n° 14262 | Fiche technique | 28660 caractères | 28660Temps de lecture estimé : 17 mn | 04/02/11 |
Résumé: Romain et Fabien s'embrassent pour la première fois. L'histoire amoureuse qu'ils développent ne les empêche pas de continuer leurs pérégrinations sexuelles. | ||||
Critères: h hbi jeunes copains grossexe amour facial fellation préservati pénétratio | ||||
Auteur : Phoebos (Phoebos, à votre service.) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La prépa, aventures, plaisirs, nouveautés Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Dans l’épisode précédent (dont je conseille la lecture avant ce passage) : Fabien et Romain, deux amis de classe préparatoire, ont goûté au plaisir charnel. Ils ont fait l’amour et ont développé une complicité intime étonnante. Romain a cependant découvert qu’il éprouvait bien plus que des sentiments sexuels pour son meilleur ami.
La semaine qui suivit, les deux jeunes hommes décidèrent de remettre le couvert. Les deux amants étaient incroyablement excités de retenter cette expérience. Par conséquent, ils avaient décidé de se voir chez Romain pendant que les parents de ce dernier étaient absents pour le week-end.
Pendant ce temps, le cursus scolaire de classe préparatoire continuait. Romain était toujours le beau jeune homme aux cheveux châtains, au corps musclé et à l’intelligence développée par son esprit studieux. Fabien n’avait pas non plus changé : il était toujours blond, ses cheveux mal coiffés ricochaient avec un corps que toutes les filles adulaient. La semaine qui précédait, les deux amis avaient fait l’amour pour la première fois. Romain s’était rendu compte qu’il éprouvait plus que du sentiment purement charnel. Fabien, lui, semblait plus orienté vers une relation purement amicale et sexuelle.
Tout bascula le mardi qui précédait la nouvelle soirée de tous les plaisirs. Alors qu’ils étaient devant le Lycée de Classe Préparatoire, les deux amants se firent la bise. Cependant, Fabien rata la joue de son ami et l’embrassa sur la bouche. Cela aurait pu être une anecdote drôle qui aurait fait rire tout le monde. Cependant, il y eut un moment de silence pendant lequel personne ne parla. Fabien sentit sa respiration se saccader, il ne savait pas quoi dire. Leurs amis les regardaient et Romain prit alors son courage à deux mains. Au pire, il allait être ridicule, au mieux, il gagnait la confirmation de l’amour de Fabien.
C’est alors qu’il le fit, il l’embrassa. Le baiser se prolongea et il sembla seul avec Fabien. Leurs lèvres ne firent qu’un : le moment était délicieux. Leurs amis les regardaient et souriaient bêtement devant cette scène. Fabien s’était décontracté et n’avait pas honte. C’était officiel, il était bisexuel et il en était fier puisqu’il embrassait un garçon en plein milieu de la cour aux yeux de tous. Après ce baiser, les yeux couleur azur de Fabien se plongèrent dans ceux couleur noisette de Romain. Ce dernier dit alors au creux de son oreille :
Le bruit se répandit dans l’école : tout le lycée fut au courant de leur couple mais les deux compères s’en fichaient complètement. Les jours passèrent et ils n’hésitèrent pas à s’embrasser publiquement, à vivre leur amour au grand jour. Pour eux, il n’y avait pas de problèmes. La classe de prépa s’en était habitué et les sentiments homophobes semblaient cachés : personne ne fit une remarque sur eux. Seules les jeunes filles furent déçues d’un tel « gâchis » et renoncèrent à faire craquer le cœur des deux jeunes hommes.
Vendredi soir, Romain était déjà prêt. Il avait mis un T-shirt, un jean habituel et n’avait rien préparé à manger car Fabien et lui avaient convenu qu’ils mangeraient avant de se voir.
À 21 heures, la porte sonna. Romain se rua sur elle, fit tourner la clef et l’ouvrit avec rapidité. Derrière se trouvait l’objet de tous ses plaisirs mais aussi de tout son amour : Fabien. Le beau jeune homme blond était habillé d’un T-shirt qui moulait son corps musclé et mettait en valeur ses yeux céruléens.
