n° 14104 | Fiche technique | 17671 caractères | 17671Temps de lecture estimé : 11 mn | 19/10/10 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Fort de m'avoir copieusement baisée, Étienne recommence encore et encore. | ||||
Critères: fh hplusag extracon grossexe grosseins groscul vacances fsoumise hdomine humilié(e) noculotte fsodo coprolalie confession | ||||
Auteur : Deborahborah Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Deborah, salope et fière de l'être Chapitre 05 | Fin provisoire |
Résumé : Dans le précédent épisode, je vous racontais comment Étienne, mon beau-père, a réussi à me posséder lors d’une soirée un peu arrosée.
Petit message aux lecteurs :
Avant de continuer le récit de mes aventures, je vous rappelle que je ne suis pas une professionnelle de littérature et que c’est le plus sincèrement du monde que j’essaye de retranscrire ici les sentiments ainsi que les sensations vécues au cours de mes différentes rencontres. Les mots crus que vous redoutez parfois ont eu un rôle essentiel dans le développement de mes relations et de mon comportement vis-à-vis des hommes que j’ai rencontrés. Surtout au début, avec Étienne, mon beau-père, qui s’est avéré être un beau salaud et un vrai pervers. Pourtant, j’ai adoré vivre ses fantasmes et le suivre dans ses délires. J’espère que certains d’entre vous seront moins sévères et qu’ils prendront mes textes comme ils viennent et pour ce qu’ils sont. Je n’ai malheureusement pas assez d’imagination pour inventer des histoires et les retranscrire. Je vous souhaite à tous bonne lecture.
C’est en sursaut que je me réveille. J’ai la gueule de bois et un mal de tête pas possible. Je suis courbaturée de partout et j’ai l’anus en compote. Soudain, tout me revient. L’alcool aidant, j’avais cru un instant avoir vécu tout ça dans mes rêves, mais je me rends compte que tout est bien réel. Mon Dieu, qu’ai-je fait ? Je suis devenue folle. Je ne prends plus la pilule. Ça fait tellement longtemps que je la prends, que j’avais complètement oublié l’avoir arrêtée. Et si je tombais enceinte ? Comment l’expliquer à Pierre ? J’essaye de me souvenir quand nous avons fait l’amour pour la dernière fois. Plus d’un mois. Jamais il ne sera dupe.
Mon Dieu, quelle horreur ! Enceinte de mon beau-père, vous parlez d’une catastrophe ! Au fur et à mesure que je pense à ça, dans mon ventre une sensation me rappelle le plaisir que j’ai pris hier soir à me faire baiser et sodomiser par lui. Cette douleur dans mes fesses, qui me fait souffrir doucement, finit par m’exciter et me remémorer comment, pour la première fois de ma vie, je me suis fait prendre par-derrière, debout, comme une moins que rien. Je sens mon corps réagir à nouveau. Allez ! Il faut que ça cesse. Il ne faut pas que cela se reproduise.
Je me lève. Quelle heure est-il ? Neuf heures du matin. Il doit déjà être levé. J’ai peur de les croiser, lui et son regard de braise et surtout son… Non ! N’y pense pas, Déborah ! Il faut que tu lui parles. Que tu lui dises que c’est une erreur. Que tu le supplies de ne rien dire à Pierre. J’enfile un tee-shirt assez long, jusqu’à mi-cuisses, et un slip. Puis, pieds nus, je descends pour déjeuner. À chaque pas, je m’attends à le croiser.
Avec le recul, je ne me suis pas rendu compte que la tenue que j’avais mise me rend peut-être encore plus indécente que si j’avais mis de la lingerie fine. Ce tee-shirt laisse mes seins aller librement et balancer lourdement au rythme de mes déplacements. Mes jambes nues, découvertes jusqu’à mi-cuisse sont un appel aux caresses, et mes cheveux bouclés en bataille laissent imaginer une nuit torride. Bref, j’ai tout de la femme disposée à être accessible.
J’arrive donc dans la cuisine sur la pointe des pieds, car le sol est froid. Je me sers un café et le déguste. Il me fait beaucoup de bien. Puis, une fois fini, je me mets devant l’évier afin de laver le peu de vaisselle de la veille. Il n’y a pas grand-chose, je n’en ai pas pour longtemps. C’est alors que je suis en train de nettoyer, que deux mains se posent sur mes hanches. Je sursaute lâchant la poêle dans l’eau.
Mon cœur bat déjà à tout rompre. J’ai failli faire un infarctus. Je le sens, il est là derrière moi. Près. Si près. Tellement proche. Je sens son parfum, son odeur, son envie et il me la transmet instantanément. Je ne pourrais pas me soustraire, je vais me donner avec un plaisir intense, j’en ai trop envie. Ça fait si longtemps que je me retiens. Plus rien ne peut m’arrêter. Il dépose un baiser dans mon cou et ses mains déjà viennent caresser mon ventre.
