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Temps de lecture estimé : 21 mn
15/08/11
Résumé:  Je garde toujours de très bon contact avec le couple rencontré en vacances. Brigitte désire à son tour connaître mes nouveaux amis.
Critères:  fh ff hh 2couples fbi hbi hplusag fplusag frousses fellation cunnilingu anulingus fdanus fsodo hdanus hgode hsodo -entrecoup
Auteur : Ducfranck            Envoi mini-message

Série : Les Normands

Chapitre 03 / 03
Les Normands - Épisode III

Résumé des épisodes précédents : Après une semaine de vacances torrides avec Marc et Gina, je décide d’aller leur rendre visite en Normandie. Ce long week-end est l’occasion de nombreuses galipettes mais la relation que j’entretiens avec une adorable femme de ma région, Brigitte, m’occasionne quelques tourments car je ne souhaite pas briser l’alchimie crée avec le couple normand.




Je n’ai pas vraiment dormi après la soirée avec Marc et la discussion avec Brigitte. Au travail je n’ai été qu’un zombie, incapable de prendre la moindre décision. Il va falloir que j’améliore mon rendement car mes supérieurs commencent à grincer des dents. « Un problème que je réglerai plus tard », me dis-je en m’écroulant sur mon canapé-lit en arrivant du boulot. La sieste réparatrice est terminée, douché et habillé je fonce au rendez-vous. L’absence de véhicule à quatre roues est un avantage lorsque vous êtes un peu en retard. Un tour de poignée et je suis propulsé, au mépris de la loi, vers le restaurant qu’elle a choisi. J’arrive en même temps qu’elle sur le parking.


Elle est magnifique, de superbes escarpins dont les lanières en cuir enserrent les mollets et une robe courte noire, épousant parfaitement ses formes. La poitrine, les hanches, la fine taille et ses cuisses galbées sont magnifiées par la tenue. Je manque m’entraver en m’approchant d’elle. Je regrette presque ma tenue jean, chemise et surtout le casque et le blouson de cuir qui m’encombrent au possible.


Nous sommes installés dans un coin tranquille de la terrasse au bord de la piscine. La fraîcheur de l’eau ne suffit pas à apaiser le feu qui est en moi. Je suis assis face à une femme aux courbes parfaites, elle est parfaitement au courant de l’effet produit et, en femme intelligente, se joue de moi.



« Bien, la réponse à la con, continue comme ça ! »



Je ne sais plus comment réagir, sa déclaration me fait bondir le cœur et me muselle en même temps. La confidente de mes actes les plus scabreux avoue ses sentiments, je ne cherche pas à comprendre le pourquoi et je prends sa main tendue dans la mienne. Aucune parole, uniquement deux regards se noyant l’un dans l’autre, il faut que le serveur soit sadique pour venir nous ennuyer dans un tel moment. Nous n’avons pas entendu ses précédentes politesses et c’est un désagréable raclement de gorge qui nous replonge dans la réalité. Ce sera la dernière fois de la soirée qu’il montrera son impatience, il a compris notre désapprobation lorsque nos yeux se sont figés méchamment vers lui.


J’aimerais que cette soirée dure jusqu’au bout de la nuit, le repas, le cadre, la compagnie de Brigitte, tout est parfait. Pas une fois nous n’aborderons de sujets coquins, la conversation est celle de deux amoureux qui viennent de se déclarer leur flamme. Quel chemin parcouru depuis ma récente séparation.


Le parking sera le témoin de notre premier baiser fougueux, en caressant son dos j’ai la preuve que sa poitrine est bien libérée de toute lingerie. Je n’ose aller plus bas mais je sais qu’elle ne porte rien afin de ne pas marquer la superbe robe. Je suis invité à suivre son véhicule jusque chez elle, je ne refuse évidemment pas.


La porte verrouillée nous nous jetons l’un sur l’autre pour une embrassade passionnée durant laquelle nous nous dirigeons insensiblement vers la chambre à coucher. Couchés sur le lit, nous nous dessapons avec lenteur en nous contorsionnant pour éviter le plus possible de séparer nos lèvres. Les siennes sont pulpeuses et tendres à souhait, c’est un pur bonheur que d’avoir le privilège de ses baisers. Sa peau est douce comme de la soie, ses fesses rebondies sont parfaitement lisses, le grain de sa peau incite à la caresse. Nous sommes tous deux particulièrement excités mais nous prenons le temps de nous connaître. Les mains se baladent sur toutes les zones accessibles.


