n° 14423 | Fiche technique | 20597 caractères | 20597Temps de lecture estimé : 12 mn | 31/05/11 |
Résumé: L'émancipation d'un homme et d'une femme mûrs, trop classiques dans leur vies habituelles. | ||||
Critères: fh hagé fagée inconnu hotel train fsoumise hdomine -extraconj | ||||
Auteur : Cedral (Homme mûr mais encore tonique et plein de charme et de douce) |
DEBUT de la série | Série : Vies parallèles Chapitre 01 | Épisode suivant |
Un train, un TGV, par une belle journée d’été, qui rentre sur Paris à la mi-journée. C’est dire qu’il est bien peu rempli, presque vide même, puisque ce n’est pas encore l’heure d’affluence, due aux hommes et femmes d’affaires. Dans un compartiment, presque vide aussi, en cette place centrale des TGV qui donne un peu plus d’espace à ses occupants, un homme et une femme face à face et silencieux. Très vraisemblablement, à considérer leur costume et tailleur élégant mais strict, homme et femme d’affaire qui n’avaient en province qu’une réunion pour la demi-journée et qui profitent du plaisir de rentrer tôt, seuls, dans un train presque vide…
Après avoir, pour leur bonne conscience, chacun consulté quelques-uns de leurs dossiers puis, pour la forme, jeté un regard sur le journal acheté à la gare, par habitude, ils ont l’un et l’autre posé tout et se contentent de regarder le paysage qui défile à vive allure. En laissant l’un et l’autre vagabonder leurs pensées… Des regards de l’un vers l’autre, à la dérobée d’abord, puis plus directs après que leurs yeux se sont croisés. L’opportunité, pour l’un et l’autre, de se faire une certaine idée, curieusement commune, de leur vis-à-vis. Plus tout jeunes – la cinquantaine approximative – mais manifestement « bien conservés », comme on dit habituellement, grâce à une pratique assidue des sports, du bronzage, du soleil. De quoi éviter tout embonpoint et conserver un corps manifestement entretenu et… attractif ; des vêtements bien coupés, de bon goût, classiques pour les deux ; pour chacun aussi une alliance à la main gauche qu’ils ont l’un et l’autre remarquée tout de suite. Bref, ils s’en sont faits la réflexion personnelle et silencieuse, de nombreuses analogies apparentes, dans l’apparence au moins… Lui sportif, grand, élégant. Elle élégante, a priori un peu réservée, mais racée et très « classe ».
Des regards, une ou deux ébauches de sourire, mais évidemment pas un mot entre eux.
Plusieurs minutes ainsi et l’homme sort un papier de sa poche, y griffonne quelques mots, le plie et le transmets à sa voisine.
Qui le prend, le laisse ostensiblement devant elle, et se résout après quelques minutes d’attente à le déplier…
Trois simples mots suivis d’un point d’interrogation : « bas ou collants ? »
Oups ! se dit-elle. Surtout pas un geste, pas un mouvement du visage. Il doit guetter ma réaction. Ne pas laisser ma respiration s’accélérer… Reprendre mon calme. Réfléchir. Comment réagir ? Quelques instants interminables pour juger et jauger de la situation, de la meilleure réponse à apporter.
Ce ne fut que l’occasion, pour l’un et pour l’autre, que de confirmer leur première impression, positive, qu’ils avaient l’un de l’autre…
Ce fut elle qui, au moment de retourner vers leurs places assises, reprit le dialogue :
Ils regagnèrent leur wagon ; elle fit un petit détour par les WC avant de le rejoindre à leurs places.
Il l’examina, avec délicatesse, mais précision, à la fois par le toucher, la vue et l’odorat et jugea que, bien qu’il s’agît de collants, l’ensemble était de bon goût et pas de nature à le faire maintenant reculer.
Elle sourit devant le tact avec lequel cet homme répondait à ses aspirations.
À peine ces derniers mots prononcés, elle parut gênée et rougit légèrement ; elle essaya d’esquiver le dialogue mais il insista :
Elle hésita, rosit de nouveau et s’enhardit
Ils se turent ensuite un certain temps, l’un face à l’autre avant que dans un lent mouvement il lui rende son collant.
