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n° 14512Fiche technique34007 caractères34007
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Temps de lecture estimé : 24 mn
14/08/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Après une journée passée dans un monde habité seulement par une poignée de jeunes femme libres et en manque d'hommes, Denis saura-t-il honorer ses obligations ?
Critères:  #humour #sciencefiction #fantastique #initiation fff fffh piscine nudisme sandwich fdanus hdanus hgode gangbang
Auteur : Pourquoi            Envoi mini-message

Série : Un autre monde.

Chapitre 02 / 03
Epizode 2

Résumé épisode 1 : Denis, un jeune homme « lambda » se réveille un jour dans un monde apparemment inhabité. Pourtant, alors qu’il s’apprête à réaliser ses plus bas fantasmes en de telles circonstances, il découvre un groupe de femme vivant nues et très libérées, dans une somptueuse villa. Parmi elles :

Sa femme : Marie (la plus belle, forcément, c’est sa femme !)

Sa chef au travail : Natacha (le fantasme de base !)

Une collègue de travail : Estelle (La secrétaire sexy)

Une mère de famille : Caro (ses longues jambes et ses fesses : hypnotisant !)

Puis, deux splendides créatures rencontrées dans un centre commercial (une blonde et une châtain).


Après avoir accepté de vivre avec elles, nourri, logé, blanchi (facile, ils vivent nus !) en contrepartie il devra assouvir tous leurs désirs. Chantal la « chef » de groupe, accessoirement docteur, lui propose d’absorber des pseudo-préparations « pharmaceutiques » qui lui confèrent une vigueur surnaturelle, lui permettant effectivement d’assumer toutes leurs envies ! C’est après un repas très animé que tout ce beau monde décide… d’aller se coucher.



-----------— OOO ------------




Marie passe devant et le conduit vers la chambre, suivie de tout le cortège de femmes en chaleur. Elles se collent à lui, le caressent, le désirent. Devant le lit, c’est Natacha, sa chef au boulot, qui prend l’initiative, attrape ses poignets, écarte ses bras et le plaque sur le lit, elle dessus, face à lui l’embrasse férocement. Au même moment, il sent une langue, peut-être deux, sur ses bourses. Son sexe est alors saisi fermement par une main qui commence à le masturber. Natacha est légèrement remontée et plaque sa petite poitrine ferme sur le visage de Denis. Ce dernier a, à présent, les mains libres pour les peloter, les caresser, tout en les embrassant, les pinçant, les mordillant…


Les mains qui s’affairent sur l’entrejambe du jeune homme sont accompagnées de flots de salive. Denis descend ses mains jusqu’au bassin de Natacha. Celle-ci a bien compris et en a tout autant envie : la pénétration ! Les mains et les langues s’écartent de ce sexe bien dur, toujours plus veiné. La jeune femme glisse d’abord dessus, lentement, comme pour le masturber, tout en flattant son clitoris, gonflé, dur comme une cerise. Puis vient la pénétration, elle se cambre alors en arrière, Denis l’accompagne de ses mains, remontées sur sa poitrine. En une fraction de seconde, il est entièrement en elle. Alors que toutes les autres femmes s’approchent de plus en plus du couple, tous les corps sont en contact, s’enlacent, se mêlent.


Par sa position de dominatrice, Natacha gère son plaisir à son gré, faisant glisser son bassin, puis montant, descendant sur l’organe érigé en elle, elle l’utilise comme un objet. Tout en appréciant ces mouvements, Denis voudrait prendre le dessus, il veut imposer son rythme. Il exécute à présent des mouvements en miroir de ceux de sa partenaire, le plaisir est alors amplifié. La jeune femme jouit, tout en douceur, elle se plaque à lui, les mains sur ses épaules, tout en ondulant toujours son bassin. Denis a suivi le rythme. Il lui chuchote à l’oreille :



Elle s’exécute, bombant exagérément son postérieur, tout en se caressant l’entrejambe. Sur sa droite, Marie est allongée sur le dos, elle se masturbe en fixant du regard son mari qui s’est mis debout, contre le lit. Denis est troublé par ceci : le postérieur devant lui, sur lequel il a tant fantasmé, et sa femme juste à côté, qui au-delà de lui donner son accord, éprouve du plaisir devant ce spectacle.


