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Temps de lecture estimé : 24 mn
14/07/11
corrigé 23/05/21
Résumé:  Une dame âgée ne veut pas s'en tenir aux relations professionnelles et me conduit à franchir l'obstacle sexuel. L'âge est-il vraiment une barrière quand le désir et l'attirance de deux corps comblent quelques fantasmes ?
Critères:  fh fplusag cadeau douche voir noculotte fmast rasage fellation cunnilingu fgode pénétratio fdanus fsodo jouet uro -fplusag
Auteur : Mcguil83  (J'ai 64 ans et j'aime les femmes plus âgées que moi)            Envoi mini-message

Série : Femmes d'aujourd'hui

Chapitre 01
Au service de Maryse... Bon anniversaire !

Bonjour aux lectrices et lecteurs de Revebebe. J’espère que vous apprécierez cet épisode vécu avec cette dame octogénaire, qui n’a pas voulu s’en tenir aux relations professionnelles pour me conduire à franchir l’obstacle sexuel. Mais est-ce vraiment une barrière quand deux êtres, avec une grande différence d’âge gardent le désir et l’attirance de leur corps pour combler quelques fantasmes.



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Je suis en retraite depuis deux ans et les nouvelles directives du gouvernement en place me permettent de bénéficier d’un emploi rémunéré dans le cadre d’un Cumul Emploi Retraite.


Je travaille dans une Association comme « aide à la personne », principalement auprès de personnes âgées. Ma clientèle est exclusivement féminine et je dois bien reconnaître que j’adore le contact avec mes petites mamies qui me le rendent bien.


Ma préférée est Maryse, une dame octogénaire, seule et veuve depuis 1981, qui sait rester coquette, positive, délicate et sensuelle. Son handicap n’est pas son âge, ni son physique mais sa solitude. Tout de suite, j’ai été pris d’amitié pour cette vieille dame et mes trois visites hebdomadaires, de deux heures chacune, sont attendues et espérées autant par elle que par moi. Si l’amitié amoureuse existe, c’est le début de notre histoire mais pas la fin.


Maryse est une dame aux cheveux blancs qui va chez le coiffeur toutes les semaines pour une mise en plis, jamais de brushing, un rinçage tous les deux mois pour entretenir la blancheur de ses cheveux. Elle n’a pas besoin de permanente car elle frise naturellement. Elle s’habille classique, en tailleur, en robe l’été ou en jupe avec un chemisier. Elle ne porte jamais de pantalon, ce n’est pas féminin dit-elle. Elle possède une garde-robe bien fournie et je sais de quoi je parle car mon travail d’aide-ménager consiste à l’assister dans ses travaux quotidiens : ménage, lessive, repassage, commissions, démarches administratives et sorties extérieures. Il n’y a pas d’aide à la toilette mais en a-t-elle seulement besoin ? C’est une femme très propre.


Cette femme de 1, 60 m’pour autant de kilos a dû être très belle dans sa jeunesse, jusqu’à faire chavirer bien des cœurs d’hommes ! Elle a des jambes longues, élégantes, sans varices, bien dessinées comme en témoignent les sports pratiqués : natation, beaucoup de marche et de vélo. Elle faisait du tandem avec son mari originaire de l’Allier et l’aller-retour Paris-Bourges en tandem sur un week-end ne les arrêtait pas.


Elle a gardé aussi une poitrine généreuse, non adipeuse avec une bonne tenue pour son âge. Elle porte des soutiens-gorge taille 95, bonnets C. Elle est souvent avec des chaussures à talons stables, de quatre à cinq centimètres de haut. La regarder suffit à l’apprécier et je suis fier quand elle me donne le bras dans la rue.



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Chaque rendez-vous débute par une discussion sur la grande table campagnarde de la salle à manger, autour d’un café. C’est un moment privilégié pour nous qui, au début, était une mise au point de dix minutes du travail à effectuer et maintenant, c’est plutôt une demi-heure de bavardage. Comme Maryse est gourmande, j’apporte alternativement des croissants, des chouquettes ou des madeleines qu’elle adore.