Sa respiration se bloqua quelques instants, d’émotion, de plaisir anticipé, mais aussi de légère appréhension face aux heures à venir.
Elle entreprit donc de se lever afin de regagner les toilettes pour y remettre son collant. À peine commença-t-elle à s’extirper de son fauteuil, qu’il lui intima de rester là.
Elle voulut un instant résister mais il n’eut pas à dire un seul mot supplémentaire. Son sourire, doux et gentil, ne supportait pas la contradiction. Il lui fallut s’exécuter là, dans le train, comme elle aurait à le faire, c’était son souhait, le reste de l’après-midi, qui commençait bien, conformément à leurs attentes communes.
Elle retira donc ses escarpins et, à la suite quand même de quelques curieuses contorsions impudiques mais agréables au cours desquelles elle enfila une jambe, puis l’autre, elle réussit sans trop de difficultés à remonter son collant jusqu’aux genoux, puis à mi-cuisses. Le reste fut quand même un peu plus délicat. Elle dut décoller ses fesses du siège et, sous la robe, ajuster l’ensemble. Cette opération, presque animale, la lui montra dans une attitude appliquée qui contrastait beaucoup avec celle de la femme « très comme il faut » qu’il avait eu devant lui pendant tout le voyage. Il jugea toutefois l’épisode comme prometteur
Le train arriva. Ils en descendirent sans un mot et se dirigèrent, en silence, vers ces hôtels modernes et confortables qu’on trouve là, sans même sortir de la gare. Il commanda une chambre, très simplement, en la voulant spacieuse. Pourquoi donc, se demanda-t-elle ? On verrait bien…
La chambre se révéla effectivement lumineuse et grande avec, notamment, une immense table de bois dans un coin de la pièce. Petit passage, pour chacun, dans la salle de bains pour procéder aux ultimes ajustements et ablutions, qu’on sait nécessaires avant de se présenter au mieux de ses attraits.
Un grand mur sur un des côtés de la chambre était désespérément vide de toute décoration.
Elle faillit répondre oubliant la consigne de silence qui lui était désormais imposée. Elle se reprit néanmoins juste à temps. « Intelligente et docile ».
Face au silence, il dut néanmoins répéter :
Il avait raison de faire confiance à l’intelligence de cette belle femme qui comprit qu’elle devait s’y diriger pour meubler cette réelle absence de toute décoration. Elle s’y appuya, de dos, et il se dirigea lentement vers elle, lui déposa un très, très léger baiser sur les lèvres. Doucement, il lui prit les mains, la recula du mur, la retourna, l’écarta à un mètre environ, un peu plus peut-être, et posa ses mains en appui sur le mur de la chambre, à hauteur des épaules, distantes d’environ un mètre l’une de l’autre. Là, à la vue de ce tableau, qui commençait effectivement à prendre forme, il lui demanda de reculer un peu ses pieds, afin qu’elle soit un peu penchée. La femme se tenait donc là, en bel équilibre sur ses appuis, mais sans aucune latitude d’autre mouvement. Donc équilibrée, mais sans rempart. Disponible, offerte, visible, malléable.
Il fut satisfait de ce premier tableau et vint se glisser, le dos appuyé contre le mur, entre les bras de la femme. Il plongea les yeux dans les siens, lui déposa de nouveau quelques très légers baisers et commença doucement à déboutonner les boutons de son chemisier.
Toutefois, les seins de la dame lui parurent tellement prometteurs qu’il ne put s’empêcher de les délivrer de leur emballage en dentelles. Il aima les voir sortir de leur gaine, s’aérer, flotter un peu et se stabiliser. Il aima les caresser, les prendre, des titiller, les solliciter, longuement et délicatement. Il aima entendre les tout premiers feulements de sa partenaire qui semblait éprouver les premières montées du désir, ou peut-être, du plaisir. Il quitta, lui, cette position, se baissa pour se dégager des bras de la dame qui entouraient sa tête et s’attarda un peu sur les aisselles bien dégagées, qui se sont rappelées à lui, au passage, par une odeur caractéristique et un peu marquée.