C’est donc sans plus réfléchir, les mains posées sur les fesses offertes, qu’il s’y introduit, sans difficulté. Quel bonheur, il est là, son pieu planté au plus profond, entouré de toutes ces femmes plus belles les unes que les autres. Il commence alors par un mouvement de bas en haut, tout en douceur ; puis, confiant de ses performances, il accélère la cadence en restant dans l’axe. Cette accélération a pour conséquences des coups de boutoir plus prononcés et de plus en plus violents. Natacha a beau empoigner de toutes ses forces les draps de soie, Denis n’a de cesse de la rapprocher, la remonter et la tirer vers lui, de ces grandes mains qui lacèrent ses hanches. La jeune femme n’en peut plus, ses cris sont étouffés dans les draps ; Denis en a bien conscience, mais il ne peut pas jouir, lui ! Il lui assène ses trois derniers coups de bassin en un râle rauque, comme une estocade, pour marquer la fin de l’acte. Et non sans succès : Natacha, au plus haut de son orgasme, se laisse alors retomber littéralement, à plat ventre sur le lit.



***




Mais Denis n’en peut vraiment plus, il a besoin, physiquement, de jouir. Certes son désir, son plaisir sont toujours ascendant, mais c’en est trop. La jeune mère, qui était juste à gauche, à genoux, caressant Natacha pendant l’acte, peut le lire dans son regard. Elle attire vers elle, de ces petites mains, le sexe toujours plus dur du « pauvre » jeune homme. Il se décale alors pour savourer une douce fellation. Mais très vite il la stoppe, de ces mains sur son visage, la redresse vers lui en lui ordonnant gentiment :



Les yeux brillants, elle n’en attendait pas moins, elle se laisse basculer, en écartant outrageusement ses cuisses. Alors que le gland est tout juste au contact de ses lèvres intimes, la jeune mère de famille referme son piège : elle replie ses jambes en les croisant derrière le dos du jeune homme, l’obligeant à s’introduire d’un trait en elle. Ceci suffit à Caroline pour atteindre son premier orgasme, mais toujours pas pour Denis. Il pose alors ses mains sur l’intérieur des cuisses qui l’emprisonnent, les fait glisser jusqu’aux fesses et en les soulevant, il se retire légèrement, tout en la soulevant encore plus, la rapprochant plus de lui. Ses mains bien ancrées dans ces globes moelleux, il les pétrit au rythme de ses assauts. Le jeune homme n’en peut plus, la sueur ruisselle dans son dos, mais ses coups sont toujours plus forts. La fin est proche, Denis sent qu’il va enfin pouvoir éjaculer.




***




Chantal réapparaît alors, les cheveux ruisselant encore de l’eau de sa douche. Elle tient ses mains dans son dos, les épaules en arrière, la poitrine bien en avant.



Elle sort alors ses mains et dévoile à l’assistance sa surprise : une pleine poignée de godes-ceintures qu’elle tient par les sangles. La réaction des femmes n’est pas instantanée.



Quatre d’entre elles se précipitent alors à ses pieds, comme des petites chiennes attendant leur sucre.



