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Temps de lecture estimé : 15 mn
25/08/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Angélique a trouvé un partenaire téléphonique. Mais il est temps de passer aux expériences réelles.
Critères:  f ff extracon essayage telnet collection exhib lingerie fmast fdanus jouet bougie init -initfh -initff -lieuxpubl -internet
Auteur : Francoisange            Envoi mini-message

Série : Angélique

Chapitre 02
Découvertes

Résumé : Marié à Angélique, une jeune femme plutôt prude, Éric a fini par la tromper avec Catherine, plus âgée mais nettement plus délurée. Découvert, le coupable a fait amende honorable et mis fin à cette relation. Néanmoins la cocue est curieuse de comprendre pourquoi son mari lui a été infidèle. Devant ses insistances, il lui avoue qu’il aimerait qu’elle se gode pour lui et lui offre le nécessaire objet, mais apparemment sans grand résultat.

Un soir, néanmoins, Éric découvre qu’Angélique utilise secrètement l’objet d’une main et le téléphone de l’autre. À qui raconte-t-elle donc ses émois ?








Éric aurait bien voulu surprendre sa chère et tendre une nouvelle fois ; mais on était en octobre, la coupe du Monde était bel et bien gagnée, et il n’avait pu relever aucun écart de conduite. Hormis sa chatte toujours impeccablement épilée, mais ceci était antérieur à l’épisode initial, rien n’avait changé dans l’image sexuelle que lui donnait son épouse. Une fois seulement il lui avait reparlé du gode, et elle lui avait dit qu’il était bien rangé et qu’elle lui ferait savoir si elle décidait de l’utiliser un jour. Éric était allé jusqu’à inspecter l’engin afin de déceler une éventuelle trace d’utilisation, mais il semblait plutôt sentir le latex et le savon que la moule de sa vicieuse. Aucun indice, rien, calme plat, du moins en apparence.


C’est alors qu’Éric eut l’idée de demander la facturation détaillée de sa ligne téléphonique. Il n’y a pas de raison, se disait-il, qu’elle n’ait pas recommencé au moins une fois et si c’était le cas il pourrait s’en apercevoir ainsi. Las, la ligne téléphonique avait été ouverte au nom d’Angélique et les employés de France Télécom furent inflexibles ; si demande il devait y avoir, elle ne pourrait provenir que de madame. Cependant Éric aurait fort bien pu demander clairement à sa femme ce qu’elle fabriquait au téléphone ce soir de juin. Mais le temps avait passé, et d’autres raisons, moins avouables celles-ci, se bousculaient dans son esprit. Il voulait savoir, certes, mais il ne voulait pas qu’elle sache qu’il savait. Car cette information, ce secret qu’il avait découvert, il le considérait, sans bien comprendre comment et pourquoi, comme un pouvoir qui pourrait lui être utile plus tard.


Il rentra à l’improviste, un peu plus tôt, une fois ou deux. Un lundi même il passa vers 16 h, sans préavis, prétextant qu’il avait eu envie d’aller chercher son fils à l’école. Angélique était dans le bureau, elle jouait au démineur sur l’ordinateur ; il lui trouva bonne mine, les joues un peu rouges, peut-être. S’il avait été plus curieux, ou plus entreprenant, il aurait découvert qu’elle ne portait pas de culotte et qu’elle avait un plug dans l’anus. Mais il devait aller à la maternelle rapidement pour justifier sa présence inhabituelle. Angélique en profita pour se déplugger et se reculotter. Tout en rangeant son nouveau jouet avec ses autres petits secrets, elle se félicita de pratiquer ses vices tous volets ouverts : cela lui avait permis de voir arriver la voiture d’Éric.


