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Temps de lecture estimé : 17 mn
15/11/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  Chloé profite malgré elle des nuits romaines lors d'un week-end prolongé dans la ville éternelle
Critères:  fh extracon inconnu vacances magasin revede fellation cunnilingu pénétratio -extraconj -magasin
Auteur : Loup Ferus  (Phantasmes et réalité)      Envoi mini-message

Série : Week-end à Rome

Chapitre 02 / 02
Rome II

Chloé profite malgré elle des nuits romaines lors d’un week-end prolongé dans la ville éternelle. Gentiment droguée par son mari et un guide italien qui avait su la séduire le long de leur visite romaine, elle fut abusée par les deux hommes qui ont profité de sa sensualité révélée. Inconsciente de la réalité de cette relation à trois qu’elle imagine avoir rêvée, elle découvre de façon puissante et incontrôlée une chaleur naissante au creux de ses reins.


Elle doit absolument retrouver ce guide italien et manœuvrer pour se retrouver seule avec lui et son mari. Le rêve de cette nuit l’obsède. Sans aucune crainte, elle se laisse conduire par ses pensées vers l’inconnu. Elle, si timorée habituellement, croit en la vie qui se révèle en elle. Au contraire, à la place de l’érotisme pervers et cérébral qui l’effrayait à son réveil, elle sent physiquement à travers ce rêve l’appel puissant de son entrecuisse. Pour la première fois de sa vie, elle découvre et assume sa vraie nature. L’ambiance de vacances et le dépaysement transalpin stimulent évidemment fortement son énergie amoureuse.


Par ailleurs, faire-valoir ou véritable partenaire, elle ignore encore quel sera le rôle de son mari, dont souvent elle rejette les sempiternelles avances maladroites. Pourtant, elle ne s’imagine pas vivre une aventure sans ce chéri. Elle est même curieuse de voir sa réaction alors qu’elle serait au contact d’un autre corps. Car il est vrai que son mari fantasme régulièrement sur la présence d’un autre amant quand ils font l’amour. Mais la réalité est autre, plus violente, plus troublante et plus dangereuse aussi…








En cette fin de matinée, le soleil est déjà haut et la chaleur prend possession des corps. Toujours perturbée par ses impressions brumeuses de la nuit, Chloé regarde son mari. Elle cherche une réponse à travers son regard, une expression ou un quelconque changement dans son attitude qui pourrait l’éclairer sur son rêve de cette nuit. Toujours occupé par ses photos de statues, bâtiments… ou jolies femmes à la sauvette, remarque-t-elle, il lui sourit en lui lançant un petit signe de la main plein de confiance et d’amour. Une autorisation pour une liberté assumée ? En tout cas, c’est comme ça qu’elle l’interprète.


Sourire malicieux en bandoulière, Chloé décide de déambuler seule le long des ruelles pavées. Emportée par le courant de la foule des touristes, elle suit le mouvement général, les yeux mi-clos, signe de sa sensualité naissante. Cachée derrière ses grosses lunettes noires, elle arbore extérieurement une posture altière et conquérante. Elle observe que malgré le nombre impressionnant d’étrangers, elle est étonnée que les Romains parviennent à maintenir malgré tout une ambiance bienveillante et détendue dans leur ville. L’ombre protectrice des immeubles alterne avec le feu du soleil de midi. Chacun derrière ses verres teintés regarde incognito, donnant au reste du visage et du corps le rôle de paraître et de mentir vis-à-vis du monde extérieur.


La poitrine en avant, le frottement du tissu de sa chemise blanche avec le bout de ses seins lui envoie des petits stimuli. Agréables bien que légèrement parasites vu le contexte, ils s’amusent à lui enflammer les tétons. Sans soutien-gorge depuis ses essayages multiples de lingerie et son aventure avortée avec un jeune magasinier ce matin, cette nudité partielle provoque une excitation soutenant sa généreuse poitrine. Les seins gonflés de désir tendent le chemisier, lequel devient rapidement embarrassant. Chloé a l’impression d’être épiée par tous les regards masculins qui la croisent. Arrêtée devant une vitrine, elle reprend son souffle. Mais en apercevant tous les strings et la lingerie érotique exposés derrière la vitre devant laquelle elle se trouve, elle rougit et reprend sa marche.



