et le clitoris. Dès lors, nos vagins étaient bien lubrifiés.
Mélanie prit alors le plus petit gode et le présenta à l’entrée de ma grotte. Elle parcourut mes lèvres avec, allant et venant tout au long de ma vulve, touchant à chaque fois, au passage, mon clitoris tendu et presque douloureux. Puis je sentis l’objet entrer doucement en moi, tout en douceur, sans brusquerie. La sensation était divine. Mais j’en voulais plus, je voulais qu’il entre plus en moi, c’est donc moi qui m’empalai dessus, jusqu’à la garde. Lorsque je sentis le bout de cette queue de caoutchouc contre le col de mon utérus, je sursautai à la fois de surprise et de plaisir, mais certainement pas de douleur. Mélanie entreprit alors de faire entrer et sortir l’engin en moi, me donnant des sensations hautement jouissives.
Lorsqu’elle délogea de moi l’objet, je grognai de déplaisir, mais je sentis autre chose entrer dans mon sexe : il s’agissait de l’autre godemichés, au diamètre beaucoup plus impressionnant. J’étais tellement mouillée et ma maîtresse y mit tellement de douceur en me masturbant le clitoris qu’il entra sans difficulté et sans douleur. Mon vagin semblait se dilater pour accepter en lui tout l’objet. Cela dura longtemps. D’une part Mélanie m’avait enseigné l’art de contrôler mon plaisir pour durer le plus longtemps possible, pour contrôler la situation tant avec un homme qu’avec une femme, d’autre part la belle savait moduler les actions pour que l’orgasme ne soit pas trop rapide. Mais je vis un tsunami déferler sur moi sans que je puisse m’en échapper. Je criai, je m’accrochai aux draps, je gesticulai en tous sens : j’entrais en transe.
Tout mon être éprouva une jouissance inouïe. Comme souvent lorsque j’ai des orgasmes violents, je restai comme assommée pendant de longues minutes, à la merci totale de mes partenaires. Lorsque je repris conscience, Mélanie suçotait les pointes de mes seins, elle en tétait même les larges aréoles, comme l’aurait fait un bébé avec les mamelles de sa nourrice.
Nous allâmes dans la salle de bain, nettoyer les deux substituts de sexe masculin, puis j’entrepris les mêmes outrages sur le sexe de ma maîtresse. Elle éprouva beaucoup moins de plaisir que moi. Non que je m’y prenne mal, me dit-elle, mais parce qu’en matière de queue d’homme, elle avait ce qu’il fallait quand elle voulait. Cela signifiait que moi, j’en manquais.
***
Un peu plus tard dans l’année, au mois de mars, mon ordinateur personnel est tombé en panne. Pour moi c’était une véritable catastrophe puisqu’il était mon principal outil de travail pour mes cours et leurs applications sur l’écran. Dans le disque dur, il y avait une quantité importante d’informations que je ne pouvais perdre. En plus, je n’avais pas fait de sauvegarde… Oui, une catastrophe.
Mélanie me dit que l’homme qui venait la voir le plus souvent, Bernard, était un as de l’informatique et qu’il pourrait peut-être faire quelque chose pour moi. Elle l’appela et il vint le lendemain, samedi, pour essayer de me dépanner. C’est ce qu’il fit à merveille. Après son intervention, mon ordinateur était comme neuf. Comme il ne voulait pas être payé, je ne savais comment le remercier. Il dit alors :
Le fard me monta aux joues. Il avait vu les revues naturistes que j’avais oubliées de bien dissimuler avant qu’il n’arrive. Je ne savais plus où me mettre. J’essayai tout de même de me défendre :
Mélanie essaya de discuter, mais rien n’y fit. Quant à lui expliquer que le naturisme n’avait rien à voir avec de l’exhibition… il ne fallait même pas en rêver. Je finis par accepter ; en quelque sorte, il avait sauvé mon année de terminale, je pouvais bien faire un effort. Je le répète, si la nudité dans un lieu naturiste ne me gêne pas, dans les autres circonstances, je me sens agressée lorsqu’on voit de moi plus qu’il n’est nécessaire. Une seule obligation pour Bernard : il ne devrait pas toucher. De toute façon, après notre petite représentation, il savait fort bien que Mélanie le récompenserait de ses bonnes manières dans son lit.