***




Pendant ce temps, Marie, allongée sur le côté, à sa droite, a très naturellement posé sa tête sur le ventre de son mari, les yeux vers son sexe toujours droit. Denis, avec le même naturel, a glissé sa main sur ses hanches, la frôlant, la cajolant. Puis elle commence à le masturber, une dernière perle de sperme s’écoule alors. Ni une ni deux, elle se met soudainement à quatre pattes et lape cette minuscule goutte, la fait remonter doucement de sa langue, avant de l’avaler. Tenant toujours fermement son sexe de sa main droite, elle vient alors sucer le bout rouge écarlate, brillant encore de sa salive, l’aspirant violemment. Lorsqu’elle relâche la pression elle s’exclame :



Elle l’enjambe et s’empale, guidant de sa main cette verge dans son intimité. Denis ne l’avait que rarement vue aussi motivée, aussi entreprenante… Il la laisse prendre « le manche », tout en caressant de ses deux mains les corps qui l’entourent, l’enlacent et lui rendent la pareille.

Mais certaines l’ont délaissé pour s’équiper de ces sexes d’homme artificiels et en font déjà profiter leurs compagnes.


Marie est à présent en train de prendre son pied, elle joue avec ce vrai sexe qui théoriquement n’a aucun secret pour elle, pourtant là, elle semble le découvrir (le re-découvrir). Les sensations sont d’ailleurs différentes pour Denis aussi. Le jeune homme sait ce qu’elle aime avant tout, il connaît même ses fantasmes. Aussi, alors qu’elle ondule lentement sur ce membre surnaturel, il se redresse et lui glisse à l’oreille :



Elle s’exécute, sans mot dire. Denis se redresse, il observe rapidement la scène qui se joue dans cette pièce : Natacha, sa chef, est à plat ventre sur Caroline la jeune mère, leurs bassins oscillent à l’unisson. Visiblement ce n’est pas la première fois qu’elles utilisent ces ceintures.

De l’autre côté du lit, c’est la jeune Estelle, qui « subit » les assauts de la belle blonde du supermarché, tandis qu’une autre, équipée de son harnais, lui impose une fellation de cet organe en plastique.


Quel spectacle ! pense le jeune homme. Même en film il n’avait jamais vu ça, et il l’aurait encore moins pensé avec tous ces personnages qui lui sont si familiers ! Il fixe alors le postérieur de sa femme qui s’offre à lui. Il le connaît bien, mais ne peut s’en lasser ; il glisse sa main droite sur ses fesses puis effleure de sa gauche l’intérieur des cuisses, tout en remontant, avant d’atteindre, par l’index, son clitoris, puis toute sa paume parvient à se poser délicatement sur son intimité, tout en prenant soin de bien dégager le pouce, avec lequel il commence à dessiner de grands cercles autour de son petit trou. Ceux-ci se resserrent, formant une spirale dont le centre, l’œil de la tornade, n’est autre que son anus !

Au même instant, une jeune femme, qu’il n’avait même pas remarquée jusqu’à présent, s’empare de sa queue, de ses deux mains puis de sa bouche.



Sa main droite vient alors se poser naturellement sur la belle chevelure longue, rousse et bouclée de cette inconnue. Il remonte la gauche à sa bouche, suce son pouce, avant de retrouver sa position et ses gestes initiaux : de petits cercles autour de son alvéole d’amour. C’est sans difficulté qu’il s’introduit alors à l’intérieur. Marie pousse un petit cri, mélange de plaisir, de douleur et de satisfaction. Au même instant la serviable rousse se recule. Denis a à présent son pouce entièrement dans sa femme et il continue de décrire ces cercles, en parfaite synchronisation avec son index qui s’affaire toujours sur son clitoris. Tout en accélérant ses mouvements, il entame alors des mouvements de va-et-vient, bousculant à chaque passage sa framboise. Le souffle et les gémissements étant croissants, sous l’œil amusé de la jeune rousse, Denis prend son sexe de sa main droite pour remplacer son pouce. La pénétration est à la fois ferme et langoureuse.


