n° 14443 | Fiche technique | 57161 caractères | 57161 10257 Temps de lecture estimé : 42 mn |
20/06/11 |
Résumé: Catherine est invitée avec Sylvie chez le frère et la belle-sœur de celle-ci. Belle-sœur peu appréciée et cela va donner l'occasion à Sylvie d'orchestrer un petite vengeance. | ||||
Critères: fh ff fbi fplusag fête fsoumise fdomine vengeance exhib noculotte ffontaine fouetfesse | ||||
Auteur : Bijanus Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Catherine Chapitre 09 | Épisode suivant |
Catherine découvre que le jeune Damien, hébergé chez son amie, a installé une webcam pour l’espionner dans sa chambre (Lire : Caméra cachée – 14234). Il ne lui en faut pas plus pour se laisser allez à ses pulsions et tomber dans les bras de Damien, ou plutôt lui ouvrir largement ses cuisses. Le jeune voyeur qui n’en demandait pas tant, n’a pas laissé passer l’occasion de copuler avec la femme qui le faisait tant fantasmer. Tout aurait pu en rester là, si Sylvie n’avait pas surpris les ébats amoureux et surtout modérément apprécié le comportement de Catherine sous son toit. Mais finalement cela lui donne l’occasion de développer cette nouvelle personnalité qui commence à voir le jour en elle.
Sylvie a passé le reste de la journée à jouer l’amie outragée. Même si sa colère, de prime abord, n’était pas feinte, je vois bien que maintenant elle se complaît à me rudoyer, me demande de me soumettre à ses quatre volontés en utilisant la bonne excuse de mon comportement. Elle se comporte en parfaite maîtresse des lieux, un vrai dictateur en jupon.
La nuit passée, où nos ébats ont pris une tournure nouvelle pour elle, lui a semble-t-il révélé une sorte de vocation. Vocation qui est de jouer le rôle de la maîtresse-femme prenant totalement le dessus sur moi et de me traiter comme la dernière des traînées. Rôle qui, somme toute, me va assez bien mais cela vous le savez déjà. Je me laisse donc faire toute la journée pour son plaisir et aussi, il faut le dire, avec un sentiment de culpabilité, à moins que je ne joue à moi-même ce rôle inconsciemment pour mieux apprécier la situation.
La nuit venue, elle me rejoint dans ma chambre visiblement très excitée par son jeu de la journée et nous faisons un remake de la nuit précédente en version encore plus hard. Elle est trop allumée pour refréner son attitude malgré la présence des garçons, heureusement que la chambre de son fils est à l’autre bout de la maison au rez-de-chaussée. Peut-être aussi que de savoir Damien à côté participe à son plaisir, même si elle ignore la présence de la caméra qui ne manque pas de s’allumer comme la nuit précédente. Je me fais donc une fois de plus fesser, traiter de tous les noms et nous faisons l’amour sous l’œil électronique.
Le lendemain une Sylvie revenue à la normale m’annonce :
Vers 18 heures, Sylvie m’entraîne dans ma chambre afin de me préparer pour la soirée. En ouvrant ma penderie elle dit :
Sylvie étale les nombreuses robes, jupes et autres que j’ai amenées dans ma grosse valise. Fort heureusement, je n’avais pas lésiné sur la quantité, toutes les femmes sont les mêmes dans ce domaine, on a toujours peur de rien avoir à se mettre. Elle jette son dévolu sur une petite robe courte.
Sylvie disparaît de ma chambre et j’enfile la fameuse robe. Elle est rouge avec un grand décolleté en V qui part des épaules et finit entre les seins, un peu en dessous. Pour le bas, elle est, bien sûr, courte avec des volants s’arrêtant à mi-cuisse. Sa particularité est d’avoir un large bandeau élastique noir qui serre et moule la taille et remonte assez haut sous la poitrine faisant bouffer le décolleté. Sur la partie basse, le tissu part en s’évasant pour former une sorte de jupette courte. Je suis en pleine séance d’admiration devant le miroir lorsque Sylvie réapparaît.
Elle porte aussi une robe légère de saison, aux nuances mauves, près du corps, mais bien plus sage que la mienne malgré tout. Une grande encolure en rond laisse voir la naissance de sa poitrine. Seule une fente coupant le tissu le long de la cuisse donne un peu de fantaisie à la robe qui s’arrête au-dessus du genou.
J’exécute l’ordre et lui présente mon dos. Je sens le haut du V de ma robe glisser sur mes épaules, descendre le long de mes bras et je me retrouve en soutien-gorge. Des doigts s’activent alors sur l’attache dans mon dos, quelques secondes suffisent pour que je sente mon 95 D, ou E, cela dépend des marques, se relâcher et disparaître de mon buste.
Alors que je remets les pans de ma robe à leur place sur mes épaules, Sylvie soulève les volants de la robe.
Ses doigts se glissent sous l’élastique de mon slip et le tirent vers le bas. Je n’ai pas besoin d’explications détaillées pour savoir que je dois jouer des jambes pour que ma culotte me quitte définitivement pour la soirée.
Sa culotte se retrouve sur ses chevilles et rejoint la mienne au pied de la penderie.
