n° 15951 | Fiche technique | 22985 caractères | 22985Temps de lecture estimé : 13 mn | 10/12/13 corrigé 10/06/21 |
Résumé: La rencontre forfuite d'un homme et d'une femme dans un TGV ; et la suite... | ||||
Critères: fh hdomine odeurs fetiche chaussures yeuxbandés | ||||
Auteur : Cedral (suite d'un premier tecte publié il y a déjà un certain temps) |
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Résumé de l’épisode précédent :
C’est la suite d’une scène commencée depuis bien longtemps et qui avait laissé les deux protagonistes dans un hôtel proche de la gare de Lyon (cf. Le TGV de 15 heures). Ne se connaissant pas trois heures auparavant, ils avaient décidé, en descendant du TGV, mus sans doute par un désir réciproque, de passer un moment ensemble dans un de ces hôtels proches de la gare de Lyon.
La femme d’affaires, belle et mûre, n’était donc plus vêtue que de ses seuls escarpins et de sa culotte, descendue au niveau de ses genoux, mais qu’il lui avait demandé de ne pas enlever complètement. Elle était donc ainsi un peu gênée dans l’ampleur de ses gestes, ce qui faisait paraître ses mouvements particulièrement – mais bellement – impudiques.
Après avoir disposé une douce couette sur la table qui était au milieu de cette vaste pièce, il aida la femme à s’y placer. Il hésita sur l’exacte position qu’il voulait lui demander d’abord, car il était assez évident qu’elle aurait à se montrer par la suite sous de multiples facettes.
Un vieux fantasme : baiser en conservant ce vouvoiement d’habitude abandonné dans ces moments de grande proximité.
Elle se redressa donc pour prendre la position demandée. La symétrie de ce corps, sur cette large table, était magnifique. La femme offerte, prête à être prise, en appui sur ses genoux et ses mains, constituait un magnifique spectacle. Il se félicitait de lui avoir demandé de garder ses escarpins et sa culotte à mi-genoux.
Il fit plusieurs fois lentement le tour de cette table avec ce futur trophée qui y était superbement positionné. Sans la toucher, il contempla le corps de cette femme pour le moment immobile, dans la douce chaleur de cette chambre d’hôtel. Il l’imaginait dominatrice dans les réunions professionnelles qu’elle animait, sans doute avec autorité, dans sa vie de femme d’affaires. Il l’imaginait au contraire dominée et obéissante dans les minutes qui allaient suivre. Immobile et offerte pour le moment, comment serait-elle dans le feu de l’action ultérieure. Il se plut à l’imaginer…
La vue du collant de la femme, par terre, lui donna une première idée. Il le ramassa et, très doucement, presque tendrement, il lui en banda les yeux. Ceci ajouta à l’impression de soumission de la femme qui ne s’y trompa pas et émit, au moment où il lui banda les yeux, un premier petit gémissement, qui confirmait qu’elle comprenait de mieux en mieux ce qui allait se passer.
Parce que la moquette de la chambre était épaisse, elle ne savait absolument pas où se situait l’homme qui allait la posséder et qu’elle ne connaissait pas quelques heures auparavant. Elle frissonna donc la première fois que sa main effleura très doucement ses jambes fuselées et bronzées.
Elle écarta donc les cuisses à la limite de ce que permettait la culotte, toujours là au niveau des genoux. Ceci permit à l’homme un premier geste plus intime. Il se contenta d’abord de placer la paume de sa main sur le sexe de la femme, qui émit un autre gémissement.
Elle ne put acquiescer que par un hochement de tête, seul signe autorisé et il aima cette situation. En silence, il fit le tour de la table et elle fut surprise de sentir qu’il était dorénavant juste en face d’elle. Lui debout, elle à quatre pattes sur cette table, il avait le sexe au niveau du visage de la bourgeoise BCBG, mais nue.
Curieusement, il crut comprendre un léger mouvement de réserve, comme si cette dame – qu’il imaginait expérimentée – n’aimait pas, ou ne savait pas, ce qu’il avait en tête. Mais son inquiétude fut de courte durée car elle sut docilement prendre en bouche ce sexe dressé et y procéder avec une bien belle application aux premiers travaux préliminaires. Il apprécia ce savoir-faire, debout, avec une vue plongeante sur ce corps symétrique et appliqué. Il avait notamment le spectacle de la croupe et de ce corps qui bougeaient au rythme de la fellation et des allers-retours de la tête que la femme s’appliquait à réaliser. Il sentait en outre son parfum, qu’il identifia aisément tellement il l’appréciait.
Il se pencha au-dessus du dos de la femme qui continuait à le sucer avec application, et il commença à doucement titiller le sexe de la femme. Son pubis n’était pas glabre mais les poils, blonds, n’étaient pas trop foisonnants et n’empêchaient pas l’accès facile à cette première intimité.
C’est l’index qu’il utilisa d’abord. Un index qui surprit un peu la louve en action quand, après avoir mené ses propres travaux d’approche, il commença à la pénétrer avec lenteur. Nul doute que les autres doigts seront ensuite essayés, plus tard.
