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n° 14558Fiche technique15640 caractères15640
Temps de lecture estimé : 9 mn
05/09/11
Résumé:  Un homme, deux femmes, quatre possibilités.
Critères:  ffh boitenuit fdomine hmast fgode fsodo fouetfesse -couple+f -boitenuit
Auteur : Regine877  (Un homme et une femme ou l'inverse)      

Série : Sexy club

Chapitre 01 / 02
Le club des trois

L’hôtesse qui nous accueille à l’entrée du club nous ouvre la porte avec un sourire espiègle presque narquois.



Le club est à moitié vide. Quelques couples nous observent du coin de l’œil. Nous regardons tout alentour, en nous attardant sur les hommes et les femmes présents, surtout les femmes. Elles ont mis leurs plus beaux atours, avides de séduire, prêtes à vivre des moments troubles, pourvu qu’ils soient excitants.


Nous nous installons au bar, un peu intimidés par les regards qui nous frôlent et nous enveloppent.


Tu portes une tenue très sexy qui suggère, sans exhiber. Il s’agit d’une robe noire très érotique, fendue sur les côtés. Lorsque tu t’assois sur le tabouret du bar et que tu croises tes jambes, je peux sentir l’excitation ambiante monter d’un cran. Ta poitrine généreuse est merveilleusement mise en valeur par ta tenue.


Soudain, un éclat de rire nous fait tourner la tête. Il s’agit d’une blonde un peu vulgaire qui a manifestement trop bu. Elle s’agite devant une belle brune qui nous observe avec insistance. Je lui retourne son regard scrutateur. C’est une femme grande, pulpeuse, vêtue d’une petite robe très sexy qui ne cache rien de ses appâts tentateurs. De grands yeux bien dessinés, un sourire éclatant, des lèvres pulpeuses, son visage est celui d’une star du porno américain. Son corps aussi d’ailleurs. Que fait-elle dans ce club ? Son amie la désigne du doigt et lui montre le podium au fond de la piste de danse. Sans doute par défi, la belle brune se lève et se dirige d’une démarche sensuelle vers le podium. La musique joue une biguine au rythme lascif. La brune pulpeuse se déhanche avec grâce en se caressant le corps, la poitrine d’abord, le ventre ensuite, elle passe même sa main entre ses jambes. Elle joue avec la barre du podium en s’accroupissant et en se relevant au rythme syncopé de la musique. Parfois elle se frotte de manière indécente à la barre comme pour offrir à l’acier froid la chaleur de son bas-ventre.


Tu poses ta main sur ma cuisse et remonte vers mon sexe qui ne demande qu’à sortir de sa prison trop étroite.



J’en profite pour te caresser la cuisse d’une main pendant que de l’autre je presse ton sein gauche.



Pendant ce temps, la belle brune continue son spectacle. Elle franchit une étape en faisant descendre les bretelles de sa robe. Elle nous fait alors découvrir un magnifique soutien-gorge noir qui fait ressortir une poitrine aux seins lourds. Elle continue sa danse torride et, très doucement, dégrafe son soutien-gorge. Sa dextérité semble montrer que ce n’est pas la première fois qu’elle s’adonne à ce genre d’exercice. Lorsqu’elle se retourne vers nous en ôtant complètement son soutien-gorge, ses seins semblent jaillir de leur prison de soie, enfin libres de se tortiller au son de la musique. Elle a des seins magnifiques, laiteux aux larges aréoles rouges, leurs tétons se dressent lorsqu’elles les caressent avec des gestes doux et très sensuels. Elle prend ses seins entre ses mains comme pour nous les offrir.


Sous tes caresses insistantes, ma bite grossit et durcit de plus en plus. De manière très douce, presque négligemment, je caresse tes seins à travers tes vêtements. Je sens leurs pointes qui se dressent. La peau de ta cuisse, sur laquelle j’ai posé ma main, frémit, vibre dans une attente électrique.


La brune a cessé sa danse, elle se rhabille tranquillement et revient à sa place. Elle ne nous quitte plus du regard. Je lui souris d’un sourire généreux, complice. Elle me rend mon sourire et vient vers nous.