En me donnant une tape sur les fesses Sylvie ajoute :
Avant de partir, je me regarde une dernière fois dans le miroir, mes bouts de seins toujours aussi proéminents à leur état naturel forment deux bosses bien visibles sous le tissu assez fin de la robe. Quand je me mets en marche pour suivre Sylvie, je les sens ballotter à chacun de mes pas. D’autant que je suis perchée sur mes sandales à hauts talons qui rendent ma démarche encore plus chaloupée.
Moins de trente minutes après, nous sommes devant leur porte, c’est la maîtresse de maison qui nous ouvre. Hélène est une grande femme aussi sèche que Sylvie est ronde, des cheveux noirs marbrés de quelques fils blancs tirés en arrière renforcent ce sentiment de froideur que j’ai en la voyant. Son corps est sans forme, on le devine aisément même si elle porte une robe un peu ample. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle n’a pas un charisme fou engageant à la sympathie. Je lui donne entre 45 et 50 ans.
Après un effleurement des joues qui tient lieu de bises, Sylvie poursuit :
Je vois à sa trombine qu’elle apprécie peu ce qu’elle voit, certainement pour cela qu’elle reste muette un certain nombre de secondes. Ces yeux riboulent dans leur orbite comme pour dire « mais qu’est-ce qu’elle m’amène là, l’autre », puis poursuit :
Elle nous tourne le dos et s’avance à l’intérieur. Je profite de cela pour chuchoter à l’oreille de Sylvie.
Nous étouffons un rire toutes les deux et suivons madame glaçon à travers la maison quand elle nous dit :
Sylvie me chuchote à l’oreille :
Je souris en voyant qu’elle ne rate pas une occasion de la critiquer, c’est vraiment le grand amour entre ces deux-là. Je comprends encore mieux son besoin de la torturer en m’utilisant comme objet de sévices. Nous débouchons sur une grande terrasse, immense même, bien ombragée sous une pergola garnie de végétation. Une jolie piscine trône en effet sur un des côtés de la terrasse et, quoiqu’en dise Sylvie, je dois avouer qu’un sentiment de fraîcheur bienfaisante m’envahit à sa simple vue et au son du clapotis de l’eau. Tout le monde est assis autour d’une table basse de jardin. Nous les rejoignons en descendant trois larges marches partant de la maison. Je sens ma poitrine, totalement libre de tout maintien, ballotter joyeusement à chacun de mes pas. Trois paires d’yeux suivent notre arrivée.
Sylvie me présente au reste des invités et à Paul. Fanny à l’air bien moins coincée que sa sœur, et plus jeune aussi. Elle a un nez court et pointu, des grands yeux verts rieurs qui ressortent bien sous une coupe au carré de cheveux bruns. Son visage est aussi encadré par une paire de lunettes noires rectangulaires qui lui donne un air de maîtresse d’école ou quelque chose comme ça. Son corps aussi est plus féminin que celui de sa sœur et révèle quelques formes sous un T-shirt étroit et un bermuda moulant. Son mari a un visage très jeune. Seuls ses cheveux gris trahissent un âge bien plus avancé que pourrait le laisser croire une figure exempte de toute ride. Un franc sourire le rend d’abord sympathique. Lui aussi est svelte et semble avoir un corps tonique. Paul, quant à lui, est bien enrobé, un estomac bien rond, des joues bien gonflées et comme pour être bien assorti au reste, un crâne bien dégarni et parfaitement rond lui-aussi. Contrairement à sa dame il est beaucoup plus chaleureux qu’elle :
Tout en me disant cela, je vois que son regard glisse sur mes formes. Je n’ai pas à me poser la question de savoir si je dois lui faire la bise car il se jette sur mes joues pour y déposer deux bisous sonores. En suivant l’exemple, Fanny et Thierry me donnent l’accolade.
Une balancelle à deux places nous tend les bras, nous nous asseyons, ou plutôt nous nous enfonçons dedans, Sylvie et moi, tellement elle est profonde et basse. La position est telle que ma courte robe ne couvre plus que le minimum et dévoile largement mes cuisses que je garde bien sagement serrées. Décidément Paul à l’œil vif, comme me le laissait entendre Sylvie, car ses yeux ronds sont déjà en train de reluquer mes cuisses dénudées. Son attention n’a pas échappé à mon amie qui affiche un petit sourire satisfait, je comprends encore mieux ce sourire lorsque je jette un œil au visage congestionné d’Hélène sur ma gauche. Je fais un rapide tour des invités assis autour de cette petite table, à côté de Paul qui est face à moi, il y a Fanny. En bout de la table, Thierry fait face à Hélène et a Sylvie à sa gauche.
Hélène observe son mari avec un air plus sévère que jamais et me lance un regard noir dans la foulée. Sylvie me demande alors :
Enfoncée dans la balancelle, je suis obligée de me pencher fortement pour aller quérir la friandise sur la table basse. Paul, assis en face de moi, tente de m’aider en approchant le plat mais cela ne change rien. Je relève la tête toutefois pour le remercier avec mon plus beau sourire, mais je vois vite qu’il ne pourra pas l’apprécier. Ces yeux plongent dans mon corsage qui s’est amplement ouvert de par ma position. Sachant que cela doit beaucoup plaire à Sylvie, mais pas uniquement à elle bien sûr, je prends mon temps.