Les banalités professionnelles du début ont vite dérivé vers l’intimité sexuelle. Elle m’avoue souvent sa tristesse de ne plus connaître depuis trente ans le contact charnel d’un homme et le regret de ne plus regarder un homme nu. Je la rassure en lui expliquant qu’elle a peut-être dans son entourage un homme qui la désire, qu’elle pourrait découvrir et que cet homme est peut-être plus près d’elle sans qu’elle ne s’en doute.


Ce jour, mon travail est perturbé, ressassant continuellement mes aveux en sous-entendus du café, j’espère ne pas l’avoir froissée. La réponse, je l’ai en la quittant, deux heures plus tard. Elle m’embrasse plus fort que d’habitude, me serre dans ses bras et me dit d’une petite voix fluette mais assurée :



Je la quitte en lui disant que je vais réfléchir, ce qui a pour effet de me troubler encore plus. J’arrive chez moi en érection et ce n’est pas la masturbation qui calme mon tourment. Je me prépare une nuit de vagabondage dans mes pensées.



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Je retourne chez Maryse le surlendemain, sans solution, espérant qu’elle ne me reparlera pas de cet épisode. Rien ne s’en faut, après les bises et banalités d’usage, Maryse toute joyeuse me demande si j’ai réfléchi à ce qu’elle m’a dit avant-hier. J’aurais dû me douter qu’elle ne lâcherait pas aussi facilement sa proie car aujourd’hui elle est encore plus belle que d’habitude. Elle est habillée d’une jupe large, plissée jusqu’aux genoux, d’un chemisier blanc légèrement transparent laissant deviner un soutien-gorge de dentelle blanche qui met sa poitrine en valeur avec des bouts de seins que je devine. Elle est maquillée discrètement, comme il faut pour être à son avantage. Elle est allée hier chez le coiffeur, ce qui est exceptionnel car habituellement, le coiffeur est plutôt le vendredi et nous sommes mercredi ! Mon désir pour elle est évident, mais en ai-je le droit si je veux conserver mon job.


Décontenancé mais pas déstabilisé, j’accède à la seconde partie des ses désirs, à savoir me montrer nu à elle, mais à la condition que cela reste entre nous. Je me refuse à toute relation sexuelle, j’ai trop de respect pour cette personne et trop besoin de conserver mon travail.


Elle paraît déçue de cette retenue qu’elle n’attendait pas mais ravie de pouvoir me voir nu !



Devant cette soudaine assurance, je m’exécute retardant l’instant de retirer mon slip car je sens que je bande dur, ne pouvant pas détourner mon regard des tétons qui pointent dans son soutien-gorge.



Je retire le dernier paravent à ma pudeur et Maryse, plutôt qu’ignorer mon émoi, fixe mon sexe avec persistance, en coquine qu’elle veut être.



C’est donc dévêtu que je réalise mon travail aujourd’hui. Maryse installée sur le canapé, m’observe sans discontinuer. Son esprit vagabonde dans des pensées secrètes.


À midi, je me rhabille et, prêt à partir, je me dirige vers la vieille dame pour l’embrasser. C’est sur les lèvres qu’elle dépose un baiser pour me remercier en me demandant ce que je pense de son attitude.




∞ ∞ ∞ ∞ ∞




Deux jours plus tard, je retourne chez Maryse. Je suis à la fois perplexe et excité de la revoir. Que me réserve-t-elle aujourd’hui ?


En plus des friandises habituelles, j’ai apporté un petit bouquet de fleurs de saison avec, en garniture, des myosotis. Volontairement, Maryse n’est pas habillée ce matin. Elle porte comme seul rempart à sa pudeur, un déshabillé bleu-pastel qui lui sied à ravir. Négligemment, le décolleté ouvert laisse entrevoir la naissance de ses seins. Elle ne porte pas de soutien-gorge et je suis prêt à parier qu’elle est nue dessous. Je sais que Maryse dort nue, été comme hiver, car dans la lessive il n’y a jamais de chemise de nuit à laver.