Je comprends de quoi elle parlait lors de notre première entrevue au restaurant. J’aime les sexes féminins poilus et mes doigts viennent s’entortiller dans sa toison épaisse et envahissante. Je ne peux m’empêcher d’arrêter notre baiser et notre étreinte pour voir l’impénétrable forêt dans la faible lumière provenant de l’entrée. Je suis subjugué de son corps tout entier, de superbes formes féminines et une touffe naturelle du plus bel effet. Je m’allonge sur elle, mon sexe trouve sa place sans avoir à me trémousser, sa bouche s’ouvre pour gémir tandis que je m’enfonce avec prudence.


Notre première nuit d’amour ne sera pas un feu d’artifice de lubricité, uniquement de la douceur et de l’amour. Nous ferons l’acte deux fois et dans la classique position du missionnaire, nous nous surpasserons pour donner le plus de plaisir à l’autre.


Après une longue discussion nous nous endormirons dans les bras l’un de l’autre.



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Depuis cette première nuit, nous n’avons jamais découché, le plus souvent nous nous retrouvons chez elle, l’appartement est bien plus spacieux. Notre appétit sexuel s’est développé au point que j’ai même présenté Marc – le moulage – à ma sulfureuse rousse. Elle a été étonnée par sa carrure et a immédiatement exigé que je le chevauche, pour voir si je ne mentais pas à son sujet. Depuis qu’elle a remarqué mon appétit gargantuesque, elle a voulu connaître les joies de ressentir Marc dans son corps. Je vous laisse imaginer les possibilités de jeu, eh bien, pourtant, nous souhaiterions en avoir un second pour nous amuser encore plus.


Depuis plus d’un trimestre, je continue mes contacts avec les normands, Brigitte leur a même parlé plusieurs fois au téléphone, cela peut paraître surprenant mais j’assume parfaitement. Ma rousse adorée me tanne depuis quelques jours qu’elle aimerait bien les rencontrer, par jalousie j’essaie de retarder ce moment.



Que répondre ? Rien. Je prends mon téléphone mobile et appelle Gina pour lui demander s’ils sont libres pour venir passer quelques jours en Avignon. Elle répond que Marc est en congés dans trois semaines et qu’elle allait lui proposer de descendre dans le sud. Je raccroche, Brigitte dévoile ses superbes dents blanches dans un sourire coquin, nous n’avons pas pu enlever nos dessous que Gin rappelle pour confirmer leur arrivée, nous parlons quelques temps ensemble, puis c’est ma rousse qui prends le combiné. Tandis qu’elle papote, je pose ma bouche sur sa culotte et lippe ses trésors au travers du tissu. Elle garde son sang-froid et ce n’est qu’avant de raccrocher qu’elle se permet de dire.



Cette fille est décidément la compagne dont j’ai toujours rêvé, elle est sur la même longueur d’onde que mes envies les plus folles. Je fais sauter la lingerie pour promener à loisir ma bouche sur la toison, allongée à même le tapis, elle soulève ses fesses pour que ma langue puisse atteindre le trou ridé si accueillant. La raie est, elle aussi, abondamment fournie et ses poils se retrouvent rapidement collés par l’action de ma salive et de ses abondantes sécrétions. Je suis en forme olympique et je m’allonge sur elle en la pénétrant. Les jambes accrochées à ma taille, Brigitte remue le postérieur et vient s’empaler sur moi avec vigueur. Mademoiselle est aussi attirée que moi par le plaisir anal, de préférence avec un membre réel et palpitant, même si elle s’amuse parfois avec Marc. « Pour m’entraîner avant de le rencontrer » m’a-t-elle avouée, il y a quelques jours.


Nous passerons le week-end à nous accoupler sans voir une fois la lumière du jour, de toute façon c’est l’hiver, le mistral s’est levé et il n’y a rien d’intéressant à faire dehors.