Par derrière, il continua bien entendu, à lui malaxer les seins qu’elle avait beaux et lourds. Il la fit même reculer assez nettement afin que son buste soit presque parallèle au sol, afin donc que les seins pendent de tout leur poids. Ils étaient beaux et méritaient qu’on s’y attarde. Il s’y attarda donc par des caresses appuyées et répétées qui se terminaient par la pointe des tétons, rigides et durs depuis longtemps. La dame continuait à gémir régulièrement. Cela lui fit comprendre qu’il était quand même plus que temps de s’occuper d’autre chose. Les caresses remontantes entre les jambes qu’il lui avait demandé d’écarter lui confirmèrent bien entendu le diagnostic du train : c’était un collant
Pour l’heure, il ne s’attarda pas sur la jupe, qu’il dégrafa prestement sans autre forme de procès et qui lui dévoila subitement un cul merveilleusement proportionné. Superbe…
Il en prit une chaise, de satisfaction, et s’installa bien tranquillement. Il fit doucement descendre le collant, qu’il lui ôta complètement, en enlevant les escarpins l’espace d’un instant avant de les remettre, car il tenait absolument à ce qu’elle les garde, tout l’après-midi, en toute circonstance, à tout moment et dans toute position… Il baissa la culotte, mais uniquement à mi-cuisses, car il aimait que la liberté de manœuvre de la femme soit un peu entravée au moment des caresses ultimes. Et là, dans cette position insolite, il examina avec plaisir, et avec tous ses sens, ce qui était à proximité de ses yeux, de ses doigts, de sa bouche.
L’affaire prit un certain temps car le fruit était superbe et, dégagé de toute contrainte, plaisant à lutiner. Ses doigts parcouraient très lentement la fente, qu’ils faisaient frémir à chaque effleurement. La bouche y posait ensuite un baiser appuyé. La femme commençait à ahaner sérieusement, à râler bientôt. Il dut la rappeler à son devoir de silence.
Il se releva et vint très directement poser ses doigts sur les lèvres de la bourgeoise
Un peu incrédule, elle crut quand même comprendre assez vite que ce choix serait celui du doigt qui la pénétrerait.
Dans cette position offerte, appuyée contre la paroi, les pieds éloignés du mur, et écartés entre eux, les seins lourds pendant vers le sol, la femme si élégante du train n’était plus vêtue que de sa culotte, à demi baissée, comme elle était elle-même à demi baisée, et de ses escarpins. Il continua à la besogner avec goût et plaisir tout en profitant de sa liberté pour se déshabiller lui-même en ne gardant que son slip. Il libéra enfin sa partenaire en l’autorisant à se dégager de ce mur contre lequel elle était appuyée depuis un certain temps. Il la couvrit de baisers pour la remercier de ce premier moment et elle se crut le droit d’utiliser ses mains. Que non !
Il lui imposa alors de garder les doigts croisés derrière la nuque. Il avait alors une vue complète et réellement impudique sur cette bien belle femme quasiment prisonnière de cette position, perchée sur ses superbes escarpins et entravée par sa culotte, toujours à mi-cuisses, qui limitait sérieusement l’amplitude de ses pas qui lui présentait ses aisselles, presque obscènes.
Il la regarda doucement avant de lui dire calmement
Maintenant parfaitement habituée à obéir sans barguigner, elle comprit qu’elle n’avait rien d’autre à faire que de s’agenouiller devant l’homme debout et, les mains toujours croisées derrière la tête d’utiliser sa bouche et ses dents pour lui enlever son slip. L’exercice exigea encore de belles contorsions jusqu’à ce que l’homme fût complètement nu, le sexe évidemment au garde-à-vous très disposé à rendre à la dame l’hommage qu’elle attendait pour récompense de son efficace action.
Il aimait suggérer sans imposer, faire en sorte que la docilité absolue de sa partenaire s’affiche au grand jour.
La femme comprit bien sûr instantanément et se dirigea sans hésiter vers la table. L’impossibilité d’utiliser ses mains la conduisit à quelques contorsions supplémentaires pour y grimper : elle s’assit sur le rebord puis ramena ses jambes qu’elle fit ensuite tourner. Elle était désormais au milieu de la table.
C’était tellement agréable pour lui d’être directif sans être trop précis.
Elle hésitait, ne comprenait pas bien, se coucha finalement sur le dos au milieu de la table…
À suivre…