n° 14289 | Fiche technique | 32698 caractères | 32698Temps de lecture estimé : 20 mn | 20/02/11 |
Résumé: Après notre dispute, nous retournons nous baigner. Ce sera notre première fois à trois. | ||||
Critères: fhh inconnu vacances fsoumise fellation pénétratio coprolalie fouetfesse -couple+h | ||||
Auteur : Hardi7273 Envoi mini-message |
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Nous nous sommes disputés très fortement avec Aline en raison d’une attitude très libre qu’elle avait prise avec un homme rencontré dans la piscine. Après une nuit de galère et beaucoup de réflexion, nous nous sommes mis d’accord sur d’éventuelles aventures, même si nous ne sommes pas sûrs de passer à l’acte.
Arrivés à la bulle nous nous sommes changés dans le vestiaire. En fait, cela allait très vite car nous venions décontractés et retournions nous changer au bungalow avant d’aller dîner dans un des restaurants du parc. Aline avait juste son paréo directement sur son maillot, moi, j’avais un pantacourt et un tee-shirt directement sur mon maillot aussi.
À peine arrivés dans la piscine, nous avons retrouvé Roger et Christiane qui se baignaient déjà, profitant de la période de vagues du bassin. Nous les avons rejoints et après la bise traditionnelle, nous avons joué avec les vagues. Dès que la période fut finie, nous avons commencé à rigoler tous ensembles, Roger recommençant son manège de la veille. À peine Aline était-elle à côté de lui que, sous prétexte de jouer, il la prenait à bras le corps, les mains baladeuses. Aline me jeta un petit regard inquiet mais après avoir vu mon sourire et mon clin d’œil, se laissa faire. En route, elle avait fini par m’avouer que ce petit jeu l’avait considérablement excitée et qu’elle aurait, en fait, adoré m’en faire profiter mais elle se rattraperait le soir même, je pouvais lui faire confiance. Ce dont d’ailleurs je ne doutais pas. Voyant qu’elle ne se dérobait plus, Roger en profita à fond et je pouvais voir ses mains glisser sur les seins et les fesses d’Aline et même, quand il en eut l’occasion, entre ses jambes. Contrairement à la veille, ce spectacle commençait moi aussi à m’exciter. Ce que vint vérifier Aline quand, tout en nageant, elle posa comme par inadvertance sa main sur mon sexe. Elle se releva pour me faire un petit bisou en me disant doucement :
Et en effet, mon sexe ne pouvait pas me permettre de dire non.
Et ils partirent tous les deux. Quant à moi, je me dirigeais vers le jacuzzi situé juste à côté de la piscine pour tenter de me calmer. Je pus y entrer de manière discrète sans que personne ne remarque la bosse qui déformait mon maillot. Je fus rapidement rejoint par Christiane qui s’installa à la fois proche et loin de moi. Nous profitions du bain à remous sans rien nous dire quand soudain Christiane me dit :
Faisant semblant de n’avoir rien remarqué je lui dis :
Puis nous sommes restés comme cela un long moment sans parler, profitant des remous avant qu’Aline nous rejoigne. Se penchant vers moi comme pour me faire un petit bisou, elle me dit doucement :
Nous n’avions pas fait attention que Christiane s’était rapprochée et avait entendu notre conversation. Nous avons rougi tous les deux et Aline lui dit :
J’étais gêné qu’elle parle de notre vie comme cela.
Christiane resta songeuse un instant puis, me regardant, me dit :
Roger arrivait tout sourire. Nous sommes sortis du jacuzzi et avons sauté à l’eau. Il nous a tout de suite suivis et est immédiatement aller couler Aline… les mains baladeuses bien sûr.
Christiane et moi nous nous sommes regardés très hésitants. C’est un regard impérieux d’Aline qui nous fait franchir le pas. Christiane m’a fait un petit sourire et a hoché la tête de haut en bas, me donnant son accord. J’étais à la fois gêné et excité. Alors je me suis lâché et c’est en rigolant que je suis allé vers Christiane et que je me suis mis moi aussi à jouer avec elle, la faisant couler tout en la caressant. Elle avait de tout petits seins mais très fermes. Par contre elle avait un cul rebondi que je caressais. Je dois avouer que j’y ai pris un très grand plaisir, surtout quand, regardant Aline, elle me fit un grand sourire de connivence et m’envoya un petit bisou.