Plusieurs allers-retours assez complets le long de la paroi intime de sa partenaire permirent à l’homme une première constatation :
Il en avait assez pour mettre alors cet index dans sa propre bouche. Il fut plus qu’agréablement surpris par le goût qu’il découvrit ; presque un peu épicé, avec une petite aigreur, fort et évidemment sensuel.
Il se dégagea de la bouche de sa partenaire, fit le tour de la table, s’installa confortablement à l’autre extrémité dans un solide fauteuil et fut ainsi plus à son aise – plus « à sa main » – pour regarder, caresser, frôler, pénétrer, déguster le sexe de sa partenaire. Comme prévu, tous ses doigts furent utilisés… y compris le pouce, qu’il suça avec délectation.
Elle gémissait de plus en plus, sans doute frustrée de n’avoir toujours pas le droit de parler. Il eut envie alors qu’elle puisse se goûter elle-même.
Elle aima effectivement avoir en bouche son odeur personnelle que l’homme lui faisait partager lentement.
Il lui enleva donc délicatement sa culotte de soie blanche qu’il aima renifler et sentir. Une culotte déjà pleine des senteurs prometteuses qu’il voulait connaître encore mieux. Une culotte qu’il posa, pour le moment, sur son sexe dressé qui fit office de porte-manteau. La femme n’était désormais plus habillée que de ses escarpins, qu’il avait décidé qu’elle garderait aujourd’hui jusqu’au bout, de son collant, qui lui bandait les yeux, et de son parfum, envoûtant.
Il lui fit comprendre qu’il fallait maintenant changer de position en ne se mettant plus en appui sur les mains, mais sur les avant-bras. Assis à l’autre bout de la table, il lui tira ensuite un peu les jambes vers lui afin d’être confortablement positionné entre les cuisses de madame. La croupe ainsi relevée et offerte, déjà ouverte, elle comprit d’elle-même qu’il lui fallait approcher son sexe du visage de l’homme dont elle sentait le souffle derrière elle. Il aima ce réflexe bestial. Il aima cette saine et simple animalité de femelle. Il apprécia qu’elle approche d’elle-même sa féminité de son visage, de sa bouche, de son nez, de ses yeux. Il aima cette docilité et cette directe sollicitation. Avant de s’enfoncer dans la découverte buccale de ce sexe, il ne put s’empêcher un coup d’œil intéressé au petit trou de la dame. Sage, fermé, rose, joliment et petitement circulaire, il lui apparut comme un autre futur objectif.
Il crut ressentir le même premier moment de recul que tout à l’heure quand il avait, doucement mais fermement, sollicité la fellation.
Pour l’heure, il descendit donc avec son nez, puis sa langue, sur le sexe de sa partenaire. Il la lécha dans tous les sens tandis qu’elle commençait réellement à longuement et bruyamment feuler. Il entourait chacune de ses cuisses de chacun de ses bras et exerçait sur le sexe une forte pression de son visage. Ses petits et rapides coups de langue suscitaient chez la dame des à-coups réguliers. Il voulut ensuite passer avec force sa langue sur tout le sexe de la louve. Ce qu’il fit avec beaucoup d’application avant de venir alors à l’autre bout de la table. Il lui prit la bouche et l’embrassa longuement et goulûment, pleinement, afin notamment de lui faire bien partager son propre goût.
Faut-il préciser qu’il observa le même petit mouvement de recul que ceux précédemment observés à l’évocation d’une pratique qui n’entrait manifestement pas dans ses habitudes ?
Au moment où il donnait à la femme le goût de son goût et de son propre sexe, il décida de lui enlever le bandeau de ses yeux afin de pouvoir contempler le visage de la femme quand elle subirait les derniers assauts. Les yeux dans les yeux, le souffle dans le souffle, face à la femme haletante et mouillée, il lui murmura alors les mots qu’elle attendait :
À vrai dire, c’est exactement ce à quoi il s’attendait.
Pendant qu’elle hésitait, gênée et vaguement rosissante, il avait de nouveau entrepris de lui caresser le sexe de tous ses doigts. Elle ahanait de plus en plus fort…
Il s’était levé et lui présentait de nouveau son sexe dressé auquel elle sut rapidement rendre l’hommage attendu… Entre deux mouvements de fellation, quand elle eut la bouche libre :
Il continuait à lui présenter son sexe. Pour fellation !
Il goûtait infiniment ce vouvoiement bien inhabituel en pareilles circonstances. Et il appréciait de lui donner du « Madame » avant de lui donner rapidement des choses plus crues.
Pour toute réponse, sans doute parce qu’elle n’osait pas le nom, elle se positionna sans un mot en levrette sur la table et offrit son sexe ouvert et déjà béant au sexe de l’homme. Qui n’en fit pas, là, l’usage escompté, se contentant de l’embrasser de nouveau goulûment.
Il se leva, l’attira vers lui en la plaçant au bord de la table, lui releva les jambes verticalement et les plaça chacune, chaussées des escarpins hauts, au-dessus de son épaule.
