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Temps de lecture estimé : 20 mn
30/04/11
Résumé:  Un samedi soir, en boîte, une petite blonde magnifique et pulpeuse à souhait met le feu au dance floor.
Critères:  ffh inconnu grossexe hotel pénétratio double -totalsexe
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Futa's fever

Chapitre 01 / 05
Sex Prologue



Je la regardai intensément, cherchant à comprendre ce qu’elle voulait dire. Sans rien ajouter, elle arracha d’un geste la serviette qui ceignait la taille et le bassin de notre partenaire. Je poussai un hurlement de stupeur.




***



C’était en boîte, un samedi soir. Une somptueuse et pulpeuse blondinette qui avait visiblement envie de se trouver quelqu’un pour finir la soirée. Elle allumait toute la piste de danse, les dizaines de mâles en rut qui bavaient en la regardant se déhancher avec provocation – et dont je faisais naturellement partie. Le plus terrible, c’était que lorsqu’un des mecs tentait sa chance, elle le laissait s’approcher, l’effleurer, l’embrasser et même la caresser, elle jouait un instant avec lui, avant de se faufiler dans la foule de ses admirateurs pour aller en provoquer un autre.


Dès que je l’avais vue, dans la discothèque, j’avais été subjugué par la beauté incroyable de cette fille ; et quand j’avais commencé à en revenir, c’était la grâce de ses mouvements et le charisme qu’elle projetait qui avaient achevé de me donner envie d’elle. Et juste après, son attitude provocante… Mais c’était bien évident que je n’étais pas le seul à vouloir la séduire.


Néanmoins, à la voir s’amuser à repousser gentiment les bœufs qui estimaient la mériter, je reprenais peu à peu confiance en moi. Le temps et les vents défilant, il y avait nettement moins de satellites autour d’elle, et les œillades de plus en plus appuyées qu’elle me lançait regonflaient mon cœur (et un peu ma bite, aussi).


Mais tout s’effondra soudain lorsque, prenant enfin une pause, et alors que j’étais prêt à l’inviter boire un verre, la jeune femme se dirigea vers une banquette où semblait l’attendre une autre nana et, sous mes yeux décomposés, lui roula une grosse pelle, avant de se jeter sur le siège et de se serrer tout contre elle pour l’enlacer. Ça avait refroidi tout le monde, remarque ; les derniers excités comme moi qui bavaient toujours en estimant avoir encore une chance se rassurèrent mutuellement en devisant que « Ah bon, ben c’est normal si finalement elle est gouine ! ». Et tandis que les deux filles s’amusaient en observant sur nous l’effet de leur étreinte, j’entendais se mettre en place l’humour gras de mes concurrents dépités.


Sans bien savoir ce que je faisais, et sans trop réfléchir non plus, je m’avançai d’un pas décidé vers les deux jeunes femmes. Elles me regardèrent m’approcher, souriantes ; je soutins leurs yeux que je devinais moqueurs ; elles échangèrent quelques mots, avant de presque éclater de rire. J’allais sans doute me prendre un méga-vent, mais bon… M’armant de mon plus beau sourire et refoulant un ultime soupçon d’inconséquence ou de ridicule, je m’accroupis juste devant elles.



Et merde ! Pourtant j’avais parlé fort, pour couvrir le son délirant de l’espèce de soupe technoïde que nous servait le DJ, mais que dalle ! Je m’approchai encore, mon visage à quelques centimètres des leurs ; hmmm ! elles sentaient bon.



Elles me dévisagèrent avec un air étonné, puis se regardèrent avec amusement, et finirent par se papoter à l’oreille sous mes yeux impatients. Les cinq secondes qui précédèrent leur verdict me parurent cinq interminables minutes ; et ce fut finalement celle qui était restée assise en attendant sa copine qui collait des vents à tout le monde qui me répondit par un bête « oui ». Je sautai au plafond pendant qu’elles refaisaient une messe basse en face de moi. La bombe sur laquelle je m’étais focalisé semblait demander quelque chose à l’autre, qui acquiesça en retour d’un air presque coquin. En même temps, moi, je la détaillais des yeux ; elle était sûrement pas aussi magnifique que sa copine, mais c’était quand même un petit canon : très joli visage, aux traits fins, avec de grands yeux tout brillants et des pommettes rondes qui donnaient envie de la croquer. Je tentai d’estimer rapidement sa poitrine ou ses mensurations, mais ses vêtements amples à moitié bouffants faisaient écran.