Il faut dire que les suggestions de son complice Christian avaient atteint leur but ; Angélique avait diversifié ses pratiques, et tout d’abord elle avait fait quelques emplettes à l’occasion d’une sortie à Paris, en septembre. Encouragée par son mentor téléphonique, elle avait osé entrer dans un sex-shop, quoique l’endroit qu’il lui avait recommandé n’eût rien de ces aspects glauques qu’ont ces officines autour des gares parisiennes. Elle s’était rendue dans une boutique chic, où on trouve de tout, vingt pour cent plus cher, mais dans une ambiance plus saine. Certes elle avait hésité avant d’entrer, mais la présence d’une vendeuse à la caisse et d’autres clientes à l’intérieur l’avait rassurée. Elle avait craqué pour des boules de geisha ainsi que pour un ensemble slip fendu et soutien-gorge sans bonnets, histoire de cesser de maltraiter ses propres soutifs en en faisant sortir ses nibards lorsqu’elle se manipulait la moniche.


Et puis elle avait acheté ce plug anal qu’elle portait quand Éric était rentré à l’improviste. Comme elle était allée à Paris sans culotte, elle avait osé, mon Dieu ce qu’elle avait mouillé à ce moment-là, se plugger dans le train qui la ramenait en banlieue. Et comme l’engin ne parvenait pas à entrer dans son cul vierge sans l’aide de lubrifiant qu’elle n’avait pas pensé à acheter, c’est en l’enfouissant dans sa moule dégoulinante qu’elle avait finalement réussi à le faire entrer dans son cul. La sensation l’avait dévastée. Être assise dans ce train, sans culotte sous sa jupe courte, l’anus rempli, l’avait rendue folle. Elle aurait aimé que le type qui était assis plus loin lève les yeux de son journal pour qu’il la surprenne lorsqu’elle croisait et décroisait les jambes, cette action ayant pour principal effet de faire bouger le plug dans son second trou, comme elle aimait à l’appeler. Quand elle pensait à son corps, et elle y pensait en permanence depuis quatre mois, elle avait pris l’habitude de parler de ses orifices en les nommant d’un numéro. Son anus était ainsi son second trou.


Mais ce qui la troubla le plus ce jour-là, tandis qu’elle tentait de capter l’attention du lecteur de journal qui ne sut jamais le spectacle qu’il avait raté, c’est qu’elle finit par devenir l’attention d’une jolie jeune fille ; et quand Angélique s’en aperçut ce fut d’une part pour constater que la jeune fille n’avait pas pu ne pas remarquer qu’Angélique ne portait pas de culotte, d’autre part pour noter que celle-là continuait à mater avec envie. Une fois quitté le train et rentrée chez elle, la seule image qui lui vint à l’esprit fut celle de cette jeune fille et Angélique regretta de ne pas lui avoir complètement montré sa moule ; ce fantasme la fit se branler et jouir, du clito d’abord et du vagin ensuite.


Car elle avait découvert son bouton. C’est Christian, lors de l’une de leurs conversations, qui avait abordé le sujet. Tu es vraiment vaginale, lui avait-il dit, c’est rare. Angélique avait réagi avec surprise, car il ne lui était jamais venu à l’esprit qu’on puisse être autre chose que vaginale. Christian lui expliqua alors que le plaisir peut être aussi clitoridien, et que la plupart des femmes utilisaient leur clito comme un instrument de plaisir pratique et renouvelable. Dix minutes plus tard elle essayait la brosse à dents électrique et elle jouit en trois minutes, puis recommença quatre fois encore. Cette découverte l’avait enthousiasmée. Elle s’adonna alors à ce plaisir plusieurs fois par jour et en fut fort comblée.


Elle pouvait au moins partager cela avec Éric. Sans lui avouer comment elle l’avait découvert, elle l’enjoignit, lors de leurs réguliers échanges physiques qu’elle lui accordait, de lui toucher le bouton tandis qu’il la défonçait. Il fut ravi de cette nouveauté, mettant cela sur le compte des confidences qu’il avait dû lui faire au moment où elle l’avait questionné sur Catherine.

Il va de soi que pour Angélique ces plaisirs matrimoniaux ne lui suffisaient plus du tout et qu’elle n’en était absolument pas satisfaite. Sa libido s’était développée et elle naviguait maintenant dans des niveaux de perversion qui n’avaient plus commune mesure avec ses activités conjugales.


