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n° 14621Fiche technique14346 caractères14346
Temps de lecture estimé : 9 mn
24/10/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Un couple baisant en pleine nature est surpris par une jolie cycliste.
Critères:  fh frousses grosseins vacances forêt exhib photofilm pénétratio fdanus québec -nature
Auteur : Ingyt            Envoi mini-message

Série : Camping

Chapitre 01 / 11
La cycliste

Bien agrippé aux hanches de ma blonde, je la besognais avec la régularité d’un métronome depuis dix bonnes minutes quand je stoppai, trop excité, me retenant déjà. Le faire à l’extérieur, sur un ponceau de bois loin en forêt comme maintenant, décuplait tous mes sens et accentuait toutes mes sensations.


C’était l’heure du souper, le soleil déclinait et allait bientôt disparaître derrière les montagnes boisées. Très haut dans le ciel, des corbeaux tournoyaient, il n’y avait pas le moindre souffle de vent et la chaleur de la journée s’estompait peu à peu. Le calme plat, je m’étais toujours senti plus vivant dans des endroits comme celui-là, loin des bruits de la ville mais surtout loin des autres.


L’étroit chemin de terre sur lequel on était, menait à des chalets à une vingtaine de miles, plus loin au grand lac des Pins, puis deux heures de route plus au nord, à d’anciens chantiers de bûcherons abandonnés depuis des dizaines d’années. Ici, en plein milieu de la forêt sombre et silencieuse, si une auto approchait ou un tout-terrain on l’entendrait de loin et on aurait amplement le temps de ramasser la caméra sur trépied et de se cacher derrière les arbres.


J’avais une toute nouvelle caméra HD et on filmait nos ébats amoureux comme beaucoup de couples, qu’on regardait ensuite en baisant à nouveau. Suzanne aimait ça autant que moi, se regarder ou se faire prendre en photo nue en pleine nature.


On avait installé notre petite roulotte un peut plus haut sur le bord de cette même petite rivière de sable qui s’écoulait tout doucement sous le ponceau. Un endroit où ma blonde, une métisse toute en rondeurs, moitié Amérindienne, moitié Québécoise, venait camper plus jeune avec sa famille.


Pliée en deux, bien agrippée à la rambarde, jambes écartées, petits orteils repliés, elle soupirait et gémissait faiblement, aussi excitée que moi de le faire en pleine nature.


Depuis quelques années, on baisait à l’extérieur partout où on le pouvait, c’était de loin ce qui nous excitait le plus : ça et nous filmer. La peur de se faire surprendre, c’est bandant ! On adorait aussi le naturisme mais seuls tous les deux et loin de tout. Marcher nus en forêt, se baigner et baiser au soleil sans contraintes comme si on était seuls au monde, c’était fantastique et c’est pas les endroits isolés qui manquent au Québec. Chaque été on partait un mois ou deux avec notre petite roulotte à la recherche de tel endroit le long de la côte nord. Des vacances de rêve avec une femme exceptionnelle et magnifique qui avait fait carrière comme traductrice aux Nations-Unies à New York. Une femme intelligente, brillante, belle et désirable.


Chaque fois que mon bas-ventre frappait ses jolies fesses un peu molles, elle rebondissait tout comme ses seins lourds, énormes, démesurés, qui se balançaient joliment.

Par son côté amérindien, Suzanne avait des petits yeux bridés et presque noirs, des lèvres pâles et épaisses à la japonaise et la peau couleur café au lait magnifique. Une très belle femme ronde, mais pas trop, sauf pour sa poitrine.


En enfonçant ma bite dans son con détrempé, j’admirais son dos courbé, ses frêles épaules, ses cheveux noirs assez courts attachés en queue de cheval et son cul splendide. J’étais tombé amoureux d’elle à dix ans, la belle petite Indienne comme on l’appelait à l’époque, mince avec de longues tresses ; et elle de moi, le petit timide du Cartier. Elle était un vrai garçon manqué et on faisait les cent coups ensemble à l’époque. Puis on s’était perdus de vue et retrouvés à l’approche de la cinquantaine, séparés et sans enfants tous les deux. L’amour de ma vie, je n’avais cessé de penser à elle pendant toutes ses années. Maintenant on était à la retraite et on profitait de la vie tout simplement.


J’allais accélérer le mouvement pour jouir, un pouce mouillé de salive enfoncé légèrement dans son anus tandis qu’elle se masturbait, quand j’entrevis un mouvement du coin de l’œil sur la gauche…


Je me figeai en tournant la tête, la bite enfoncée jusqu’aux couilles dans le vagin détrempé, le cœur battant à tout rompre et je vis une bicyclette apparaître de derrière les sapins. Un vieux vélo rouillé, à l’ancienne, avec un panier en osier usé au guidon, une lumière fendillée et un klaxon en forme de poire, comme on n’en voit plus. Et aux commandes de ce vieil engin, il y avait une femme magnifique aux longs cheveux roux, plus âgée que nous, en robe d’été blanche légèrement transparente et chapeau de paille. Une femme mince, aux joues creuses et aux lèvres bien dessinées, qui agrandit les yeux en nous découvrant nus tous les deux en train de baiser sur ce petit pont, sans parler de mon pouce bien visible dans le cul de ma blonde. Et elle sourit sans s’arrêter. Étrangement, ce vieux vélo ne faisait pratiquement aucun bruit, même si la chaîne était toute rouillée.