Mon cœur s’emballe. Il va traverser ma poitrine et finir dans l’eau de vaisselle. Je pose mes mains sur le rebord de l’évier, tendant la croupe en arrière. C’est une invitation qu’il saisit au vol, alors que je me retiens pour ne pas tomber dans les pommes, tellement la montée d’adrénaline est forte et me tourne la tête. Mon mal de crâne a disparu en un éclair. C’est maintenant une fournaise qui me dévore le cerveau et le ventre. Je suis penchée en avant, mes seins ballotent dans le vide et rapidement ses mains les prennent pour les pétrir sans ménagement. Il les malaxe, les masse, les soupèse, joue avec mes tétons qui sont tendus à m’en faire mal. Puis ses grosses paluches glissent sous mon tee-shirt, le remonte pour libérer mes fesses cachées par la culotte.
D’un geste brusque, il déchire les deux pans de ma culotte et la jette dans la cuisine. Je me sens déjà dégouliner. Ses mains caressent mes fesses, les écartent, les pétrissent.
Il glisse un doigt par derrière et me colle un doigt dans la chatte. Mon tee-shirt posé sur mes reins, il me fait cambrer d’avantage. De l’autre main, il sort mes seins pours les mettre à nu. Ils pendent maintenant dans le vide. Il me doigte la chatte avec deux doigts sans vergogne et déjà j’ondule de la croupe pour l’encourager. Je me cramponne au rebord de l’évier. C’est au moment où je sens son énorme gland se placer entre mes lèvres que je pose ma tête sur mes bras afin de m’offrir d’avantage.
J’écarte les cuisses d’avantage et je sens son gland me pénétrer lentement, mais sûrement. Il m’écarte bien les lèvres. Quelle sensation divine. Je me sens élargie, je sens mon sexe s’ouvrir comme jamais. J’adore cette queue qui me coupe en deux. Il pousse.
Il s’enfonce finalement d’une longue poussée pour venir buter au plus profond de mon être. Je pousse un feulement de femme en rut. Je ne saurais dire pendant combien de temps il me lime mais j’ai joui au moins deux ou trois fois. C’est incroyable l’endurance qu’il peut avoir à son âge. C’est au moment même où je le sens venir qu’il me retourne et fait mettre à genoux pour tout me mettre dans la bouche. Enfoncé jusqu’à la garde, il faut m’étouffer. C’est avec application que j’avale tout et nettoie son énorme membre que j’aimerais dévorer.
Me laissant une fois de plus épuisée, il sort sur la terrasse et se jette dans l’eau sans même me dire un mot. Je trouve son attitude étrange. Il ne m’avait presque pas parlé. Pourtant je suis raide dingue de cet homme qui a su, par trois fois, me faire jouir comme une folle. J’en veux encore. Prête à tout pour lui plaire et accepter tout ses caprices, car je sais qu’il ne s’arrêtera pas là. J’ai le pressentiment que tout ça va se compliquer d’avantage.
Je retourne dans ma chambre pour prendre une bonne douche. Je n’en reviens pas de ce qui est en train de se passer. J’essaye d’imaginer la suite de ma relation avec Pierre et j’avoue ne pas l’imaginer très bonne. Je redescends un moment plus tard, vêtue de ma petite robe d’été. Étienne est sur le canapé. Il me demande d’approcher.
Il est presque midi. Je m’approche. Sur le bar, deux verres avec du champagne.
Il me tend un verre, nous trinquons les yeux dans les yeux. Puis il nous ressert. Nous vidons finalement la bouteille en discutant de ce que nous allons faire cet après-midi. Il ne sait pas encore mais il en a une petite idée. J’ai chaud, le champagne me tourne la tête. J’ai encore envie de ses grosses mains sur mon corps et de son sexe dans le mien. Doucement, il me met à quatre pattes sur la méridienne puis relève ma robe et tombe nez à nez avec un string.
Des larmes commencent à couler de mes yeux.
Il revient avec une serviette, ce qui semble être un rasoir et de la mousse à raser.
Et je vis, là, le plus beau moment de toute ma vie. Il m’enduit la chatte de mousse et commence à me raser. Je me mets à mouiller comme jamais ça ne m’était arrivé, excitée autant par l’humiliation de la scène que par les caresses qu’il me prodigue pendant tout ce temps. Il ne laisse qu’un petit triangle de poils très courts au-dessus de ma chatte puis me fait remettre à quatre pattes pour me raser les poils de la raie des fesses. Quand il a fini, il passe une crème rafraichissante puis commence à me doigter l’anus de plus en plus fermement. Je monte déjà au septième ciel quand il me remet sa queue dans la chatte en fourrant les deux pouces dans l’anus. Enfin il fait ce que j’attendais depuis le soir. Il m’encule à fond avec une force inouïe. Oui, j’adore dire qu’il m’encule. Parce que sodomisée serait un mot trop doux pour la bestialité avec laquelle il me défonce encore l’anus. Durant un long moment, il me laboure le fondement à grands coups de reins. Je hurle mon plaisir à en réveiller tout le voisinage. Je n’ai jamais autant joui, joui à en perdre connaissance. Au bout d’un temps que je ne pourrais quantifier, il finit par jouir dans mon cul, m’inondant de sa semence et me laissant choir sur la méridienne.