Tout en jouant les indécises, j’admire mon décolleté pour jauger du spectacle que j’offre. Mon 95D, ou E, bien ferme, est visible en grande partie entre les pans du large V de ma robe. La chair laiteuse de mes deux globes volumineux est d’un contraste éclatant avec le rouge de la robe. Mes mamelons ne seraient pas si imposants que le tissu aurait plus glissé et aurait dévoilé jusqu’à mes aréoles. Malheureusement il est accroché à mes tétons qui le tendent et empêchent le V de plus s’écarter.
Adorant jouer mon rôle de gourde indécise, je dis en levant les bras au ciel et en agitant mon buste :
Paul n’a rien perdu des soubresauts de mon buste, il se passe encore la langue sur ses lèvres, d’autant plus que mon tressautement à fait un peu plus glisser l’encolure de ma robe.
Elle me répond par un large sourire qui me semble plus chaleureux qu’un simple geste de politesse, son regard glissant sur mes seins dans la continuité me confirme ce sentiment. Je commence à avoir une belle expérience dans ce domaine et je sais sentir les choses. Comme je suis toujours penchée sur la table, en train de sourire un peu niaisement, Hélène attrape le plat, me le colle sous le nez et dit sèchement :
Son visage reste de marbre, visiblement excédée par mon jeu, elle craque, c’est Sylvie qui doit jubiler. Mon attention se porte plus sur Fanny, pour ma part le petit jeu avec Paul m’amuse beaucoup et commence aussi à m’exciter, mais le dernier regard de Fanny que j’ai surpris sur moi a de suite allumé un brasier dans mon ventre. Je l’observe du coin de l’œil quand je croise mes jambes en m’enfonçant un peu plus dans mon siège.
Ma robe remonte un peu, s’arrêtant à la limite de mes fesses. Comme elle est assise à côté de Paul, un peu sur mon côté, elle ne rate pas l’occasion d’admirer le galbe de mes cuisses. Alors que je discute, je la vois chuchoter un truc à l’oreille de son mari en me regardant. Ils échangent un regard qui se porte rapidement sur moi de nouveau et qui finit par un sourire de connivence entre les deux époux. Intéressant, les deux semblent m’apprécier et échanger leurs impressions à mon égard. Sylvie n’a rien remarqué, trop occupée à savourer la tronche que tire sa belle-sœur. Afin de renforcer leur attention, je saisis un des plats couverts de toast et autres gâteaux et je le tends à Fanny avec un large sourire. Mon geste a toujours ce même effet magique sur mon décolleté qui régale les yeux aussi bien de Fanny que ceux de Thierry. C’est alors que Sylvie me chuchote à l’oreille :
Malgré sa réflexion, mon intérêt reste sur Fanny et son mari, je les vois échanger un regard complice alors que je reprends une position assise. Ces deux-là n’hésitent pas à partager leur goût commun pour la gent féminine, je suis prête à en jurer. Je sens alors une main me tripoter l’arrière-train et ma robe glisser sous mes fesses. Sylvie est en train de la tirer discrètement dans mon dos pour qu’elle se retrousse un peu plus. Pour l’aider, j’avance un peu mon postérieur sur les coussins de la balancelle, un coup d’œil vers Hélène me rassure. Elle fait toujours la tronche mais n’a rien remarqué du jeu de sa belle-sœur.
Mon cul à nu repose directement sur les cousins, ma robe est plus ou moins retroussée dans le bas de mon dos grâce aux bonnes œuvres de ma chère copine. Pour bien me faire comprendre ce qu’elle attend de moi, Sylvie se lève pour aller pêcher un canapé sur la table et se faisant, prend appui sur mon genou droit. Elle en profite pour m’écarter la cuisse au passage, la pression est telle que je vois bien que cela n’a rien d’accidentel. Je me laisse faire avec complaisance. Hélène qui est sur ma gauche ne se rend certainement pas compte de ma position mais Paul qui est lui face à moi en écarquille les yeux, sa bouche s’ouvre, lui donnant un air stupéfait et un peu bête aussi. Volontairement, enfin disons que je n’ai pas l’ombre d’un doute, Sylvie laisse choir un toast à mes pieds.
Je suis obligée de me plier en deux pour plonger entre mes pieds et je prends bien soins d’écarter mes cuisses pour cela. Je les écarte en me tournant légèrement pour que Paul et Fanny, assise à ses côtés, puissent en profiter. Malheureusement Thierry qui est face à miss glaçon ne peut probablement pas se rincer l’œil. Le frérot n’en croit pas ses yeux, à tel point que cela attire l’attention d’Hélène. Elle ne peut se douter que son mari est en train de reluquer mon sexe complètement à nu avec mon petit triangle pubien bien taillé au-dessus, mais elle comprend bien que mon entrejambes n’a plus aucun secret pour lui. Elle doit croire que son mari se rince l’œil sur une affriolante petite culotte, si elle savait ! J’en pouffe intérieurement. Fanny aussi a su apprécier mon geste à sa juste valeur, elle aussi affiche une mine surprise. Ses yeux déjà agrandis par les verres de ses lunettes deviennent immenses, ses sourcils s’écartent en signe d’étonnement, sa main se porte à sa bouche pour masquer un petit rire. Elle se tourne rapidement vers son mari et même sans entendre parfaitement je comprends qu’elle lui glisse à l’oreille :
Je replie enfin mes jambes en prenant l’air le plus désinvolte possible. Paul s’étouffe à moitié en essayant d’avaler un toast, il essaye de se donner une contenance en voyant sa femme lui jeter un regard lourd de reproche. Celle-ci se lève en prenant un plat quasiment vide et dit sèchement :
Paul se lève après m’avoir donné un sourire disant « j’ai pas le choix » et suit penaud sa femme qui est déjà partie d’un pas vif. Je les regarde disparaître avec un sourire en coin lorsque Thierry m’interpelle :
La dernière bouteille de jus en main, je me tourne vers lui, en bousculant un peu Sylvie. J’essaye au passage d’écarter mes cuisses pour lui faire profiter de la vue mais sa place ne lui offre pas un point de vue suffisant. Fanny par contre en profite pour plonger entre mes jambes une fois de plus. En me penchant pour atteindre son verre, j’agite la bouteille car la pulpe s’est déposée au fond. Ma poitrine se secoue en tous sens sous l’impulsion et capture le regard de Thierry qui a un mal fou à lever les yeux de mon décolleté.