Confuse et rougeoyante, elle a le plus grand mal à retrouver une contenance. Émotive et les seins presque saillants à travers son vêtement, elle cherche de l’aide, de l’air ; on la pourchasse. Un étalage ! L’étalage d’un vendeur de livres ambulant ! Elle regarde, elle respire, ferme les yeux et appuie ses mains sur l’étalage, se penchant ainsi vers l’avant. Les yeux clos, comme les enfants qui se croient cachés en mettant leurs petites mains devant leur visage, elle s’octroie quelques secondes de douceur et d’amour, profitant du contact électrique entre sa chair et le chemisier… Elle rêve de mains masculines sur ses seins. « Tendus pour personne, quel gâchis ! » se dit-elle. Inconsciente de sa posture plus que penchée et de son environnement immédiat, elle esquisse un léger sourire mutin-coquin, remplissant d’aise le bouquiniste rondouillard, ravi devant un tel spectacle. Se croyant faussement autorisé, cet homme déshabille Chloé du regard de façon lente et obséquieuse, restant silencieux pour suspendre en vol, et le temps, et son plaisir. Deux beaux globes serrés dans leur bel habit blanc cintré à la taille…



Bêtement surprise par la présence du commerçant derrière son présentoir, elle bredouille un « nothing, nothing » du plus triste effet. Le petit boutiquier, contrarié par cette réponse approximative, garde néanmoins un sourire élargi devant le magnifique décolleté offert par la maison Chloé. Deux beaux seins remontés et tendrement agressifs, émouvants à travers la fine soie blanche de la chemise qui s’est soudainement écartée d’un bouton. La brise, comme le souffle de l’homme, semble s’inviter à caresser la chair nouvellement exposée… Les lèvres entrouvertes (les six !) et le regard remontant au niveau de ce petit bonhomme obscène, Chloé fixe les deux petits trous servant d’orbites à l’inconnu. Elle se sent soudain violentée, percée à nu. Le regard pénétrant de cet homme la remplit jusqu’à son sexe, dévoilé et souillé. Sans même un « ciao » pour clore une « si belle relation », elle fuit dans la première ruelle déserte pour reprendre ses esprits.




Réconfortée par le soleil, elle se calme un moment. Toujours aussi lourde et non tenue, sa poitrine devient à présent douloureuse. Elle aurait envie de les soutenir elle-même mais n’ose pas imaginer la scène… Cela l’indispose et elle imagine presque son appel à l’aide face au premier homme venu :



Heureusement que personne ne remarque le sourire légèrement pervers, presque lubrique qu’exprime à cet instant le beau visage, d’habitude élégant et raffiné, de Chloé à l’évocation de cette scène des plus farfelues.


N’arrêtant pas de reprendre ses esprits, Chloé continue sa déambulation sensuelle au gré de son intuition. À droite, à gauche, à gauche, elle traverse le Tibre et se perd alors dans le quartier du Trastevere.




Des restaurants, des galeries de peintures ou de sculptures, des associations altermondialistes… Chloé adore ce quartier hors-norme. Tout en montant une ruelle gorgée de soleil, elle remarque une marionnette, un petit Pinocchio en bois assis sur un muret en torchis ocre qui invite les passants à entrer dans le magasin, situé derrière lui dans la petite cour intérieure. Giocattoli in legno, fabbricazione artigianale. C’est parfait, elle n’a pas trop compris le sens de l’affiche mais apparemment c’est artisanal. Ses souvenirs d’enfant plein la tête, elle entre en souriant. Elle s’arrête à peine entrée, comme happée par l’ambiance très particulière qui l’entoure.


Des pantins de bois s’enchevêtrent sur des établis ou sur des petits meubles d’enfant. Rien n’est rangé ni étiqueté. Des Blanche-Neige et des Pinocchio partout, le magasin ressemble plus à l’atelier d’un doux dingue qu’à une manufacture commerciale. Derrière un établi travaille un homme recourbé, sans doute le fameux Gepetto. Il semble occupé par son travail tout en écoutant sa radio diffusant de la musique italienne en sourdine.