Pour illustrer cela, elle avait récemment pris l’initiative de l’expérience suivante, afin de répondre à une sollicitation de Christian. Celui-ci lui avait demandé de faire quelque chose d’original et de nouveau. Angélique eut l’idée alors de se comporter en petite salope offrant son con. Elle prit une grosse bougie d’environ 12 à 13 cm de long et 6 de diamètre. Le fait de tenir cette bougie dont ses doigts ne pouvaient faire le tour la faisait déjà mouiller car elle savait ce qu’elle allait en faire. Étalant sa mouille sur sa vulve et entre ses fesses, elle plaça le bout de la bougie entre ses lèvres, la présentant à son fourreau. Puis elle s’assit dessus en se cambrant sur le bord d’une chaise et avec une immense satisfaction elle la sentit la remplir et lui dilater le con. Elle prit ensuite un long ruban de tissu qu’elle dédoubla, le fit passer autour de sa taille puis entre ses fesses depuis l’arrière vers avant et l’attacha et le serra devant, comme une sorte de string de contention qui maintenait en elle cette bougie baisante. Pendant que le feu se propageait dans son ventre elle mit des bas, une robe, un soutien-gorge et sortit faire des courses.


Quelle excitation Angélique ressentit à marcher dans la rue ainsi prise, de prendre le bus et de sentir sa moule ruisseler de plaisir et de désir sur la bougie ! Elle ne cessait de penser, de se répéter qu’elle était en train de devenir une dépravée finie. Cette idée la rendait folle. Elle s’arrêta prendre un café et en profita pour aller retendre la corde dans les toilettes et se fit jouir en une poignée de secondes lorsqu’elle renfonça en la tournant la bougie dans sa connasse avide de sensations.


Mais déjà au retour elle pensait à d’autres situations qu’elle pourrait initier et notamment de toutes celles où des hommes – et des femmes, ceci avait mûri – pourraient mater le renflement lisse de son con, ses lèvres ouvertes sur son fourreau de petite salope qui ne demandait qu’à être systématiquement rempli sans retenue.


Ce fut à nouveau Christian qui fut le partenaire de sa débauche. Elle était satisfaite de ce complice discret et cultivé qui à chacune de leurs conversations téléphoniques lui instillait de nouvelles idées dans la tête, quoiqu’avec le temps les idées venaient aussi bien toutes seules. Naturellement il aurait aimé la rencontrer et mettre en pratique tout un tas de choses plus cochonnes les unes que les autres, mais Angélique résistait et ne voulait pas faire ce qu’elle avait tant reproché à son mari lorsqu’il l’avait trompée. Elle avait bien conscience que son attitude et ses nouvelles activités récréatives n’étaient pas si innocentes que cela mais elle se refusait pour l’instant à coucher avec un autre homme, même si elle y pensait sans cesse. Christian avait l’intelligence de ne pas insister, mais régulièrement il pimentait leurs échanges par des suggestions qu’il aurait aimé qu’elle acceptât.


Quelques semaines avant Noël, alors qu’elle avait prévu de retourner à Paris pour une journée d’achat de cadeaux, une idée vint germer dans son esprit. Elle attendit que Christian lui reparle d’une éventuelle rencontre puis lui fit la proposition suivante. « Puisque tu veux me rencontrer, lui dit-elle, soit. Mais ce sera à mes conditions. » Cela va sans dire qu’il accepta sans rechigner, avant même qu’elle lui fasse part de celles-ci. « Les voici, poursuivit-elle : tu vas me trouver une jeune fille entre 18 et 25 ans (Angélique en avait 30 à l’époque), jolie, vicieuse et avec de gros seins. Tu vas organiser une rencontre et tu vas faire en sorte que cette jeune fille, que tu auras préalablement instruite, me drague et me séduise. Et je ne veux pas t’apercevoir, toi, pendant toute cette étape. Si je me rends compte ensuite, lorsque sera venu le moment de faire ta connaissance, que tu étais présent, même de loin, lors de ma rencontre avec cette fille, je couperai court à notre rendez-vous final. »


