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n° 14657Fiche technique44924 caractères44924
Temps de lecture estimé : 26 mn
18/11/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Cela fait maintenant 2 ans ½ que je travaille chez Maryse, une dame octogénaire qui retrouve une amie Line qui souhaite s'offrir mes faveurs qui ne resteront pas sans représailles.
Critères:  ffh fplusag fagée fsoumise hsoumis soubrette noculotte intermast rasage fdanus hgode jeu lavement uro scato sm attache -fplusag
Auteur : Mcguil83            Envoi mini-message

Série : Femmes d'aujourd'hui

Chapitre 02
Telle est prise qui voulait prendre

Cela fait maintenant deux ans et demi que je travaille chez Maryse, une dame octogénaire qui a voulu retrouver l’amour et des relations sexuelles avec moi, Michel, qui suis quinze ans plus jeune qu’elle.


Nos relations ne se sont pas dégradées depuis mon récit de juin dernier « Au Service de Maryse… ».

En juillet, pour mon anniversaire, Maryse m’a offert un gode de 6 cm de diamètre et 13 cm de long particulièrement agréable à porter et à conserver longuement dans l’anus. Je dois le garder introduit pendant mon travail chez elle, car je suis toujours au service de cette femme, quatre jours par semaine, matin ou après-midi. C’est toujours cul nu et maintenant engodé que Maryse me regarde travailler.


De son côté, elle n’est pas en reste, toujours rasée, souvent sans culotte, régulièrement excitée avec le gode cristal que je lui ai offert à son anniversaire et souvent caressée ou sodomisée selon ses demandes. C’est elle la patronne et à ce titre, je la respecte. Je l’assiste à la toilette suivant les termes de notre contrat et souvent nous prenons la douche ou le bain ensemble. Parfois aussi, nous déjeunons ou dînons tous les deux et dans ce cas, je reste coucher avec elle car je n’ai aucune attache extérieure. J’apprécie ces nuits communes car c’est pour moi l’occasion de me soulager les couilles tout en étant rémunéré.


Nous formons un couple de circonstances ; je suis son soumis, elle est ma chose vivante que je respecte et que j’aime car elle me le rend bien. Cette soumission tacite et réciproque me convient parfaitement.



∞∞∞∞∞




Aujourd’hui je vais, pour les lecteurs de Revebebe, raconter une histoire qui s’est passée il y a quelques semaines.



Maryse est allée aux obsèques d’une ancienne connaissance de jeunesse et à cette occasion, elle a revu une camarade d’école primaire qu’elle avait perdu de vue depuis leur mariage réciproque. C’était l’une de ses meilleures amies, c’est pourquoi leurs retrouvailles ne pouvaient pas rester sans lendemain.

Elles habitent toutes les deux à quelques kilomètres l’une de l’autre mais le hasard ne les a jamais fait se croiser avant aujourd’hui. À la fin de la cérémonie funéraire, elles ont convenu de se revoir rapidement, ce qui s’est passé la semaine suivante. D’une parole à une autre, elles en sont arrivées à parler amour, sexe, vie antérieure et actuelle.


Fière de m’avoir dans sa vie comme compagnon, Maryse m’a mis sur un piédestal en disant qu’elle était heureuse, que j’étais son homme mais aussi… elle a dit que je travaillais à son service dévêtu et engodé.


Cette femme prénommée Yvelines se fait appeler Line et après la disparition de son mari, elle s’est orientée vers des tendances SM Soft avec des hommes plus jeunes. Aujourd’hui, elle s’est calmée et vit seule, mais il paraît qu’elle a conservé des accessoires de pénitence dans son appartement parisien.


Jusqu’à présent, leurs rencontres se sont passées au salon de thé de 5 à 7, mais leur amitié d’enfance retrouvée les pousse à se fréquenter plus régulièrement et elles songent à alterner leurs rencontres une fois par semaine alternativement chez l’une puis chez l’autre… d’où cette histoire dans laquelle je me trouve impliqué quand Line demande à Maryse :



À ma prochaine visite professionnelle, Maryse me parle de cela et elle n’a pas beaucoup de mal à me convaincre surtout avec la photo de Line. C’est une femme blonde, pas grande ni petite, ni grosse ni maigre avec une opulente poitrine qu’elle porte assez haut, bien habillée, la femme que l’on a envie de découvrir.



Le rendez-vous est pris pour jeudi prochain à 15 heures.