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Les normands, pressés de venir nous voir, sont arrivés vers six heures du matin, le premier samedi de leur séjour. Ils ont roulés, en se relayant, toute la nuit. Je suis surpris par leur forme et leur entrain lorsque je fais les présentations. Nous les installons dans la chambre de l’appartement de Brigitte, nous dormirons sur le canapé. Aucune allusion coquine ne vient troubler le petit-déjeuner, pourtant il y aurait matière à s’exciter. Ne les attendant pas si tôt, nous les recevons dans des tenues mises à la hâte.


Caleçon flottant et vieux tee-shirt pour moi, chemise longue m’appartenant pour elle. Comme nous dormons nus, nous ne portons rien dessous. C’est après avoir bu la dernière goutte de café que je sens la main de ma compagne venir négligemment se poser entre mes cuisses. Je tourne mon visage vers le sien pour m’apercevoir qu’elle arbore ce faciès coquin que je connais bien. Ses yeux luisent de surexcitation, je sais qu’elle va être directe. Depuis le temps que je lui parle de Gina et Marc, que je lui décris nos escapades friponnes, Brigitte ne cesse de vouloir les rencontrer et maintenant qu’ils sont ici, elle est bien décidée à ne pas perdre une minute.



Entrée en matière on ne peut plus directe. Mes invités sont surpris mais entrent dans son jeu avec une envie non feinte.



Les boutons cèdent un à un, sa poitrine est encore couverte mais l’ouverture du vêtement ne laisse aucun doute sur sa nudité. Mon caleçon ne fait pas la tente, mon vit a trouvé l’ouverture et s’est faufilé par la braguette pour prendre l’air. Gina la félicite pour sa poitrine et demande si elle peut vérifier la fermeté des lourds obus. La rousse acquiesce et se lève pour venir à la rencontre de la menue quinquagénaire qui appose ses mains sur les globes.



La normande dénude les épaules et laisse glisser le vêtement au sol, Les deux femmes s’embrassent et se sont quatre mains qui dessapent la plus âgée. Je suis venu vers Marc qui reste assis, voyant mon sexe sorti de sa cage, il me suce tout en ne manquant pas une miette du spectacle lesbien. Allongées sur le canapé, les deux femmes se lèchent l’entrejambe dans un concert de gémissements. Pour ne pas être que spectateur, nous prenons la même position mais installés moins confortablement sur le tapis.


J’ai l’impression d’être dans un film pour adultes lorsque nous nous retrouvons à genoux devant l’assise du canapé, côte à côte devant les beautés. Brigitte est la première à être prise par le puissant chibre du camionneur. Elle le laisse tirer ses cuisses à lui pour qu’il facilite les mouvements. Je regarde ma sulfureuse rousse, les yeux lubriques, gémir de tout son être avant de faire de même avec la femme de mon amant. Il n’y a pas de concours, et heureusement, car je serais incapable de dire lequel des quatre fait les gémissements les plus forts.


Je jouis quelques secondes avant lui et les coquines profitent de leur orgasme pour se couvrir de baisers. Je demande à Marc si je peux lécher l’intimité de Brigitte et il me laisse lécher la toison touffue tandis qu’il va poser son gland à proximité des bouches féminines. Les gourgandines ne mettent pas longtemps à faire grossir la verge et lorsque celle-ci est à son apogée, monsieur vient honorer sa femme qui s’est positionnée fesses en l’air, la tête posée sur ses bras appuyés sur le dossier. Pendant ce temps, je me délecte de la mixture expulsée par la rousse qui me regarde avec douceur avant d’agripper ma tête pour que je vienne lui faire goûter les parfums musqués.


Comme je suis de nouveau en érection, je profite de l’instant pour m’accoupler avec celle qui partage ma vie. Nous sommes deux couples, transpirant, faisant l’amour côte à côte, mais changeant parfois au gré des envies. Nous sommes des mâles indestructibles, malgré l’excitation nous arrivons à contrôler l’arrivée de notre plaisir. C’est dans cet état de grâce que nous pouvons échanger nos places sans débander.