Une heure plus tard, alors que nous avions préparé le repas avec ma logeuse, notre chevalier un peu pervers arriva pour nous retrouver. Nous lui servîmes un verre, discutâmes comme si rien n’était, assises à ses côtés. Puis nous levant, ayant mis une douce musique d’ambiance, nous commençâmes à nous déshabiller. Mais au lieu de s’effeuiller chacune, c’est l’une l’autre que nous entreprenions de nous mettre nues. Bernard n’en croyait pas ses yeux, le spectacle allait au-delà de ses espérances.
Une fois chemisiers et jupes au sol, nous fûmes en petites tenues Aubade avec des Dim-up’. Collée à ma compagne, je lui dégrafai son soutien-gorge tandis qu’elle en faisait autant avec le mien. Nous jetâmes les pièces au visage de notre voyeur, mais il ne pouvait encore rien voir, nos seins étant les uns contre les autres. Puis nos mains les cachèrent à sa vue avant de les lever au ciel dans une chorégraphie que nous avions mise au point rapidement en préparant le dîner.
Ensuite je m’agenouillai devant Mélanie qui tournait le dos à Bernard et entrepris, très lentement, millimètre par millimètre, de lui retirer sa culotte. Elle n’avait plus que ses bas, mais tournait toujours le dos à l’homme. Je me relevai et Mélanie m’ôta mon string. Ma toison était dissimulée à la vue de Bernard pas la tête de ma maîtresse, puis par son corps, lorsqu’elle se releva. Lorsque nous lui fîmes face, je dissimulai avec mes mains le sexe de Mélanie et elle fit de même avec le mien. Enfin, comme un coup final, nous nous sommes montrées nues à notre spectateur. Il était en sueur.
Nous avons couru à la cuisine nous vêtir du tablier autorisé, cul et seins à l’air.
Force était de constater que le chéri en question n’était pas au mieux et que son sexe dessinait une belle bosse dans son pantalon.
Et sans qu’il puisse même réagir, Bernard se retrouva nu comme un ver, le sexe tendu contre son ventre. Il se trouva tout bête ainsi devant nous. Son érection était telle qu’il aurait sans doute bien voulu qu’une main clémente s’occupe de lui, mais sa maîtresse lui dit :
En fait il était pris à son propre piège. Ce qui ne l’empêcha pas d’avaler avec ravissement le dîner que nous avions préparé. Nous le servions en lui présentant ostensiblement nos fesses ou notre poitrine. En fait, le supplice, c’est lui qui le subissait plus que nous. Il n’avait que le plaisir des yeux, étant dans l’impossibilité physique de débander, ce que je constatai tout au long de la pitance.
Il était temps que je m’éclipse pour laisser les deux tourtereaux passer à des jeux plus sérieux. Bernard étant bien chaud, j’étais certaine que Mélanie n’allait pas regretter la nuit qui s’annonçait. D’ailleurs, plus tard dans la soirée, me rendant aux toilettes, j’entendis des gémissements caractéristiques venant de sa chambre. Il était indéniable qu’il s’occupait vraiment bien d’elle.
De retour dans ma chambre, je repensai à la soirée. Le fait de me mettre nue devant cet homme ne m’avait dérangée plus que ça. Et lorsque nous l’avions mis nu, je dois avouer que l’apparition de son sexe en pleine érection n’avait pas été pour me déplaire : peut-être pas très épais, mais relativement long. S’étant tenu dressé sans aucune sollicitation, ni manuelle, ni buccale, il devait être endurant et à entendre les soupirs et les petits cris de ma logeuse, son propriétaire devait bien savoir s’en servir. Ces pensées m’excitèrent et je commençai à me branler seule dans mon lit alors que les deux autres étaient en train de s’envoyer ne l’air à quelques mètres de moi.
La porte de ma chambre, que je n’avais pas fermée à clef, s’ouvrit et Mélanie entièrement nue apparut. Je n’eus pas le temps de rabattre mon drap sur moi, ma chemise de nuit remontée jusque sous mes bras, laissant deviner ce que je faisais. D’ailleurs je ne fis rien pour donner le change, ayant une main entre mes cuisses et l’autre caressant mes seins.
Je ne pouvais le nier, mais je ne répondis pas. Elle me contempla et glissa sa main au niveau de mon sexe.
Je ne me posai pas de question et la suivis. Bernard était nu sur le lit tout blanc, son sexe légèrement gonflé, mais qui allait pouvoir se remettre en érection d’ici peu. Il me regarda entrer dans la chambre. Mélanie fit tomber ma chemise en nuit à mes pieds. Je me dirigeai sans hésitation vers la verge que je pris en main. Je la branlai délicatement avec la main avant de la lécher pour qu’elle reprenne vie. Je la pris en bouche et la suçai avec gourmandise. Ce membre était chaud comme une brioche sortant du four et avait un goût de cyprine et de sperme mêlés. Ce goût ne me gênait pas, il augmentait au contraire mon excitation.