Grisonnant et le cheveu court, il astique au papier de verre une pièce de bois allongée, un pied de table sans doute. Plantée devant ce menuisier sans réponse, Chloé tousse doucement pour se manifester. Elle sourit lorsque l’homme relève la tête, surpris et désolé d’avoir ignoré cette charmante cliente. Concentré sur sa tâche, il ne doit pas non plus avoir beaucoup de visites dans cette rue à l’écart du flux touristique. Apparaissant grand et large d’épaules depuis qu’il se tient debout devant elle, Chloé s’aperçoit rapidement qu’il ne correspond pas tout à fait à l’image que se faisait Chloé du papa de Pinocchio. De plus, des lunettes de soleil masquent de façon surprenante une partie de son visage. Les bras ballants le long du corps lui confèrent une posture statique qui intrigue la bella signora.



Rassurée de pouvoir parler en français, elle est toutefois troublée par le charisme un peu mystérieux de cet inconnu et par cette étrange raideur du corps et du port de tête. Toute à ses pensées, elle imagine encore une fois une conversation plus qu’improbable :



Docilement, une fois assise elle poursuivrait son explication :



La réalité se rappelle brusquement à son esprit.



Passées les explications des différents modèles, le choix du Pinocchio a été relativement rapide mais Chloé est surtout très intéressée par les autres objets, lesquels sont eux parfaitement alignés sur les étagères.



Aveugle, évidemment, il est aveugle ! Ça explique les lunettes noires ainsi que le maintien du corps très vertical. La démarche également, maintenant qu’elle l’examine n’est pas dans l’anticipation. Elle reste droite et rigide. Les mains touchent tout ce qu’elles trouvent comme pour valider chaque étape d’un road-book imaginaire. Chloé élargit alors son sourire, s’autorisant désormais un déshabillage virtuel de cet homme. Il est effectivement très séduisant. Elle insiste sur quelques parties charnues de son anatomie virile (bras, pectoraux). Surprise de son audace, elle rougit légèrement avant de reprendre la conversation, principalement axée sur les sculptures de l’artiste.



Besoin ? Chloé aurait plutôt envie…


Elle le regarde et commence à caresser les différentes sculptures. Quelque peu excitée, les mauvaises pensées remplissent son esprit au contact du bois. Les courbes entraînent ses doigts et ses mains vers des formes rondes et variées. Effleurant d’abord ces courbes, elle se prend au jeu et resserre ses mains sur la matière.



Il se déplace et effleure malencontreusement les fesses de Chloé avec une

main. À moitié désolé seulement, il en plaisante sympathiquement :



Chloé, rouge de confusion, lui décrit les deux objets en question.



Moment plus qu’équivoque…



Se plaçant juste derrière Chloé pour prendre (d’abord) ses mains dans les

siennes (c’est joli aussi, Sienne), il les guide pour les poser sur l’objet le plus rond. Appuyant sur ses doigts pour caresser les multiples courbures, il explique en italien ce que peut ressentir sa cliente au contact des formes. Ne comprenant rien à son discours, elle se laisse toutefois porter par cette musique susurrée à l’oreille. Sous le charme, elle se détend et écarte les doigts en se laissant mener autour de la statue.



Une petite différence tout de même : Gepetto enduit cette fois-ci les mains de

Chloé de cire naturelle, soi-disant pour mieux appréhender les formes et les émotions du nouvel objet.


Les mêmes caresses reprennent en tenant compte de l’aspect oblong de la statue. Plaçant le pouce de Chloé sur le bout de l’objet, Gepetto insiste sur l’aspect très sexuel de l’objet-décoratif-dans-le-salon.


Un bisou dans le cou ! Il a osé un bisou dans le cou ! Elle tressaille et veut se rebeller, furieuse d’être découverte dans son désir. Mais les bras qui l’enlacent se resserrent autour d’elle en même temps qu’il lui parle doucement dans le creux de l’oreille. Souriante malgré elle, elle pense à Robert Redford qui « murmure à l’oreille des chevaux ». Oh oui ! Elle est bien. Elle aime ces mains qui la guident, la possèdent. Liane consentante, elle sent son propre corps aimant, faible, recherchant une force en elle. Les lèvres (toutes) entrouvertes, elle aime cet instant magique où tout commence et tout se promet.