Loin d’irriter Fanny, je la vois sourire du coin de l’œil. Décidément la sœur ne ressemble pas du tout à Hélène. Finalement Thierry parvient à s’extirper de la vue de mon corsage et me dit :
Je lui réponds avec un large sourire montrant à quel point j’ai aimé ce regard plongeant. Il me le rend en disant :
Elle les regarde un peu surprise tous les deux, découvrant visiblement une partie inconnue de leur vie. Tout cela m’a passablement excitée, je me sens l’entrejambes poisseux comme d’habitude dans ses cas-là. Je n’ai pas envie de laisser une trop grosse marque sur les coussins, sachant à quel point je peux mouiller. De plus d’avoir la chatte à l’air me déclenche souvent des envies naturelles plus fréquentes que de coutume aussi je demande :
Je quitte la balancelle, en laissant Sylvie récupérer plat et bouteille et en abandonnant le couple désormais si intéressant. Je tortille un peu du cul en partant histoire de conserver la chaleur à l’atmosphère qui règne désormais autour de la table.
Je passe devant la cuisine où je surprends une conversation entre Hélène et Paul.
Je me retire discrètement pour rejoindre les toilettes, cette conversation m’a bizarrement échauffé le bas-ventre. Une fois de plus, m’entendre appeler de noms de femmes de petite vertu m’excite, beaucoup même. Je suis vraiment dingue. Aux toilettes, je fais ce que j’ai à faire et le contact inévitable sur mon con surexcité est une sublime caresse, ou une torture, car je dois faire un violent effort pour ne pas me laisser aller à une séance de masturbation. Comme je le redoutais, le papier hygiénique est poisseux de mon jus qui a coulé en abondance. Je ne vais certainement pas remonter dans l’estime de madame glaçon si je lui laisse une grosse auréole de mouille sur son coussin, cependant l’idée me fait beaucoup rire. Alors que je me lave les mains je suis surprise d’être rejointe par Sylvie :
Disant cela, elle me tapote le postérieur
En repassant devant la cuisine, j’entends que Paul et sa femme sont toujours là mais cette fois j’évite d’écouter la conversation. Je m’apprête à passer le seuil de la porte qui mène à la terrasse quand une piqûre sur le pied me stoppe. Une saleté de bestiole vient de se régaler dessus, je m’arrête pour masser la chair et calmer la petite douleur qui subsiste. J’entends alors Fanny et Thierry discuter :
Mon apparition coupe court à la conversation et ce que j’ai entendu ne peut que me mettre en grande forme. À tel point que j’ai un peu remonté le bandeau de ma robe qui m’enserre la taille pour rendre plus bouffant encore le corsage. Je me penche alors sur Fanny en lui prenant la main.
Je jette un regard sur mon décolleté, mes seins pendent comme deux grosses poires trop mûres. L’encolure est si échancrée que cette fois, la totalité de ma poitrine est visible. Mes mamelons érigés comme deux pointes d’acier, mes larges aréoles sombres et, bien sûr, toute ma chair rosée striée par endroit de petites veinules bleues. Je rêve de glisser cette main sur mes seins et à voir ses yeux, je suis persuadée qu’elle rêve de la même chose.
La voix de Sylvie nous coupe :
Quand je rentre dans la cuisine une indifférence aussi glaciale que la patronne des lieux m’accueille. Nous repartons les bras chargés mais je stoppe Sylvie sur le seuil de la terrasse et je lui fais signe de tendre l’oreille.
Sylvie me regarde en agrandissant ses yeux et en levant ses sourcils pour bien me faire comprendre que la conversation ne lui a pas échappée et avance sur la terrasse. Le silence se fait comme précédemment à notre arrivée. Pendant que je finis de placer les plats sur la table, Sylvie prend ma place dans la balancelle me laissant du côté de Thierry et Fanny.