Proposition que je ne peux refuser à ma chère et tendre. Je me positionne comme Gina et attends que le puissant gland vienne s’accoler sur mon muscle. La quinquagénaire est venue s’asseoir sur les genoux de ma belle qui l’enlace en regardant le spectacle. Aucun doigt n’est venu tâter le terrain, Marc compte sur la lubrification vaginale nappant son pieu pour me pénétrer. Habitué à m’ouvrir pour l’ersatz, je me concentre sur le plaisir pour oublier les frottements auxquels je n’ai pas l’habitude. Brigitte s’aperçoit de la difficulté et file chercher la potion miracle dans la chambre. Il a déjà fait quelques allers et retours lorsqu’elle revient.


Il décule et ma belle balance plusieurs giclées fraîches sur mon anus irrité. Marc repart à l’assaut de mon postérieur en me tenant fermement par les hanches pendant que la jeune coquine s’amuse avec ma verge. Je beugle de plaisir sous les coups de boutoir du colosse. Je ne sais pas ce que font les filles car plus aucune main ne me caresse à part les paluches épaisses qui me tiennent dans l’alignement du pieu qui m’embroche. Il s’épanche dans mon ventre, je suis flapi, terrassé par autant de sensations. Je laisse ses joues râpeuses venir se coller entre mes fesses et sa bouche apaiser le muscle malmené. La douceur de cette caresse tranche avec la vigueur dont il a fait preuve durant la sodomie.


Le gourmand recueille les sécrétions et vient les partager dans un baiser durant lequel nous nous couchons sur le canapé. Nous restons suffisamment longtemps enlacés et somnolents pour que nos femmes aient le temps de se laver et s’habiller. Nous n’entendons même pas lorsqu’elles s’éclipsent de l’appartement en nous laissant un petit mot. Je le lis lorsque je m’extirpe des bras costauds de mon bedonnant ; elles sont allées faire quelques courses et promettent de revenir rapidement. La dernière partie est écrite par Brigitte, elle nous donne l’autorisation de nous éclater pendant leur absence.



Je suis complètement obsédé et ma seule réponse est de m’aplatir sur la table pour lui proposer mon cul. Il se lève en prenant le lubrifiant dont il me tartine la raie. Quelques massages plus tard, je me fais à nouveau sodomiser.


Nous passerons la fin de matinée et le début d’après-midi à nous prendre à tour de rôle. Lorsque les femmes arrivent vers quatorze heures, nous sommes douchés et assis chacun sur un fauteuil en train de faire une petite sieste réparatrice. Elles nous réveillent en se moquant de notre état de fatigue et s’enquièrent de détails croustillants tandis que nous mangeons le pique-nique qu’elles ont improvisé pour midi. Émoustillées par notre matinée coquine, elles racontent à leur tour leurs caresses dans la cabine d’essayage d’un magasin de fringues.


Elles ont été moins bestiales que nous mais leur petite histoire me fait de l’effet, je tourne la tête vers Marc et l’expression de son visage me renvoie la même chose. Pourtant nous ne ferons rien de plus ; après avoir nettoyé les restes du repas, nous irons nous balader pour faire visiter Avignon à nos touristes normands.


La soirée est courte car nos amis sont fatigués de leur voyage. Donc, après avoir dîné au restaurant, tout le monde va se coucher. Nous profitons d’être allongés dans le salon pour regarder un peu la télévision et surtout chuchoter sur ce qu’il s’est passé depuis leur arrivée. Brigitte les trouve très agréables et elle est contente qu’il n’y ait pas que le sexe mais aussi de l’amitié dans la relation qui me lie avec eux. Heureuse aussi d’avoir été intégrée et elle m’avoue être contente de vivre une relation de ce type. Quand je dis qu’elle est parfaite, je ne mens pas.



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Ce dimanche matin, c’est l’embouteillage dans la salle de bain où se trouve, en plus, le cabinet de toilettes. L’impression d’être dans un camp d’ados est réelle tant les rires et les blagues potaches fusent toutes les deux minutes. Les viennoiseries que je suis allé chercher avec Gina – nous étions les premiers prêts – sont englouties rapidement par nos bouches affamées. Il faut prendre des forces pour affronter le mistral qui souffle vraiment très fort. Nos invités veulent voir le Pont-du-Gard, nous passerons quelques heures au bord du Gardon avant de revenir manger à l’appartement. Dehors, le temps humide et le vent glacial ont eu raison de nos envies de balades. Vers quatorze heures, nous finissons le repas, qui a été copieusement arrosé de Côtes-du-rhône. À ce propos il faudra les emmener faire la tournée des caves samedi prochain, cela promet d’être triste pour celui qui va se dévouer pour conduire et donc ne pas boire.