Elle se retourne brusquement, pour découvrir un beau visage sans lunettes et

arborant un large sourire.



Furieuse mais encore plus décontenancée par tant d’aplomb et de sincérité, Chloé bouche bée et immobile se laisse fondre à travers une petite larme. Les mains plaquées sur le torse de l’athlète menuisier pour le repousser, Chloé sent sa reddition proche. De la même façon qu’elle malaxait les objets précédents, elle est attirée par ce corps d’homme brut qu’elle a en face d’elle. L’italien, toujours aussi confiant et protecteur, regarde cette femme face à son désir.


Le jeune Gepetto, habile de ses paumes pleines de doigts, caresse alors ses seins à travers le tissu puis déboutonne doucement les deux ou trois boutons suivants de la belle touriste (les Italiens sont là pour ça à Rome). Continuant les caresses et le massage de la poitrine, deux de ses doigts pincent légèrement les tétons. Hardiesse récompensée puisqu’une profonde inspiration de Chloé soulève ses seins en guise d’offrande.


Les seins gonflés par le désir excitent fortement le charpentier qui commence à vouloir déculotter la câline.



Plus honteuse que jamais mais avide de cet homme, elle hésite, prête à succomber. La promesse d’une voluptueuse docilité l’attire mais le remords de la tromperie est encore là, tapi dans les fougères. La peur envahit Chloé, enfermée face à un homme qui semble la connaître intimement. La chevelure argentée de l’homme, gage de sa petite cinquantaine, n’altère aucunement l’impression de souplesse et de puissance qui émane de lui. L’idée inquiétante d’un maniaque sexuel lui effleure soudain l’esprit. Un homme qui sculpte lui-même ses aventures sexuelles ne peut pas être sain d’esprit. Mais plus que son esprit, Chloé se sent inexorablement attirée par son corps et son mystère.


D’ailleurs, sûr de son pouvoir, il ne brusque rien. Il apprécie chaque seconde en dévorant avec un sourire discret cette femme tourmentée qu’il resserre de plus en plus près entre ses bras. Elle va se rendre ; il la voit, la respire.



Un frisson parcourt sa petite chatte humide.


Attirée par ce torse viril, elle déplie ses mains lentement. Trahissant ses vraies pensées, elle écarte ses doigts, et même ses cuisses devant cette force authentique.


Sentant sa proie à sa portée, le bûcheron transalpin pose ses larges mains sur la taille de Chloé.



Douce et frémissante, elle offre ses lèvres (toutes encore une fois) à son bourreau pour ne plus penser, pour se perdre, pour qu’il l’emmène loin d’ici. Noyée par le désir, elle écarte largement ses mains et ses bras autour de ses épaules. Sa bouche aux lèvres arrondies embrasse avec volupté ce corps qui la rend folle. Tantôt accrocheuse, tantôt féline, elle parcourt sa peau bronzée les yeux fermés, comme il lui a appris. De la même façon qu’elle avait les sculptures en bois entre ses mains, elle épouse chaque relief avec les doigts écartés et les lèvres entrouvertes.


Sans dire mot, ouvrant plus largement la chemise de son persécuteur, Chloé caresse le torse large et musclé puis remonte vers les épaules.


Mais les mains de l’homme-pas-comme-son-mari, prenant son visage entre ses mains, la rapprochent doucement de sa bouche. Il lui prend ses lèvres, sa langue et tout son sens commun soudain évanoui. De cet artisan fait de chair, et de bois visiblement, elle goûte toute la rudesse et la chaleur. Son énergie la submerge. Elle rend les armes et appuie son bas-ventre contre la verge héroïque qu’elle se plait maintenant à provoquer. Femelle en chaleur, son regard direct et impudique met le feu à son bel amant. Les larges mains plaquées sur les assises (le cul bien rebondi et saillant à travers le pantalon blanc) de sa belle prisonnière écartent largement les deux globes célestes. Chloé ainsi offerte et mise à nu se détend et ouvre tous ses orifices à son Michelangelo.


Soudain pris d’une tornade d’énergie furieuse, l’artisan tourne la belle face à une petite commode d’un style… on s’en fout, et agrippe fermement le cul ainsi exposé.