Et une fois de plus, elles acquiescèrent. J’y croyais pas, j’étais déjà sur un petit nuage. Je les guidai quelque peu à l’écart de la piste de danse où la musique nous assourdissait tous, et passant devant le bar, je leur demandai ce qui leur faisait envie.



***



On échangea bravement les banalités de coutume au cours desquelles j’appris que la jeune femme qui avait mis le feu à la piste de danse se prénommait Laetitia et avait trente ans, et que sa copine châtain, dont malgré les fringues bouffantes on devinait quand même le corps superbe, s’appelait Pauline et n’avait que vingt et un ans. Elles rirent gaiement à la mention de mon prénom, mais continuèrent à me provoquer et à me dévorer des yeux tout le temps que nous discutions. Moi je faisais de mon mieux pour me montrer sous mon meilleur aspect et pour tenter de dire des trucs pas trop cons. Ça dut leur plaire, car lorsque je leur proposai un autre verre, elles se papotèrent une fois encore à voix basse en me scrutant de leurs regards coquins, avant de me demander en guise de réponse :



Malgré tous mes efforts de contenance, je dus paraître tout à la fois extrêmement ravi, parfaitement estomaqué, et profondément incrédule. Mais j’acquiesçai évidemment, et, tremblant, les suivis en matant leurs fesses, jusqu’aux vestiaires puis à l’entrée de la boîte.


On prit un taxi, dans lequel je m’installai au beau milieu de la banquette arrière, entre les deux merveilleuses jeunes femmes. Laetitia se serra contre moi et ne tarda pas à m’embrasser à pleine bouche avec avidité. Et comme je ne doutais plus de rien, je tentai de prodiguer les mêmes attentions à Pauline, mais celle-ci demeurait résolument plus distante et, si elle se laissait déposer un baiser dans le cou, gardait ses bras croisés sur ses cuisses en se collant davantage à la portière qu’à moi. Mais je m’en foutais, en fait. J’étais excité comme jamais ; Laetitia posa sa main entre mes jambes pour constater mon état et s’en féliciter.



Celle-ci jeta un regard discret sur mon bas-ventre où sa copine s’affairait à travers mon jean, mais ne dit rien et se contenta de croiser les cuisses tout en me donnant l’impression de rougir quelque peu. Je caressai doucement les cheveux des deux jeunes femmes. La blondinette se pencha pour m’embrasser dans le cou et me susurrer :



J’étais sur le point de lui répondre de ne pas s’inquiéter lorsque le chauffeur du taxi nous raconta d’une voix morne que nous étions arrivés. Pauline s’extirpa en hâte de la voiture en attrapant sa veste et son petit sac ; Laetitia lâcha un vague remerciement avant de sortir à son tour en m’expliquant qu’elles m’attendaient dehors ; et moi je tendis ma carte bleue au conducteur en déglutissant.


Et après que celui-ci m’eut adroitement souhaité bonne bourre, je rejoignis les filles devant l’entrée d’un hôtel avec plein d’étoiles ; elles étaient dans les bras l’une de l’autre en train de se rouler des pelles.



La seconde jeune femme gardait toujours le silence, et j’avais même l’impression qu’elle fuyait mes regards. Je ne savais pas trop à quoi elles jouaient, toutes les deux, mais l’excitation prenait largement le dessus sur la moindre velléité de prudence que j’aurais pu concevoir.



Elles rigolèrent toutes les deux. Nous entrâmes dans l’hôtel et traversâmes un petit hall presque désert où un loufiat grand luxe nous adressa tout de même un respectueux bonsoir. Un ascenseur nous conduisit tout en haut de l’immeuble et je découvris bientôt une immense suite comme j’en avais pas vue souvent, avec des tas de fauteuils, de canapés, de coussins, de meubles à la fois superbes et discrets, et de fenêtres qui nous offraient une vue imprenable sur la ville endormie.



Laetitia ôta son sous-pull sous mes yeux qui bavaient et sortit vers la chambre attenante en roulant des fesses et en déboutonnant son pantalon. Mais la voix douce et rauque à la fois de Pauline me tira de ma rêverie érotique :



Elle s’éloigna jusqu’à un bar à l’autre bout du salon d’où elle sortit un verre et une mignonnette. Je parcourus encore la pièce du regard : des affaires éparpillées tendaient à montrer que les filles squattaient cette piaule depuis quelque temps déjà ; elles devaient être blindées de thunes pour se payer une suite comme ça pendant plusieurs jours.