Fanny et son mari échangent un regard entendu un bref instant et :
Hélène et Paul surviennent et nous continuons à bavarder l’air de rien. Je croise mes jambes de façon à dénuder mon côté droit, celui où se trouve Thierry. Une cuisse et un bout de ma fesse dépassent de sous la robe pour le plus grand plaisir de mon voisin. Lorsque je les décroise, c’est pour mieux offrir une vue imprenable sur mon entrejambes et mon sexe poisseux. Je m’applique à laisser mes cuisses entrouvertes, ma robe toujours remontée bien haut faisant le reste. Je sens ma chatte dégouliner à nouveau et ma petite fleur s’ouvrir en grand, tant pis pour les cousins. Il faut dire que les regards appuyés de Fanny et Paul dès qu’il peut échapper à la surveillance de son dragon de femme, m’aident beaucoup. L’état de sa belle-sœur semble suivre pas à pas celui de mon sexe, son regard a du mal à regarder ailleurs que mon bas-ventre. Il est vrai que je suis maintenant cuisses légèrement écartées en permanence tellement mon excitation est à son comble, Fanny est visiblement sur le même chemin. Notre discussion nous amène au programme du lendemain lundi, Sylvie précise :
Thierry nous regarde partir tristement, Hélène ne bougeant pas, il se voit mal l’abandonner seule sur la terrasse. Paul, tout au contraire, est tout heureux de jouer les guides ou seulement de se retrouver sans sa femme, il est déjà debout. Nous le suivons à travers un jardin fort bien entretenu, il est vrai. La végétation pousse à profusion et pas seulement des rosiers, de multiples arbustes et buissons bien taillés garnissent le jardin avec harmonie. Un vent, sans être violent mais puissant cependant, s’est levé. Il agite frénétiquement un grand cyprès et secoue sans pitié les arbustes du jardin. À l’abri sur la terrasse, je ne m’en étais pas rendu compte, il ébouriffe mes cheveux et ceux de mes voisines alors que nous déambulons au milieu des plantes. Paul, sa calvitie aidant, échappe à la colère du vent.
Nous sommes en admiration devant un magnifique rosier grimpant lorsque le vent devient un fieffé coquin. Il s’engouffre sous ma robe et la soulève comme une voile. Je sens l’air battre mon cul, glisser sur ma chatte humide, y déposant au passage un instant de fraîcheur. Je vois aux yeux de mon entourage que ma nudité est alors totalement dévoilée au gré des caprices du dieu Éole. Le plaisir pris de voir ces yeux me dévorer me réchauffe le bas-ventre que l’air avait eu tant de mal à refroidir. Jouant la fille qui ne s’est rendue compte de rien, je me penche en avant pour humer le parfum exquis d’une magnifique rose mauve. Les mains vicieuses d’Éole se glissent sous ma jupette, la retroussent comme un gant, se glissent entre mes cuisses, prennent possession de mon sexe, jouent sur mes lèvres charnues et gonflée par l’excitation, tentent même de s’immiscer dans mon intimité tellement mon sexe est béant. Finalement, elles glissent entre mes fesses rebondies pour finir par me flatter les reins.
Paul et le reste sont certainement en train de remercier le dieu du vent pour cette aide si bienvenue. Ils sont derrière, tout au spectacle de mon cul dodu caressé par la bourrasque. J’imagine qu’ils ne ratent rien de ma petite fleur éclatant entre mes cuisses, aussi épanouie que la rose que je tiens sous mon nez. Je suis trop occupée à jouir de la vue que je leur offre pour songer une seule seconde à replacer ma robe baladeuse, cependant je me redresse vivement.
Une nuée d’insecte vient de me sauter à la figure, mes mains battent l’air, je distingue vaguement des bestioles rayées de jaune et de noir, des guêpes ! Prise de panique, je recule en agitant mes mains en tous sens, saute comme une hystérique, je sens à peine ma poitrine bringuebaler comme deux ballons trop gonflés.
Trop tard, le conseille de Paul était sûrement bon mais une guêpe surexcitée par ma panique s’est vengée sur moi, sur ma poitrine pour être précise.
Sylvie tire le pan du V de ma robe, pourtant déjà bien large, découvrant ainsi mon sein dans sa totalité pour peu que l’on plonge le regard, ce que tout le monde fait. Elle inspecte la piqûre comme si elle était une experte et dit :
Nous partons d’un pas vif vers ce lieu de délivrance, passons par la porte fenêtre restée ouverte sans avoir besoin de repasser par la terrasse. Paul se retrouve rapidement un oignon à la main qu’il coupe en deux, il me le tend alors. Je sens l’odeur un peu piquante caractéristique et avant que je puisse m’en saisir Sylvie clame :
Malgré la douleur qui persiste, bien que déjà moins virulente, je ne peux m’empêcher de poursuivre ce jeu si excitant orchestré par Sylvie pour son frère, avoir Fanny en spectatrice ne gâchant rien au plaisir. Une main timide et indécise s’avance lentement, pour le rassurer je dis :
Le contact frais de l’oignon fait un bien immédiat, Paul commence un massage sur la zone sensible. Comme ses doigts débordent un peu, je sens sa chair frotter sur ma poitrine.
Paul, le bienheureux, applique à la lettre les conseils de sa sœur, il masse une zone bien plus large et avec plus de force aussi. Mon sein se déforme sous la pression, tellement il rentre dans la chair, ses doigts n’en touchent qu’encore plus ma peau. Il est cramoisi, son front coule à grosses gouttes, ses yeux sont exorbités, sa bouche entrouverte finit de lui donner un air un peu niais. J’en rigolerais presque si la situation n’était pas si excitante. Non seulement la caresse mais aussi les yeux brillant de perversité de Sylvie, sans parler du regard lubrique que lance Fanny. Je crois qu’elle est à deux doigts de se jeter sur mon autre sein quand Sylvie dit.
