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n° 14327Fiche technique24860 caractères24860
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Temps de lecture estimé : 15 mn
23/03/11
Résumé:  Après avoir refait l'amour à trois, nous reprenons le boulot. Je rencontre un ami perdu de vue depuis longtemps.
Critères:  fhh copains fellation cunnilingu 69 double -candaul
Auteur : Hardi7273            Envoi mini-message

Série : Rencontre avec Aline

Chapitre 07 / 20
Retrouvailles

Résumé : Après une dispute violente et une réconciliation, nous avons connu notre première fois à trois. Le soir même, pour la remercier du plaisir qu’elle m’avait fait découvrir, et bien que n’aimant pas trop cela, je lui ai donné la première fessée de notre vie.




Le lendemain matin, pendant qu’elle prenait sa douche, je préparai le petit déjeuner. Puis nous avons déjeuné et, à mon tour, j’ai pris ma douche avant de nous préparer pour nous rendre à la bulle. Nous nous demandions comment s’était passée la soirée entre Roger et Christiane.


Nous nous dirigions vers les vestiaires quand nous avons entendu une voix nous dire timidement :



Surpris, nous nous sommes retournés pour voir qui nous parlait. C’était le technicien de la veille. Nous lui avons fait un grand sourire et avons répondus ensemble :



Il semblait tout intimidé. Ce fut Aline qui lui répondit :



Et nous, avec un sourire :



Et sortant une boîte de sa poche, il nous les montra.

Aline se rapprocha de lui et, doucement, pour ne pas se faire entendre des gens à proximité, lui dit :



Il rougit comme un collégien pris en faute :



Aline se mit à rire.



Je le vis très inquiet, certainement qu’un scandale lui ferait perdre sa place.



Puis me retournant vers lui :



Il rougit de nouveau, à notre grand amusement.



Aline se mit à rire.



Je lui mis une petite tape sur la tête.



Cette fois, ce fut Aline qui lui donna une petite tape sur la tête.



Nous l’avons vu hésiter un peu, alors Aline se rapprocha de lui et lui dit :



Nous sommes repartis vers notre bungalow, Pierre nous suivant discrètement.

Dès que nous fûmes entrés dans le bungalow, Aline prit les choses en main :



Nous nous sommes rapprochés. Elle prit nos mains et les posant sur ses seins nous dit :



Nous lui avons caressé les seins. Ses soupirs nous montraient combien elle appréciait.



Je la pris dans mes bras et l’embrassai longuement. Puis me dégageant, je laissai la place à Pierre qui, lui aussi, l’embrassa. Je me mis derrière elle et pendant qu’elle embrassait Pierre, je mis mes mains sur ses seins par dessus son paréo. Je la sentais frémir sous mes doigts. Défaisant le nœud du paréo, je le fis glisser le long de son corps. Ma bouche se posa sur sa nuque et je l’embrassai. Je défis le soutien-gorge et l’enlevai, elle fit pareil avec son slip. Elle était maintenant totalement nue. Je descendis le long de son dos en lui faisant mille baisers. J’arrivai doucement sur ses fesses et les écartant, je me mis à lui lécher son petit trou.


Pendant ce temps-là, Pierre n’était pas resté inactif et lui suçait les seins, ce qu’elle appréciait en nous disant des mots crus qui nous excitaient encore plus. Pierre s’était mis, lui aussi, à genoux et lui suçait le sexe tandis que je m’occupais toujours de son petit trou. Elle haletait et nous caressait les cheveux. Soudain elle se crispa et je pus sentir sa jouissance, arriver dans des halètements qui résonnaient très fort dans notre chambre.


Pierre et moi, nous nous sommes relevés et lui avons tendu nos lèvres. Elle nous embrassait à tour de rôle, parfois tous les deux à la fois et je sentis même à un moment la langue de Pierre jouer avec la mienne.