Marie n’en attendait pas moins. Mais là n’est pas exactement l’objectif de Denis qui souhaitait satisfaire un fantasme de sa femme. Il se plaque alors contre elle, l’enlace très fermement de ses deux bras, la soulève du lit et dans une rotation un peu maladroite, s’assoit à son tour sur le rebord. Dans l’action, il n’a pu rester en elle. Estelle, qui n’a rien manqué de la scène, sourit et s’approche d’eux, s’accroupit face à eux. C’est la rousse qui aide à la réintroduction. La secrétaire des ressources humaines tient dans sa main gauche un énorme sexe d’homme en lieu et place du sien, qu’elle humecte sensuellement avant de l’approcher et le glisser sur la vulve de Marie. Celle-ci a bien compris, ferme les yeux dans l’attente de pouvoir sentir cette double pénétration. Estelle ne la laisse pas plus attendre et vient lentement rejoindre, séparé d’une très fine paroi, le sexe de Denis, toujours aussi raide (mais bien moins imposant). C’est elle qui donne le rythme, de très soutenu à infernal, c’en deviendrait presque acharné, endiablé !


Denis a largement dépassé encore le seuil où normalement il aurait déjà joui, ce qu’il ressent au-delà de ce cap est du plaisir pur, mélangé à de la souffrance, voire même de la frustration de ne pouvoir craquer. Quand soudain, en un seul assaut d’Estelle, encore plus appuyé que les précédents, comme par miracle, il entraîne une jouissance simultanée de ses deux partenaires qui s’effondrent sur les draps de soie.



***




Estelle détache alors son harnais et retire d’elle ce sextoy « magique », le laisse négligemment tomber au sol. En se dirigeant vers la sortie elle lance :



Denis, sans mot dire, regarde alternativement et presque désespérément Chantal et son sexe toujours raide ! Elle lui répond par un haussement des épaules. La fatigue étant, il se redresse péniblement pour se diriger vers la douche. Celle-ci n’a rien de banal, c’est une immense pièce entièrement carrelée de mosaïques aux tons pastel. En plusieurs points du plafond pendent d’imposants pommeaux. Au fond de cette salle, en contrebas, une autre pièce est dédiée à la « baignoire », qui s’apparente plus à un jacuzzi démesuré où l’on peut se tenir debout, avec des assises sur les rebords, illuminé de l’intérieur, bouillonnant, fumant, avec des odeurs très subtiles indéfinissables d’huiles essentielles.


Denis traverse la salle de douche en contemplant les filles, Estelle et Caroline, puis les deux femmes du centre commercial, se savonner mutuellement. Il décide de poursuivre jusqu’au bain. Marie est déjà dans l’eau, en compagnie de la charmante rousse et d’une troisième femme. Cette dernière a la particularité d’avoir les yeux les plus clairs qu’il n’ait jamais pu croiser. Elle le regarde venir, droit dans les… (non, pas les yeux !)


Il descend dans l’eau, face à elles, Marie et la rousse viennent de part et d’autre se plaquer à lui. Les yeux de perle sont à présent fixés dans ceux de Denis. Marie, s’adressant à la rousse :



Ainsi, comme un challenge, le jeune homme (très joueur !) nonobstant sa fatigue, redouble ses efforts, sous les yeux et les caresses de sa femme et de Sandrine. Blue est tout autant active, serrant puis relâchant ses cuisses afin d’amplifier les mouvements. Les femmes à côté ne sont pas que spectatrices, leurs mains s’immiscent au plus proche des intimités de ces corps fusionnés et ce malgré les mouvements très réguliers. La chevauchée semble interminable, quand soudain, sans un mot, sans un cri, Blue ferme ses yeux sublimes, cesse tout mouvement et se laisse aller mollement. Ce qui n’est pas le cas du sexe de Denis, toujours en érection, requérant la même fin. Alors que la jeune femme satisfaite s’écarte pour s’asseoir sur un des sièges incrustés dans le jacuzzi, les deux autres restent collées à lui, le masturbant avec ardeur. Les quatre mains n’étaient pas de trop, elles se relaient, s’accompagnent afin d’aboutir à la jouissance. Même sous l’eau, la force du jet est telle qu’elle semblerait être à l’extérieur. Blue le regarde d’un air mystérieux, lui lance un clin d’œil avant de sortir avec grâce de cette immense baignoire. Sandrine, Marie et Denis se savonnent mutuellement alors que déjà le soleil étend ces premiers rayons au travers des vitres. Les trois comparses finissent leur toilette et sans même se sécher se dirigent vers l’extérieur afin de se prélasser au bord de la piscine.