Paul poursuit son geste, frôlant de plus en plus mon téton et comme s’il venait enfin de comprendre les paroles de sa sœur, retire une main tremblante de mon corsage. Toujours aussi rouge et transpirant, il me sourit bêtement.
La réponse fait plier de rire Fanny dont les yeux brillent plus que jamais. Je ne ressens plus qu’une légère douleur quand nous revenons sur la terrasse. Toujours aussi agréable Hélène marmonne :
J’ai même l’impression qu’elle va dire « brave bête, elles sont bien dressées » tellement ses yeux parlent pour elle.
La réflexion dite sur un ton acide d’Hélène jette quand même un froid, ce qui pourrait être un bien vu la chaleur environnante, mais ce n’est pas le cas. Histoire de crucifier sa belle-sœur un peu plus, Sylvie réplique :
Il évite ainsi de donner les détails les plus croustillants à sa femme, ce que Sylvie se serait fait un plaisir d’expliquer. Fanny essayant de détendre un peu l’atmosphère dit :
Je trouve là encore, un bon prétexte pour écarter mon corsage et examiner ma piqûre tout en m’assurant que Thierry peut largement en profiter. Ma peau luit encore là où l’oignon a été appliqué, juste à côté de mon mamelon qui n’a pas débandé depuis. Comme Thierry reste les yeux plantés sur ma poitrine, je lui glisse avec un large sourire :
Se rendant compte qu’elle à été un peu fort même si le mot le plus cru est resté dans sa bouche, elle ajoute :
Elle se fend d’un sourire forcé, je lui réponds par un, le plus niais possible, aimant jouer les gourdes avec elle.
La soirée est déjà bien avancée, nous discutons encore un moment puis l’heure du départ est venue. Quand je me lève, je pense à examiner le cousin jaune sur lequel j’étais assise, une petite auréole sombre marque la place de mon fessier. Mon sexe dégoulinant a laissé un souvenir. Fanny m’enlace alors pour me dire au revoir, ses mains s’égarant sur mes hanches. Thierry montre la même chaleur dans la voix et le geste et nous nous donnons rendez-vous au lendemain à la plage. Hélène me lâche un bonsoir glacial, Paul montre beaucoup plus de sollicitude et nous accompagne jusqu’à la voiture. Pour qu’il garde une belle image de moi et qu’elle lui remplisse la nuit, assise dans la voiture, je garde mes jambes dehors largement ouvertes. Il a du mal à regarder sa sœur qui lui fait ses adieux, ses yeux sont scotchés entre mes cuisses.
Enfin parties, Sylvie est non seulement aux anges mais son regard luit d’une lueur ardente, assise derrière son volant, elle me demande :
Ses yeux sont encore plus brûlants quand elle évoque cette situation. Je ne sais si c’est l’idée de voir sa belle-sœur en rage ou celle de l’imaginer se déchaînant sur moi d’une manière plus ou moins vicieuse. Pour abonder dans se sens, je réponds :
Nous rigolons toutes les deux. Le silence se fait quelques minutes ce qui me laisse le temps d’imaginer une Hélène tenant le rôle de ma professeur d’anglais Anne-Marie (lire : 13621 et 13695) . Ce rôle de maîtresse-femme me corrigeant pour mon comportement déluré avec son mari, bêtement l’idée m’excite. Sylvie me sort de mes pensées tordues en me parlant de nouveau de la soirée, des attentions soutenues de Fanny et son mari et des moments les plus croustillants. Ceci n’est pas fait pour calmer la chaleur qui bouillonne dans mon bas-ventre. Aussi, c’est une Catherine bien excitée qui sort de la voiture à notre arrivée. Je monte seule vers ma chambre, Sylvie faisant une pause toilette au passage. Dans le couloir à l’étage, je vois que la porte de Damien est entrebâillée et qu’un rayon de lumière s’en échappe. Je jette un œil au passage, il est assis devant la porte-fenêtre de sa chambre, occupé sur son ordinateur.
Une fois dans ma chambre, il fait une chaleur étouffante, j’éprouve le besoin de prendre l’air sur le balcon. Sur ma droite, un fin fil de lumière perce par les volets entrouverts de la porte fenêtre de Damien, les bruits nocturnes m’entourent, je suis bien. Je suis accoudée à la balustrade, le regard dans le ciel étoilé, lorsque Sylvie me rejoint. Sa main glisse sur mes fesses.
Sa main glisse sous la jupette pour rentrer en contact avec mon postérieur.
Je connais maintenant le timbre de cette voix et ce qu’il signifie. Elle aussi est sur des braises et depuis qu’elle a découvert une nouvelle façon de prendre son pied elle ne peut plus s’en passer. Elle m’empoigne sèchement la chair de mon fessier et dit :
Ce jeu me comble, j’écarte sans m’en rendre compte les jambes légèrement. Sa main glisse sur mes fesses et tombe entre mes jambes. Ma respiration devient haletante.
Elle est collée dans mon dos, je sens son souffle sur ma nuque. Elle poursuit sur un ton toujours aussi sulfureux.
Sa main quitte mon sexe en feu, une profonde frustration m’étreint les reins. Une claque tombe sur mon cul cambré.
Sa main s’abat plusieurs fois sur ma croupe, chaque fois elle finit en m’agrippant la fesse et en faisant pénétrer ses doigts en profondeur dans la chair. Je geins sous le plaisir ressenti.