Fabien s’exécuta puis Romain ferma la porte. La serrure fut scellée de la nuit obscure et solitaire. Un silence s’installa entre les deux jeunes hommes. Ils se regardèrent, se jaugèrent. Normalement, ils parlaient, ils mangeaient, ils discutaient mais là un silence glacial s’était installé.
Romain regarda son amant pendant quelques minutes puis le plaqua contre la porte sans prévenir. Fabien suffoqua d’étonnement. Les deux jeunes hommes se retrouvèrent à quelques centimètres l’un de l’autre et Romain embrassa son petit ami. Ce n’était pas un baiser sexuel, c’était un baiser d’amour où leurs langues se mêlèrent pendant de longues minutes. Fabien profitait de ce moment pour envoyer une main toucher les fesses de Romain. Il prit la parole une fois le baiser achevé :
Romain buvait les paroles de son amant. Depuis le baiser de mardi, les deux partenaires n’hésitaient pas à s’embrasser là où ils le voulaient et cela marquait bien une évolution dans leur relation. Ils se regardèrent et le cœur de Romain fit un bond. Il ne pouvait s’empêcher d’être amoureux de ce beau jeune homme blond qu’il connaissait si bien. Fabien continua :
La terreur des cœurs des jeunes filles avait parlé. Fabien aimait un garçon. C’était peut-être naïf mais c’était comme ça et Romain se sentait sur un petit nuage. Ces mots avaient eu l’effet d’une bombe atomique dans le cœur du jeune homme et jamais il ne s’était senti aussi bien.
Fabien continua à sourire et recommença à embrasser son amant. Les deux partenaires se dépêchèrent d’aller vers la chambre de Romain qui se trouvait au premier étage. Ils avancèrent en enlevant leurs habits au fur et à mesure. Cela se prolongea dans les escaliers si bien que Fabien se retrouva en boxer arrivé à la neuvième marche. De la même manière, Romain dû s’arrêter pour profiter d’un baiser torride de son amant pendant qu’il enlevait son propre jean. Il se retrouva lui aussi en boxer, ce dernier était bleu marine et déformé par une large bosse.
Fabien et Romain continuèrent de monter l’escalier, leurs corps musclés s’entrechoquèrent de nombreuses fois jusqu’à arriver à la chambre de Romain. Ce dernier ouvrit la porte et Fabien le poussa vers son lit. Le jeune blondinet se mit à califourchon sur son amant. Il l’embrassa encore une fois. Leurs parfums se mêlèrent de la même manière que leurs langues. Fabien était assis sur l’énorme bosse qui déformait le boxer de son partenaire. D’ailleurs, le beau jeune homme avait lui aussi son caleçon qui était dévisagé par sa verge.
Fabien fit durer le plaisir : il fit passer sa langue sur le torse imberbe et musclé de Romain pour provoquer une décharge électrique de plaisir de celui-ci. Romain gémissait faiblement en regardant son amant faire. La langue du jeune homme s’arrêta sur son mamelon gauche. Il s’agita autour de lui, passa à l’autre et continua sa course jusqu’à arriver à ses abdominaux. Il les lécha, les toucha abondamment. Il lui susurra un « Je t’aime » après avoir fini son travail dans cette zone. Fabien ajouta :
Romain et Fabien avaient révélé leur amour réciproque mais leurs parties de jambes en l’air restaient pures comme au premier jour. Les réflexions étaient directes et Fabien n’était pas réellement le genre de jeune homme à faire l’amour tendrement. Avec Fabien, la sexualité était bestiale, sauvage et Romain ne s’attendait à nulle autre forme de rapport sexuel. Il était simplement content de voir qu’ils allaient pouvoir vivre leur amour et que ce dernier n’était pas platonique. Il prenait toujours autant de plaisir à voir Fabien quasiment nu, aussi excité et fougueux de lui faire l’amour. La passion n’avait rien changé.
Fabien invita Romain à aller se mettre contre la fenêtre. La nuit était noire, les lumières extérieures éclairaient faiblement l’environnement urbain. Romain plaqua son dos contre la vitre, de telle sorte que Fabien se mit à genoux pour se retrouver face à son boxer déformé par sa verge. Cette dernière n’avait cessé de grossir depuis le début des préliminaires.
