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Temps de lecture estimé : 9 mn
23/08/11
Résumé:  Angélique a été trompée. Elle cherche à comprendre comment cela est arrivé. Ce faisant, elle commence à découvrir les plaisirs du sexe. Peu à peu, elle se déprave totalement.
Critères:  f fh couple extracon cocus telnet cérébral exhib fmast fgode init -extraconj -internet
Auteur : Francoisange            Envoi mini-message

Série : Angélique

Chapitre 01
Prémices

Angélique et Éric s’étaient rencontrés en 1990, et ni l’un ni l’autre n’avaient trop d’expérience en matière de plaisirs du corps. Si lui se livrait sans retenue à la masturbation depuis son adolescence, il n’avait jamais été bien loin avec une fille et lorsqu’ils débutèrent leur relation ce ne fut que tâtonnements et hésitations. Il se souvenait cependant que, la première fois où il avait glissé sa main dans sa culotte, qu’il avait fouillé la motte trempée, il avait adoré le trouble qu’elle avait ressenti jusqu’à ce que ses jambes ne puissent plus la porter. Mais il avait rapidement pris goût à la pénétration avec elle et avait oublié ce petit bouton qu’elle ne réclamait pas qu’il lui tripote, n’ayant jamais, il l’apprit plus tard, été une jeune fille masturbeuse.


Bien que maintenant en couple avec cette jeune oie blanche aux gros seins lourds, il continuait d’aimer aller dans les sex-shops autour de la gare de l’Est et jouissait très fort en regardant des films de gouines ; une fois il avait même poussé la porte d’un live show et avait choisi une jeune fille frêle à la chatte lisse qui s’était branlée derrière la vitre. L’expérience l’avait rendu fou, et il se doutait bien qu’il devait être un peu pervers pour désirer autant ces plaisirs-là.


Ils se marièrent deux ans plus tard, tout allait bien pour eux, si tant est que la fréquentation assidue des sex-shops et les rencontres fortuites qu’il se permettait étaient le signe de la bonne santé de leur jeune couple.


Mais à force de faire des rencontres on finit par faire la rencontre. Celle-ci s’appelait Catherine, il l’avait croisée à son travail, elle avait dix ans de plus que lui, l’expérience qui va avec et le feu au cul. Folle de son bouton, elle lui réclamait, comme une bonne clitoridienne qu’elle était, quatre à cinq orgasmes qu’il lui fournissait avec la bouche et les doigts. Lorsqu’il n’en pouvait plus et qu’elle en voulait encore, elle le ranimait en lui suçant la bite avec avidité tout en se godant le con. Invariablement elle jouissait encore et il lui explosait dans la bouche.


Éric était tout étourdi de ces festivités, si étourdi qu’il se fit pincer par sa jeune épouse qui pleura beaucoup, le menaça de divorce et de toutes ces choses désagréables que les femmes peuvent dire quand elles sont trompées et blessées.


Il aimait sa femme. Il cessa de voir Catherine, promit qu’il ne recommencerait plus, et subit pendant plusieurs semaines les reproches de la cocue.


Ce fut alors qu’il n’y pensait presque plus, quoique ses masturbations le conduisaient bien souvent vers la chatte de Catherine, qu’Angélique lui demanda, comme ça, pourquoi il avait fauté avec cette femme plus vieille qu’elle, et ce qu’elle avait de plus pour qu’il aille vers elle au risque de tout foutre en l’air.


Il n’osait parler de peur de rouvrir des blessures, de peur aussi de passer pour un obsédé aux yeux de sa jeune effarouchée. Mais elle insista. Il finit par lui expliquer qu’elle l’avait séduit en se masturbant devant lui et que ce genre de spectacle le rendait fou. Angélique insista : comment faisait-elle, qu’utilisait-elle ? Il lui parla du gode, elle ne savait même pas que ce genre d’accessoire pût exister. Elle finit par lui dire d’en acheter un, pour voir à quoi cela pouvait ressembler.


Il le choisit énorme, quitte à se défoncer le con autant que ça en vaille le coup. Elle rit en le voyant, lui demanda s’il n’y en avait pas de plus petit. Elle le rangea dans la garde-robe. Il lui aurait bien demandé de l’essayer, mais sa culpabilité ne lui permettait pas une telle audace. Il préférait attendre qu’elle lui en reparle.


Quinze jours s’écoulèrent. C’était le printemps 1998, les rues étaient festoyées de bleu-blanc-rouge, la France allait gagner la coupe du Monde de football mais personne ne le savait encore.