Sa main se retire et elle me pousse de quelques mètres le long de la balustrade, je me retrouve face aux volets clos de la chambre de Damien. Toujours accoudée à la balustrade, elle me penche en avant comme je me tourne pour la regarder. Mon ventre rond est en appui sur la barre en métal, je sens ma jupe se retrousser. Sylvie la replie serrée pour la bloquer ainsi et dévoiler mon cul cambré dans sa totalité. Une nouvelle fessée claque suivie pas des mots crus de Sylvie :
C’est peu de le dire, j’en suis arrivée à un tel point d’excitation qu’une série supplémentaire de claques sur mon popotin arriverait sans mal, et rapidement, à me faire jouir. Malheureusement sa main me lâche la fesse une fois de plus. J’entends alors un bruit de grincement, une bande lumière m’entoure. Je comprends que Sylvie a ouvert les volets restés entrebâillés de la chambre de Damien. À en juger par le large bandeau de lumière qui m’entoure, ils sont ouverts en grand. Je jette un coup d’œil en arrière pour voir Sylvie se reculer à l’abri d’un gros laurier-rose en pot qui décore le balcon. Il ne faut être bien maligne pour comprendre ce que souhaite voir Sylvie. Je me cambre, toujours accrochée à la barre en fer forgé du balcon. Mes mains rejoignent mes fesses pour les écarter et faire ressortir mon sexe en éruption, mes lèvres saillantes et gonflées, le trou béant sur mon vagin. Je malaxe mon cul prenant bien soin d’écarter mon entrejambes. Je me dandine pour faire rouler mes fesses sur elle-même. Savoir que Damien doit être derrière sa vitre en train de regarder, m’excite terriblement.
Le son d’une fenêtre qui s’ouvre indique que mon show n’est pas passé inaperçu. Quelques secondes plus tard deux mains m’enserrent la taille, flattent ma croupe. Un pied vient frapper doucement l’intérieur de ma cheville, je comprends, j’écarte plus mes jambes. Pas un mot n’est échangé, le silence de la nuit nous entoure, seul le bruit des insectes ou d’autres bestioles peuple le calme ambiant.
Je sais que Sylvie ne perd pas une miette de ce qui se passe. Elle devient de plus en plus perverse celle-là, comme moi. Quelque chose de chaud pénètre entre mes jambes écartées, Damien a sorti son attirail du fourreau. Son sexe s’insinue le long du mien, glisse le long de mes lèvres détrempées par ma mouille. Il va-et-vient, se balade sur mon volcan en éruption dans une sorte de randonnée infernale. Je recommence à gémir, de plus en plus fort, à haleter au rythme de son mouvement. Lui aussi doit sentir le sang lui monter car il passe de l’extérieur à l’intérieur. Son bassin entre en contact avec mes fesses, un bruit de succion se répand dans la nuit alors qu’il commence à me bourrer. Mes seins, à peine retenus par la robe, pendent dans le vide, ils se balancent à chaque coup de rein. Ils se balancent même de plus en plus vite. Ses mains agrippent mes bras de chaque côté et les ramènent en arrière. Il me tient alors les mains jointes dans mon dos alors qu’il continue à me besogner.
Cette position fait glisser petit à petit les pans de ma robe sur mes épaules, jusqu’à ce que l’un tombe définitivement. Mon sein devenu libre et à nu n’en brinqueballe que plus sous les assauts redoublés de Damien. Mon téton énorme s’agite en tout sens, j’ai l’impression que ma poitrine va s’arracher tellement elle est secouée. En même temps que sa prise sur mes mains se fait de plus en plus serrée son rythme s’accélère, son souffle devient de plus en plus court et le bruit de son bassin sur mon cul de plus en plus violent. Il me faut peu de temps pour jouir, dès les premiers assauts une vague me submerge et je beugle ma jouissance dans la nuit, et je n’arrête pas de beugler. Tant de plaisirs accumulés au cours de la soirée jaillissent de ma bouche en un long cri qui faiblit mais reprend finalement sans s’interrompre. Damien aussi arrive au terme et, comme la dernière fois, se retire de moi et m’inonde les fesses de sa semence. Il me reprend pour en tirer les dernière goutte, me bourre sauvagement quelques secondes de plus puis abandonne le champ de bataille fier de sa victoire.
J’ai du mal à me redresser, je reste pliée en deux sur la balustrade, essoufflée, tremblante. À l’aide de mes mains enfin libres, je me redresse. Damien est toujours là, son short sur les chevilles, la vue de ma poitrine quasiment à nu l’inspire car il se jette dessus pour me dévorer les bouts. Il finit par m’arracher le reste de la robe qui me couvrait encore légèrement un sein. Il m’empoigne alors les nichons à pleine main, mains bien petites pour les saisir dans leur totalité. Je recommence à gémir, c’est bon, je ne serai donc jamais rassasiée ? Ses mains malaxent ma chair alors que sa bouche dévore mes mamelons. Je suis le dos en appui sur la balustrade, la bouche ouverte les yeux mi-clos en train de me faire dévorer sur pied. La présence de Sylvie me revient à l’esprit, j’ouvre les yeux, elle est toujours là, derrière le laurier. Les yeux brûlants, elle me regarde en train de jouir. Elle se caresse la poitrine à travers sa robe, ses mains martyrisent ses lourdes mamelles, elle aussi a la bouche ouverte, elle a besoin de moi.