Fabien regarda Romain et ce dernier devint encore plus excité. Ses fesses dans son boxer étaient collées à la vitre froide : le moindre passant nocturne aurait pu voir la scène. Peu de temps après, le jeune homme brun sentit que son boxer fut enlevé rapidement par son amant. La verge de Romain fut scrutée par son partenaire sans aucun état d’âme. Elle était déjà quasiment au maximum de son potentiel.
D’un coup, le jeune homme blond enfourna dans sa bouche le pénis de son amant ce qui fit gémir Romain. Ce dernier n’avait pas pu oublier la douceur de cette bouche exquise. En effet, Fabien prodiguait des fellations hors pairs. Pendant de longues minutes, il pompait sans s’arrêter, allant vite puis lentement mais en privilégiant les mouvements frénétiques pour accentuer l’excitation. Les deux partenaires se regardaient : dans leurs yeux on pouvait lire l’amour mais aussi le désir. Un désir qui pouvait éclore maintenant et qui se prolongeait sur le temps. La fellation de Fabien était longue pour le plus grand plaisir de son partenaire qui était en train de faire apparaître un peu de buée sur la vitre, tellement la température montait.
Fabien fit preuve de tact en faisant tournoyer sa langue autour du gland violacé de Romain lors des minutes qui suivirent. C’était le pêché-mignon de ce dernier. Il s’avait que son petit-ami adorait ça car la semaine dernière, il l’avait fait jouir ainsi. Lorsqu’il commença à s’attarder sur cette partie, Romain ne put s’empêcher de déglutir tellement la sensation était exquise. Le portable de Fabien sonna mais ce dernier n’en avait que faire.
Fabien appréciait le moment. Il adorait voir son partenaire se plaindre de plaisir. La pipe qu’il lui prodiguait semblait lui plaire. Peu de temps après ce râle, il s’arrêta car il vit qu’il était proche de la jouissance. Il se redressa et lui donna un baiser torride. Un élément percuta Romain, Fabien était toujours en boxer et ce dernier semblait proche de l’explosion. La verge excitée du jeune homme brun tapa contre le tissu bandé de son partenaire ce qui eut pour effet de faire gémir le beau blond.
Romain prit alors les choses en main encore une fois en embrassant fougueusement son partenaire jusqu’à aller le cogner contre la porte sans faire exprès. Il s’agenouilla de la même manière et enleva son boxer qui révéla l’énorme verge qu’elle abritait. Fabien était réellement bien monté et Romain ne l’avait pas oublié. Il le prit en bouche immédiatement en gardant ses yeux sur lui. Dès que sa queue fut dans sa bouche, Fabien cogna sa tête contre la porte de plaisir puis déglutit lentement pour dire :
Fabien cala sa tête en arrière et gémissait dans de petits râles soutenus. Il avait saisi la tête de Romain et modulait son plaisir. Romain n’hésitait pas à y aller très rapidement, il donnait à son amant une fellation qui était rapide et douce à la fois. Il n’hésitait pas à toucher ses bourses pour le faire gémir davantage et le voir cogner sa tête contre la porte, tellement il éprouvait des sensations agréables. Le corps du jeune homme était tel du chocolat chaud, délicieux à dévorer.
Pendant de longues minutes, Fabien continua à hurler son plaisir mais fut tellement proche de l’éjaculation qu’il se retira lui-même la bouche de Romain.
Fabien fit une petite pause pour aller chercher dans les escaliers un paquet de préservatifs. Comme le reste de leurs habits, le jean qui abritait le paquet était au milieu de l’escalier, juste à côté de celui de Romain. Le jeune homme blond ouvrit la boîte et se coiffa d’un préservatif en regardant son amant avec un air lubrique. Ce dernier l’avait rejoint dans les escaliers et retourna dans la chambre, en s’astiquant légèrement la verge pour reprendre les hostilités.