L’artisan bien outillé ôte son pantalon, son slip puis ceux de Chloé et pénètre longuement cette petite chatte toute mielleuse. Longuement dans un sens, puis dans l’autre sens, les deux chairs se frottent, se cajolent, s’excitent mutuellement. Se retirant complètement, il joue avec son gland sur la petite moule fraîche du matin câlin. Chloé, affolée par ce petit jeu pervers, ébauche un léger redressement. Mais la paume de la main masculine plaquée sur son dos lui rappelle qu’il n’est plus temps de minauder. Le buste projeté vers l’avant et le cul à nouveau bien ouvert, Chloé se soumet et met à bas ses dernières protestations.


Le phallus en forme de champignon joue de plus en plus vite à entrer/ressortir. À chaque fois Chloé sent sa moule (mal) menée. L’homme plus que voyeur dans cette position (con) temple avec ravissement ce cul rebondi qui se plait à taper contre son bas-ventre. Les va-et-vient amples et incessants provoquent quelques bruits parasites d’aération gynécologique qui gênent terriblement la belle touriste mais amusent par contre beaucoup le chef d’orchestre.


Ces petits événements donnent à Gepetto l’envie de commenter la vue imprenable qui le comble depuis qu’il lime cette belle Française égarée. Totalement à la merci de son amant, Chloé écoute avec plaisir les compliments sur ses seins joyeux qui ballottent sous son chemisier blanc, sur sa taille fine offrant son cul à la verge romaine reconnaissante, sur sa petite chatte à moitié épilée et même sur son dos parce qu’il pense que tout est beau chez elle. Il ne manquerait plus qu’il tombe amoureux… Soudain accrochée fermement à cette sacrée commode et ivre de jouissance, Chloé pleure à chaudes larmes, humiliée d’être enfin heureuse.


Ayant envie d’être plus près d’elle, l’homme redresse et retourne la femme face à lui pour l’enlacer et l’embrasser passionnément. Puis il se met à genoux devant elle et fourre sa bouche et son nez dans sa moule odorante. Chloé, acceptant la caresse, cambre son bassin vers l’avant tout en écartant légèrement ses jambes. La langue écartant en premier les grandes lèvres, titille le clito de Chloé. Puis viennent des petites succions tendres avant l’introduction de sa langue aussi profondément que possible… Ravie d’accueillir une telle entraide, Chloé écarte encore plus son sexe devant l’introduction de « l’indic » et du « major » de la paume droite de Gepetto. Mouvements de va-et-vient et affolement du vagin tout entier, Chloé caresse tendrement la chevelure de son chevalier-ébéniste.



Le nez dans toutes les senteurs du Nouveau Monde, Gepetto caresse le

Ventre puis les seins de Chloé. Subjugué par ces magnifiques rondeurs, il remonte à sa hauteur, l’étreint puis la prend dans ses bras telle une mariée. Gravissant rapidement les marches d’un escalier en bois les yeux humides, les deux amants tombent à l’étage dans le premier lit venu. Après une dure mission (naire) qui permet à Chloé de profiter de la musculature de son sauveur (son buste, son dos, ses fesses), elle se retourne d’elle-même pour amener le mâle à la couvrir. Mais avant tout, lui prend une soudaine envie de sucer ce sexe qui la transporte si loin au pays de son bonheur. Engloutissant amoureusement le gland merveilleux dans sa bouche, elle aspire et titille fermement avec sa langue la base de celui-ci. Trop excité pour continuer, Gepetto écarte doucement Chloé qui reprend sa position initiale. De la levrette furieuse, les amants se fondent rapidement dans une relation fusionnelle. Les bras protecteurs autour d’elle, Chloé tend son postérieur vers l’arrière, cherchant le maximum de contact avec lui. Lui ! Sa queue, son corps, sa force mais aussi sa tendresse, sa chaleur. Soudain les va-et-vient souples et rapides inondent rapidement son bonheur, affamé de plaisir et de libidineuses sensations, d’un jet chaud et bénéfique.


Un instant de bonheur, suspendu dans son vol. Les lèvres de Chloé reconnaissantes dans le cou de son amant éparpillent quelques baisers en cadeau d’adieu.