Quand je reprends mes esprits il était parti. Le soir même, il vient dans ma chambre et me demande d’enfiler une nuisette qui devait appartenir à sa femme, et il me refait l’amour et il me sodomise à nouveau. Puis une autre fois dans la nuit. Il est increvable. Je me réveille le lendemain matin, à treize heures, complètement vidée, endolorie et l’anus complètement détruit. Je me lève tant bien que mal et vais prendre une douche. Je m’enduis l’anus de crème Nivea fin de l’hydrater, espérant que cela puisse calmer la douleur et le feu qui m’habite. C’est incroyable, cet état d’excitation permanente qui règne en moi depuis que j’ai recommencé à faire l’amour. On dirait que je suis en perpétuelle effervescence et que mon corps réclame sans cesse plus d’attention, de caresses et de douleurs. Comment me sortir de cette situation ? En ai-je seulement envie ? Et si Pierre l’apprenait ? Tant de questions qui, d’un coup, me viennent à l’esprit. Plus je me pose de questions, plus je sais que je ne pourrai résister à l’appel de la jouissance et des sens.
Je reste la journée à glandouiller au bord de la piscine et Étienne ne rentre pas. Je mange donc un morceau et me recouche. Le lendemain matin, c’est une bonne odeur de café et de croissants qui me réveille. Il fait beau, il est tôt et je n’ai plus trop mal partout. Une belle journée s’annonce et la Nivea à fait son effet, je n’ai presque plus mal. Ouf ! Toute guillerette, je descends et trouve Étienne au fourneau.
Je reste bouche bée. Il a dit tout ça d’un air complètement décontracté et sans même se retourner, comme s’il avait deviné que je ne m’opposerai pas à sa décision. Il a raison. J’attrape les affaires qui reposent sur le canapé et monte me changer. Je passe donc la robe sur mon corps nu. Elle était blanche et à mi-cuisses. Opaque. Il n’y a que le haut qui est en dentelle transparente et qui laisse deviner que mes seins sont nus en-dessous. Juste une petite veste en jean vient semer le trouble et laisse le doute en suspens. Une fois prête, je redescends. Aux pieds, mes petites baskets. Il est admiratif, saisit les pans de la veste pour me détailler de la tête aux pieds, frôle l’un de mes seins qui se tend immédiatement. Puis nous partons.
Nous roulons un long moment avant d’arriver au pied d’une colline entourée de pins sur laquelle surplombe une espèce de château en ruines. Étienne se gare et nous descendons. Puis nous commençons à marcher. C’est dur, j’ai chaud à mourir. Quel temps ! Il nous faut de longues minutes pour arriver jusqu’au sommet, mais quelle vue ! Une vue magnifique surplombant la mer et le village qui la borde. Appuyés contre le muret, nous regardons le paysage magnifique. Soudain, Étienne Passe derrière moi et se colle à moi. Je sens déjà son sexe à demi bandé contre mes fesses.
Puis il se recule, et sort un appareil photo de sa poche. Tout naturellement, je prends la pose. Il me mitraille. Puis au bout d’un moment.
Je passe mes doigts entre mes lèvres déjà trempées. J’introduis des doigts dans ma chatte et commence à me masturber profondément. Je m’assieds sur le muret pour être plus à l’aise.
Par-dessus le décolleté de la robe j’extirpe mes gros seins gonflés de désir. Il me les pelote.
Moi, jambes écartées, je me caresse la chatte par-devant, glissant de temps en temps un doigt sur mon anus. Il me photographie sans cesse jusqu’à ce qu’il s’approche de moi. Il me fait asseoir sur le muret et sort son gros membre pour me le faire sucer. Il me le fourre dans la bouche sans ménagement. Il me baise la bouche comme un sauvage. Je l’aspire à fond aussi bien que je peux. Puis il me retourne et me fourre un doigt dans le cul qui a lubrifié de ma mouille. Il me dilate bien l’anus pour enfin y pointer son gros gland.
Puis il s’enfonce doucement mais à fond. Je sanglote, gémis, soupir, halète. J’adore cette sensation. Bref ! J’adore me faire enculer comme une chienne. Pendant de longues minutes, il me défonce l’anus jusqu’à ce que je sente son sexe être parcouru de soubresauts et sente sa semence m’inonder les intestins. Il ressort de mon anus m’obligeant à me retourner pour lui nettoyer la verge. Je m’y applique, honteuse et écœurée de l’odeur qu’elle émet. Je sens dans ma bouche mes propres odeurs de sueur et de ma profondeur. C’est humiliant, malsain et pourtant si délectable et excitant, que ma chatte dégouline de cyprine alors que mon cul dégouline de son sperme. Impossible que je puisse prendre autant de plaisir à faire cela, mais je me rends à l’évidence : j’adore ça.
À suivre.