Sans le faire exprès, j’ai réussi mon coup et elle ne plaisante pas car je sais que myosotis en anglais se dit : forget-me-not !



Pour seule réponse, elle m’invite à m’asseoir, sert le café et vient s’asseoir sur mes genoux sans demander mon avis, comme une chatte en manque de câlins. Je ne peux pas me retenir de l’embrasser sur la bouche. Par le déshabillé entrouvert que seule la ceinture maintient fermé, je découvre des cuisses attirantes. Je décide de poursuivre l’avantage de la situation qu’elle a voulue pour la repositionner sur mes genoux dans une position plus stable. Je glisse une main le long de sa cuisse, à l’intérieur du peignoir jusqu’à sa fesse et l’autre dans le dos pour mieux la maintenir. J’assure ma prise en écartant mes doigts qui caressent la raie culière, puis je les déplace un peu dessous pour toucher sa chatte poilue. Elle n’a effectivement pas mis de culotte !


Sans se démonter elle me dit :



Le sujet devenant scabreux pour moi, je demande :



Devant autant d’arguments convaincants, je m’incline, d’autant plus que faire sa toilette me ravit et qu’après cette matinée chez Maryse, mon après-midi est libre, alors je peux rester un peu plus longtemps.


Je lui propose donc de me laisser le temps de mettre l’appartement en ordre, de faire le ménage et après, ensemble, nous prendrons une douche.



Je marque une hésitation de principe avant d’accepter l’invitation et de dire :



En moins de temps qu’à l’habitude, mon travail est achevé et c’est maintenant le moment de la toilette. Je prends Maryse par la main, je l’accompagne à la salle-de-bains. Je m’assois sur le bord de la baignoire, je détache la ceinture de son déshabillé. Lentement et langoureusement, j’écarte les pans du peignoir, découvre une, puis l’autre épaule et je laisse glisser la pièce de lingerie jusqu’au sol sans que Maryse ne s’en émeuve. C’est la première fois que je vois le corps dénudé de cette femme octogénaire. Je suis surpris qu’elle soit encore si avenante et même désirable pour son âge.

Comme je suis moi-même dévêtu, je ne peux pas cacher mon érection au regard de Maryse.


Toujours assis sur le bord de la baignoire, je suis juste à la hauteur de son visage en levant la tête et proche de ses seins en baissant la tête. C’est par un profond baiser langoureux que je lui témoigne mon admiration tout en palpant sa poitrine. Ses seins sont bien ronds, un peu descendus par leur poids, les mamelons sont bien en place, visibles devant au centre des seins et ils pointent comme deux noisettes dorées. Si ce n’est pas de l’excitation qu’elle ressent, cela y ressemble. Je titille les mamelons avec la langue et je les mordille. Maryse appuie très fort derrière ma tête pour mieux plaquer mon visage sur ses seins.


J’abandonne le buste pour caresser plus bas ses fesses d’abord, puis sa chatte poilue. En l’écartant un peu de moi, je découvre une pilosité brune, fournie avec très peu de poils blancs. Pour favoriser mes caresses, elle écarte les jambes latéralement, m’ouvrant le passage vers sa vulve. Ma main s’y aventure avec le majeur qui titille le clitoris avant d’explorer le vagin pour enfin le pénétrer. Elle mouille comme rarement j’ai senti une femme dans cet état, même avec soixante ans de moins !


Je reprends quelques esprits pour dire :



Aussitôt dit, aussitôt fait, elle dodeline de la croupe gagnant le bac à douche ; je la rejoins.


Maryse se tient aux poignées prévues pour elle, je m’occupe du tuyau de douche et je commence le toilettage. Les mains de Maryse serrées aux poignées, j’ai tout loisir de m’occuper de son corps que je savonne lentement et sensuellement. Le dos d’abord, puis les seins sur lesquels je m’attarde en caressant ses tétons érigés. Je descends vers le ventre, les fesses, l’entrecuisse avant de remonter vers le sexe et le clitoris sur lequel je passe un doigt avec insistance.