∞∞∞∞∞




Le jour tant redouté pour moi, appréhendé pour Maryse et probablement très attendu pour Line, arrive. Mon caractère n’est pas à me défiler, ni à me cacher. C’est donc les fesses à l’air, mon gode noir de 6 cm de diamètre planté dans le cul, les bourses et le contour du pénis rasé de près, que j’attends l’heure dite.


Dring ! La sonnette retentit. Je m’assure par l’œilleton que c’est bien la femme de la photo et j’ouvre la porte.



Après les bises d’usage, Line me fait faire volte-face pour admirer mon cul et découvrir le gode dans mon cul.



Sentant le terrain devenir scabreux, Maryse détourne le sujet en changeant de conversation.




∞∞∞∞∞




Nous sommes maintenant installés au salon. Maryse et Line se font face et de mon côté, toujours nu en tee-shirt, je prépare le thé et le café accompagnés de petits gâteaux secs que je dispose sur une assiette de porcelaine blanche de Limoges. J’apporte un plateau que je pose sur la table basse et prends l’assiette que je présente à mes dames. D’un geste de la main, voulu ou par mégarde, Line heurte l’assiette et voilà tous les gâteaux répandus au sol.



Je suis persuadé que Line l’a fait exprès pour que je m’accroupisse, ce que je fais pour ramasser les friandises, d’ailleurs ses paroles qui s’ensuivent en témoignent :



Je m’exécute, imaginant de suite le spectacle que j’offre au regard de cette femme, mais je ne dois pas refuser, alors je me baisse, cul en l’air en direction de Line.



Le résultat ne se fait pas attendre. L’érection que j’ai contrôlée tant bien que mal jusque-là me trahit et je ne peux plus la cacher au regard de Line qui m’excite encore plus par ces paroles. Je jette un regard vers Maryse qui d’un clin d’œil semble approuver en me faisant comprendre d’accepter sans rien dire.

Line, de sa main libre remonte sa jupe, dégrafe les jarretelles d’un bas, le roule sur sa jambe et le retire. La pièce de lingerie en main, elle entoure mon pénis, derrière les couilles qu’elle lâche enfin pour libérer ses deux mains. Telle une maîtresse femme, elle fait un tour mort sans nœud en serrant fort, puis elle passe un côté du bas autour d’un testicule du centre vers l’extérieur et l’autre bout du bas de façon similaire autour de l’autre testicule. Line remonte le tout et ramène les deux extrémités du bas sur le dessus du pénis, fait un nœud bien serré puis une rosette. Les ouvertures de la boucle sont deux poignées pour les mains de Line qui ne se gêne pas de tirer le tout vers elle.



Je me relève et présente ma queue à Maryse qui ne désapprouve pas. Ne seraient-elles pas de connivence ? Avec les femmes on peut s’attendre à tout !

Mon sexe n’a jamais aussi bien porté ce nom de « service trois pièces », avec une verge bandée au maximum, les vaisseaux sanguins sont tellement gonflés que l’on peut compter les veines. Mes couilles sont séparées bien remontées de chaque côté du pénis. C’est bon et douloureux à la fois ; je ne regrette pas le sans-gêne de Line.



Je m’exécute, passant la main sous sa jupe sans la remonter. Je parcours sa cuisse jusqu’aux jarretelles. Heureusement la jupe est large, mais les jarretelles sont courtes et, malgré une certaine retenue, ma main effleure sa culotte, touchant même quelques poils qui dépassent.



J’ai enfin récupéré l’objet de convoitise que je donne à Line. Elle attache le pied du bas autour de mes couilles et tend l’autre extrémité à Maryse en passant sous mon ventre. Elles peuvent ainsi alternativement ou en commun me secouer les couilles pour me branler, simplement en tirant alternativement vers elles.



J’ai conservé cette position sans bouger durant près de deux heures, écoutant leurs conversations de femmes, parfois anodines, souvent érotiques. Lorsque ma queue débandait, je sentais que l’une tirait sur son bas, puis l’autre faisait de même jusqu’à ce qu’une nouvelle érection arrive. La position n’est pas trop confortable, mais je ne peux pas bouger au risque de faire tomber le plateau toujours posé sur mon dos. Par contre, je dois convenir qu’il m’est agréable d’avoir les couilles serrées et la verge tendue.

Parfois, Line bouge le gode que j’ai dans le cul en le secouant et en l’enfonçant un peu plus. Je crois que j’aurais aimé qu’elle me le rentre entièrement de force au-delà de la garde pour me faire jouir.