C’est un peu pompette que Gina me demande de venir m’immiscer sous sa jupe pendant qu’elle nettoie la cocotte-minute. Assis dos à la porte située sous l’évier, je suis à la bonne hauteur pour poser ma langue sur son fin boxer en voile. Il est déjà détrempé et c’est avec bonheur que je viens plaquer ma bouche sur ses lèvres. Le tissu gêne ma prospection et, avec son aide, je retire la lingerie. Enfoui dans la garrigue odorante, je lape sa vulve et son clitoris sensibles. Dans le noir, je ne vois pas ma compagne et Marc s’approcher avec pour idée de m’enlever le bas. Ce n’est que lorsque deux paires de mains s’occupent des chaussures et des vêtements que je sais que les coquins se joignent à nous.


Gin ne termine pas le nettoyage, appuyée sur le rebord du plan de travail, elle agite son bassin sur ma langue avide. Deux bouches s’occupent de mon sexe, pas pour longtemps car Marc décide de venir trousser sa femme en lui relevant la jupe. Son sexe vient taper mon menton pour se frayer un chemin. Je suce le gland avant de l’envoyer se noyer dans le conduit inondé. Brigitte est venue se placer sur ma tige et, accroupie, monte et descend avec lenteur. Ses bras passent autour des hanches du couple et ses mains viennent caresser ma tête. Je lèche les sexes se mélangeant tandis que ma rousse a la tête entre les fesses de l’époux. Nous avons du mal à trouver le rythme de nos déhanchements mais lorsque nous y parvenons notre plaisir s’en retrouve décuplé.


Personne n’est laissé pour compte, la boucle est bouclée. Nos orgasmes ne sont pas simultanés, cela aurait été trop beau d’être autant en communion, malgré tout, nous sommes très satisfaits de la position que nous avons trouvée sans nous concerter. Après sa jouissance, Gina se laisse tomber sur moi pour un baiser puis elle me murmure :



Sur ses paroles, elle se recule pour venir lécher ma verge qui ne met pas trop longtemps à grossir. Sa langue est précise, ainsi que ma vision, Brigitte et Marc sont sur le canapé, occupés à jouer avec leurs doigts et la bouteille de lubrifiant. Chacun sonde le fondement de l’autre avec moult gémissements. Lorsque je suis bien raide, Gina vient se mettre à califourchon au-dessus du sexe qu’elle dirige avec application entre ses fesses. Je la laisse descendre lentement sur ma tige salivée, le conduit est étroit mais tout se passe sans aucune crispation sur son visage aux yeux clos. Je la trouve touchante et l’embrasse avec fougue lorsque ses fesses viennent à la rencontre de mes cuisses.


Pendant ce temps, la femme qui partage ma vie enfonce avec un sourire non feint Marc latex dans Marc réel en lui suçant le pénis. Scène devenant de plus en plus friponne lorsque le mari, assis sur le chibre factice, aide ma bien-aimée à s’empaler sur son propre pieu. Les deux sodomisés dansent et roulent leurs bassins en mêlant leurs voix aux nôtres.


J’éjacule précocement dans le fondement de la quinquagénaire, suivi quelques minutes plus tard par l’orgasme de l’autre couple. Il n’y a pas de limites à notre quatuor, Gin se retire lorsque je mollis et vient présenter sa croupe à son époux, Brigitte fait de même et me voilà récoltant la semence s’écoulant du rectum de mademoiselle. Nous nous régalons des reliquats puis nous finissons tous allongés sur le lit, à nous couvrir de baisers. Le matelas pour deux personnes est un peu étroit mais nous finissons par enchevêtrer nos corps pour une longue sieste. Les émotions et l’alcool ont raison de notre résistance, il est presque l’heure de souper lorsque le premier se réveille.