Elle était vraiment très belle, elle aussi, en fait. D’une beauté moins frappante, plus discrète, que sa copine, mais ses traits ronds harmonieux, son nez fin à peine troussé, ses longs cheveux châtains et ses yeux gris-bleu ne pouvaient laisser personne indifférent. Elle rougit encore légèrement en s’apercevant que je la regardais sans doute avec insistance, et elle se détourna pour aller s’asseoir dans un fauteuil.



Elle sourit.



Elle bredouilla en riant quelque chose comme « toi non plus… », mais n’étant pas sûr d’avoir compris, je demandai confirmation :



Elle laissa un court silence puis reprit en me scrutant avec intensité :



Je bandai à nouveau avec ferveur, mais j’hésitai quand même, la défiant un instant du regard.



Je retirai ma chemise en ayant pris grand soin de gonfler mes pectoraux. Pauline se cala dans son fauteuil, croisant les jambes et posant un coussin sur ses cuisses pour s’y accouder.



Je dégrafai ma ceinture et ouvris les boutons de mon jean. Quand je l’aurais baissé, mon boxer ne cacherait sans doute plus grand-chose de mon excitation.



C’était Laetitia, qui revenait de la salle de bains. Me retournant pour lui faire face, je la découvris entièrement nue, encore quelque peu ruisselante. Je dévorai du regard les courbes brûlantes de sa silhouette enchanteresse. La jeune femme s’approcha tout contre moi, m’enivrant d’un doux parfum exotique, et glissa une main à l’intérieur de mon pantalon.



Elle passa sa main sous le tissu de mon caleçon et la referma sur mon sexe gonflé.



Je soupirai en savourant la pression et les légers mouvements de ses doigts, et je posai une main sur sa poitrine et l’autre sur ses fesses. Mais elle s’extirpa de mon étreinte et s’avança vers l’autre jeune femme qui n’avait pas bougé du canapé.



Je restai un instant baba, incrédule, à regarder Laetitia s’agenouiller à califourchon sur les cuisses de sa copine et l’embrasser ardemment en pressant contre elle ses seins lourds. Mais je parvins à me convaincre de m’arracher à ma contemplation et m’éloignai en hâte. Je traversai la chambre immense en prenant quand même le temps d’halluciner une dizaine de secondes sur un respectable strap-on qui trônait sur un fauteuil, puis entrai dans une salle de bains presque aussi grande que mon salon et infiniment plus luxueuse. Je pris une douche de toutes mes forces, me décrassant à la vitesse de l’éclair. Mon sexe libéré, loin d’être calmé par l’eau chaude, se montra vite dans sa plus impressionnante vigueur, et je rejoignis les jeunes femmes, seulement vaguement séché, et toujours parfaitement nu, ma queue pointant fièrement vers le plafond. Pauline écarquilla soudain nettement les yeux lorsqu’elle me vit, et s’arrêta de peloter sa copine, qui du coup se retourna.



Sous leurs regards avides, sans un mot, je montai debout sur le canapé, approchant mon sexe au plus près de leurs beaux visages presque collés. Laetitia referma en hâte ses lèvres autour de mon gland et une main sur ma hampe, pour me sucer avec acharnement. Je soupirai d’extase en savourant ses caresses à la fois douces et brutales, profondes et rapides. Pauline pelotait de nouveau sa copine d’une main, et avait visiblement glissé l’autre entre ses cuisses. Elle colla son visage contre celui de la jolie blonde, accompagnant ses mouvements en lui léchant les lèvres, et se jeta dès que possible sur la place vacante pour me pomper à son tour avec enthousiasme.



Celle-ci partit hâtivement vers la salle de bains. Je me laissai tomber sur le canapé, à côté de la fantastique blonde, et me ruai sur son corps, pour dévorer ses seins et sa bouche, et caresser ses fesses et son entrejambe. Elle était trempée d’excitation. Je mourais d’envie de la lécher. Je me redressai et m’appuyai sur le dossier ; elle se leva pour venir se positionner au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de mon corps, offrant ses cuisses ouvertes à ma bouche assoiffée lorsque je penchai la tête en arrière. Son sexe plaqué contre le bas de mon visage, elle accompagnait de feulements de plaisir et d’élans saccadés de son bassin les mouvements de ma langue et de mes lèvres contre sa vulve et son clitoris. Je bandais toujours à tout rompre et ça me démangeait de me branler, mais je ne voulais surtout rien précipiter.