En fait, je n’aurai pas d’éjaculation. En fin d’après-midi, Line repart sans récupérer ses bas. Elle me laisse les couilles prisonnières de sa lingerie. Auparavant, elle me passe le bas offert à Maryse autour du cou et fait un nœud. Ainsi j’ai la queue et les couilles tirées en l’air comme vision d’adieu à Line.



Après son départ, Maryse est un peu gênée vis-à-vis de moi, ce qui me laisse à penser qu’elle ne pensait pas que le dévergondage de Line puisse aller si loin. J’ai dit que ce n’est pas grave et que cela ne m’a pas complètement déçu en étant même parfois très agréable car érotique.



Je lui propose de réfléchir à notre revanche vis-à-vis de Line chez qui nous sommes invités mercredi prochain.



∞∞∞∞∞




Le jour de l’invitation chez Line arrive. Sans stratégie, nous sonnons à sa porte, tous les deux d’accord pour ne pas renouveler l’expérience de l’homme soumis de la semaine dernière. Les circonstances vont nous aider.


Après les préambules d’usage, Line nous fait faire le tour du propriétaire et bien sûr, nous visitons la pièce où elle garde précieusement les objets de ses aventures de jadis. Dans la salle-de-bain voisine, il y a étendus sur le séchoir, six petites culottes et six paires de bas. Comme moi, Maryse a vu l’étalage de lingerie, elle dit :



Et moi d’ajouter :



Aussitôt dit, aussitôt fait, elle remonte sa jupe, dévoilant des bas noirs et le haut de ses cuisses pour attraper l’élastique de sa culotte en dentelles, qu’elle retire d’un geste prompt, puis elle laisse retomber sa jupe.



La terrasse de Line est accueillante et bien agencée. Elle dépasse vraisemblablement les 100 m² avec des arbustes et des bacs à fleurs qui la cachent des voisins. Il n’y a aucun vis-à-vis, un paradis pour s’y promener nu ou faire du bronzage intégral. J’imagine d’ailleurs Line dévêtue étendue sur le transat installé dans un angle avec le soleil comme visiteur. Hormis ce délire cérébral, la terrasse est aménagée d’une table ronde en fer forgée de 1,20 m de diamètre, qui se trouve sous une tonnelle arrondie en fer forgé blanc autour de laquelle grimpent des volubilis en fleurs. Le long du mur, il y a une balancelle avec des coussins moelleux et perpendiculairement, un canapé en tissu de deux places, une table basse et deux fauteuils confortables. Avec Maryse, nous prenons place sur le canapé tandis que Line se réserve un fauteuil face à nous. Elle n’est pas la femme qui pense pudiquement à serrer les jambes si bien que je peux mater sous sa jupe mais le contre-jour ne me révèle rien de son anatomie profonde ; j’ai juste une vue sur la lisière de ses bas noirs.



Au moins, il est clair qu’elle ne doit pas abuser de moi. À la cuisine, tout est prêt ; j’en profite pour épier quelques indices insolites ou coquins. Rien a priori, sauf que dans le frigo à côté du champagne, il y a une boîte de suppositoires à la glycérine. Line serait-elle une femme constipée ? Je fantasme déjà sur un scénario possible. Je reviens sur la terrasse pour un premier voyage avec les assiettes, les couverts, les serviettes et le gâteau. Je me réserve le champagne et les flûtes pour un autre tour.



Je retourne à la cuisine pour finir mon service et je profite de cette opportunité pour mettre la boîte de suppositoires sur le plateau et je reviens vers ces dames.



Line se lève, remonte sa jupe jusqu’à la taille en ramenant les pans sur le devant, se baisse pour me présenter son postérieur.



Je suis assis sur le fauteuil et je découvre la paire de fesses et la chatte de Line à la hauteur de mon visage. Face au soleil, j’admire le tableau de ces fesses rebondies avec l’anus et la chatte poilue offerts à mes yeux comme un bonheur divin sans représailles du passé. Je prends un, puis deux, puis trois suppositoires que je pousse loin dans l’anus qui s’ouvre à moi sans même se contracter.



Nous abandonnons nos coquineries le temps de savourer le gâteau aux pommes, la crème anglaise et la bouteille de champagne millésimé pour humecter nos papilles.