La soirée qui suivit fut des plus calmes.



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Nous partons travailler et nous laissons le couple normand faire les touristes. Seul dans mon bureau, je reste quelques instants à repenser au chemin parcouru avec Brigitte. Comment peut-elle être assez ouverte pour accepter cette relation étrange que je lui ai proposée ? J’ai bien vu qu’elle prenait autant de plaisir que moi à se rouler dans la débauche mais quand même, je ne la connais pas depuis longtemps. Et puis comment baser une relation saine sur de telles bases, je ne sais pourquoi mais j’ai le blues. Le contrecoup de ce week-end de luxure, moi qui pensais pouvoir vivre de cette manière, je me pose tout à coup d’autres interrogations.


Je ne suis pas jaloux de la voir avec Gina, Marc ou les deux, non c’est juste que je me demande si notre relation est viable. Je décide de lui envoyer un mail pour lui faire part de mes questionnements, je ne veux pas la déranger en lui téléphonant. Nos sentiments convergent et nous décidons de nous voir pour déjeuner ensemble.


Pour passer sur le contenu de la longue discussion, nous nous accordons de nous amuser jusqu’à leur départ puis, à partir de ce moment, nous ne vivrons que pour nous. Ce sera à moi de donner les explications à nos amis normands le samedi soir, veille de leur départ. Nous avons tout planifié. Il nous semble bien compliqué de nous impliquer avec notre cher couple, nous ne pouvons pas dire si cela ira plus loin que l’amitié, certes très coquine, qui nous lie. Les coups de téléphone, les SMS, les courriels sont peut être suffisants pour garder contact si nous pouvons en limiter le nombre. Nous ne voulons pas rompre totalement notre relation, c’est juste que nous ne voulons pas que cela devienne une vie à quatre.


Nous nous laissons même la liberté de pouvoir nous rencontrer de temps à autre et, si la flamme n’est pas vacillante, pourquoi pas avoir des contacts plus poussés. Il faut qu’avec Brigitte nous apprenions à nous connaître, avant de penser à avoir ce type de relations. L’objectif d’après leur départ sera de savoir si nous sommes assez amoureux pour partager nos vies. La passion commune que nous avons pour le sexe est pour l’instant la seule qui nous maintient ensemble, voyons autres choses.



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Les soirs suivants furent plus calmes au niveau des prouesses sexuelles sans pour autant nous abstenir. Ce ne furent que caresses manuelles ou buccales, pas même de jeu avec les vits factices. Je dois dire que, durant ces soirées, nous avons passé de super moments. J’aime faire l’amour autant que j’aime qu’on me le fasse mais j’avoue que les séances de préliminaires furent autant jouissives que certaines acrobaties beaucoup plus profondes.


C’est sur ce constat que, vendredi soir, nous décidons de nous adonner à une orgie sans que les sexes mâles aient le droit de visiter autre chose que des bouches. La table basse est emplie de mets que nous prenons à la main, coupes et bouteilles diverses sont à notre disposition, les agapes peuvent commencer.


Je commence par laper l’adorable sexe à la toison de feu tout en me délectant du champagne que je fais couler entre les longs poils. Les tressautements de sa chair lorsque le liquide froid coule sur sa peau m’incitent à venir la réchauffer de ma bouche. Brigitte se contente de manger quelques petits gâteaux entre ses gémissements et petits cris. Marc est allongé sur le canapé, Gin est assise sur son visage et distribue les différents petits fours, salés ou sucrés suivant convenance. Elle profite de chaque instant pour se lever et s’asseoir sur la bouche gourmande. Ma jolie rousse profite d’une main libre pour cajoler le superbe sexe dont est doté notre ami.


Brigitte est très gênée de me dire qu’elle veut stopper quelques instants mes jeux. La fraîcheur du vin pétillant a déclenché une irrésistible envie d’uriner. J’ai déjà eu une expérience de ce type après un orgasme fulgurant de Gina. Aucune réflexion de ma part, je lui dis juste de ne pas bouger, je vide ma coupe d’un trait et la positionne au niveau du sexe pendant que je tarabuste avec application son petit clitoris. Le liquide sort soudain d’un jet puissant qui éclabousse mon menton et finit en cascade sur le sol, je pose mon verre qui ne m’est d’aucune utilité.