Pour retarder son éventuel orgasme, je m’agenouille à ses pieds et lave ses jambes douces et musclées au toucher. Maryse lève une jambe et me présente un pied à laver, puis l’autre. Je m’attarde entre les orteils et sur la plante de ses pieds que je masse avec délicatesse.



J’en abuse encore un peu avant de me relever tout en caressant ses jambes jusqu’au sexe. Elle gigote des hanches et se trémousse d’un pied sur l’autre lorsque je tire les grandes lèvres de la vulve, puis les petites lèvres qui s’échappent à mes doigts savonneux. Maryse pousse des petits cris de bien-être. Elle n’a aucune retenue, même quand je me dirige vers son anus. Elle ne se crispe pas et me laisse masser la rondelle anale pour introduire un doigt à l’intérieur.


Je trouve que le moment est venu d’achever mon œuvre en titillant à nouveau son clitoris avec le pouce avant de l’introduire dans le vagin en plus du majeur dans l’anus. Je pince et masse rapidement la paroi recto-vaginale. Maryse ne peut plus retenir son orgasme. Elle se lâche avec des gémissements et des râles de jouissance. Comme elle n’ose pas lâcher les poignées de peur de glisser, elle est comme prisonnière, toute à ma merci. Sa seule parade pour mettre fin au scénario est de m’embrasser profondément, en mélangeant sa langue à la mienne.


Rassasiée, je ne le crois pas, comblée et heureuse c’est sûr. En reprenant ses esprits, ses premières paroles sont pour moi :



Avec la douchette, je rince son corps, je m’attarde sur son sexe en écartant les grandes lèvres et en insistant sur le clitoris, puis je rince derrière l’anus et le colon avant qu’elle sorte sur le tapis de bain. Assise sur un tabouret, je lui sèche le corps, les jambes, le dos, les seins où je m’attarde, puis elle se lève pour que j’essuie le ventre, les fesses et le sexe où je m’attarde encore plus. Ne voulant pas en rester là, elle commence à me masturber le sexe et prend mon pénis à pleine bouche. La succession de ses va-et-vient me conduit rapidement à l’éjaculation dans sa bouche. Cela ne la dégoutte pas, elle semble boire mon sperme à la fontaine des délices avant de prononcer ces mots :



Il est midi passé et plutôt qu’aller faire des courses, Maryse me propose le restaurant pour déjeuner. La sachant financièrement très aisée, j’accepte ce changement de programme et c’est comme elle le souhaitait, bras dessus, bras dessous que nous allons déjeuner à la crêperie tout proche.


En milieu d’après-midi, je quitte Maryse, impatient de la revoir… c’est dans quarante-huit heures.



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Cela fait maintenant deux ans que j’ai un travail rémunéré auprès de Maryse. J’ai quitté l’Association à la suite d’un différend dont Maryse s’est rendue responsable. Elle souhaitait intégrer des heures de toilette dans son contrat d’aide à la personne en exigeant que je sois l’intervenant exclusif. Mon employeur n’a pas voulu, prétextant que la toilette d’une femme était le travail d’une femme et qu’ils avaient des personnes de disponibles pour cela. Maryse n’a rien voulu entendre et les a menacés de les quitter.


Le lendemain, assise sur mes genoux, nous prenons le café quand elle me pose la question de confiance :



En réalité, hormis Maryse, je n’ai que quelques remplacements occasionnels avec l’Association, alors je réponds à Maryse :



C’est plus que le double actuel et c’est, en plus, l’assurance de voir Maryse plus souvent donc moins de masturbations solitaires et plus de plaisirs ensemble. J’ai donc accepté cette proposition et, l’un comme l’autre, avons quitté l’Association.


Nous fonctionnons comme cela depuis, sans l’ombre d’un problème pour notre couple.



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Chaque matin, sauf les mercredis et les week-ends, je passe trois à quatre heures rémunérées au service de Maryse pour accomplir ma mission d’aide à la personne avec le plus grand sérieux. Bien-sûr, suivant son souhait, je travaille souvent nu ou avec les fesses à l’air. J’ai acheté de la lingerie adéquate comme par exemple un slip transparent sur le devant avec le fessier totalement ouvert. Sinon, je suis parfois en string ou, s’il fait frais, en T-shirt mais dans ce cas, je dois conserver le cul totalement à l’air. Maryse très coquine paie pour ces exigences qui me conviennent.