Puis, elle me déshabilla avant de faire de même avec Pierre. Elle se mit à genoux. De voir ma femme avec un sexe dans chaque main et nous sucer l’un après l’autre, m’excitait au delà que tout ce que j’aurais pu imaginer et à voir l’expression de Pierre, je vis qu’il était comme moi.



Elle continuait à nous pratiquer une fellation sensationnelle et, plus elle était excitée, plus elle s’appliquait. Soudain elle s’arrêta et, se retournant vers Pierre, lui dit :



Nous avions tous les deux réagit à sa demande.



Je ne savais plus trop quoi dire, mais j’étais très hésitant.



Pierre semblait hésitant puis, ne voulant certainement pas se priver de faire l’amour avec Aline, il prit sa décision et se mit à genoux devant moi.



Et joignant le geste à la parole, elle recommença à me sucer en expliquant à Pierre comment faire.



Comme dans un rêve, je vis la bouche de Pierre se rapprocher de moi. Avec sa main, il commença doucement à me caresser, puis il posa sa bouche sur mon sexe et se mit à me faire de petits bisous. Il joua un instant avec sa langue sur le bout de mon sexe et soudain, sur l’ordre d’Aline, le prit en bouche et se mit à me sucer.

Même, s’il n’avait pas le savoir-faire d’Aline, je dois reconnaître que ce n’était pas désagréable et que contrairement à ce que je pensais, loin de débander, je me sentais même un peu excité.



Je vis qu’elle était déçue mais ne dit rien. Pendant ce temps-là, Pierre me suçait toujours et maintenant, il avait l’air de bien aimer cela. Je le laissais faire un moment, puis je repris la direction des opérations pour réaliser ce dont je rêvais depuis la veille.



Pierre s’allongea, Aline se saisit d’un préservatif, l’ouvrit et avec dextérité et rapidité le déroula sur son sexe et le dirigea vers sa chatte qui, aux dires de Pierre, était très accueillante.


Je pris la vaseline et m’en barbouillai copieusement le sexe. Puis penchant Aline sur Pierre, je commençai à la lubrifier pour faciliter mon passage. Comprenant mon intention, elle s’allongea sur Pierre me dégageant son cul le plus possible.



Le son de sa voix, les mots qu’elle employait, augmentaient mon excitation et c’est le sexe raide que je me présentai.


Je posai mon sexe sur son cul et doucement je forçai le passage étroit. Est-ce le déroulement de la matinée, son état d’excitation ou la crème que j’avais mis, mais je rentrai beaucoup plus facilement que je ne l’aurais cru. Pierre avait cessé de bouger pour me faciliter le travail et quand je fus à fond dans le cul d’Aline, je ne bougeai plus pour la laisser s’habituer. Ce fut elle qui donna le signal du départ en se remettant à bouger. Alors avec Pierre, nous avons commencé à lui faire l’amour. C’était merveilleux. Je sentais le sexe de Pierre dans la chatte d’Aline quand le mien bougeait dans son cul. Quant à elle, compte tenu de ses cris, elle adorait manifestement cela. Nous la prîmes comme cela un petit moment.



Dans un grand cri, Aline eut un nouvel orgasme qui déclencha le nôtre. Je me répandis longuement dans son cul, tandis que je pouvais ressentir les tressaillements du sexe de Pierre dans celui de ma femme (du moins l’ai-je imaginé).


Nous sommes restés comme cela un long moment. Puis, je me dégageai et me mis sur le côté. Aline se dégagea de Pierre et, se retournant vers moi, m’embrassa en me disant des mots d’amour. Pierre comprit qu’il était de trop. Il se leva, s’habilla et partit en nous disant :



Il partit.


Aline me sourit et me dit de nouveau combien elle m’aimait et combien ce moment avait été fabuleux.



Pour information, à la demande d’Aline, nous sommes retournés voir Pierre. Nous l’avons de nouveau prise en sandwich, manifestement elle appréciait beaucoup avoir un sexe dans son cul et un autre dans sa chatte.


