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Sexy club

Club, mot mystérieux, plein de sous-entendus à peine dévoilés par le mot sexy qui y est accolé, tel un partenaire, de quels jeux ? À l’accueil, charmantes hôtesses, guides gracieuses et discrètes, qui s’effacent ensuite pour vous laisser accéder au cœur du sanctuaire de toutes les promesses de plaisir : bar et piste de danse, là où commence l’affût.

D’abord s’asseoir et observer : ici, peu de paroles échangées, tout est regard : regards voyeurs, appuyés, dans lesquels le désir parfois allume une flamme. Musique qui invite à la danse, danse lascive des femmes, d’abord seules, et puis les hommes, qui prennent leur temps pour les rejoindre : ils aiment observer le jeu de séduction que leurs compagnes déroulent sous leurs yeux : comme les lionnes elles mènent la chasse pour leurs rois mâles. Elles choisissent la proie, victime consentante, qui se laisse approcher, toucher, caresser, entraîner par le désir de la chasseresse.

Soudain, elle est là, sur le dance floor. Vient-elle d’arriver ou était-elle installée sur un des hauts tabourets de bar, à déguster par petites lampées son cocktail ? C’est comme si elle était seule, elle irradie tant de sensualité que tous les regards se braquent sur elle : soie et dentelles noires dévoilant impudiquement la peau blanche de sa gorge, de ses cuisses, de ses fesses, sans tout dévoiler pourtant, laissant le soin d’imaginer les trésors cachés de son corps aux formes voluptueuses ; un sourire angélique avec un regard de diablesse : est-elle gazelle ou bien lionne ? Soumise ou dominatrice ? Peut-être les deux ?

Elle se dirige vers nous : elle t’a choisi, ou alors moi, ou bien nous deux ? Elle nous invite à danser d’une voix douce et chaude à la fois, le regard plein de séduction, nous enjôle de son sourire. Tous ses mouvements sont empreints de sensualité : elle nous charme telle une magicienne.

La danse est terminée : elle nous attire vers le bar où son compagnon, beau brun ténébreux, nous observe : présentations, il sourit, il écoute sa compagne, il acquiesce à son désir : elle nous a déjà conquis et obtient sans peine notre accord. Je t’observe à la dérobée : le feu du désir brûle dans ton regard, je sens que tu la convoites, c’est comme une urgence, tu ne peux attendre plus longtemps ce plaisir qu’elle veut partager avec nous.

Nous nous dirigeons vers le couloir aux alcôves : elle en choisit une spacieuse, où nous serons à l’abri des regards. Un vaste lit, plein de coussins, des menottes pour les poignets et les chevilles, des instruments pour fesser et fouetter, de quoi réaliser nos fantasmes les plus inavouables. Elle se déshabille la première, en un langoureux et voluptueux strip-tease : elle a de gros seins ronds et parfaitement galbés et non refaits, une taille fine, des hanches généreuses, un ventre un peu dodu mais ferme, une croupe aux fesses rebondies qui donnent envie de les fesser, une chatte totalement épilée, de belles jambes musclées aux chevilles fines. Nous la contemplons, admiratifs, mais aussitôt elle se rapproche de moi pour me déshabiller et nous nous retrouvons nues l’une en face de l’autre, face à toi qui nous regarde, déjà très excité. Elle me caresse les seins, le ventre, les fesses, le sexe, apprécie ma peau très douce, mon corps ferme et musclé puis me prend la main droite, la pose sur son sein gauche et me dit de la caresser : nous nous caressons mutuellement, elle introduit ses doigts dans ma chatte et tout en me titillant le clitoris, masse les parois de mon vagin ; je pousse des petits gémissements de plaisir, je mouille. Tu te déshabilles à ton tour, rapidement, arrachant presque tes vêtements, impatient de te retrouver nu avec nous. Sous ses yeux admiratifs, ton sexe se dresse comme un pieu énorme, prêt à nous empaler l’une après l’autre.

• — Quelle vigueur, Chéri, j’ai hâte de sentir la puissance de ton membre si viril.