Romain adorait ces mots crus. Fabien avait les yeux qui fulminaient de plaisir. Il savait qu’il allait passer une soirée exceptionnelle car cette première partie de jambes en l’air en étant officiellement en couple avec son amant allait revêtir une importance capitale. Ils s’étaient découverts intimes la semaine dernière mais se connaissaient depuis de longues années. Leur amour était enfoui par une amitié solide et fidèle. Leur sexualité, quant à elle, était forgée dans la bestialité. Pour le plus grand plaisir des deux partenaires.
Fabien, coiffé de son préservatif, embrassa son amant. Le couple se dirigea fougueusement vers le bureau de Romain. Celui-ci était rempli de feuilles de devoirs de maths qu’il fallait rendre lundi. On ne voyait plus le bureau tellement il y en avait. Fabien, d’un geste vif, fit tout voltiger par terre et regarda son amant avec des yeux coquins.
Fabien sourit encore une fois et aida Romain à s’installer. Ce dernier fut rapidement allongé sur le bureau, ses jambes calées sur les épaules de son amant. Romain respirait avec difficulté, il suffoquait de plaisir en attendant la pénétration. Aussi près de son amant, il sentait le parfum qu’il portait. C’était une touche poivrée très masculine qui mettait en valeur ses cheveux blonds et son corps parfait. Dans cette position, Romain avait libre accès à sa verge, aux abdominaux de Fabien et surtout pouvait profiter de la pénétration avec un rare confort de vision. Le damier d’acier ainsi dessiné par les abdominaux de Fabien renforça son excitation.
Rapidement, le jeune homme blond fit entrer son volumineux engin dans l’anus de son amant. Un coup, deux coups, trois coups. Romain hurla, un gémissement rauque qui était un cri de plaisir intense. Ses jambes virevoltaient sur les épaules de son partenaire et Fabien commença les hostilités par des mouvements très rapides qui montraient à quel point il était excité. Romain profita de ce moment pour regarder la scène : le beau blond le sodomisait avec violence. C’était une scène éprouvante, tout aussi difficile à tenir que la dernière partie de jambes en l’air. La position était inédite pour Romain et jamais il n’avait été aussi bien pris par son amant. Les positions n’avaient pourtant pas manqué d’originalité la dernière fois. Pour preuve, Romain avait eu un sacré orgasme contre la porte de la chambre de Fabien la semaine passée.
Pour l’heure, Romain continua à gémir en voyant son petit ami lui faire l’amour avec autant de plaisir. Fabien prenait un pied de folie, n’hésitait pas à aller de plus en plus vite jusqu’à atteindre une vitesse de croisière qui l’épuisa rapidement. Pour essayer de se calmer, il passa sa main tendrement sur le torse de Romain, lui touchant ainsi ses pectoraux imberbes en continuant de le sodomiser avec force.
Le jeune homme blond faisait trembler le bureau et fit voler les dernières feuilles qui restaient. Son excitation arrivait à son paroxysme et ses muscles se bandèrent au maximum. La jouissance était proche. Romain déglutit en voyant une telle scène mais Fabien tenait bon.
Après quinze minutes d’une sodomie endiablée sur le bureau, Fabien prit avec vigueur la verge de son amant pour la branler énergiquement avant de lancer d’un air suffoquant :
Quelques secondes plus tard, Fabien s’était déjà retiré du cul de Romain. Il avait jeté le préservatif derrière lui. Le beau jeune homme se masturbait de façon frénétique. Son imposante verge excitée au possible lâcha, dans un jet épais, un faisceau de sperme qui alla atterrir sur le visage de Romain. Ce dernier y goûta par curiosité et aima ce liquide qui prouvait le plaisir de son amant. Il n’eut pas le temps de profiter car de nouvelles salves de jouissances arrivèrent sur son corps. La majeure partie arriva sur ses pectoraux et Fabien n’hésitait pas à hurler de tout son soul pour extérioriser cette tension sexuelle.