Quant à Christiane, elle riait très fort et ma foi, cela ne semblait pas lui déplaire non plus. Quand Roger put la voir, elle exagéra son attitude, se collant contre moi comme l’avaient fait Aline et Roger quelques instants plus tôt. Je pus ainsi sentir la fermeté de son corps et la rondeur de ses petits seins. J’en profitai pour faire comme Roger et avoir les mains très baladeuses.
D’abord interloqué, Roger réagit très vite. Laissant tomber Aline, il revint tout de suite vers sa compagne et lui fit une scène. Elle rétorqua que si lui s’amusait avec une autre femme, elle pouvait, elle, s’amuser avec un autre homme, que c’était naturel, que ce n’était pas l’endroit pour en parler et qu’ils feraient mieux de rentrer dans leur bungalow. Et ils partirent. Lui semblait très étonné par l’attitude ferme qu’elle avait envers lui. Ce devait être, sans doute, la première fois que cela lui arrivait.
Nous ne les avons revus que le lendemain matin.
Pendant ce temps-là, tout ça nous avait bigrement excités et c’est les yeux brillants qu’Aline me dit :
Nous sommes sortis très vite de l’eau et rendus au vestiaire où Aline mit son paréo sur son maillot mouillé tandis que j’enfilais à la hâte pantacourt et tee-shirt.
Avisant une porte ouverte, elle m’entraina dans un local où il y avait des tas de machines qui manifestement assuraient le bon fonctionnement du centre.
J’étais très hésitant, je me doutais que nous risquions d’avoir des ennuis si nous restions là. Par contre Aline était toujours excitée quand elle nous mettait en danger. Je me souviens qu’une fois lors d’un déplacement en train avec notre PDG, Jean Pierre et quelques personnes de la Direction, il lui était venu l’envie de faire l’amour et qu’elle m’avait entraîné dans les toilettes du train. Bien que ce ne soit pas très pratique, nous y avions pris un grand plaisir. Mais en sortant, nous avions vu que Jean Pierre attendait devant la porte et nous avait ensuite regardé longuement durant le reste du trajet. Une autre fois, elle avait voulu faire l’amour dans un parking et nous avions été à deux doigts de nous faire surprendre par le gardien, heureusement elle l’avait vu arriver et avait vite rabattu sa robe sur ses jambes, fait glisser son slip sous le siège et jeté son écharpe sur moi pour dissimuler mon sexe bandé. Nous étions partis comme si de rien n’était. Elle était restée très excitée par tout cela durant tout le trajet jusqu’à la maison et m’avait sauté dessus dès la porte refermée. Tout en me faisant l’amour, elle avait imaginé que le gardien nous avait surpris et l’avait obligé à faire l’amour avec lui. Elle me racontait la scène tout en me faisant l’amour et lorsqu’elle m’a dit qu’elle avait été obligée de le sucer pendant que je la baisais, je lui avais mis deux doigts dans la bouche et elle avait mimé une fellation tout en montant et descendant sur mon sexe. Elle avait pris un pied extraordinaire. Moi aussi d’ailleurs.
Donc, elle n’était pas du tout gênée, bien au contraire. Alors, elle me poussa contre le mur, m’embrassa, colla son corps contre le mien, sachant pertinemment que je ne peux pas résister au contact de ses seins sur moi et, posant sa main sur mon sexe se mit à me caresser. Évidemment, mon corps réagit immédiatement à sa grande satisfaction. Elle se laissa descendre et posa sa bouche sur mon sexe et joua avec avant de remonter pour m’embrasser tout en me caressant.