La scène est la même qu’il avait vue du haut de sa branche, un détail en plus : lui ! Il sombre alors dans un profond sommeil avec un air d’entière satisfaction, de bonheur.



***




Denis est soudain réveillé, c’est Estelle qui lui fait « une petite gâterie ».



Remplaçant la parole par le geste, elle gobe entièrement cet organe magique (ou surnaturel), puis s’en retire tout doucement en maintenant une légère aspiration et en faisant tournoyer sa langue. Sa main gauche enlace fermement la base de ce sexe alors que sa droite suit les mouvements de ses lèvres, puis elle augmente la cadence, sa tête ne peut plus suivre, ses mains serrent de plus en plus fort et s’agitent encore plus. Denis, les mains crispées sur les accoudoirs, la tête en arrière, n’en peut plus. Il attrape les avant-bras de la secrétaire, l’obligeant à s’arrêter et l’attire vers lui. Elle obtempère avec plaisir, elle enjambe donc le transat et vient s’asseoir sur son sexe encore brûlant des divines secousses qu’il vient d’avoir. Mais l’intimité d’Estelle est tout aussi chaude, humide aussi. Elle entame alors une sorte de danse orientale, en appui sur ses deux mains posées sur les pectoraux de Denis.


Soudain, elle plante ses ongles. Le jeune homme surpris et endolori comprend très vite l’origine de cette réaction : une autre femme s’est glissée derrière eux, sa langue glisse sur les testicules de Denis, en suivant les ondulations du bassin d’Estelle. Puis une main vient s’ajouter, elle se glisse dessous, en allant jusqu’à exercer une pression sur l’anus du jeune homme. Même « châtiment » pour Estelle où, là, ce sont un, puis deux doigts qui s’y sont introduits avec une grande simplicité. Les ondulations font place à présent à de frénétiques mouvements saccadés, les simples pressions sur le rectum de Denis deviennent de réels coups de boutoir. La porte s’entrouvre juste au moment où, en un ultime coup de reins, le jeune homme se contracte (refermant cette porte d’un désir nouveau) et jouit. La violence de ce dernier coup ainsi que celle de l’éjaculation, contaminent Estelle qui pousse alors un cri strident avant de s’effondrer sur Denis. Derrière elle, c’était Natacha, qui avait su trouver les boutons déclencheurs d’orgasme !



***




Marie, juste à côté, n’a rien manqué de la scène. Elle s’approche de Natacha et lui chuchote quelques mots à l’oreille. Estelle, pour sa part rassasiée, se redresse et les abandonne.



Le jeune homme s’exécute, laissant sa place sur le transat à sa chef, tandis que Marie les observe toujours d’un air coquin. Denis se penche alors sur le rebord du siège, là où Natacha a soigneusement positionné son postérieur, et entame un cunnilingus dont il a le secret. Mais Natacha l’interrompt très vite :



L’œil brillant, « l’invité invincible » guide son membre de sa main droite, alors que sa gauche, après l’avoir été humectée machinalement, titille l’entrée intime déjà bien moite de sa partenaire, juste avant de s’introduire.