Surpris mais pas décontenancés par cette entrée en matière nous opinons du chef et nous la suivons.



Et, avant que nous ayons pu répondre, elle nous enferme dans la pièce. Elle nous montre alors, accrochés au mur, des fers munis de lanières dont la fonction est sans conteste d’enserrer des poignets, ainsi que divers accessoires punitifs.

Elle se tourne vers toi et d’un ton autoritaire elle jette :



Jouant le jeu, tu t’exécutes en faisant mine d’être effarouchée par ce ton impérieux. J’observe la scène fasciné par le changement soudain d’attitude de notre brune tentatrice.



Bientôt, tu es nue. Elle se tient derrière toi en te caressant le dos, puis elle se saisit de tes seins. Elle presse tes globes, elle caresse les tétons durcis par l’excitation. Tu gémis doucement, elle se met à genoux et t’embrasse les fesses, tu écartes doucement les jambes, elle commence à glisser sa langue entre tes cuisses puis se ravise.



Et elle te tire doucement vers les fers accrochés aux murs où elle t’attache solidement. Tu nous présentes tes fesses blanches, rebondies, généreuses. Elle les caresse doucement puis commence à se déshabiller.



À mon tour, je sors mon engin que j’enserre entre mes mains. Je me branle vigoureusement en vous observant toutes les deux, toi attachée, ta croupe exposée, offerte à tous les plaisirs, elle, presque nue, lascive, aux jambes longues et fermes, à la poitrine lourde et blanche. Elle a gardé ses longues bottes de cuir noir qui lui font un air de dominatrice. Elle frotte ses seins contre tes fesses, et glisse son téton dans ton entrecuisse. Puis elle écarte tes jambes.



Pour seule réponse, tu gémis.



Le ton cinglant est accompagné d’une claque vigoureuse sur tes fesses. Surprise, tu ressens la vigueur de la caresse.



Tes fesses commencent à prendre une légère teinte rose. Tu gémis à nouveau et tu réponds prestement :



Ses doigts dansent sur tes fesses, descendant le long de ta chatte mouillée pour remonter vers ton petit trou tendu. Elle se baisse et te lèche vigoureusement le petit trou. Tu gémis, tu te tords, enchaînée, impuissante, tes seins se balancent sous l’effet de ses caresses. Elle se relève aussitôt :



Elle va dans un coin et, d’un coffre, elle sort un vibromasseur encore dans son emballage qu’elle déchire. Elle revient vers toi, écarte tes jambes, puis tes fesses et, d’un coup sec, elle t’enfourne le petit vibromasseur directement dans le cul. Tu cries sous l’effet de la surprise, un cri où se mêle plaisir et étonnement.



Je me branle de plus en plus vigoureusement, je n’ose intervenir de peur de rompre la délicieuse harmonie qui s’est créée entre vous. J’admire particulièrement les mamelles lourdes de la belle dominatrice qui dansent au rythme des coups de boutoir qu’elle t’assène. Ta croupe est dressée, tendue, donnée en offrande au vibromasseur qui te laboure le cul. Tu bouges au rythme des mouvements de va-et-vient de pénétration du gode. Ta croupe et le bras de la belle brune ne semblent plus former qu’un seul corps, étrange et beau. Tu gémis de plus en plus fort pendant qu’un rictus de plaisir déforme joliment le visage de celle qui te besogne. Je bande tellement fort que ma bite me fait mal, elle vibre dans ma main qui a du mal à la contenir mais je ne veux pas jouir maintenant, je veux garder mon foutre pour l’asperger sur vos deux visages, que vous puissiez le boire goulûment.


La brune se redresse, elle retire le gode de ton arrière-train.