Elle dans cette position, il lui titillait le sexe sous ses râles de plus en plus prononcés.
Sans réponse…
C’était le mot qu’il souhaitait. C’était le signal attendu pour qu’il positionne son sexe entre les cuisses ouvertes de sa partenaire. Ses jambes autour de son cou, il commença à la pénétrer avec douceur et sans aucune difficulté tellement elle était lubrifiée. Il aimait cette position, animale et complète.
Il entreprit alors ses va-et-vient réguliers et appliqués pendant que la dame criait de plus en plus. Il lui prit les bras et les plaça droits, à la verticale sur la table, au-dessus de sa tête, afin d’accentuer ce phénomène de domination. Il lui voyait les aisselles, glabres ; les seins, forts et agités ; les yeux, mobiles du plaisir naissant. Il amplifiait ses mouvements avec application. La dame criait de plus en plus.
Pas d’autre réponse que des gémissements amplifiés… Elle n’en pouvait plus et avait depuis longtemps dépassé le stade de l’orgasme habituel. Il continuait à la besogner consciencieusement. Il voulait pour cette première fois partir en elle. Mais il décida de s’en retirer momentanément.
Elle le fit à la vitesse de l’éclair, comme la bête en rut qu’elle se sentait être.
Il aima l’usage expert qu’elle fit de nouveau de sa bouche avant de lui demander de reprendre position.
Il s’acquitta de sa mission avec entrain. Il alla au fond, touchant le fond de la dame. Chaque frottement de son sexe contre les parois internes de la femme d’affaires arrachait à celle-ci des feulements bestiaux. Elle avait déjà joui plusieurs fois…
Ce furent les derniers mots qu’il prononça avant d’exploser à son tour et que les deux corps s’agitent à l’unisson dans des spasmes synchronisés. Il se déchargea en elle, resta quelques moments au chaud, alla lui poser un tendre baiser sur la bouche et se retira.
Il la fit descendre de la table avec délicatesse mais lui rappela ses dernières obligations :
Avec docilité, elle prit la position souhaitée, sans barguigner. Elle prit en bouche le sexe de l’homme, ramolli à ce moment, et se fit un devoir de le nettoyer très consciencieusement.
Presque comme une jeune fille timide, elle opina du chef et avala avec application le résultat de ces ablutions. Alors doucement, il lui prit la main, ouvrit le lit accueillant de cette chambre d’hôtel et l’aida à s’y glisser afin de prendre quelques moments de repos bien mérité.
Il prit donc de son côté une douche bien agréable et très réparatrice en pensant au doux moment qu’il venait de passer. Il enfila son costume d’hommes d’affaires et revint ensuite doucement dans la chambre où la femme s’était presque assoupie. Un peu étonnée de le revoir dans ce costume qui lui parut insolite, elle fut rapide à sortir de sa torpeur.
Il l’arrêta net en lui mettant sa main devant la bouche pour l’empêcher de parler.
Tout en parlant ainsi, il lui prit doucement la main pour l’aider à sortir du lit, lui demanda de remettre ses escarpins. Il aima ce moment impudique où, assis dans un fauteuil, il regarda la femme mettre ses talons aiguilles. Debout de nouveau, elle le vit arriver doucement, tenant en main son collant. Elle ne fut donc qu’à moitié surprise de le voir de nouveau lui bander ainsi les yeux. Il prit alors les affaires en main ; en l’occurrence, il prit doucement la dame par la main et la conduisit vers l’endroit où se situait la table de leurs récents ébats.
Il lui mit cette fois-ci les mains en appui sur la table à laquelle elle faisait désormais face, les yeux bandés.
Elle était désormais presque à angle droit, offrant une splendide vue sur sa croupe.
Ce qu’elle fit sans tarder, et sans hésiter. Elle sentit aussi les mains de l’homme de nouveau solliciter son intimité, pour son plus grand bonheur et pour un plaisir qu’elle comprenait de nouveau arriver. Elle l’entendit nettement, derrière elle, dégrafer sa ceinture et laisser tomber son pantalon…
Appuyée à la table, de nouveau offerte et toujours obligée au silence, elle comprit qu’elle allait de nouveau être prise selon l’idée de son partenaire. Celui-ci apprécia de nouveau ce magnifique spectacle et vint se placer derrière elle. Tout en empaumant ses seins magnifiques, il commença ses travaux d’approche tout en lui parlant.
Il commençait à la pénétrer doucement. Elle commençait à feuler de nouveau.
Tout en parlant, il continuait à la besogner avec une belle régularité. Elle continuait à gémir de plaisir. Elle commençait à crier… Son corps se dandinait, de droite et de gauche, et ses seins ballottaient agréablement. De son côté, il poussait son sexe profondément dans la dame.
Il n’est pas certain qu’elle entendit car elle venait de nouveau de franchir les limites de l’orgasme absolu. L’homme, de son côté, retrouva aussi un beau plaisir, avant de se retirer, délicatement ; de remonter son pantalon, sans autre cérémonie ; d’ouvrir la porte de la chambre d’hôtel ; et de partir en laissant la dame reprendre tout doucement ses esprits.