Bernard me prit par les épaules et m’assit dans le lit, m’ouvrit les jambes et plaça sa tête au niveau de mon sexe. Il approcha avec quelques coups de langue doux puis inquisiteurs et fourailla dans mon intimité déjà bien ouverte. Il virevoltait entre mon clitoris et ma vulve. Il léchait très bien et, pour l’accompagner, j’avais enfoncé mes doigts dans sa chevelure. Pendant ce temps-là, ma copine s’occupait de l’anus de notre étalon. Elle lui prodiguait des caresses buccales et digitales qu’il semblait beaucoup apprécier. Allait-elle lui prodiguer le toucher de la prostate dont mon frère m’avait parlé ? Il me semble que oui, puisqu’à un moment, mon lécheur quitta ma chatte pour lancer un gémissement de jouissance extrême sans pour autant éjaculer : il bandait toujours autant.
Juste le temps que ma compagne libère sa rondelle, et il me pénétrait (avec un préservatif) dans la position traditionnelle du missionnaire puis en levrette. J’y éprouvai beaucoup de plaisir tandis que Mélanie nous regardait et, de temps à autre, venait me caresser les seins, puis les embrasser aussi. À un instant, je sentis que mon chevaucheur s’occupait de mon anus avec ses doigts tandis qu’il me pénétrait par derrière. Cette caresse anale, jamais un homme ne me l’avait prodiguée, seule Mélanie s’était permis de me doigter le cul. Je le laissais faire, mais lorsque je compris qu’il voulait envahir ma grotte secrète avec son sexe, je me récriai et lui en refusant l’entrée.
Il n’insista pas et reprit position dans mon vagin. J’ai joui avant lui, alors il est venu se positionner derrière notre maîtresse commune, et c’est elle qu’il sodomisa. Ce n’était peut-être pas la première fois de la soirée qu’il le faisait, tant l’entrée me parut facile. J’admirai le spectacle avec délectation. Mélanie éprouva bientôt une jouissance énorme, ne pouvant pratiquement plus se contrôler. Notre mâle sortit d’elle et nous aspergea de quelques giclées de sperme, peut-être assez pauvres. Mais ce n’était pas la première fois qu’il jutait dans cette soirée et ses couilles s’étaient déjà bien vidées. Je vins quérir la semence sur le corps de ma compagne et lui en dispensai une partie en l’embrassant. Nos bouches, en se séparant, dégoulinaient de ce foutre au demeurant délicieux.
Comme Bernard était un peu en panne, nous en profitâmes pour nous placer en 69 et nous « brouter la chatte ». Notre homme admirait le spectacle. Comme beaucoup de mâles, il fantasmait sur ces femmes qui sont lesbiennes mais qui savent donner du plaisir aux hommes. Pendant ce break, nous avons pris beaucoup de plaisir dans ces caresses homosexuelles, peut-être parce que nous étions vues par notre amant.
Par la suite, il récupéra et fut en forme pour nous satisfaire toutes les deux.
Il revint une ou deux fois durant le mois qui suivit, mais toujours en semaine. D’un commun accord avec Mélanie, je ne participai pas à leurs jeux. D’ailleurs il n’arrivait qu’après le repas et il était rare que je le croise. Je savais qu’il était là, mais ne cherchais pas à le voir.
À la fin du mois d’avril, Mélanie, après l’un de nos tumultueux ébats, me demanda si réellement je n’avais jamais été sodomisée.
Mélanie me proposait de me prêter son mec pour que je connaisse la sodomie. Je n’en revenais pas. La gêne de baiser avec Bernard ne jouait pas, j’avais déjà goûté à son sexe ; il m’avait donné beaucoup de plaisir d’ailleurs, tant à le sucer que lorsqu’il avait investi mon vagin. Non, ce que je craignais c’était cette introduction dans ma grotte secrète.
En fait, elle me prêtait son mec pour cette expérience, mais elle souhaitait réitérer le triolisme ; elle serait présente. D’une part cela me rassurait qu’elle m’accompagne dans ce que je prenais pour une épreuve, d’autre part une once de pudeur me disait que, pour une pratique si intime, être seule avec mon initiateur serait peut-être mieux. Je me dis également qu’un jour ou l’autre il faudrait bien que je connaisse la sodomie, alors pourquoi pas avec un mec qui le ferait avec douceur et qui me laisserait un bon souvenir. J’acceptai donc cette proposition et la séance fut fixée au samedi soir suivant.