Christian accepta aussitôt. Le challenge lui plaisait, même si la tâche s’annonçait ardue. Il avait une semaine pour trouver ce qu’Angélique lui avait demandé. Il se mit aussitôt en quête de la perle rare ; mais toutes les filles qu’il contactait sur le minitel ne croyaient pas à son abracadabrantesque histoire et pensaient qu’il avait inventé tout cela pour les appâter. À chaque appel d’Angélique elle lui demandait s’il avait progressé, car elle avait fixé la date de sa sortie à Paris au jeudi de la semaine suivante, juste avant le début des vacances de Noël. Le pauvre Christian se désolait de cet état de fait. Il avait appelé une de ses ex avec laquelle il entretenait de bons rapports, et dont il savait qu’elle était un peu bi sur les bords. Elle avait ri en écoutant sa proposition, mais avait fini par décliner l’offre, n’étant pas disponible le jour fixé. Il avait ensuite pensé recruter une professionnelle, mais il avait chassé l’idée car même si Angélique ne lui avait rien dit de cette solution, il la connaissait suffisamment pour deviner qu’une telle façon de procéder ne lui plairait pas. La situation était bloquée.


C’est finalement le mardi qu’une idée saugrenue lui traversa la tête ; sa cousine Carole, avec laquelle il avait toujours été proche et avec laquelle il avait joué à touche-pipi à l’adolescence, lui avait confié un jour qu’elle aimerait un jour avoir une expérience homosexuelle. Ils se voyaient régulièrement lors des repas de famille chez leur grand-mère et leur complicité était intacte, même s’ils avaient cessé tout contact ambigu depuis de nombreuses années. Il fallait maintenant lui présenter le plan.


Il l’invita le soir même à dîner dans une brasserie près de Montparnasse. Elle accepta avec plaisir car elle aimait beaucoup son cousin plus âgé qui lui avait fait connaître ses premiers émois de jeune fille. Elle était cependant loin d’imaginer ce que son cousin coquin allait lui proposer. Ils se retrouvèrent à 20 h à la sortie du métro et allèrent s’installer dans un bistrot irlandais pour prendre une bière avant de manger.


Ils ne s’étaient pas vus depuis les vacances d’été dans la maison de campagne familiale aussi ils commencèrent par ragoter comme s’ils s’étaient quittés la veille. Ce fut Carole qui lui fournit l’opportunité qu’il attendait en lui demandant des nouvelles de la fille qu’il avait amenée l’été dernier passer une semaine au soleil. Christian lui dit qu’ils avaient rompu depuis, Carole s’en désola d’abord mais devant la mine souriante de son cousin comprit qu’il ne regrettait pas. Elle passa alors en mode ironique et lui fit une plaisanterie sur les activités solitaires qui devaient être les siennes depuis lors.


Christian saisit la balle au bond et lui proposa de lui confier un secret : il lui narra la rencontre avec Angélique, les moments passés au téléphone, le plaisir d’assister à la dépravation de sa complice. Carole souriait, l’écoutait avec attention, posant quelques questions çà et là. Et Carole mouillait. Elle mouillait beaucoup et sentait son slip s’humidifier au fur et à mesure que son cousin avançait dans son histoire.


Christian en vint enfin à sa requête. L’expérience homosexuelle évoquée des années auparavant, l’opportunité de la réaliser avec une inconnue et enfin la bonne action qu’elle engendrerait en lui permettant de faire connaissance avec celle qu’il fréquentait téléphoniquement depuis six mois. Carole était tellement liquide à ce stade qu’elle ne pouvait qu’accepter. Ils partirent manger bras dessus bras dessous, le slip de Carole lui collant à la motte. Elle savait déjà qu’elle se branlerait et jouirait plusieurs fois en rentrant chez elle.


Restait à Christian à régler les détails, mais c’était Angélique la jeune oie, Angélique l’encore pure il y a un semestre qui était désormais maîtresse du jeu pervers. Elle avait promis de l’appeler le lendemain. Elle tint parole, et Christian s’empressa de lui annoncer qu’il avait trouvé la personne qu’elle lui avait demandée. Il lui décrivit succinctement Carole, s’abstenant toutefois de lui avouer que c’était sa cousine, et se permit de rester vague quant aux circonstances qui lui avaient permis d’arranger la rencontre. « Tu n’as pas fait appel à une pute ? lui demanda-t-elle. Car en ce cas cela ne m’intéresse pas. » Christian put lui jurer qu’il n’en était rien.