Le jeune homme bien bâti tomba de tout son poids sur Romain puis reprit la parole :
Les deux amants s’embrassèrent et Romain, dont la verge était toujours au maximum de l’excitation, prit les choses en main. Il plaqua son amant contre la fenêtre. Cette fois-ci, c’était Fabien qui était dos à cette dernière. Lorsque Romain toucha son partenaire ainsi positionné, une sensation électrique le traversa : il avait hâte de pouvoir profiter de son petit-ami. Ce dernier bandait toujours autant : sa verge n’avait pas perdu le volume qu’elle avait il y a quelques minutes avant l’éjaculation, elle était toujours horriblement énorme. Voir son partenaire ainsi excita encore plus Romain.
Fabien regarda Romain d’un air incrédule mais s’exécuta. Le jeune homme blond qui menait la danse se faisait maintenant mener à la baguette. Romain mit un préservatif sur sa longue et épaisse verge. Le jeune homme fit glisser sa main jusqu’au cul de Fabien. L’anus de ce dernier était dilaté au possible par l’excitation mais il prit quelques minutes pour toucher son orifice du plaisir. Avec toute cette sexualité la température montait dangereusement et ressemblait à celle d’une fournaise. Les parfums se mêlaient à la sueur. Pendant que Romain touchait l’anus de son amant, Fabien gémissait. Il arriva à dire :
La situation était d’une perversion appréciable. Se sentir potentiellement observé donna des sensations extrêmes pour le jeune blond qui se faisait prendre par son amant. La pression montait de plus en plus.
Sans prévenir, Romain enleva son doigt de l’anus de son petit ami. Fabien se demanda quand il allait enfin le pénétrer. Son vœu fut exaucé car Romain enfonça d’un coup sec sa verge. Dès le début, il alla vite jusqu’à forcer son partenaire à hurler de plaisir tellement les secousses furent violentes. Le jeune homme était davantage actif que passif et le voir se faire prendre par Romain était terriblement excitant pour ce dernier. En effet, le beau brun ténébreux aimait beaucoup faire l’amour de cette façon bestiale, les positions traditionnelles ne convenaient pas pour aujourd’hui : la sensualité de la violence était un remède à toute la tension sexuelle accumulée pendant la semaine. Certains couples préfèrent faire l’amour tendrement, nos deux jeunes hommes préfèrent un aspect plus sauvage.
Romain rigola en passant sa main sur les pectoraux du beau blond aux yeux céruléens. Il continua à pilonner son amant avec une cadence de coups de reins élevés. Son pénis entrait et sortait à volonté et Fabien semblait fortement apprécier le moment puisqu’il gémissait de plus en plus fort. Le jeune homme brun prenait, lui aussi, beaucoup de plaisir : il hurlait, il gémissait. Peu de temps après, il posa ses mains sur les fesses de son partenaire. Il fit claquer ses bourses contre son cul et n’hésita pas à encore augmenter la cadence des mouvements. Pendant de longues minutes, Fabien continua à gémir de plaisir jusqu’à sentir Romain sortir son anus.
Le jeune homme blond, dont la verge bandée était collée à la vitre remplie de buée, se retourna l’esprit vaporeux suite à tellement de plaisir. Il vit que Romain s’était assis sur la chaise du bureau. Fabien esquissa un sourire et se dirigea vers la verge bandée et épaisse qui l’attendait. Il comprit que Romain attendait qu’il s’empale sur lui.
D’un mouvement rapide, Romain se mit dos à son amant et passa ses jambes de chaque côté de la chaise pour venir s’asseoir sur sa queue. Il dit d’une voix grave dont on devinait l’excitation.
Le jeune homme commença à littéralement sauter sur son partenaire. Romain avait plaqué ses mains sur les pectoraux de Fabien et modulait ses mouvements. Sa bouche arrivait à la hauteur de son oreille pour lui susurrer un :
Fabien gémit d’un râle viril à ce moment-là et continua pendant de longues minutes à se laisser aller sur cet instrument de plaisir. Les corps s’emboîtaient, la sueur virevoltait, le parfum boisé de Romain se condensait avec celui poivré de Fabien. Le beau brun passa sa main sur le corps de son amant d’une manière sensuelle qui conduisit son partenaire à contourner de justesse la jouissance.