J’ai aussi laissé Pierre me faire jouir avec sa bouche. Même, si je n’ai pas ressenti autant d’émotion qu’avec Aline, je dois reconnaître que j’ai pris beaucoup de plaisir à jouir dans la bouche d’un autre homme. Mais que j’ai refusé de le faire à mon tour, malgré la demande pressante d’Aline. Je ne me sentais pas du tout, mais alors pas du tout, faire cela à un autre homme.


Le soir même, ce fut la première fois où Aline me lécha mon petit trou, et me mit un doigt dans l’anus après l’avoir lubrifié avec de la vaseline. Elle arriva même à me le faire, tandis que j’étais sur elle en train de lui faire l’amour. Après que nous ayons connu la jouissance et qu’elle ait posé sa tête sur mon épaule elle me dit :



Je ne lui dis rien. Mais elle n’insista pas, comprenant que je n’en avais pas envie.


Pas encore !



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Mais avant cela, nous sommes repartis à la bulle où nous avons retrouvé Roger et Christiane. Ils avaient l’air de vraiment se faire la gueule et si Christiane, avec un air de défi vers Roger, vint vers moi et commença à s’amuser, Roger lui, contrairement aux jours précédents, n’essayait même pas de s’approcher d’Aline. Il tentait désespérément de se rapprocher de Christiane qui l’envoyait se faire voir aussitôt.


J’étais très gêné et ne savait trop comment faire, mais, à la demande à la fois d’Aline et de Christiane, je fis semblant de m’amuser avec elle, sans grande conviction, je dois l’avouer. À un moment, n’y tenant plus, je m’éloignai et allai vers le jacuzzi. Aline vint m’y rejoindre en me disant que Christiane lui avait dit qu’elle avait rompu avec Roger mais qu’il s’accrochait et ne voulait pas la laisser. À un moment où il s’absenta pour aller aux toilettes, Christiane prit la poudre d’escampette et nous avons vu le pauvre Roger la chercher partout. Le midi, il nous dit qu’elle était partie et que c’était fini entre eux. Il partit lui-même rapidement. J’en fus un peu déçu car Christiane me plaisait beaucoup et j’espérais bien que nous aurions pu nous faire une petite soirée tous les quatre.


La fin de la semaine arriva et nous avons repris la route de notre chez nous. Nous y sommes arrivés assez tard et avons dormi, épuisés par ces journées que nous avions vécues.


Le boulot a repris et avec lui le train-train habituel.


Ce fut quelques temps plus tard que, par le plus grand des hasards, je tombais, dans le métro, sur un ami d’enfance, Thierry, que je n’avais plus vu depuis au moins une dizaine d’année.


Il faut dire, que nous avions été très proches lui et moi ainsi que Brigitte et Patrick dans notre enfance. Nos parents nous appelaient le club des cinq en référence à une série pour enfant de la bibliothèque rose.


Thierry ressentait toujours le besoin de faire le beau et le charmeur. Il draguait sans distinction toutes les filles qu’elles soient en couple, ou non.

Et c’est ainsi, que nous nous sommes très fortement disputés car j’étais très amoureux d’une jeune fille de notre âge (18 ans à l’époque) et je les avais surpris tous les deux au lit chez elle.


Ma colère mais aussi ma déception, je m’en souviens, fut énorme.

Mon meilleur ami et la femme que j’aimais, ensemble !


Moi je n’avais jamais tenté quoi que ce soit auprès de Brigitte alors que j’en avais été très amoureux. La « femme » de mon ami étant sacrée, je me sentais trahi par celui que je considérais alors quasiment comme mon frère.


Ce fut encore pire, quand il essaya de m’expliquer qu’il s’en foutait de cette nana et que cela n’avait été que sexuel. J’avais été à deux doigts, moi le non-violent, de lui casser la figure.

C’est une des raisons, pas la seule bien sûr, qui ont précipité mon départ vers Paris. Malgré son insistance et celle de Brigitte et Patrick, j’avais toujours refusé de le revoir, partant même de chez eux un jour où ils avaient organisé un traquenard pour nous réunir tous les quatre comme avant, les menaçant de ne plus jamais les revoir s’ils recommençaient.