Denis, insensible à cette annonce, poursuit sa besogne, quand il sent Marie, toujours derrière eux, s’immiscer entre leurs cuisses. Mais il n’arrive pas à distinguer de quoi il s’agit :

Trop visqueux et trop gros pour des mains et ce ne peut pas être une fine langue… pense, presque soucieux Denis. Marie s’est équipée d’un gode ceinture, qu’elle a abondamment enduit de lubrifiant et de salive. Après l’avoir glissé le long de ces quatre cuisses qui s’agitent à l’unisson, elle se concentre alors sur le petit trou vierge du jeune homme, malaxant ses fesses et laissant couler un filet de bave. Écartant de toutes ses forces ces deux globes, elle presse l’accès de ses doigts, tout en approchant le sexe artificiel à l’orée de ce lieu tant convoité fantasmagoriquement par les hommes.


Denis, stoïque, tétanisé, poursuit sa tâche machinalement, tout en restant concentré sur ce qu’il ressent par derrière. De douces pressions viennent attendrir cette zone presque aussi tendue que sa bite ! Mais voilà qu’un pouce pénètre alors. Denis s’immobilise quelques secondes : pour apprécier l’instant, par douleur, ou juste la surprise ? Quoiqu’il en soit, la seconde suivante, le jeune homme reprend doucement ses mouvements alors que le doigt en lui, amplifie tout aussi doucement sa fouille, avant d’être rejoint par son symétrique. Mais très vite remplacés eux deux par le sexe artificiel. La technique est redoutablement bien maîtrisée, l’initiation ne doit pas être sa première !


Denis semble apprécier, mais n’a pas craqué, contrairement à la dernière fois, il se concentre. Un peu trop au goût de Natacha qui de son côté s’agite de plus en plus, s’aidant de ses mains pour tenter d’atteindre l’orgasme. Marie, dirigeant tout ce monde à la baguette, ajoute la voix aux gestes :



Disant ça, sans attendre de réponse, cette fois elle joint le geste à la parole, en augmentant progressivement ses mouvement d’entrées et de sorties, venant jusqu’à claquer ses hanches sur les fesses de son mari, lui-même pénétrant au mieux Natacha. Alors que les va-et-vient se font de plus intensifs et plus fréquents, la chaleur monte, les cris aussi. Comme s’ils devaient synchroniser leurs orgasmes ! Mais c’est pourtant bien ce qui se passe, comme une symbiose, les chocs, les exhortations, les plaisirs de ces trois corps enlacés, unis, atteignent leur apogée au même instant. Avec la même intensité ? Nul ne le sait.


Mais Natacha reste bouche bée, sa main sur son sexe. Marie, se retirant de son homme et ôtant de son intimité le gode ceinture (double !), gluant de toutes parts, penche sa tête en arrière, les yeux fermés, sereine. Denis, quant à lui, a gardé « la pose de la jouissance passée » décontracté, bouche ouverte, yeux écarquillés, apaisé, soulagé, heureux ! Jamais il n’avait ressenti de telles sensations, c’est pour lui la découverte d’un nouveau plaisir qu’il imaginait certes vaguement, mais n’avait jamais pu atteindre !


Denis se retire en s’allongeant à côté du transat. Natacha le rejoint à même le sol, alors Marie vient s’immiscer entre eux.



***




Chantal, non loin de là, tel un patriarche, lance à voix haute :



De simples mais belles assiettes de salade sont déjà placées. Denis reprend sa place, tout comme Marie, mais Caroline s’est fait prendre sa place par Blue, la femme aux yeux revolver.

En s’asseyant, faisant glisser sa langue sur sa lèvre supérieure, elle dit à Denis :



Mais ce n’est pas l’assiette qu’elle regarde alors. Elle ajoute : bon appétit ! juste avant de se laisser glisser sans aucune discrétion sous la table. Elle écarte les cuisses de Denis, s’empare de ses deux mains de son sexe, tout en portant à ses lèvres son gland. La technique est redoutable, ses mains le masturbent très fermement alors que ses lèvres et sa langue cajolent délicatement l’extrémité de son organe. Et le tout avec son sublime regard planté dans celui du jeune homme.