Je ne bois pas mais le fait de sentir l’urine chaude dégouliner de mon menton à mon pubis décuple mes envies. J’ai envie de la prendre sauvagement mais nous nous sommes promis qu’il n’y aurait pas de pénétration. « Quelle connerie », me dis-je en relevant ses jambes pour venir lécher sa raie mouillée, je me délecte du mélange de parfums, mes papilles apprécient les goûts intimes. Je lisse ses poils d’une langue fouineuse qui s’insère profondément dans le petit trou aux arômes acres.


Gina a poussé la main de ma copine pour pouvoir prendre le sexe en bouche, ils jouent tête-bêche, les bruits de succion provenant de l’autre partie du canapé prouvent l’ardeur mise à faire le bonheur de l’autre. Plus personne ne mange ou boit la nourriture à disposition. Brigitte pose ses mains sur le sommet de mon crâne et appuie pour que je m’enfonce dans chacun des orifices. Ma langue sortie à son maximum commence à donner des signes de faiblesses, je décide d’aspirer son mini sexe dressé pour l’achever. Mademoiselle jouit bruyamment en me tenant si fort contre sa toison que je manque d’air.


C’est à mon tour de m’asseoir sur la minuscule place libre du canapé occupé par le soixante-neuf endiablé des quinquagénaires. Je les regarde pendant que ma belle s’agenouille et me fait une gâterie sans être gênée par l’odeur de sa propre urine sur ma peau. Ce nouveau type de douche a fait son effet car Gina inonde le visage de son mari tandis qu’il gicle en soulevant son bassin comme s’il voulait toucher la glotte. « Demain il y aura une longue séance de nettoyage », pensé-je furtivement en regardant le canapé et le tapis.


C’est le moment que je choisis à mon tour pour m’épancher sur l’adorable visage aux multiples tâches de rousseur. La jouissance n’arrête point du tout notre libido. Les femmes s’embrassent à pleine bouche, pour ne pas rester comme deux couillons, je prends la place de Gina au-dessus de son mari. Nous nous redonnons vigueur à grands coups de langue agrémentés de quelques doigts agiles. Seules pénétrations autorisées, nous ne nous en privons pas. Les femmes font de même, allongées sur le tapis. Nouveaux orgasmes en cascades, une petite pause culinaire nous attend durant laquelle nous faisons des commentaires sur nos prouesses.



De l’avis général, nous introduisons le coït dans les jeux de la soirée. Un toast est lancé à la santé du nouveau règlement. Nous mangeons tranquillement assis, nos corps sont transpirants, souillés de toutes sortes de sécrétions. J’en rajoute même en mangeant quelques tartelettes dont je renverse le contenu à même la poitrine de ma compagne. Gina s’amuse à faire un banana-split à l’aide de la bombe de chantilly qu’elle dirige vers mon sexe.


Marc ne dit rien, il mange tranquillement en nous regardant. Sa femme à genoux en train de lécher la crème sur mon gland a l’air de le fasciner. Il se lève, se penche pour apposer sa pogne sous le menton de sa belle et la diriger vers sa queue pendante. Il n’est pas en érection mais au repos, elle a déjà une forme et une taille magnifique. Il décalotte le gland et vise la bouche ouverte, tout le monde se doute de ce qu’il va faire. Gina fait un non de la tête mais il lui dit : « Chacun son tour ! » en haussant les épaules avant d’uriner entre les dents.


Avec Brigitte nous regardons madame, dont la bouche déborde, fermer les yeux puis d’un coup déglutir la totalité de l’offrande. Il n’a pas terminé d’uriner qu’elle vient se ventouser sur le sexe pour lui donner de la vigueur. Ma rousse surexcitée se met à quatre pattes au sol et me demande sans fioriture de venir dans ses fesses. Popotin cambré, je ne peux refuser l’invitation et m’enfonce dans son anus à disposition. Je coulisse en elle, tenant sa taille fermement en regardant le gourdin grossir entre les lèvres fines de Gina.