∞∞∞∞∞




Une heure s’est écoulée…



Le problème est que je ne suis pas chez moi, mais je veux me débrouiller seul pour rassembler les objets de mon scénario. Je laisse donc les deux amies à leurs discussions féministes et je cherche dans l’appartement ce qui peut m’être utile pour réussir mon coup. C’est tout d’abord dans la pièce où sont rassemblés les gadgets des plaisirs passés, que je me rends.


J’oriente ma recherche vers un bac en plastique transparent rempli d’objets divers et insolites. Une vraie caverne d’Ali Baba pour couple érotique. Il y a des godes gonflables, vibrants ou simplement phalliques, probablement une douzaine de toutes les tailles. Il y a aussi des plugs anaux, des boules de Geisha et même un Rosebud métallique de 4 cm de diamètre plus resserré à la base qui lui permet de se maintenir en place tout seul, sans qu’il ne se perde à l’intérieur du rectum. La tige fine se termine par une embase circulaire où est sertie une pierre artificielle bleue comme une tanzanite. Je mets de côté ce plug que je trouve intéressant.


Continuant mon investigation, je délaisse tout ce qui est pinces, à linge, crocodile avec des protections plastique, mais je sélectionne plusieurs seringues d’aspiration coupées qui peuvent devenir des tubes d’excitation. J’hésite sur un spéculum en aluminium, un beau produit, mais je ne veux pas trop me disperser aujourd’hui, je veux rester concentré sur l’objectif initial. Pour la même raison, je délaisse tous les accessoires de fessée : martinet, spatule en bois ou raquette de ping-pong ainsi que des cordelettes, bandeau et autres accessoires SM soft.


Après plusieurs minutes, je quitte ma caverne d’Ali Baba mais il me manque l’essentiel : un broc à lavement.

Dans un tiroir, je trouve une poire de 250 ml que Line doit utiliser pour des injections vaginales mais cela ne me plait guère. Continuant mes investigations, dans une armoire, sur l’étagère du haut, je trouve enfin le bock à lavement classique de jadis de contenance un litre en plastique transparent. Il est complet avec un tuyau de 1,50 m environ muni d’un robinet et d’une canule. Tout y est, c’est presque inespéré. Je passe à la salle-de-bains récupérer les bas de Line sur le séchoir et je prends des serviettes dans l’armoire de toilette, elles peuvent être utiles.


Je répète dans ma tête le scénario en faisant le bilan de mes trouvailles : serviettes, bock un litre, bas de soie comme liens, un Rosebud anal, les seringues d’aspiration (le plus imprévu). Pour le liquide, je prendrai de l’eau à la température de 40°C environ, c’est plus excitant avec de plus fortes sensations que les 37°C du corps humain.


Je reviens vers la terrasse chargé de mes trésors, accueilli en paroles par les femmes :



J’approche Line de moi et je déboutonne son chemisier rouge moiré avant de retirer sa jupe prestement en dégageant l’élastique de sa taille et en tirant vers le bas pour passer les fesses. Les vêtements modernes ont cela de bien qu’ils sont rapides à défaire mais personnellement, je trouve très agréable de prendre son temps pour déshabiller une femme.


Line est maintenant cul nu, montrant ses bas noirs attachés aux jarretelles d’une guêpière bustier rouge et noir en satin brillant, très échancrée sur le ventre, les fesses et les hanches, découvrant largement son pubis poilu et ses fesses. Les demi-bonnets du soutien-gorge de la guêpière ont du mal à contenir son opulente poitrine mais je trouve cette femme encore bien faite pour son âge et surtout sans rides. Je ne peux pas m’empêcher de caresser sa poitrine sans que Line en soit offusquée, ne résistant pas à sortir les seins de leurs présentoirs. Le spectacle est sublime et Maryse n’en est aucunement jalouse, me faisant entièrement confiance sur l’avenir. Je suis d’abord son employé avant d’être son amant.


J’aide ma patiente à s’allonger sur la table de jardin, une couverture sous le corps et des coussins sous la tête et sous les reins pour remonter les fesses. J’écarte aussi sa vulve pour tester la réceptivité et le mouillage du vagin. Je ne suis pas déçu et je lui fais savoir.



Je dois bien reconnaître que le tableau que m’offre Line totalement libérée est indécent, pornographique et inespéré. Elle me présente sa chatte poilue mais aussi son cul avec l’anus largement dégagé prêt à être travaillé. Je passe un bas sur la face postérieure d’une cuisse, croise les deux extrémités sans faire de nœud et l’attache à une ferrure de la tonnelle en tirant et en écartant la jambe au maximum à l’arrière. J’en fais de même avec l’autre jambe que je solidarise à la tonnelle le plus loin possible de l’autre côté.