Bernard vint manger, mais là, nous restâmes tous habillés. C’est une fois dans la chambre de Mélanie que nous nous sommes déshabillés mutuellement. Nos habits éparpillés sur le sol, nous nous couchâmes sur le lit en échangeant de doux baisers tant entres filles qu’avec notre bel Apollon.
Bernard partit à la découverte de mon corps en commençant pas les seins, déjà tendus par le côté excitant de la situation. Puis il descendit rapidement du côté de mon sexe. Il faisait virevolter sa langue de mon clitoris à mon anus en passant par ma vulve qui ne tarda pas à émettre son liquide. Sur ma rondelle, il s’appliquait, juste avec le bout de la langue. Cette caresse intime ne me laissait pas de glace. Il choisit la meilleure façon de me détendre tout à fait en introduisant son sexe vaillamment dressé dans mon vagin. Pour ce faire, il se mit sur le dos et guida mon bassin vers son membre. Je m’empalai avec plaisir et délectation, je sentais la verge chaude se mouvoir en moi. Mais alors que je montais et descendais sur sa tige, je sentis que mon anus était sollicité. Mélanie qui jusqu’alors n’était pas intervenue, m’enduisait la rondelle d’une substance lubrifiante. Je la laissais faire, appréciant ces caresses anales que je pratiquais moi-même sur mes partenaires.
Bernard sait faire jouir les femmes de façon magistrale ; avec lui il est quasiment impossible de contrôler son plaisir : c’est un maître, c’est lui qui dirige les opérations et ses partenaires subissent… le terme n’est pas correct, elles prennent le plaisir qu’il leur donne sans avoir aucune maîtrise sur les tumultes dans lesquels il les emporte.
C’est donc contre ma propre volonté qu’un orgasme me terrassa. Il eut pour effet de m’anesthésier le bas-ventre. À présent, mes deux partenaires s’occupaient de mon anus, ils étaient entre mes jambes ouvertes au maximum alors que j’étais couchée sur le ventre. Mélanie avait toujours à la main un pot de crème qu’elle disposait tout autour de mon œillet et Bernard la regardait faire d’un air intéressé et vicieux ; ils avaient tous deux une vue en gros plan de mon intimité. Mais je leur offrais complaisamment ma nudité dans une totale impudeur.
Parfois dans les relations sexuelles, et particulièrement ici, je me sens chienne ou salope, je ne me reconnais plus et j’aime être ainsi à l’opposé de mon personnage plutôt réservé.
Je sentis un doigt entrer dans mon puits, il s’enfonçait doucement, sans brusquer mes entrailles, puis il se déplaça, s’agita, trifouilla les parois de mon anus puis se retira, pour revenir encore plus fermement. La sensation était divine et lorsqu’un second doigt rejoignit le premier, je fus prête à défaillir.
Puis, mon amante laissa mon cul pour revenir à ma vulve béante et juteuse. Mélanie me léchait le sexe de sa douce langue tandis que Bernard m’offrait sa queue pour la sucer. Il n’avait pas éjaculé et elle était toujours dans une érection impeccable. J’acceptai avec gourmandise son sucre d’orge. Puis il se fit une petite place auprès de Mélanie en enfonçant à nouveau son membre viril dans mes muqueuses vaginales. Cela permit à ma chérie de sucer son copain tout en me léchant la vulve et le clitoris qu’elle agaçait divinement bien. Je me laissais emporter, totalement soumise à leurs volontés lubriques, je ne pensais plus à rien, et immanquablement j’eus un second orgasme. C’est ce que cherchaient mes deux amants, que toutes mes chairs se détendent pour que l’introduction anale soit la plus aisée possible et la moins douloureuse pour moi.
Bernard se retira, le plaisir qu’il venait encore de me donner était à sens unique, car lui n’avait toujours pas joui. Mais je pense que chez lui, l’un de ses plus grand plaisir c’est de faire jouir ses partenaires et les contempler alors qu’elles se pâment. Mélanie sortit d’une petite sacoche un godemiché double : des deux côtés, il avait la forme d’un sexe d’homme, mais dans un bout, le sexe était de taille très modeste, de l’autre, il était un peu plus volumineux, mais très raisonnable, bien inférieur à celui de notre bel étalon. Mélanie enduisit les deux embouts de vaseline et tendit l’instrument à mon instructeur. Il remit deux doigts en moi, puis il introduisit doucement dans mon anus, avec d’infinies précautions, la partie la plus fine. Le sexe en latex est tellement petit que je le sens à peine. C’est lorsqu’il alla plus loin en moi que les doigts inquisiteurs que je ressentis une pénétration, comme une violation de mon être, mais ô combien plaisante.