Satisfait de son érection Marc vient se placer derrière moi et quelques doigts enduits de chantilly viennent fouiller avant l’introduction massive. Il n’y a que moi qui bouge, un coup je m’insère et un coup je suis envahi, que du bonheur ! Tous mes sens sont en éveil car la très chère normande donne à boire et à manger à tous les acteurs. J’ai un peu de mal à apprécier les mets, à déglutir parfois mais j’avoue que ce mélange sexe-bouffe a quelque chose de très agréablement malsain. Il n’y a plus de limites, lorsque je jouis en serrant les hanches de ma compagne pour aller au plus profond, Gina me pousse pour venir s’abreuver. Comme si elle se trouvait de nouveaux plaisirs à venir nous aspirer.


Je finis sur Marc qui s’est assis sur un fauteuil, je me dandine sur lui tout en regardant la quinquagénaire s’appliquer à laver la vallée touffue nichée entre l’adorable postérieur blanchâtre. Elle fera de même lorsque son époux se sera vidé en moi. La gourmande s’allonge même sur le tapis en me demandant de m’accroupir au-dessus de sa tête. Marc écarte mes fesses à leur maximum de ses paluches pour que les liquides s’écoulent plus rapidement.



Elle n’a pas tort, et quand je lui demande si elle a apprécié la soirée, sa réponse est un des meilleurs baisers qu’elle ne m’ait jamais donné. Au tour du couple coquin de passer sous l’eau bienfaitrice.


Nous nous habillons pour sortir et c’est ce que nous proposons à nos invités. Ils sont ravis de terminer la soirée devant un verre dans un bar cosy et classe d’Avignon. Nous débarrassons rapidement mais sans trop faire d’effort pour nettoyer, pourtant ce soir il faudra dormir sur le canapé-lit, au milieu du capharnaüm odorant.


Je conduis le petit monde dans la voiture de Brigitte, je ne devrais pas mais comme nous avons tous un peu exagéré je me suis dévoué pour perdre quelques points. Le débit de boisson porte bien son nom et nous descendrons encore quelques cocktails. Je suis bien fatigué lorsque j’en sors et je préfère laisser le volant en demandant de ne pas rouler trop vite car le trop-plein me fait craindre de tapisser les sièges.



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Je me réveille avec la tête en vrac ce matin, nous avons vraiment dû exagérer sur l’alcool me dis-je en passant une main sur ma tête. J’ouvre lentement les yeux et j’entends dire : « Il est réveillé Brigitte ! ». Je ne comprends pas pourquoi je me retrouve dans cette petite chambre aux murs blancs avec des tuyaux branchés sur la carcasse. La dénommée Brigitte arrive, une grande asperge d’environ cinquante ans m’ausculte rapidement et me dit qu’elle est heureuse de voir que je me suis réveillé. Décidément, je suis complètement paumé : où est ma bombe rousse ? Où est mon couple dépravé ? Lorsque les vapeurs se dissipent, je me vois dans une chambre d’hôpital.


Mon premier réflexe est de demander pourquoi je suis ici. J’ai peur que la soirée de la veille n’ait tourné au vinaigre et j’assaille les infirmières de questions au sujet de mes amis qui se trouvaient dans la voiture. Les deux femmes, incrédules, essaient de me calmer, me disent que mon état n’est pas très grave, que j’ai eu une lourde opération à une jambe et que personne d’autre n’a été blessé. Je suis soulagé qu’ils n’aient rien et demande à les voir. Nouvelle interrogations dans le regard des deux infirmières.



Mon esprit commence à comprendre ma méprise. La réalité me rattrape, je me rappelle la pluie, la sortie d’autoroute de Toulouse, le virage mal négocié alors qu’une file de voitures est stoppée sur la voie. Une belle glissade suit mon freinage appuyé sur la route détrempée. Je m’encastre sous le véhicule devant moi, la jambe coincée entre la moto et le bas de caisse. Puis vint la douleur insoutenable qui m’a déconnectée jusqu’à mon réveil.


Je ne suis jamais arrivé au camping, j’entends mon portable sonner, une infirmière me le donne, le prénom de mon ex s’inscrit sur l’écran tactile. Journée de merde…