Sa robe légère était remontée sur ses cuisses d’une blancheur de neige et quand elle pédalait, sandales aux pieds, j’entrevoyais sa petite culotte blanche renfoncée dans sa fente. « Doux Jésus ! » me dis-je en levant les yeux tout en sentant un petit courant électrique traverser ma queue. Visiblement elle ne portait pas de soutien-gorge et sa poitrine lourde, en forme de poire, tombait un peu bas et ondulait doucement et sursautait à la moindre bosse. Ses mamelons bien visibles pointaient de plus en plus, sans doute à cause du spectacle qu’elle regardait du coin de l’œil, ça me fit déglutir. Elle continua à venir vers nous comme si de rien n’était, pédalant tête haute, fièrement.

Ce spectacle avait quelque chose de surréaliste, ici, perdu au milieu de nulle part.



Juste à penser qu’elle me voyait le cul et les couilles me donna le frisson et m’électrisa. Je sentis les madriers du ponceau vibrer sous mes pieds en tournant la tête pour la regarder s’éloigner et disparaître au tournant, admirant ses cuisses, sa taille fine et son cul. Une grosse chair de poule couvrit mon scrotum durci et ma bite sembla grossir deux fois plus. Suzanne la regardait aussi, les yeux petits et vitreux.



Je le fis, surexcité à cette idée.



Un petit silence et…



Le bruit de mon ventre heurtant ses fesses devenait de plus en plus fort et résonnait au loin.



Elle avait recommencé à se masturber et ses joues rougissaient. Le bout de ses doigts heurtait ma hampe dure comme un manche à balai. Ses gros seins sursautaient comme s’ils étaient remplis de Jello pas tout à fait pris.



Le vieux garde de bois auquel elle s’agrippait, bougeait, je commençais à craindre qu’il ne lâche.



Suzanne n’était pas jalouse, tout comme moi, elle aimait bien regarder et ne s’en privait pas avec les hommes.



Je sentis l’orgasme arriver, mes couilles rentrèrent, mes orteils se recroquevillèrent sur les madriers tandis que mon sperme montait dans l’urètre. Je stoppai en râlant, bien enfoncé dans le vagin, et j’explosai, le cœur battant à tout rompre, le souffle coupé, les genoux tout mous, en serrant les fesses, lâchant plusieurs giclées de sperme en elle. Un orgasme puissant qui me fit trembler et serrer les dents, puis, essoufflé, je restai sans bouger penché sur Suzanne, attendant qu’elle jouisse aussi en reprenant mon souffle et repensant à cette belle rousse, bien décidé à aller prendre une marche demain matin avec ma caméra au cas où elle se baignerait nue quelque part. Suzanne se levait toujours plus tard que moi.


Soudain ma blonde gémit un peu plus, ses genoux se plièrent et se frappèrent et elle dodelina du cul. Elle jouissait, je sentais les contractions de son vagin contre ma bite restée dure. Je caressai son dos et ses fesses, attendant qu’elle finisse, puis me retirai doucement en grimaçant à cause de mon gland trop sensible et me la secouai. Suzanne se redressa lentement, le souffle court, les yeux réduits à deux petites fentes… Ses rougeurs s’étendaient jusqu’aux seins à présent. Elle me fixait les yeux rieurs, si belle.



Suzanne me fit une jolie petite grimace avant de descendre à la rivière pour se laver l’entrejambe tandis que j’éteignais la caméra… Je me demandais ce qu’avait pensé cette femme de ce couple qui se filmait en train de baiser en plein milieu du chemin. C’était la première fois que l’on se faisait surprendre et cela avait un petit côté grisant.


Nos vêtements étaient restés à la tente, je n’avais qu’un sac en bandoulière quand on s’en retourna nus tous les deux, soulagés de nos pulsions, le trépied avec la caméra à l’épaule.



J’étais presque débandé quand on entendit le vélo derrière nous. Ma bite pulsa à nouveau.

On se tassa et elle nous dépassa sans rien dire et puis on entendit, avant qu’elle ne disparaisse dans le détour :



Là, elle me regarda lèvres pincées, consciente de sa petite erreur, elle qui est si fière de sa mémoire.



Ça suffit à me faire rebander.

On fit quelque pas et je rajoutai :



Je la pris par la taille, heureux comme un roi, et on retourna à la roulotte.








Un peu de vocabulaire…


– Ma blonde : ma petite amie, même si elle est brune, ou rousse, ou chauve…

– Cartier : jeu de mots, en référence à Jacques Cartier, le navigateur français qui découvrit le Canada, au 16e s.

– Jello : dessert à la gélatine, aux fruits.

– La craque de plote : la fente de son sexe.