« Voici comment je vois les choses, lui dit Angélique. Je ne veux pas savoir à quoi elle ressemble ni comment elle sera habillée ; je veux juste qu’elle soit sexy et désirable. Je serai au rayon lingerie des Galeries Lafayette à partir de dix heures, jeudi matin. Je porterai une jupe rouge en satin et un chemisier blanc, des escarpins et un manteau trois quarts noir. J’aurai un sac à main de cuir rouge sur lequel j’aurai attaché un porte-clefs en forme d’écureuil. Elle ne pourra pas se tromper. Ensuite c’est à elle de jouer, mais il est indispensable que la rencontre apparaisse comme fortuite. As-tu des questions à me poser ? ajouta Angélique. »


Christian n’en avait qu’une : comment se voit-on ensuite ? Angélique avait pensé à tout. « Eh bien, lui dit-elle, si tout se passe bien et si tu restes loin de nous le matin, je te propose de me retrouver à quinze heures dans la salle des pas perdus de la gare St Lazare, côté rue d’Amsterdam. Cherche l’écureuil », ajouta-t-elle dans un rire. Les dés étaient jetés. Angélique raccrocha, tout étonnée de son audace et fière d’avoir pu mener à bien ce scénario digne d’une comploteuse professionnelle. Christian, quant à lui, appela aussitôt sa salope de cousine pour lui donner les indications nécessaires. Demain serait un autre jour.


Angélique s’était préparée tôt le matin dès le départ d’Éric. Outre les vêtements qu’elle avait indiqué qu’elle porterait, elle avait mis un porte-jarretelles et des bas, mais s’était abstenue de porter culotte et soutien-gorge. Juste avant de partir, elle s’était enfilé dans son premier trou ses boules de geisha ; le bercement du train la ferait arriver trempée à St-Lazare.


Carole avait décidé qu’elle serait cochonne également, mais d’une autre manière. Elle avait mis une culotte de coton qu’elle avait achetée une taille trop petite. Elle avait découpé le tissu au niveau de sa vulve et l’avait enfilée. Le fait que la culotte soit trop petite avait la conséquence de tirer ses grandes lèvres vers l’extérieur et d’écarter son abricot. Comme elle avait un clitoris assez développé, il saillait et d’expérience Carole savait que le jean serré qu’elle aller passer viendrait immanquablement faire frotter son bouton sur le tissu du pantalon et faire monter le désir. Elle se maquilla plus qu’à l’habitude et mit du rouge à lèvres écarlate sur les pointes et les aréoles de ses seins avant de passer un soutien-gorge transparent.


Il était neuf heures trente, le train d’Angélique entrait en gare St-Lazare quand Carole quitta son appartement rue d’Alésia. Elle serait juste un peu assez en retard.


Angélique commanda un thé dans un bar de la rue de Mogador, ses cuisses étaient tellement trempées de la mouille qui dégoulinait de sa connasse visqueuse qu’elle dut descendre aux toilettes s’essuyer le trop-plein. Les employés de la société de gardiennage prenaient un dernier café avant d’aller ouvrir les portes et assurer leur poste à l’entrée. Un beau black la regardait de temps à autre tandis qu’il plaisantait avec ses deux autres collègues. Elle pensa lui montrer qu’elle n’avait pas de culotte mais se ravisa : aujourd’hui elle était lesbienne. Rien qu’à y penser, son vagin se contracta sur les boules. Elle paya et se dirigea vers les portes décorées pour Noël. Elle fut parmi les premières à entrer.


Carole était dans le métro. Elle se demandait comment tout cela allait se passer, si la fille, la complice de son cousin, cette Angélique si vicieuse, lui plairait. Si elle saurait y faire. Elle regarda sa montre : dix heures, et encore cinq stations avant d’arriver à destination. Si la dépravée était ponctuelle, elle était déjà au 5e étage, se dit Carole. Ses gros seins lui faisaient mal, signe que le désir montait. Elle avait hâte d’arriver.