Je me laissais aller quand soudain, avec effroi, je vis la porte s’ouvrir et un homme rentrer. Je tentai de repousser Aline mais elle s’accrocha à moi, pensant à un jeu de ma part. Elle poussa un petit cri et, se retournant, plaqua son dos contre moi quand elle entendit :
J’étais tétanisé. Aline, elle, réagit au quart de tour.
Tout en parlant, elle appuyait ses fesses contre mon ventre et je pouvais sentir au frémissement que je connaissais bien qu’elle était excitée. Je compris immédiatement le message, cette fois elle voulait aller au bout de l’aventure !
Tout en parlant, je pouvais voir son regard, posé sur Aline, surtout sa poitrine, que le paréo mouillé dévoilait plus qu’il ne cachait. Je le vis hésiter entre son devoir et le fait que manifestement nous ne faisions rien de mal. La pression des fesses d’Aline sur mon bas ventre s’accentuait encore plus.
Faisant semblant de se mettre en colère, Aline me dit :
Et, me tournant vers lui, je lui fis un clin d’œil discret. Toutefois, je le sentais hésitant entre appeler la sécurité pour nous faire évacuer et la possibilité d’avoir une petite aventure. Alors, prenant le taureau par les cornes, je défis le paréo d’Aline, libérant à sa vue sa poitrine dans son maillot. Je le vis rougir et une bosse commençait à se deviner dans son pantalon. Aline fit semblant de résister encore un peu et je vis qu’il avait pris sa décision :
Je souris, de la sécurité on était passé aux flics. Je vis qu’Aline n’était pas dupe non plus, aussi elle voulut continuer à le chauffer un peu :
Et je défis l’attache de son maillot puis le nœud qui le retenait sur son cou. Aline fit semblant de vouloir le retenir, alors prenant ses mains je les mis dans son dos et je fis glisser le haut de son maillot et le laissai tomber à terre, permettant au gars d’apercevoir, totalement libre, la magnifique poitrine d’Aline. Il était tout rouge et semblait maintenant complètement excité. Il ne pouvait plus revenir en arrière.
Il se rapprocha et, posant ses mains sur ses seins, les caressa tout doucement ce qui fit frémir Aline. Je libérai sa main et la posai sur le sexe du gars. Aline se mit doucement à le caresser, de son autre main elle caressait aussi le mien.
Et « forçant » Aline à se mettre à genoux, j’appuyai sur sa tête et l’amenai vers le sexe du gars. Elle posa ses lèvres par-dessus le pantalon du gars et se mit à lui faire des petits bisous, puis, complètement excitée, ouvrit le pantalon et dégagea un sexe totalement en érection. Je dois avouer que je craignais ce moment-là depuis que j’avais décidé de laisser faire Aline, mais, en fin de compte, loin d’être jaloux, j’étais, au contraire, totalement excité.
Après un dernier regard vers moi pour s’assurer de mon accord, je vis Aline approcher sa bouche de ce sexe et doucement, après quelques bisous dessus, le prendre en bouche et commencer un lent mouvement de va-et-vient. Je peux vous assurer que quand elle est excitée comme c’était le cas à ce moment-là, Aline est la meilleure suceuse du monde. N’y tenant plus, je défis les boutons de mon short et, sortant mon sexe, je me rapprochai d’elle. Elle comprit immédiatement le message et se mit à nous sucer alternativement. Au bout d’un moment, je me tournai vers le gars :
Il le fit rapidement. Aline, toujours à genoux, se pencha pour continuer à le sucer tandis que je lui retirai son maillot et que je présentai mon sexe devant le sien dans cette position qu’elle adorait. Je la besognais sauvagement tellement j’étais excité tandis qu’elle continuait à sucer le type. Soudain, je la vis retirer sa bouche et masturber le mec et très vite je vis le gars exploser dans un grand cri. Sa jouissance fut si forte que le premier jet vint s’écraser sur mon tee-shirt, les autres retombant sur le dos d’Aline, sur ses seins, son visage et dans ses cheveux. Rendu fou par cette scène, je fis encore deux ou trois mouvement dans son ventre avant de me tendre en jouissant à mon tour tandis que dans le même temps, elle criait son bonheur et sa jouissance. J’espérais que la pièce était bien insonorisée car sinon nous allions avoir du mal à en sortir discrètement. J’essuyai tant bien que mal les dégâts avec notre serviette et nous nous sommes tous rhabillés. Le gars ouvrit la porte, jeta un coup d’œil dehors et nous fit signe qu’on pouvait y aller.