Je reste toujours professionnel, excepté pour la toilette qui dérive souvent autour de jeux sexuels. Maryse est particulièrement sensible du clitoris et aime aussi que je lui excite l’anus. Nous avons à peu près tout fait ensemble, alors, pour les lectrices et lecteurs de Revebebe, je vais relater une journée particulièrement mémorable entre Maryse et moi. C’était il y a quelques jours, le 25 juin, date de son anniversaire. J’ai voulu ce jour inoubliable et il l’a été.



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Le matin, j’arrive les bras chargés de présents : friandises, fleurs (avec des myosotis) et un paquet-cadeau que Maryse est impatiente d’ouvrir. Sa surprise est grande de découvrir un gode anatomique de quatre centimètres de diamètre avec une butée de sécurité pour l’introduction anale. Sa longueur est respectable avec douze centimètres actifs. Sa couleur cristal transparent est particulièrement élégante pour une femme. J’attends la réaction de Maryse qui n’est pas choquée du cadeau. Elle trouve seulement à dire :



Je ne peux pas m’empêcher de glisser une main vagabonde sous sa robe d’intérieur longue, noire à grosses fleurs multicolores. Je sais qu’elle est nue dessous depuis que, moi aussi, j’ai institué des règles en ma présence : habillée… Oui ! la culotte… Non ! Je souhaite qu’elle soit désirable et disponible à tout moment.


J’engage la main entre les cuisses qu’elle écarte un peu pour créer un passage. Je contrôle la lubrification vaginale et la souplesse de l’anus. J’introduis un doigt à l’intérieur et le renifle à sa sortie. Il est propre mais odorant.



Nous gagnons la salle-de-bains, je retire délicatement et sensuellement sa robe, découvrant ses jambes, son sexe encore poilu pour le moment, son ventre, ses seins qui offrent une légère résistance au passage du tissu. Maryse lève les bras pour aider à passer la tête dans l’encolure. Je prends tout mon temps car le spectacle de la poitrine qui remonte avec les bras est une image que je veux mémoriser.


La voilà nue, j’en fais de même et nous entrons ensemble sous la douche. Je la savonne à la main avec du gel douche, des pieds à la tête. Je m’égare longuement dans sa chatte, titillant fortement le clitoris, pénétrant le vagin avant de m’aventurer entre les fesses pour travailler sa petite pastille plissée en introduisant, un puis deux, puis trois doigts savonneux.



J’attrape le plug anal, le masturbe de haut en bas avec du savon et je l’approche du postérieur de Maryse.



Pour rassurer Maryse, j’introduis d’abord mes doigts qu’elle connaît bien, puis j’approche le gode à l’entrée de son fourreau et je pousse doucement. Son sphincter très souple se détend et les douze centimètres du gode n’ont aucun mal à pénétrer son rectum jusqu’à la garde. J’imprime des va-et-vient de plus en plus rapides. Si j’en crois les gémissements de Maryse, elle semble apprécier ce jouet méconnu d’elle avant ce jour anniversaire. De l’autre main, je lui frotte le clitoris jusqu’au moment où elle crispe les fesses, serrant le gode anal pour l’immobiliser. Elle explose de jouissance dans des « Aaaaah !… » de plus en plus sonores.



Elle en redemande la bougresse ! L’étape suivante que je lui réserve est la concrétisation d’un fantasme d’adolescent. J’invite Maryse à s’allonger sur la table du séjour, une grande table campagnarde, bien solide et stable sur ses pieds. Elle positionne les fesses au bord de la table, je la bascule en arrière en relevant très haut ses jambes et elle pose sa tête sur un oreiller de plume. Je lui écarte les cuisses et je contemple sa chatte poilue que je vais raser. Le regard sur sa vulve largement ouverte est un pur régal. Je la prends par les chevilles et pose ses talons sur le plateau de la table, lui demandant de rester genoux écartés sans bouger.