Un soir de match, Angélique laissa Éric seul devant la télévision et se retira dans sa chambre, située à l’étage de leur maison, pour lire. Il n’était pas étonné, elle n’avait jamais aimé le football. À la mi-temps du match, il sortit sur la terrasse pour fumer une cigarette et en profita pour prendre le téléphone afin d’appeler un copain et d’échanger leurs impressions footballistiques. Curieusement, la ligne était déjà prise. Il finit tranquillement sa cigarette et monta à l’étage afin de savoir si la conversation de sa femme, avec sa maman pensait-il, allait durer encore longtemps.


La porte de la chambre était fermée et il pouvait entendre de bien bizarres gémissements. Intrigué il s’approcha et posa son œil sur la serrure ; ce qu’il vit le chamboula complètement. Angélique, à genoux sur le lit, la jupe relevée aux hanches, déculottée, les deux seins sortis des bonnets de son soutien-gorge blanc, avait enfilé le monstrueux gode tout au fond de sa moule et se la ramonait de la main droite tandis que de la gauche elle parlait au téléphone. Il toucha sa bite au travers de son jean. Quinze secondes plus tard il éjaculait dans son slip. Il continua à la regarder se défoncer le con, elle avait coincé le téléphone sous son menton et se pinçait les tétons tout en enfonçant le bâton de latex dans sa moulasse qui coulait de sa mouille blanche comme jamais lui-même ne l’avait fait couler. Il la vit jouir en direct, ses cuisses tremblant tandis qu’elle se traitait de salope vicieuse.


Éric hésita mais décida de ne rien faire. Il regarda sans bien comprendre la seconde mi-temps, puis alla se coucher. Il la trouva profondément endormie, nue, sa fente encore gonflée et ouverte du gode qui l’avait défoncée. Il la trouva très belle, se masturba en pensant au spectacle et jouit sur son ventre. Demain serait un autre jour.


Le lendemain fut un jour de soleil. Éric partit travailler, sa jeune épouse dormait encore, il n’osa pas la réveiller, car il craignait autant qu’il espérait une explication. Toute la journée l’image de sa salope de femme lui trotta dans la tête tandis qu’il essayait de se concentrer sur son travail. Le soir elle l’attendait souriante, elle avait, disait-elle, tondu la pelouse et fait une sieste tandis que leur fils unique, déjà enrégimenté à la maternelle voisine, y faisait probablement la sienne. Il la regardait différemment, mi-désireux mi-jaloux de cette expérience qu’elle avait vécue la nuit précédente et dont il avait été le témoin.


Elle l’interrogea sur le match de football de la veille, lui demanda à quelle heure il s’était couché. Il répondit en souriant, sans mentionner son escapade à l’étage tandis que les joueurs étaient au vestiaire. Par malice, il lui demanda si sa mère allait bien, lui confessant qu’il avait souhaité la veille utiliser le téléphone et, constatant qu’il était occupé, ayant déduit qu’elle s’entretenait avec elle. Elle mentit à la perfection.


Plusieurs jours passèrent ainsi. Ils firent une ou deux fois l’amour mais, contrairement à son habitude, Éric jouit très vite car il ne pouvait chasser de sa mémoire l’image de la cochonne remplie par son gode. Angélique de son côté ne fit aucun commentaire sur cette soudaine épidémie de quasi-éjaculations précoces, ce qui rendit Éric fort perplexe, habituée qu’elle était qu’il la besogne jusqu’à ce qu’elle jouisse.


De son côté, Angélique avait senti le vent du boulet lorsqu’il avait évoqué le coup de fil de la nuit fatidique ; non qu’elle eût imaginé ce qui s’était réellement passé, mais plutôt en considérant qu’elle avait pris d’inutiles risques en jouant à ce jeu téléphonique le soir, alors que son mari était dans la maison. Elle avait décidé de cesser ses jeux nocturnes, et avait reporté sur ses longues après-midi solitaires, alors que son mari était au travail et son fils à l’école, ses nouvelles occupations de petite putain.