Je repousse doucement mon amant, j’insiste car il ne veut rien entendre. Il me regarde étonné et, comme il s’apprête à ouvrir la bouche, je lui pose un doigt dessus et le repousse dans sa chambre de mon autre main. Je vois que sa vigueur est revenue mais une fois le seuil de sa fenêtre franchi, je referme les volets devant lui, il finira tout seul derrière son écran.
Sylvie est couchée sur mon lit lorsque je pénètre dans ma chambre, elle a retroussé sa robe sur son ventre arrondi. Le vêtement ajusté, et relevé en une bande étroite, lui serre la taille faisant ressortir deux bourrelets sur ses hanches. Je sais très bien ce que j’ai à faire, elle aussi est à point et a eu sa dose de préliminaire pour l’amener là où elle veut aller. Lorsque je m’agenouille sur le lit, elle écarte ses cuisses, mais je n’ai pas besoin qu’on me guide pour connaître le chemin à prendre. Une chatte bien lubrifiée m’accueille, les premiers coups de langue sur ses lèvres gonflées déclenchent déjà un râle profond. Je mordille, suce ses petites lèvres, je sens sa mouille m’inonder la face. En même temps mes mains caressent son ventre rond, Sylvie, elle, est en train de se débattre avec le haut de sa robe pour en extirper ses seins.
Un craquement m’indique que le tissu n’a pas résisté à la maltraitance. Tant pis pour la robe mais les lourdes mamelles de Sylvie sont à l’air et elle les malaxe avec énergie alors que je me déchaîne entre ses cuisses. J’introduis un doigt puis deux, tellement je rentre comme dans du beurre dans son sexe, trois maintenant. Je pompe à l’intérieur tout en focalisant ma lèche sur son clitoris. Cela fait certainement un moment mais les petits cris de Sylvie me parviennent aux oreilles. Ils sont de plus en plus rapprochés, un long gémissement me vrille les oreilles, son corps se contracte, ses mains empoignent mes cheveux, elle jouit. Peu après, quelques dizaines de secondes peut-être, elle me fait relever la tête en me tirant sur les cheveux et me dit le regard dans le vague et brillant à la fois :
Je comprends ce qu’elle veut, nos jambes s’enchevêtrent pour que nos sexes puissent rentrer en contact, sa mouille se mêle à la mienne. En appui sur mes bras, j’ondule du bassin pour masser nos cons respectifs, par la même occasion j’essuie mon cul toujours enduit du foutre de Damien sur sa cuisse. Ce contact réveille en moi le plaisir à peine ensommeillé par ma séance sur le balcon et maintient sur des charbons ardents celui de Sylvie si j’en crois les râles qui me parviennent. Au cours de nos ébats mon regard tombe sur la caméra toujours placée dans la composition à l’angle de la chambre. La petite lumière rouge est allumée, Damien doit prendre son dessert derrière son écran. Il faudrait que je le dise à Sylvie, ça l’exciterait peut-être encore plus ou… cela lui donnerait une nouvelle occasion de me dire que je ne suis qu’une vieille salope lubrique et perverse.
La lourde poitrine de Sylvie tremble sous nos coups de hanche respectifs, ses mains sont crispées sur les draps du lit, la tête en arrière elle continue à remplir la pièce de petits gémissements. Cela m’excite terriblement de lui donner des coups de reins comme si j’étais un homme en train de la prendre et de voir son corps se secouer sous mes à-coups. J’ai maintenant une furieuse envie de l’entendre hurler son plaisir, ses gémissements sont trop faibles à mon goût. Je me désengage d’entre ses jambes, une voix pâteuse marmonne un « non », suivi par un regard qui se veut réprobateur. Je la pousse pour la mettre sur le ventre et je lui demande :
Elle obtempère en maugréant un truc incompréhensible. Elle a la tête dans l’oreiller, les fesses en arrière, jambes légèrement écartées. Sa chatte m’apparaît dans toute son excitation, lèvres gonflées, ouvertes. Mes doigts se jettent dessus, dedans, la fourrent à plusieurs et ne ressortent que pour aller titiller son clitoris. Mon autre main écarte ses fesses pour donner accès à sa rondelle que ma langue dévore. Le résultat me vient rapidement aux oreilles, les râles sont devenus des cris, faibles au début mais puissants désormais. Mes seins tremblent, tellement les mouvements de ma main dans son intimité sont énergiques. Je jette un nouveau regard vers la webcam, une sorte de défi pervers, Damien est là en train de me regarder faire jouir Sylvie, j’aime ça, j’adore même.
Le lourd fessier de Sylvie s’abat sur le côté, échappant ainsi à la fornication de mes doigts. Elle se retourne sur le dos, les yeux mi-clos, elle respire lourdement, sa poitrine monte et descend, son front est perlé de goutte de sueur. Elle rompt le silence en me disant :
Je me penche sur elle pour l’embrasser, nos lèvres et nos langues se mêlent.
Comme je suis redressée au-dessus d’elle, mes jambes de chaque côté de son corps, elle me saisit la poitrine et me caresse doucement les seins.
Pour agrémenter mes mots, je caresse à mon tour sa poitrine qui, bien que lourde, n’en a pas moins de charme à mon goût.