Bernard faisait aller et venir le gode en moi et je connus mon premier orgasme anal sans être capable de la moindre retenue. Moi qui me disais que je ne jouirais sans doute jamais d’une introduction anale, tant cela me gênerait, j’y trouvais un plaisir non dissimulable et un relâchement complet, oubliant toutes les barrières de mes interdits culturels.
On a beau avoir des parents très ouverts, très tolérants, il y a toujours en nous cette culture judéo-chrétienne de l’interdit, où tout ce qui est sexuel est sale, dégradant, avilissant, malsain… Mais si c’est fait avec douceur et tendresse, c’est tout autre chose. Si Dieu existe, il nous a donné le plaisir, la jouissance, pourquoi ne pourrions-nous pas l’utiliser ? Et si Dieu nous à fait à son image, c’est qu’il aimait les choses du sexe ; comment ne pas le fâcher si on n’aime pas ce qu’il a créé avec tant de talent : les hommes et les femmes ?
Mais revenons à ma leçon, qui était en cours depuis une demi-heure ou peut-être une heure, j’avais perdu toute notion du temps, alors que le professeur ne m’avait toujours pas sodomisée : il n’en était encore qu’aux préliminaires. Il retira le gode, prit l’autre embout, et entra à nouveau en moi. Là, je sentis bien mieux l’ustensile qui allait au plus profond de moi-même. Mélanie me branlait le clitoris pour que je ne sente aucune douleur. Effectivement ce n’était pas douloureux, mais étais-je capable de rien ressentir après les orgasmes que je venais de connaître ?
Bernard plongea le visage dans mon entrejambe, visitant de sa langue et de ses doigts toute mon intimité, de mon clitoris turgescent à mon anus dilaté en passant par ma vulve béante et juteuse. Pendant ce temps, Mélanie le suçait, histoire de donner encore plus de consistance à sa queue. Il mit un nouveau préservatif. Je savais que le moment de vérité approchait et essayais de me détendre au maximum. Il badigeonna la capote de vaseline et vint placer son gland tout contre mon œillet qui était légèrement ouvert après les insidieuses préparations qui avaient été faites.
Il nous mit en place : Mélanie sur de dos, moi couchée sur elle, sur le ventre, mon vagin à porté de sa bouche. Ma copine commença à me lécher la vulve tout en écartant mes fesses de ses mains. Le membre puissant de notre homme s’introduisit lentement : tout d’abord le gland, puis il poussa. Le diamètre de sa queue était tout de même bien supérieur à celui du gode, aussi l’introduction fut-elle plus difficile. La lubrification de ma grotte secrète permit à son membre d’avancer en moi. Je ressentis une douleur tout d’abord vive, puis lancinante. Je la supportais vaillamment, sans l’exprimer, de peur que mon bel étalon interrompe son intromission. Il faisait son chemin jusqu’à ce que ses couilles buttent contre mes fesses. Alors il s’immobilisa un instant, puis entreprit un doux va-et-vient qui, instantanément, me procura du plaisir. La douleur était peut-être toujours là, mais la sensation de jouissance était telle que je l’oubliai et qu’elle devint secondaire, infime.
Mon partenaire mâle et moi, nous partagions le plaisir de la sodomie. Mon orgasme ne fut pas long à venir, mais sa provenance était double : d’une part, il y avait les mouvements de va-et-vient de la verge chaude en moi, accompagnés des talents de la langue de Mélanie, d’autre part, mon plaisir était cérébral aussi. Moi qui n’aimais pas être trop dominée, je découvrais la sensation de faire don de soi-même, d’aller au-delà de ses propres limites, de transgresser un interdit, de devenir la chose de cet homme.
Bernard ne se retira pas tout de suite de mon cul après l’orage dévastateur que je venais de connaître. Il se débarrassa de sa capote et gicla sur nos poitrines dans un râle de satisfaction. Cela décupla mon plaisir. Oui, la soumission à l’état pur.
Je revis trois fois Bernard avant la fin de l’année scolaire. Avec mon amante et lui, nous passions des nuits effrénées de sexe, si ce n’est d’amour.