Sur le retour au bungalow, nous avons parlé de cette expérience. Aline :
Et elle avec un sourire :
Et je l’embrassai.
Le soir, nous avions prévu de faire une raclette tous les deux. Le supermarché prêtait l’appareil si on achetait la marchandise chez eux et nous avions donc passé commande. Nous sommes d’abord allés prendre une douche, puis chercher tout ce qu’il fallait. Durant tout le repas, je me demandais comment remercier Aline du plaisir qu’elle m’avait fait découvrir cette après-midi. Nous avions débarrassé la table et fait la vaisselle. Elle s’était absentée un moment. En attendant son retour, j’étais debout devant la fenêtre, regardant le lac devant chez nous quand soudain je me rappelai une demande qu’elle m’avait faite quelques semaines plus tôt et que j’avais refusée. Je décidais de la lui accorder ce soir. Je fermai les rideaux et, dès qu’elle revint, je mis mon plan en œuvre.
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J’entendis Aline revenir. J’étais toujours tourné vers la fenêtre. Quelque temps plus tôt, en regardant un film X à la télé, il y avait un homme qui donnait une fessée à sa femme. Aline m’avait dit qu’elle aimerait bien essayer un jour pour voir ce que cela donnait. Mais je ne suis pas trop attiré par ce genre de chose. J’avais donc refusé. Aline n’avait rien dit mais je l’avais sentie déçue. En tout cas, elle n’en n’avait jamais reparlé.
J’avais parlé d’un ton dur et je sentis l’inquiétude dans la voix d’Aline quand elle me dit :
Et me retournant, tout en essayant de dissimuler mon sourire, je constatai qu’elle avait mis sa micro jupe et son tee-shirt échancré. Je savais donc qu’elle était totalement nue là-dessous. Elle avait quelque chose en main mais je ne voyais pas quoi.
Comprenant où je voulais en venir, elle me fit un grand sourire puis, prenant un air de petite fille en faute, elle me dit d’une voix geignarde mais dans laquelle je sentais poindre son excitation :
Je la sentais maintenant totalement excitée et de mon côté, je dois reconnaitre que cela ne me laissait pas indifférent. Elle se déshabilla lentement, ce qui, compte tenu de ce qu’elle portait, alla quand même assez vite.
Elle se rapprocha de moi, la tête baissée et quand elle fut à côté de moi, se tint debout sans rien dire. Je la tirai doucement par les cheveux et lui remontai la tête en arrière.
Je me suis assis sur le canapé :
Elle obéit immédiatement. Je pouvais sentir son impatience. Alors je levai la main et lui mis une petite claque sur ses jolies fesses.