L’arrivée du gode dans sa vie avait été une révélation. Après l’avoir bien rangé dans la garde-robe, honteuse et amusée en même temps, le bâton de latex n’avait plus quitté son esprit. Pendant plusieurs jours elle avait lutté, son éducation puritaine aidant, se disant qu’elle n’était pas de ces filles qui jouent à se remplir le con en solitaire. Mais le démon avait gagné, et un après-midi, s’étant déshabillée pour faire la sieste, et comme elle ne parvenait pas à s’endormir dans cette chambre où elle avait rangé l’engin de bonheur, elle s’était décidée à le prendre afin de, se disait-elle, le faire courir sur sa peau nue, sans plus. Mais les bonnes résolutions sont vaines lorsqu’on est une cochonne, fût-ce une cochonne qui s’ignore. Quelques minutes à manipuler la queue synthétique avaient fait se dessiner sur sa culotte de coton une auréole de cyprine incroyablement large, et maintenant son abricot était tellement mouillé que le tissu de la culotte était comme une seconde peau qui dessinait les deux côtés de sa vulve autant que si elle eut pissé dedans.


Sans encore ôter sa culotte, il ne lui fallut que quelques secondes pour se remplir. Elle en profita pour faire déborder ses nichons de ses bonnets et, mue par une inspiration soudaine, quitta le lit et s’allongea devant le miroir de la garde-robe afin de se regarder en train de se fourrer. L’orgasme vint aussitôt, accompagné d’un jet de mouille qui lui trempa les doigts. Mais ce plaisir ne l’avait pas comblée ; il lui fallait autre chose qu’un miroir de glace, elle avait besoin d’être accompagnée, elle le sentait, le ressentait, le désirait. Ce fut le minitel, objet sexuel des années 90, qui fut alors son complice. Elle se connecta sur ce qu’on n’appelait pas encore un chat mais sur lequel elle eut tôt fait de discuter avec de nombreux mâles à la recherche de la bonne aventure ; elle choisit celui qui écrivait le mieux, prit son numéro de téléphone et l’appela en numéro masqué. Pas plus de quinze minutes ne lui avaient été nécessaires pour trouver son complice ; elle n’avait pas même pris le soin de se couvrir ni même de rentrer ses nibards dans leur logement pour déambuler dans la maison. En culotte trempée, les nichons à l’air, excitée même qu’on pût la voir de l’extérieur, elle se montra fort efficace pour trouver celui qui l’accompagnerait dans sa toute nouvelle dépravation.


Il s’appelait Christian et avait une voix charmante ; elle se décrivit, lui expliqua ce qu’elle venait de faire et pourquoi il lui fallait recommencer. Il se montra fort coopératif et se contenta de l’écouter, lui demandant de temps à autre une précision. Comme le minitel était dans le bureau attenant à la salle à manger, elle s’installa sur le fauteuil, passa ses jambes de part et d’autre des accoudoirs, et écarta sa culotte pour accéder à son con. L’ôter aurait été plus pratique, mais elle appréciait de garder ce tissu trempé. Elle n’avait pas occulté les fenêtres et portes-fenêtres si bien qu’un passant s’étant aventuré dans le chemin aurait pu la voir. Cette pensée la galvanisait. Elle se remplit le vagin, et commença à faire aller et venir la queue dans sa moule qui bavait maintenant comme jamais elle n’avait bavé. Comme elle venait de jouir elle put prendre son temps et elle ahana ainsi pendant près de trente minutes, maîtrisant son plaisir. Christian devait se branler aussi à l’autre bout du fil mais ce n’était pas sa préoccupation première ; seul son plaisir à elle lui importait. Enfin, il la traita de grosse putain lubrique. Ce fut le déclic. Elle sentit l’orgasme arriver. Ses seins durcirent et se firent douloureux, des fourmillements lui partirent de la plante des pieds et de la base du cou, son périnée entama une série de contractions qui se transmirent à son fourreau. Les ondes provenant de toutes les parties de son corps convergèrent vers sa moulasse devenue pour l’instant le centre de son monde. Il lui sembla que son cerveau allait exploser. C’est ce qu’il fit au moment où elle lâcha le membre de latex qu’elle expulsa de son trou. Pendant trente secondes elle ne fut qu’un vagin de la tête aux pieds. Sa jouissance fut extrême, elle le sut immédiatement ; ce qu’elle n’apprit que plus tard, c’est qu’elle était devenue accro.


Et c’est ce même Christian avec lequel elle se trouvait au téléphone le soir du match de football ; on ne change pas une équipe qui gagne. Elle l’appelait maintenant tous les deux jours, lorsqu’Éric travaillait. Elle perfectionnait à chaque fois la manière de s’y prendre, mettant des pinces à linge sur ses tétons pour accentuer son plaisir ou bien encore s’enduisant d’huile de massage avant de lui téléphoner. Mais d’autres pensées commençaient à affluer dans sa tête ; car Christian était pervers et lui soufflait des idées, des scénarios qui pour l’instant la faisaient jouir mais qu’elle n’osait pas mettre en œuvre.