Toutes les assiettes sont à présent finies, sauf deux. Blue ne le masturbe plus que d’une main et sa bouche suit le mouvement, la seconde main s’est glissée sous ses testicules, qu’elle empoigne fermement, tout en augmentant la vitesse des allées et venues. Quand soudain Denis, les doigts emmêlés dans les cheveux de Blue, l’immobilise. Il jouit en elle sans aucune retenue. Celle-ci remonte face à lui et l’embrasse goulûment. Elle avait tout avalé et ce baiser n’en était que la démonstration. Elle se rassoit à ses côtés, sert un verre de vin blanc, bien frais, à Denis puis à elle-même, trinque un coup avant de le siffler cul-sec. Les deux dernières assiettes sont sommairement finies, quand le plat suivant arrive. De simples pâtes au beurre.



Finalement, toutes l’imitent et les assiettes sont bien vite finies. Sans même passer par la case fromage, une corbeille de fruits est posée sur la table et passe de mains en mains, se vidant au fur et à mesure. Denis semble déçu, c’était presque un repas normal !



***




Alors que le cours de la vie de cette petite communauté semble avoir repris son cours, Marie demande à Denis, tous deux toujours à table :



Denis, après un long silence lui propose :



Sur ce, après avoir décroché les clés d’un anneau, à côté de la porte d’entrée, ils se dirigent vers la grosse voiture, entre 4X4 et pick-up, mais très luxueux à l’intérieur.



Ainsi, non sans « excitation », il prend place sur le siège conducteur alors qu’elle vient s’installer à ses côtés. Il insère la clé dans le démarreur et fait ronronner le moteur, suit le petit chemin à l’intérieur de la propriété avant d’arriver devant le portail. Marie prend alors la télécommande pour l’ouvrir. Après seulement quelques mètres, Denis semble très soucieux.



Denis vire à gauche et vient se garer, juste à côté de sa propre voiture, toujours là où il l’avait laissée : en vrac en plein milieu ! Il coupe le contact du pick-up, sans mot dire et sort. La passagère le suit ; il ouvre la portière de sa grosse berline, elle reprend sa place de passagère. Sans surprise, la clé est toujours sur le contact, il presse l’embrayage, puis le bouton start et elle démarre, tout en silence. En passant la marche arrière, Denis pose son bras machinalement derrière l’appui-tête passager, en se retournant il sourit à sa femme.


Alors que cette marche arrière s’est faite tout en douceur, le démarrage est bien plus sportif, tout comme le reste de la conduite. Ainsi, la fin d’après-midi approchant, ils arrivent devant une belle et modeste villa, menuiserie bleue, crépi ocre, sur deux étages. Ils se garent.



***




Denis n’a pas le temps de venir ouvrir la porte de sa passagère qu’elle est déjà dehors, il lui indique le chemin, ouvre le portail et débute la visite par le jardin, la piscine… Il prend au passage, dans une cachette, le double de la clé d’entrée (la sienne était restée dans son pantalon !) passe rapidement sur la visite du hall, la cuisine, salle de bain du bas, puis le salon, avant de l’inviter à monter au premier. Là, c’est leur chambre, oui, sur tout l’étage, avec toilette, bain, dressing et… lit ! C’est là que s’attarde Marie, se jetant dessus en lançant :



Denis s’agenouille à ses pieds et en toute férocité dévore le sexe de sa femme, lui extrayant des gémissements, de prime-abord surpris, puis de plus en plus langoureux. Sa langue est en compétition avec ses doigts qui s’affairent tous azimuts, autour et dans son intimité.