Je tire sur les poils au centre de la vulve pour en vérifier la longueur et le travail à réaliser.



Je glisse sous ses fesses une grande serviette de bain propre. Pour marquer l’instant mémorable de près de soixante ans sans rasage, sans demander d’accord préalable, je décide de faire une photo du pubis poilu, cuisses largement écartées et chatte offerte. Maryse ne dit rien pour mon geste prémédité.


Je prends maintenant un rasoir et, en spécialiste, je débute la récolte des poils, méthodiquement et minutieusement du pubis à la vulve par sillons successifs. Régulièrement, je débourre le rasoir des poils coincés dessus, gardant le rasage de la fente vulvaire pour la fin. C’est presque fini, j’écarte les grandes lèvres pour raser les poils qui poussent presque à l’intérieur, puis je fignole mon travail en repassant partout avec un rasoir neuf, de façon à avoir une peau la plus lisse possible. Je touche avec la main, c’est parfait, pas une égratignure. J’engage Maryse à se caresser pendant que je fais une photo de sa chatte rasée.


Entre les deux photos, il ne s’est pas écoulé plus de vingt minutes.



Je lui prête une glace pendant que je rassemble les poils dans une enveloppe sur laquelle j’inscris la date du samedi 25 juin 2011. Cette enveloppe, je la garde précieusement dans une boîte à souvenirs.


Nous n’allons pas rester ainsi sans amour devant un sexe dépoilé qui me donne des idées. Je positionne une chaise en bout de table et je m’assois dessus. Maryse a toujours les jambes en l’air m’offrant à hauteur sa minette toute mouillée. Je l’approche de moi, pose ses mollets sur mes épaules et plonge la tête entre ses cuisses pour sucer le clitoris tout en lui soutenant le bassin en bordure de la table, le majeur dans le cul et le pouce dans le vagin. Je peux ainsi presser la paroi recto-vaginale, donnant des sensations de légères décharges électriques à Maryse. Puis, abandonnant l’anus, j’introduis ma main fermée dans son vagin en fist-fucking mais le passage n’est pas suffisant pour pénétrer tous les doigts au-delà de la seconde phalange. En retirant le pouce, je peux entrer jusqu’à la troisième phalange mais pas plus. J’abandonne donc cette idée pour revenir avec deux doigts dans le vagin, l’index et le majeur à rechercher le point G, derrière le méat urinaire. L’avantage de cette position, c’est de pousser par l’intérieur sur le clitoris qui ne tarde pas à sortir raidi de son capuchon comme une petite bite que l’on décalotte. Je continue de l’aspirer, de le sucer et de le titiller avec la bouche, si bien qu’il devient rouge turgescent et de plus en plus raide jusqu’à l’orgasme que Maryse ne peut plus retenir. Je recule la tête mais je continue de dérouiller la chatte avec mes deux doigts recourbés à l’intérieur jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter avec insistance :



Elle se lâche enfin totalement avec des soubresauts de plus en plus vifs, hauts et forts que j’ai du mal à maîtriser. Un jet d’urine jaillit de son urètre. Je replonge la tête dans sa vulve pour récupérer ce nectar doré qui a le goût d’urine et de foutre mélangés.


C’est totalement vidée qu’elle s’abandonne sur la table, ne pouvant plus faire le moindre geste tellement son plaisir a été fort. Je la repositionne sur la table pour qu’elle puisse récupérer dans une position plus confortable que les deux jambes en l’air, en poussant son corps pour que ses talons reposent sur le plateau.


J’admire une nouvelle fois ce sexe complètement rasé. Maintenant, elle sera vraiment complètement nue quand elle ne portera pas de culotte sous ses vêtements.



J’approche ma verge de sa bouche pour qu’elle me pompe le piston. Je n’ai pas encore éjaculé mais je suis mouillé de plaisir par toutes ses péripéties, rasage, photos, pénétration du cul et du vagin, on en serait à moins !