Toi, tu lui réponds qu’elle va tâter de ta bite sans tarder et par tous ses orifices. Pour toute réponse, elle t’adresse un sourire coquin et, s’agenouillant devant toi, elle t’enfile un préservatif. Brutalement, tu l’allonges sur le lit devant toi, tu la prends par derrière : elle pousse un bref cri de douleur et de surprise mêlées, qui se transforme en gémissements de plaisir, à mesure que tu vas et viens, enfonçant ta queue gonflée et dure, jusqu’au fond de son con. Tu lui souffles au creux de l’oreille :

• — Tu aimes ça, hein, salope ? Tu ne t’es jamais fait aussi bien ramoner qu’avec ma grosse queue bien raide hein ? Tu en veux encore, ça te plait ? Mais d’abord je vais te prendre par ton petit trou du cul, écarte plus les fesses que je t’encule ma belle salope. Tu cries ? Oui ça fait un peu mal, c’est normal j’en ai une très grosse. Mais tu vas voir après, ça va te plaire, tu vas jouir très fort.

Installée face à toi, les cuisses bien largement écartées pour que tu aies la meilleure vue, je me masturbe en même temps qu’elle gémit sous tes coups de boutoir et mon plaisir monte en même temps que le tien et le sien. Nous crions ensemble notre orgasme. Tu t’allonges à côté d’elle sur le lit, haletant.

Je te retire le préservatif et après quelque temps de repos je commence à te branler : bientôt ton sexe durcit sous mes doigts, je m’agenouille devant toi et je te prends dans ma bouche pour te sucer ; elle, pendant ce temps nous caresse à tour de rôle, t’embrasse voluptueusement, t’offre sa poitrine généreuse que tu pétris avec délice, pinçant, mordillant ses tétons rosés qui durcissent et pointent fièrement ; elle te donne une raquette avec laquelle tu me fesses, tantôt doucement tantôt énergiquement, m’arrachant parfois des gémissements de douleur. Lentement, longuement je te suce, pressant ton gland entre mes dents, puis j’accélère le mouvement et, tout à coup, tu éjacules en inondant ma bouche de ton sperme en plusieurs jets abondants que j’avale, gourmande jusqu’à la dernière goutte.

Entièrement accaparées par la satisfaction de notre plaisir, nous avons à peine remarqué l’homme qui a pénétré silencieux comme un félin dans la pièce : c’est le compagnon de notre partenaire, qui vient se joindre à nous. Sans un mot, il se déshabille et se retrouve bientôt à nos côtés, son gros membre dressé comme un mât, prêt à entrer en action. Sans hâte, il me saisit par la taille, me tourne face à lui et, me plaquant dos au mur, il me caresse doucement, délicatement les cheveux, le visage, ses mains descendent sur mon cou, un instant appuient fort comme si elles allaient m’étrangler puis descendent encore, caressent mes seins, effleurent mes tétons qui durcissent et se dressent : il les pince alors, brutal, m’arrachant un petit cri, mais il descend toujours, doucement, vers mon bas-ventre, vers mon sexe humide, il écarte les lèvres de ma chatte, cherche mon clitoris et de ses doigts habiles le titille, je gémis et j’inonde sa main, alors sauvagement il me prend, debout, à la hussarde. Un sourd cri rauque s’exhale de sa gorge quand il jouit, et à mon tour je crie de plaisir !

Alors, sa compagne s’approche de lui, lui dit « viens » et l’emmenant vers toi, vous incite à la prendre tous les deux en même temps : pendant que tu enfournes ton sexe turgescent dans sa chatte brûlante, il lui enfonce le sien, à nouveau bien raide, jusqu’au fond de la gorge ; avec des grognements de plaisir elle le suce, tandis que tu vas et viens avec vigueur dans son con tout trempé tellement elle mouille ; et c’est soudain l’extase pour tous les trois, à tour de rôle : il jouit, tu jouis, elle jouit !

… Sexy club : sous ce nom somme toute plutôt banal se cache le lieu où nous avons connu les plus voluptueuses tentations, les plus sulfureuses débauches, laissant libre cours à la réalisation de nos fantasmes les plus torrides, nous révélant notre nature de libertins sans tabous et sans complexes.