Toutefois, la surprise, le fait que ce fut inopiné et inattendu me prit au dépourvu et me fit oublier ma colère et mes griefs. Nous sommes allés boire un café ensemble puis je l’ai invité chez nous pour la fin de la semaine. Aline et moi avions des RTT à prendre et nous ne travaillions pas le vendredi, comme il était lui-même en congé, je lui dis de venir le jeudi soir, afin que nous ayons trois jours entiers ensembles.


Quand j’en parlais à Aline, elle me dit qu’effectivement Brigitte le lui avait dit, lui demandant de ne jamais m’en parler car cela me foutait en rogne à chaque fois et que, même eux, n’osaient plus m’en parler. Elle fut heureuse de voir que j’avais accepté de renouer avec lui.


Il vint donc le jeudi soir, avec une bouteille d’un excellent et sûrement très coûteux vin ainsi qu’un bouquet de fleurs pour Aline.


Entre temps, Jean-Pierre avait mis en place une réunion à laquelle je devais absolument participer le vendredi matin à 10 h. Ça me ferait m’absenter jusqu’à 15 h environ. Comme je n’avais que peu de trains, je devais donc m’y rendre à mes horaires habituels.


La soirée se passa agréablement mais je me sentais inquiet car ne pouvant vraisemblablement pas s’empêcher, comme dans mes plus mauvais souvenirs, il faisait le charmeur.


Je dois reconnaître que Thierry est un très bel homme, grand baraqué, intelligent, faisant montre d’une grande culture, d’un à propos et de réparties immédiates et humoristiques, il avait toujours été l’attraction dans les soirées. À côté de lui, je me sentais un peu insignifiant.


Aline semblait sensible à son charme et je voyais bien qu’il lui plaisait beaucoup.


Aussi, comme après avoir fait l’amour, posant sa tête sur mon épaule comme d’habitude, elle me dit qu’elle le trouvait très beau et que, ma foi, elle se laisserait bien tentée, je fus très inquiet.



Un peu désespéré, je ne terminais pas ma phrase. Interloquée, Aline se redressa et me regard intensément. Puis elle éclata de rire.



Je la regardais et vis qu’elle semblait vraiment sincère. J’en fus rassuré et très heureux. Comme, en se relevant, elle avait dévoilé sa poitrine, mon désir d’elle étant revenu, je la repris dans mes bras et l’embrassai. C’est en me traitant de pervers et d’obsédé que nous avons refait l’amour, beaucoup mieux que tout à l’heure.


Le lendemain matin, je descendis pour aller prendre mon train quand il me vint une idée, je m’arrêtai à la pharmacie à côté de chez nous, pris des préservatifs au distributeur, remontai et la rejoignis dans la cuisine où elle rangeait la vaisselle du petit déjeuner..



Et je lui tendis la boîte de préservatifs. Aline me sourit :



Arrivé au boulot, j’avais presque deux heures avant la réunion, j’appelai Aline. Elle se dirigea vers la chambre de Thierry qui, a priori, était réveillé.



Elle fit semblant de raccrocher, je compris qu’elle avait posé le téléphone sur la commode, et se rapprocha du lit et lui dit d’une voix câline :



Et là, j’ai eu la surprise de ma vie, j’étais persuadé qu’il allait sauter sur l’occasion. Moi absent, ma femme le provoquant.



Je l’entendis reprendre le téléphone et repartir vers la cuisine dont elle referma soigneusement la porte.



Je souris en lui disant :



À son petit rire, je compris qu’évidemment, elle ne serait pas contre.



J’étais très surpris de l’attitude de Thierry. Je ne pensais qu’il réagirait comme cela et cela me faisait un très grand plaisir. Toutefois, je décidai de voir jusqu’où irait cette nouvelle manière de faire et je préparai un petit plan pour le soir.