Comme Line est très souple, c’est presque une culbute avec grand écart que je lui fais faire. Pour qu’elle soit plus confortablement installée, je glisse la nappe de la table vers l’arrière de façon à lui donner plus d’aisance et moins de contrainte sur les jambes et les liens. Elle me confirme qu’elle est bien positionnée avec en plus un coussin pour lui caler les reins.


Pour mettre en valeur sa poitrine et rendre ses mains inactives, je les réunis et je lie ses deux poignets en l’air au-dessus de la tête avant de les attacher avec un bas comme une paire de menottes. Je prends enfin un dernier bas que je noue en hauteur à la tonnelle. Cette opération valorise ses seins en évitant à son opulente poitrine de tomber le long du corps. Bien qu’elle ait conservé sa guêpière, les demi-balconnets du bustier ne peuvent plus contenir ses mamelles gonflées comme des melons.



Pendant que Maryse s’enquiert du liquide, je passe la main sur la vulve de Line, dégage au maximum les grandes lèvres et tire sur les petites lèvres. Je décalotte le clitoris très proéminant et il me vient l’idée de mettre en place une seringue à succion pour aspirer ce bouton du plaisir. Line en a probablement oublié les bienfaits à cet endroit. C’est une simple seringue médicale en plastique de 15 ml dont le côté aiguille est coupé. Le piston est toujours présent pour faire le vide. Je l’humidifie avec un peu de salive, l’applique sur le clitoris en appuyant pour assurer l’étanchéité et je tire sur le piston. Elle tient toute seule et le clitoris grossissant, pénètre dans le tube. Comme le plastique est transparent, le spectacle est assuré.



Maryse revient avec le bock rempli d’eau chaude que je suspends en hauteur à environ 50 cm au-dessus de nos têtes. Je titille la rondelle anale de Line pour tester l’humidification. Les suppositoires de glycérine ont bien lubrifié l’entrée et je n’ai aucun mal à introduire mon majeur dans le rectum. L’intérieur est moelleux et je sens quelque chose de dur dans le colon, probablement des crottes de constipation. J’introduis maintenant la canule, puis j’ouvre le robinet. L’eau pénètre lentement mais régulièrement. Il faut environ quinze minutes pour que le bock se vide.



Je ferme le robinet, retire délicatement la canule et Maryse repart remplir le bock à lavement. J’en profite pour tirer un peu sur la seringue d’aspiration en place avant d’en installer deux autres sur les tétons que je m’amuse à titiller en faisant de petites pichenettes auxquelles Line est très réceptive.



Maryse revient avec le second litre à température et le scénario reprend : suspension du bock un peu plus haut que le précédent, introduction de la canule dans l’anus, ouverture du robinet et hop ! C’est reparti. Pendant ce temps, Maryse apprécie la mise en place des seringues et elle s’amuse avec. Line qui ne peut guère bouger glousse de plaisir, disant que tout ça l’excite autant que le liquide chaud qui la pénètre et qui lui fait du bien.

En cinq minutes, le liquide est avalé par les intestins.



Je retire donc la canule sans que la moindre goutte de liquide ne s’échappe. Je lubrifie le gode que je présente à l’entrée de l’anus et je pousse avec le pouce d’un coup pour l’introduire. Line fait un « Ooouuh ! » de surprise quand l’objet prend sa place. Probablement pas aujourd’hui, mais j’aimerais qu’elle le garde pendant une longue période, tout en faisant d’autres choses comme travailler, marcher, faire la cuisine, dormir… mais ne fantasmons pas trop tout de même !



∞∞∞∞∞




Cela fait maintenant plus de vingt minutes que le liquide stagne dans les intestins de Line. Maryse, mon assistante est à la recherche d’accessoires pour raser la chatte de Line toujours exhibée au grand air. Je m’enquiers de l’état de ma patiente qui ne se plaint pas des deux litres injectés dans le colon :



Sur ces entrefaites, Maryse est revenue avec un rasoir dans lequel on insère une lame fine et plate type Gilette, ainsi qu’un blaireau mais il manque la mousse à raser.