Et, presque instantanément, il exécute son souhait qu’il partage. Son sexe, d’une parfaite rigidité, s’introduit virilement et sans difficulté dans sa grotte d’amour. Les assauts semblent durer une éternité, le plaisir, la jouissance des deux semblent sans limite. Denis glisse alors sa main sous l’oreiller où est rangé leur sextoy préféré : « Big black », et il porte bien son nom ! Il l’approche du visage de sa femme, qui le découvre puis le recouvre d’une main et l’engage dans sa bouche puis glisse sa langue sur toute sa longueur, sur toute sa surface. En un mouvement rapide et précis, Denis se retire pour laisser place à ce jouet, qu’il dépose dans un premier temps à l’orée des lèvres intimes de sa femme, le cale sur son ventre, tout en guidant son propre sexe face au petit trou. Il s’avance, en maintenant « Big black » entre le pouce et l’index. Lentement mais sûrement, Marie est bientôt entièrement occupée, Denis, de plus en plus comprimé… Il est en butée, le jouet pas encore ! Il continue sa course en s’inclinant puis, en le tenant toujours fermement, il se retire, sans sortir et reprend progressivement le rythme qu’il tenait quelque temps auparavant. Mais en peu de temps, Marie hurle, littéralement envahie, tressaille de plaisir, presque instantanément rejointe par son mari. Ils s’immobilisent alors tous deux et sombrent dans un sommeil réparateur bien mérité après une telle journée.



***




5 h 30, Le réveil sonne… Denis émerge péniblement.



Après quelques minutes, Marie, réveillée aussi par la radio, pousse doucement l’épaule de son époux :



Denis, tracassé, retrouve facilement son « train-train » habituel : habillage, café, radio (avec les infos en live), toilette…


6 h 50, Il est prêt, cherche ses clés de voiture.



Et effectivement, la voiture est bien là, fenêtres ouvertes et clés au contact ! Premier cédé le passage, une voiture passe en trombe (comme toujours d’ailleurs !).



Poursuit sa route, machinalement, comme branché sur pilote automatique, il se remémore ces trois derniers jours : le monde sans vie, sauf une poignée de femmes sublimes, nues. Son premier repas dans cette villa, l’après repas ! Sans même s’en rendre compte il est déjà garé sur le parking, prêt à reprendre le travail, comme si de rien n’était.


C’est une journée presque comme toutes les autres : travail, avec Natacha sa chef, avec donc comme l’imagine Denis son traditionnel Wonder-bras, il croise Estelle, la secrétaire aux RH, fidèle à son image : tailleur strict, minijupe et petites lunette lui donnant cet air sévère.


16 h 30, fin de journée : direction l’école, où implacablement, devant le grand portail, Caro, la jeune mère de famille, toujours montée sur ses très hauts talons. Le spectacle de ses longues jambes est aussi amplifié par une petite robe, très courte elle, et particulièrement moulante. La sonnerie retentit, le portail s’ouvre et une nuée d’enfant inonde la place.


Puis retour maison, goûter, devoirs, douche… Quand Marie paraît, malgré une longue journée de travail, toute guillerette, resplendissante, arborant un splendide décolleté.



Le repas se passe, sur des discutions banales. Les enfants sont couchés et, après avoir sommairement débarrassé, Marie et Denis s’écrasent dans le canapé et s’abrutissent devant la télévision en digérant trois séries américaines d’affilée avant de rejoindre la chambre conjugale. Vraiment une journée comme les autres !


Le jeune homme, toujours prêt avant sa femme, est donc déjà couché, en tenue d’Adam comme d’habitude. Elle arrive enfin, vêtue, d’une très simple chemise de nuit, s’installe sous les draps et lui demande :



À ces mots, nul homme ne peut refuser quoi que ce soit à sa femme ! Le jeune homme s’exécute, arrive dans la salle de bain, ouvre le placard du milieu et… face à lui, deux petites fioles transparentes contenant des préparations « pharmaceutiques » liquides, l’une est ambrée, la seconde un beau violet. Marie, qui l’a suivi discrètement sur la pointe des pieds, pose alors sa main droite sur son épaule, puis sa gauche sur ses fesses, en lui susurrant à l’oreille :



… ? …