Sentant mon plaisir atteindre le point de non-retour, je sors mon pieu de sa bouche et je le plante directement dans son vagin en tirant Maryse par les chevilles et en passant ses jambes par-dessus mes épaules. Le but final ne se fait pas attendre devant un tel spectacle, j’éjacule violemment dans sa chatte rasée.


Maryse m’avoue qu’elle ne s’est jamais sentie aussi bien et heureuse depuis que je m’occupe de son corps.



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Après une pause réparatrice autour d’un café, nous échangeons nos impressions très érotiques. Il n’est pas encore 11 heures et Maryse a envie de vivre pleinement ce jour anniversaire :



Je découvre la pièce que je connais bien pour y faire le lit et le ménage régulièrement. Cette chambre possède un grand lit de deux personnes, une armoire avec des portes à glace et, dans un angle, une commode avec quatre tiroirs où est remisée toute la lingerie fine de Madame.


Maryse se positionne perpendiculairement dans la largeur du lit face à l’armoire à glace, s’agenouille les bras tendus devant, bien à plat, le cul en l’air, les fesses ouvertes de manière obscène mais tellement désirable. Placé debout derrière, j’attrape ses hanches, approche son corps jusqu’à ma verge bandée au maximum et j’introduis mon gland directement sans ménagement dans le vagin qui se présente à ma hauteur. Bien lubrifiée de partout, j’en profite pour lui caresser l’anus de mes doigts experts et je ne prive pas de lui introduire un, puis deux, puis trois doigts à l’intérieur pour fouiller son fondement, qui laisse échapper un petit pet odorant contenu dans l’intestin.


Je n’arrête pas pour si peu mon va-et-vient dans son vagin jusqu’à l’aboutissement d’un second orgasme, plus fort, puis puissant que le précédent. Devant le spectacle de sa croupe offerte et de son plaisir, je ne tarde pas à lâcher ma semence en elle. Pas besoin de protection ni de précautions, à son âge il n’y a plus le risque d’être enceinte et nous ne risquons pas d’attraper une MST, étant l’un et l’autre adulte responsable et confiant en son partenaire.



Elle est toujours en position de levrette et mon sexe dégoulinant de sperme caresse son anus, titille la petite pastille plissée pour l’assouplir. Ces caresses sensuelles ont pour but de faire prendre confiance à cette rondelle délaissée depuis toujours. Petit à petit, par pressions successives, je sens qu’elle se détend et se relâche. Je lui pète la charnière pour entrer dans cette grotte obscure mais pas inhospitalière. Je suis maintenant au plus profond de son colon, tenant Maryse de chaque côté par les hanches. De petits gémissements de bien-être accompagnent mes longs et lents va-et-vient. Je ressors totalement mon sexe de son anus qui reste ouvert pour m’accueillir à nouveau jusqu’à la garde soit plus de vingt centimètres. Ces allers-retours successifs emprisonnent de l’air dans son boyau qu’elle ne tarde pas à expulser par des pets d’abord désagréables que Maryse voudrait contenir, mais ne pouvant pas se retenir, ils deviennent une source d’amusements nouvelle pour nous deux.


Nous oublions l’indécence de la situation pour nous abandonner à un bonheur interdit quelques semaines auparavant. J’en profite pour exciter le clitoris d’une main pendant que Maryse pelote sa poitrine généreuse. Dans la glace de l’armoire qui me fait face, je regarde cette scène dont je suis l’un des deux principaux acteurs accomplissant le scénario dont j’ai si souvent rêvé et qui se réalise aujourd’hui.


Ce coït anal aboutit à l’orgasme de Maryse lorsque j’éjacule dans son rectum.



Sans même lui laisser la possibilité de se laver le fondement, je lui introduis jusqu’à la garde le gode anal offert trois heures plus tôt. Son sphincter se referme dessus emprisonnant le jouet qu’elle garde jusqu’au déjeuner.



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Toutes ses péripéties nous ont donné faim, l’heure du repas est arrivée. J’ai tout prévu, du champagne en apéritif, jusqu’au gâteau avec les bougies pour le dessert, huit grosses bougies. Mais dans l’immédiat, il convient de s’habiller en créant un ensemble de fête tout en gardant une originalité de circonstance coquine bien sûr.