Pendant ce temps, j’ai commencé mon travail de coiffeur, d’abord la vulve qui est maintenant totalement dépoilée. Je me recule pour admirer mon œuvre et je dois bien reconnaître que c’est plus beau ainsi, Maryse est aussi de mon avis. Je pense que si ce n’était pas la première fois que je rasais cette femme, j’aurais laissé le pubis poilu avec seulement un rafraîchissement les poils aux ciseaux, mais aujourd’hui je veux tout, je veux rendre imberbe cette femme, pour la beauté de la petite fille innocente qu’elle a été jadis.


Pour ne pas rester inactive, sur mes conseils et pour occuper Line, Maryse fait boire à notre otage de l’eau en quantité plus que respectable puisque c’est une bouteille d’un litre et demi qu’elle avale le temps du rasage afin de se remplir la vessie en excitant ses sens. Pour accroître la rapidité de réaction, elle termine ce breuvage par deux cafés et enfin une canette de bière de 33 cl, comme cela, elle ne devrait pas tarder à vouloir pisser.


En plus des coliques intestinales, voilà maintenant l’estomac qui gargouille !



∞∞∞∞∞




Un quart d’heure plus tard, Maryse se tortille dur dans ses liens et je m’inquiète de son sort :



Je m’amuse avec la seringue d’aspiration positionnée sur le clitoris, en tirant sur le piston, pendant que Maryse en fait de même sur les tétons. Line apprécie que nous les bougions de plus en plus vite et cela semble l’exciter, au bord de l’orgasme, mais son attention est trop captée à retenir son envie pressante.



Nous continuons l’agitation des seringues. Line par contraction et relâchement des muscles des sphincters de l’anus bouge le Rosebud qui est en elle. Elle a les yeux fermés, se concentrant sur son envie de pisser, de plus en plus difficile à contenir. Elle ne veut pas crier, ne pas supplier, mais voilà presqu’une heure qu’elle est exposée et exhibée ainsi, et qu’est-ce que ce doit être long, une heure, quand on a envie de se vider !


J’attrape une bassine remisée sur la terrasse car je sens le point de non-retour tout proche. Je lâche la seringue pour entrer deux doigts dans le vagin de Line à la recherche du point G, tout en titillant le méat urinaire. Je fais signe à Maryse de tenir la bassine de façon à libérer ma seconde main. Je retire sèchement les seringues. Les tétons sont gros et durcis comme deux noisettes et la seringue du clitoris fait un pet caractéristique d’air qui s’échappe du cylindre lorsque je la retire en tirant dessus sans ménagement.


Comme je branle toujours le vagin, Line part enfin dans un orgasme simultané à l’urine qui jaillit de sa vessie. Je retire enfin le Rosebud de son cul et là, ce sont les « grandes eaux » qui s’échappent de ses entrailles avec plein de matières fécales odorantes. Heureusement que nous sommes dehors et tant pis pour nous qui l’avons voulu ainsi. Line garde les yeux fermés pour mieux se concentrer sur toutes ces libérations orgasmiques et liquides. Tout doit se mélanger dans sa tête, et pendant près d’un quart d’heure, elle se vide sans pudeur ni retenue.


Trouvant que l’amusement a assez duré, je libère Line de ses liens qu’elle a oubliés depuis longtemps, tellement ses plaisirs sont grands, inespérés, probablement rêvés dans ses fantasmes les plus fous et enfin réalisés cet après-midi. Elle reste longtemps abandonnée sur la table, les yeux fermés pour récupérer quelques forces en savourant son bonheur.



∞∞∞∞∞




Nous sommes restés tous les trois, dîner chez Line et la douceur automnale se mélange à nos rêveries érotiques. Au moment du bilan positif pour chacun de nous et en guise de conclusion :


– Maryse dit que l’objectif est atteint et qu’enfin Line s’est libérée de ses contraintes.

– Line dit que l’après-midi de rêve en appelle d’autres.

– Et moi, je suis vengé de la semaine dernière. J’ai accompli sur Line des fantasmes, non programmés en arrivant ici mais tellement désirés dans mon imaginaire !


Au moment des adieux, nous projetons d’autres expériences de ce type sur des scenarii préalablement réfléchis. Chacun doit imaginer quelque chose pour le réaliser sur l’un de nous qui sera tiré au sort en début de séance. Nous avons déjà décidé de la façon de tirer au sort :


Un dé a six faces et la somme de deux faces opposées égale 7.

Maryse, la plus âgée, prendra les deux faces opposées 1 et 6 ; Line, sa cadette, les faces 2 et 5 et moi les faces 3 et 4.


Celui qui reçoit lancera le dé.



… À suivre…