C’était Pauline qui revenait de la salle de bains. Ma partenaire ne lui répondit que par une nouvelle série de gémissements. Mais mon envie de découvrir enfin le corps de Pauline était plus forte encore que celle de faire jouir Laetitia : je me redressai quelque peu pour tenter de voir par-dessus sa jambe. La jeune femme n’était pas tout à fait nue ; une serviette bouchonnée autour de sa taille cachait son bassin et ses cuisses. Mais sa poitrine ronde et pleine, et ce que je devinais des courbes de ses hanches, étaient aussi hyper excitants.


Que mon attention s’égare ainsi ne convenait toutefois pas à la jolie blonde, qui m’agrippa par les cheveux pour me ramener tout entier à ma principale activité. Je refermai mes mains sur ses fesses et replongeai ma langue dans son intimité brûlante. Elle se trémoussa de nouveau au-dessus de moi en geignant.


Je sentis un frôlement contre ma jambe ; ce devait être Pauline qui s’était approchée. Je la devinai s’agenouiller sur le canapé, au-dessus de mon bassin. Elle glissa une main le long de la raie de Laetitia, et enfonça deux doigts dans son sexe, effleurant ma langue ; elle les agita un moment avant de les ressortir pour les plonger au fond de ma bouche tandis que je m’efforçais de lécher encore. J’étais excité comme jamais, tendu à exploser.


Pauline abandonna ses caresses et referma une main autour de ma queue qu’elle releva, sans doute sous son corps ; je sentis sa serviette toucher mes cuisses, puis l’humidité de ses lèvres sur mon gland en même temps que son autre main qui devait maintenir ouverte sa vulve. Son bassin s’abaissait doucement au-dessus du mien, elle s’empalait sur moi, mon sexe entrait lentement profondément en elle. Je faisais des efforts pour ne pas gémir et continuer de lécher avec application Laetitia qui se dandinait de plus en plus vite au-dessus de moi.


Pauline imprima rapidement à tout son corps un puissant mouvement de va-et-vient ; ma verge tendue allait buter au fond de son vagin avant d’en ressortir presque intégralement et de s’y enfoncer à nouveau, arrachant à chaque fois à ma partenaire une longue plainte de plaisir. Je sentais toujours sa main que je devinais aplatie sur son clitoris enserrant ma hampe entre deux doigts.


Elle se pencha bientôt en avant pour venir accompagner ma langue de la sienne qu’elle plongea à son tour le long de la raie de Laetitia ; celle-ci se cambra instantanément à outrance en écartant ses cuisses pour offrir au mieux ses orifices à nos avidités. Et ses hurlements spasmodiques se muèrent soudain en une longue et ultime plainte d’extase tandis qu’elle se crispait par à-coups en mouvements désordonnés et en m’arrachant les cheveux. Et tout le temps de la jouissance de son amie, Pauline continua de se balancer vivement au-dessus de mon bassin. Laetitia s’effondra littéralement à côté de nous sur le canapé en poussant un dernier soupir.



Elle se redressa pour nous embrasser tour à tour. Je fixai désormais toute mon attention sur mon autre partenaire, que je défonçai de plus en plus vite. Elle avait toujours une main entre ses cuisses, qu’elle maintenait pressée contre son corps par-dessus la serviette, et gémissait ardemment à chacun de mes assauts. Laetitia se remettait doucement de son orgasme et ses yeux verts retrouvaient toute leur provocation.



Mais celle-ci n’entendait pas céder ainsi sa place et répondit entre deux gémissements :



Laetitia fronça les yeux d’un air mutin et s’agenouilla à côté de nous.



Je la regardai intensément, cherchant à comprendre ce qu’elle voulait dire. Sans rien ajouter, elle arracha d’un geste la serviette qui ceignait toujours la taille et le bassin de Pauline. Je poussai un hurlement de stupeur.



Pauline continuait de se tortiller au-dessus de moi sans la moindre hésitation ; et elle donnait même l’impression d’être passablement excitée par la vision qui s’offrait à nous. Moi, ça m’avait coupé tout net dans mon élan. Ramenant une main des fesses délicieuses de ma partenaire, je me frottai vigoureusement les yeux. Mais non, je ne rêvais pas.