Quand Angélique arriva au rayon lingerie, il y avait déjà du monde dans les travées. La proximité de Noël faisait affluer tous ceux qui cherchaient des cadeaux et qui s’ajoutaient aux provinciaux montés à Paris et aux habituels étrangers qui hantent ces lieux en permanence. Angélique commença à déambuler dans les rayons, s’arrêtant ici ou là pour examiner une culotte ou un string. Elle se refusait à regarder autour d’elle pour essayer de deviner laquelle de ces filles pourrait être celle promise par Christian et marchait doucement entre les étalages de dentelles et de soies. Tandis que les minutes passaient et que personne ne s’approchait, elle s’accroupit à plusieurs reprises pour examiner un ensemble sur un portant plus près du sol ; ce faisant elle écarta les cuisses mais personne ne prêtait attention à elle et le spectacle de son trou gluant duquel sortait la ficelle blanche des boules de geisha ne fut pas surpris par quiconque. Enfin pas les trois premières fois ; car Carole était arrivée et avait repéré Angélique grâce à la description que son cousin lui avait faite ; quand Angélique se baissa pour la quatrième fois pour examiner le prix d’un magnifique slip Chantal Thomass, Carole était à cinq mètres d’elle et put d’un seul regard contempler sa motte lisse et son porte-jarretelles blanc ; ses seins la torturaient de plus en plus.


Angélique avait en main une culotte Aubade quand une jeune fille brune aux cheveux courts, les lèvres écarlates, se posta dans son champ de vision et entreprit de fouiller dans le bac contenant les sous-vêtements. Angélique lui fit un sourire sympathique. La jeune fille, Carole en l’occurrence, répondit à son sourire et entama la conversation.



Angélique acquiesça et reposa la culotte dans le bac.



Angélique s’empourpra.



Le con d’Angélique se mit à gonfler. Elle sentait le sang qui affluait dans ses parties génitales, et en même temps elle imaginait que la fille en face d’elle pouvait nettement voir ses tétons pointer au travers de son chemisier. Elle leva les yeux à nouveau :



"Angélique la lesbienne vicieuse", pensa-t-elle en lui répondant dans un souffle.


Il n’y avait que peu de monde dans les cabines. Elles en choisirent une et y entrèrent toutes les deux. Carole tira le rideau rouge derrière elles. Angélique ôta ses escarpins et les plaça de telle manière que de l’extérieur on puisse voir que la cabine était occupée. La tension des seins de Carole était à son paroxysme. Son bouton qui frottait depuis une heure sur le tissu de son jean avait mis son ventre en feu. Elles s’enlacèrent et commencèrent à jouer avec leurs langues qu’elles avaient sorties de leurs bouches. Plus elles les frottaient l’une contre l’autre et plus le con d’Angélique coulait et plus les seins de Carole la mettaient au supplice. Elles se roulèrent des pelles ainsi pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce qu’Angélique lui proposât d’aller à l’hôtel. Carole aurait accepté n’importe quoi pourvu que ses seins soient sucés, aussi elle opina aussitôt. Mais Angélique était devenue vicieuse et il fallait pimenter tout cela. Elle se troussa et s’assit sur le tabouret, releva sa jupe aux hanches et montra sa moule à Carole.



La jeune cousine s’exécuta aussitôt, fit glisser son jean et dévoila sa culotte découpée au niveau de sa motte. La vue de cette perversion électrisa Angélique. Elle retira les boules blanchies de cyprine de son con et les tendit à Carole.



Deux minutes plus tard Angélique jouissait tandis que Carole introduisait les boules dans son propre trou. Elles s’embrassèrent une dernière fois en partageant la mouille d’Angélique que Carole avait recueillie sur les boules puis se rajustèrent. En repassant devant le bac où elles s’étaient rencontrées Angélique se déculotta et remit la culotte souillée de mouille au milieu des autres. Elle sourit en pensant à la prochaine cliente.