Comme je connais à peu près tous les vêtements et sous-vêtements de Maryse, je n’ai que l’embarras du choix ; la dominante est le noir pour le côté chic de circonstance.


Pour le haut du corps, mon choix se porte sur un soutien-gorge redresse-seins à balconnets et un chemisier en voile transparent. Comme cela Maryse aura quelques soucis à conserver son opulente poitrine dans les demi-bonnets pour cacher cette partie d’anatomie.


Pour le bas, un porte-jarretelles en dentelle noir et des bas en voile s’imposent ; aujourd’hui elle ne portera pas de culotte. Avec le gode qu’elle garde dans l’anus, c’est très excitant comme note originale à cette situation. Je préfère l’ensemble bas plus porte-jarretelles, aux bas auto-fixant pour l’érotisme du visuel mais aussi pour que sa chatte rasée soit mise encore plus en valeur. Aux pieds, ce sont des chaussures noires à talons.


Concernant la jupe, j’avais pensé choisir une jupe en voile très transparente sans mettre de jupon, mais de crainte qu’elle ne la tache avec le gode, j’ai préféré que Maryse reste cul nu au déjeuner. J’imagine la situation de cette femme s’excitant le cul, assise sur la chaise avec un gode de douze centimètres prisonnier du rectum.


Pour ma part, je veux être en phase avec l’érotisme de la fête. Je mets un slip noir en latex, ouvert sur le devant pour ne laisser sortir que la verge et les couilles serrées dans un crocking. Ce slip est totalement ouvert sur les fesses pour offrir mon cul au regard et aux caresses de Maryse. Étant donné qu’il fait très chaud en ce début d’été, c’est le seul vêtement que je m’autorise avec la queue et les fesses en présentoir.


Le repas se déroule en amoureux, nous prenons tout notre temps. Maryse est gênée de se trouver sans culotte, mais ce qui la dérange le plus c’est l’interdiction de se lever. Régulièrement, elle se trémousse sur sa chaise, dansant d’une fesse sur l’autre car le gode lui excite les entrailles. Je la vois aussi parfois se caresser le clitoris mais je fais semblant de ne rien voir, matant plutôt le soutien-gorge qui lui remonte les seins prêts à s’évader.


Arrivés au plat de résistance, Maryse ne tient plus en place. Profitant d’un près d’elle pour desservir, elle m’attrape le service trois pièces, le serre fortement et dit :



Il s’ensuit une scène mémorable sur la partie de la table campagnarde restée libre. Maryse s’allonge de tout son long, se branle le cul d’une main avec le gode pendant qu’elle se caresse le clitoris de l’autre. Les yeux fermés, elle oublie totalement ma présence. Je l’observe sans intervenir car je veux qu’elle soit excitée comme elle le désire. À chaque entrée et sortie du godemichet, elle pousse des petits cris de plaisir, pendant que sa main gauche parachève son œuvre sur le clitoris. Elle garde les yeux fermés, à peine étonnée, quand je lui introduis mon sexe en bouche. Elle pompe comme la jouisseuse qu’elle veut être aujourd’hui.


Nous sommes excités comme deux jeunots et il est temps de conclure cet anniversaire en feu d’artifice final.



Je relève Maryse de la table qui remet pied à terre. Ses seins ont quitté depuis longtemps leurs balconnets. Je la plaque à plat ventre sur la table, bras devant, postérieur offert à ma queue que j’introduis sans précaution après avoir ôté le gode qui occultait son trou de balle. Lubrifiée abondement, je n’ai aucune peine à pénétrer son fondement. De suite elle hurle de jouissance, ce qui déclenche instantanément mon éjaculation. J’appuie mes bourses sur ses fesses et je pousse pour mieux profiter de cet orgasme inoubliable.


En retirant ma queue de sa caverne, je passe mes doigts sur son anus pour récupérer l’excédent de sperme qui sort et je fais sucer mes doigts à mon amante.