Tout d’un coup, Fabien se retourna et se plaça, toujours empalé sur la verge de son amant, en face de Romain. Les deux partenaires s’embrassèrent, se dirent des « je t’aime » rapides, bercés par le clair de lune. Le jeune homme brun était au bord de la jouissance mais ce fut Fabien qui éjacula le premier. Il déversa un torrent de sperme sur leurs deux torses. Romain se leva rapidement, enleva la capote et dit alors :
Fabien se mit à genoux, prêt à recevoir le sperme de son amant. Ce dernier ne tarda pas, dans un gémissement final il lâcha la sauce. Un jet de sperme arriva sur le visage de Fabien qui n’hésita pas à avaler la semence. De longs flots succédèrent jusqu’à inonder littéralement le visage de son partenaire qui n’en loupa pas une goutte.
Romain suffoqua à son tour, la partie de jambes en l’air avait duré une heure et demi et déjà les coups de vingt trois heures sonnèrent.
Les deux amants allèrent se coucher en s’embrassant. Romain dans les bras de Fabien s’endormit rapidement, son amant avec lui.
Vers deux heures du matin, Romain se réveilla. Il regarda Fabien : son petit ami dormait paisiblement. Romain fut pris d’allégresse : il avait enfin l’amour de l’homme qu’il convoîtait. Tout cela était maintenant à lui. Son torse, ses abdominaux, sa verge, son cul. Tout ça était sa stricte propriété et quiconque voulait y toucher à par lui recevrait ses foudres. Il se remit dans ses bras quand il vit que la verge de son amant était bandée. Il eut alors une idée.
Pour dormir, ils ne s’étaient pas mis dans les draps mais sur le lit, ce qui facilita le changement de position de Romain. Il alla délicatement se placer devant le monstre que Fabien avait laissé à l’air libre et commença à le sucer sans aucune gêne.
Fabien fit un sursaut puis d’une voix pâteuse dit :
Fabien commença à apprécier son réveil et profita de la fellation. Sans tarder, il l’arrêta et prit une capote laissée dans la boîte derrière lui. Il mit cette dernière puis se leva. D’un mouvement rapide, il installa Romain face au miroir qui était disposé sur toute la surface de la penderie de la chambre du jeune homme. La verge bandée de Romain fut en contact direct avec la paroi vitrée.
Fabien n’y alla pas de main morte. Sans aucune retenue, il s’enfonça d’un coup rapide dans l’anus de son amant. Ce dernier hurla comme il n’avait jamais hurlé. Son cul était toujours dilaté et retrouver la verge de son amant était un plaisir d’une rare intensité. L’anus du jeune homme était assailli par les nombreux assauts que lui portait son amant. Ce dernier tenait ses fesses en main pour que la pénétration soit plus facile et pour que Romain tienne en place.
Alors qu’il continuait ses mouvements, Fabien regarda son petit ami dans la glace. Ce dernier serrait les dents mais semblait éprouver des sensations incroyables.
Soudain, Romain fut pris d’un spasme. Deux facteurs provoquèrent l’éjaculation du jeune homme. Le premier était le miroir froid sur lequel était compressée sa verge. De plus, Romain voyait aussi son amant incroyablement beau et sexy le sodomiser. Il ne pouvait s’empêcher de jouir, sans toucher sa queue il fut pris d’une violente éjaculation qui rebaptisa le miroir. De nombreux jets de sperme vinrent heurter son reflet.
Alors que Fabien continuait les mouvements rapides de sodomie, il sentit que Romain s’échappa : ce dernier se mit à genoux, se débarrassa du préservatif et pompa avec une incroyable ferveur le pénis de son ami. Ce dernier reprit ses cheveux en main puis lui dit en suffoquant :
Fabien ne mentait pas, il déversa quelques secondes plus tard une cascade de sperme. Tout le fluide alla dans la bouche de Romain et autour du visage de ce dernier. Le goût n’était pas terrible cette fois-ci mais il n’hésita pas une seule seconde à l’avaler ce qui fit plaisir à son partenaire.
Les deux amants suffoquant s’écroulèrent au sol et s’embrassèrent. Fabien, à la suite du baiser dit alors :
D’un dernier baiser, les deux amants se recouchèrent, l’un dans les bras de l’autre.