J’en restais bouche bée, parfaitement stupéfait : la belle Pauline arborait une grosse et longue bite tendue, et la main qu’elle tenait plaquée contre son bas-ventre ne cachait plus qu’à demi une belle paire de couilles. Mes pensées virevoltaient à toute allure. C’était donc un trans ? Mais… non… pourtant, j’étais bien en train de la pénétrer. Mes doigts inquisiteurs parcoururent tout son corps rapidement ; sa poitrine, sa vulve, son anus… Hermaphrodite ? Oui, Pauline avait apparemment les deux sexes.



Laetitia avait attendu un instant en se délectant de mon hébétude, mais elle referma sa main sur la verge qui dépassait du pubis de la jeune femme et se mit à la branler fermement.



La sculpturale blonde m’embrassa ; je me laissai faire, parfaitement dépité. Elle m’enjamba pour venir s’agenouiller à califourchon sur mon corps face à moi de sorte que Pauline pût la pénétrer sans s’extirper de mon étreinte. Elle gémit longuement lorsque le phallus de la jeune femme s’enfonça en elle. Mais c’en fut trop pour moi ; mon excitation déborda et je criai soudain de plaisir en me crispant dans une dizaine d’ultimes va-et-vient, défonçant avec rage l’arrière-train de Pauline que je devinais se caresser à toute allure entre ses deux sexes derrière les fesses de Laetitia qu’elle pénétrait toujours malgré tout. La jeune femme se déhancha encore vivement quelques secondes au-dessus de mon bassin et hurla sa jouissance tandis que la mienne s’achevait.


Je restai planté en elle, savourant dans ma tête les coups de boutoir qu’elle assénait à sa copine de sa queue incroyable. Je me dégageai quelque peu de sous le corps de Laetitia pour pouvoir me délecter du spectacle. Je ne débandais pas d’un iota ; mon sexe demeurait rigide, tendu au fond de Pauline. Celle-ci avait refermé ses deux mains sur les hanches de sa copine et la défonçait puissamment. Je sentais la caresse de ses testicules sur mon pubis à chacun de ses va-et-vient. Et le corps de Laetitia se frottait contre le mien à la mesure des assauts de sa partenaire. Son plaisir et son désir coulaient de son sexe sur le bas de mon ventre.



Laetitia me lança un regard curieux ; Pauline se recula quelque peu, libérant sa partenaire en même temps qu’elle se libérait de moi. Ma queue toujours tendue à bloc retomba vers l’arrière-train de la blondinette que je pénétrai presque instantanément, lui arrachant un grand cri. Et j’assénai immédiatement de violents et rapides coups de bassin. Laetitia gémissait en me serrant dans ses bras. Pauline nous contourna et monta sur le canapé, approchant sa verge luisante de nos deux visages.



Elle n’avait plus rien à voir avec la jeune femme timide dont j’avais eu l’impression peu avant, qui rougissait à la mention de ma bite. Laetitia se précipita pour la pomper avec avidité. C’était moins naturel pour moi, mais l’excitation était telle que je le fis aussi sans trop hésiter. Et sa verge passait de l’une à l’autre de nos bouches tandis que je continuai de défoncer de toutes mes forces la blonde pulpeuse.


Pauline finit par descendre du canapé et nous contourna à nouveau pour aller reprendre la place qu’elle occupait précédemment derrière Laetitia, et je sentis soudain sa queue se presser tout contre la mienne à l’entrée du sexe ruisselant de la jeune femme. Je ralentis quelque peu mes assauts, et ma partenaire s’immobilisa pour permettre à sa copine d’entrer en elle. Nos deux phallus pénétraient sa vulve, s’écrasant l’un contre l’autre, écartant ses lèvres, déchirant et remplissant à la fois. Laetitia hurlait littéralement tandis que nous l’assaillions de concert, tantôt en phase, la défonçant au même rythme, tantôt en décalage, plongeant en elle l’un après l’autre.