Alors je me laissai aller et lui donnai des claques plus fortes. Puis, emporté par mon élan et par mon excitation, je lui donnai une vraie fessée bien forte. Soudain, je ressentis un mouvement que je connaissais bien :
Ma fessée, mes insultes, sa masturbation firent que, dans un grand cri, elle connut une jouissance extraordinaire, mais dans le même temps cela m’avait tellement excité que je me mis à jouir moi aussi, sans qu’elle ne fasse rien d’autre (ce qui, me dira-t-elle plus tard, lui avait encore augmenté le plaisir qu’elle avait ressenti) :
Nous nous sommes relevés. Aline s’est mise à genoux, toujours en petite fille soumise. Elle défit le bouton et la fermeture éclair de mon pantalon, me l’enleva et, me regardant dans les yeux avec un air vicieux que je ne lui avais encore jamais vu, se mit à le lécher là où il était taché. La voir faire cela m’excita au plus haut point et, à ma grande satisfaction, je me mis à rebander tout de suite. Puis elle fit de même avec mon slip là où il y en avait le plus. Enfin, posant sa langue sur mon ventre, elle nettoya toutes les traces avant de prendre mon sexe dans sa bouche pour me faire une fellation extraordinaire. Elle me suçait sur tout le long de la tige, enfonçait mon sexe le plus profondément possible dans sa bouche. Jouant toujours mon rôle de tortionnaire, lui appuyant sur la tête je m’enfonçais totalement, heurtant le fond de sa gorge et provoquant un haut-le-cœur. Je crus que j’étais allé trop loin mais non, son sourire me fit comprendre qu’elle avait apprécié malgré tout. Toutefois, je ne recommençai pas, comprenant que ce ne devait quand même pas être trop agréable. J’avais connu un grand plaisir, je voulais lui en donner un aussi grand mais j’étais le Maître et elle la punie, alors j’eus une idée. Lui tirant doucement les cheveux, je ramenai sa tête en arrière et lui dis d’un ton méchant :
Je vous l’ai déjà dit, la levrette c’est la position qu’elle préfère, alors elle me fit un grand sourire et me dit d’une voix soumise :
Quand elle fut en position, je présentai mon sexe et la pénétrai presque violement. Elle poussa un petit cri d’aise et se mit à gémir tandis que je la pénétrais. J’étais tellement excité que je la prenais avec de grands coups de reins. L’avantage d’avoir joui à peine cinq minutes avant, c’est que j’arrivai à me maîtriser, ce que d’habitude, dans cette position, je n’arrivais pas à faire. Elle connut une jouissance qu’elle accueillit avec un grand cri et un grand je t’aime. Je n’avais pas joui moi, aussi après avoir attendu un petit moment je me remis à bouger dans son ventre quand soudain elle me dit :
Je compris que dans son esprit, la soumission était finie.
Je me libérai et, soulevant sa jupe, je trouvai un tube de vaseline.
Ça je savais que c’était vrai, alors me mettant derrière elle qui n’avait pas changé de position, je me mis à lui lécher le cul, descendant vers son sexe je lui léchai le cul, mis un doigt et le fit bouger à l’intérieur, la préparant pour la suite. Je me permis même le luxe de lui offrir une nouvelle jouissance. La capacité qu’ont les femmes de jouir plusieurs fois d’affilée comme cela m’a toujours interpellé. Je vis que vraiment elle en avait envie quand elle me dit d’une voix sourde :
Je pris de la crème, m’en badigeonnai le sexe bien qu’à mon avis cela n’aurait pas été vraiment utile. Je lui en mis ensuite sur le cul et mis un doigt puis deux, tandis qu’elle gémissait. Je présentai mon sexe sur son cul et commençai à entrer doucement.
J’étais terriblement excité maintenant et après avoir été doucement, j’y allais maintenant très fort. Je ne me retenais plus et manifestement, contrairement aux autres fois, ça lui plaisait beaucoup. Soudain, je sentis un mouvement que je connaissais bien. Aline était en train de se masturber et tout à coup, elle partit dans une nouvelle jouissance en poussant un grand cri. Elle se laissa tomber sur le divan, m’entrainant avec elle ce qui me fit rentrer encore plus profondément dans son cul, lui arrachant un petit cri. Je me mis alors à jouir. Je ne me rappelais pas avoir déjà joui aussi fort que cela. C’était merveilleux. Nous respirions tous les deux très fort de ces jouissances que nous venions d’avoir. Aline se dégagea, m’embrassa passionnément et nous emmena sous la douche.
Un bon quart d’heure plus tard, après force baisers et nous être lavés, nous étions allongés tous les deux dans le lit. Nous n’avons rien dit ni l’un ni l’autre, mais les frémissements d’Aline quand je lui caressais le dos et la demi érection qu’elle sentait sous sa main tandis qu’elle me caressait doucement nous montrèrent plus que toutes autres paroles, le plaisir que nous avions ressenti. Quand, sa tête posée sur mon épaule, n’ayant pas d’autre envie que de cette tendresse que nous ressentions l’un pour l’autre, Aline s’endormit, je me dis que vraiment, j’étais le plus chanceux des hommes.