Et elle joint le geste à la parole en t’assenant des petites tapes sur les fesses, tu gémis et tu sursautes de plaisir à chaque tape. Les tapes se font de plus en plus cinglantes et se transforment bientôt en une véritable fessée. Vous entamez ce qui semble être un véritable dialogue :



La belle brune glisse deux doigts dans ta chatte et un doigt dans ton cul pour vérifier tes dires. Elle sort ses doigts de ta chatte, les lèche avec application et dit :



Et elle enfonce un à un les doigts de sa main dans ta chatte. Ta vulve s’élargit pour laisser pénétrer sa main fine et douce. Cette fois, tu cries, tu hurles ta jouissance pendant qu’elle te besogne, une main enfoncée dans ta chatte et un doigt dans ton cul. Elle grogne de plaisir en te fouillant au plus profond pendant que tu jouis en hoquetant de plaisir.


Je continue à me branler furieusement. La belle brune qui, décidemment, sent admirablement les choses, te détache enfin et te conduit vers moi. Vous vous agenouillez devant moi et elle me dit :



Vous vous tordez de désir à mes pieds pendant que je me branle frénétiquement. Enfin, mon foutre explose et gicle sur ton visage d’abord puis sur celui de la belle brune. Mon sperme chaud, visqueux coule sur vos seins, je n’arrête pas d’éjaculer en saccades brutales et vigoureuses sur vos visages, vos seins, vos ventres. Vous êtes couvertes de mon sperme. La belle brune ramasse avec sa langue du sperme qui coule sur son visage, se penche vers toi et te fait goûter mon foutre que tu avales avec délectation.



Elle te prend la main, ouvre la porte, nous traversons d’un bond, presque nus, le couloir et nous arrivons dans une magnifique salle d’eau avec une douche à l’italienne. Dans notre trajet, j’ai senti les visages se tourner précipitamment vers le magnifique trio que nous formons mais notre traversée a été trop rapide pour que nous ayons eu le temps d’apercevoir qui que ce soit.


Dans la salle d’eau, à nouveau fermée à double tour, la brune se met au-dessus de la douche et dit :



Et, après avoir ôté ses bottes, elle commence à uriner devant nous, d’un long jet qui crépite sur le sol. Cette femme au corps si parfait qui se conduit de façon presque animale devant nous est d’une beauté trouble et particulièrement excitante.


Vous commencez à vous laver toutes les deux, très doucement, avec beaucoup de grâce. On dirait deux nymphes aux corps pleins et pulpeux qui jouent un jeu pas du tout innocent. Je me déshabille, j’ai à nouveau une érection en vous regardant, toutes deux si belles sous l’eau qui ruisselle sur vos corps mêlés.



Je m’approche, ma bite dressée, elle se saisit de mon engin, commence à le caresser doucement et me présente tes fesses. Après avoir mis un préservatif, je suis en position pour te prendre en levrette. Elle, agenouillée, introduit doucement mon sexe dans ta chatte humide et chaude et je commence à enfoncer mon pieu dans ton antre si accueillant. Elle pince tes seins, tantôt doucement, tantôt avec plus de vigueur. Sous toutes ces caresses et après tant d’excitation, tu jouis très vite. Alors, la belle brune retire mon sexe de ta chatte, donne à ma bite dressée comme un mât, un nouvel habit de plastique et me présente ses fesses.



Je m’exécute, mon pieu chauffé à blanc pénètre immédiatement et sans effort son trou du cul. Pendant ce temps, tu tètes ses grosses mamelles en te caressant le clitoris. De temps en temps, tu arrêtes de la lécher pour me dire :



La brune gémit de plus en plus pendant que je lui explose littéralement le trou du cul. Je ne veux pas éjaculer dans son trou aussi, quand je sens que je ne pourrai plus me retenir, je m’extrais de son petit orifice, j’enlève mon préservatif et je te dis :



Tu t’exécutes aussitôt et je ne suis pas long à exploser dans ta bouche. Tu déglutis une partie seulement de mon foutre plein de vie. La brune demande sa part alors tu te tournes vers elle et tu l’embrasses à pleine bouche en crachant même dans sa bouche ouverte une partie de mon jus salé. Lorsque nous nous retournons, nous constatons, avec amusement, et un peu de fierté pour moi, que quatre hommes nous observent par la vitre de la porte. Ils se masturbent avec application en nous regardant.