Elle ne tarda pas à jouir, violemment crispée dans une série de cris saccadés plus impressionnants encore, avant de s’effondrer, presque inerte, entre nos deux corps. S’écartant de notre étreinte, elle libéra nos deux sexes ; Pauline se saisit du mien, qu’elle redressa et maintint tendu sous son entrejambe, et elle s’y empala de nouveau, en branlant désormais fermement sa queue toujours gonflée prête à exploser. Criant et se déhanchant de plus en plus vite et plus fort au-dessus de moi, elle se masturbait de ses deux mains qui passaient de son phallus à sa raie, de ses testicules à son clitoris. Je dévorais sa poitrine en même temps que j’excitais son anus.


Elle poussa soudain le début d’un hurlement plus fort, suraigu, et commença d’éjaculer en tous sens sur mon corps, ses premiers jets atteignant mon visage, tandis qu’elle accompagnait d’ultimes déhanchements de son bassin les dernières caresses de ses mains. Et son orgasme déclencha le mien ; mon cri couvrit le sien ; je me crispai à mon tour en me libérant par saccades au fond de son corps. Son sperme tombait sur ma poitrine, sur mon ventre. J’avais l’impression de sentir son plaisir ruisseler aussi de son sexe autour du mien. Elle se figea finalement dans un dernier soubresaut, la bouche grande ouverte, les yeux plissés, dans une mimique d’extase absolue. Et elle s’écroula soudain littéralement sur moi, parfaitement amorphe, immobile. Laetitia nous contemplait, apparemment ravie. Je secouai doucement ma partenaire. Elle ne bougeait pas.



Laetitia caressa son visage en l’appelant plusieurs fois. Mais la jeune femme ne réagissait pas.



Je m’extirpai lentement d’en dessous de son corps en regardant tour à tour les deux filles avec inquiétude.



Je ne savais pas trop quoi dire.



Je me levai. Beuh… j’avais du sperme partout.



Je m’éloignai en ramassant ma chemise.



Je sortis vers la chambre tandis que Laetitia se marrait et continuait de caresser doucement le visage de la belle hermaphrodite au canapé dormant.



***



Quinze minutes plus tard, je revins dans le salon, lavé, rafraîchi, rhabillé, mais surtout épuisé. Un gigantesque whisky m’attendait sur une table basse. Les filles étaient assises dans le canapé, encore nues ; Pauline s’était réveillée et son phallus, bien que toujours balèze, avait dégonflé. Elles me sourirent. Je m’approchai d’elles pour les embrasser. Et les remercier. Même si quelque part, sans que je sache bien pourquoi, j’avais l’impression de m’être fait couillonner. Mais ce furent elles qui me remercièrent finalement ; Pauline referma ses mains sur mon visage qu’elle pressa contre le sien pour m’embrasser à pleine bouche.



Je ne savais pas trop quoi répondre. Je regardai fixement le pénis de la jeune femme.



Pauline rougit derechef et attrapa sa serviette qui traînait toujours près du canapé pour s’en couvrir le bassin. Puis elle se leva.



Elle me sourit vaguement en passant devant moi. Je la rattrapai par le bras.



Et je l’attirai contre moi pour l’embrasser encore. Elle me sourit de nouveau, d’un vrai beau sourire, cette fois. Puis elle s’éloigna vers la salle de bains. J’attrapai mon whisky en remerciant Laetitia et m’assis sur un fauteuil face à elle.



Elle sourit aussi, mais d’un air plus cynique.



Elle rigola, puis s’alluma une cigarette, avant de me lancer son paquet.



J’allumai une cigarette à mon tour. En exhalant sa fumée et désignant la salle de bains d’un mouvement du visage, elle ajouta :



J’avalai une gorgée de whisky.



Je bus encore un peu d’alcool.



Je me marrai avant de reprendre :



Oops… c’était pas faux…



Je cherchai rapidement un autre sujet de conversation.



Malgré moi, j’étais presque un peu déçu.



Elle prenait un malin plaisir à se payer ma tête. Elle dut voir que mon orgueil de mâle en prenait un coup, car, se levant pour écraser sa clope, elle vint m’embrasser et murmurer à mon oreille :



En matant ses seins, je demandai :



Abandonnant son mégot au fond d’un cendrier, elle me répondit, toujours espiègle :



Je relevai vers elle des yeux sans doute pleins d’espoir.



Elle sourit.



Grrr, elle se payait encore ma tête…



Elle rigola.



Elle s’approcha tout contre moi et pressa un genou sur mon entrejambe.



Elle se laissa choir sur moi en riant. On s’embrassa encore, et je la pelotai et la doigtai un peu, par acquit de conscience.




À suivre…