n° 14630 | Fiche technique | 54312 caractères | 54312Temps de lecture estimé : 31 mn | 30/10/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Paul a bien envie de baiser ses deux jolies voisines de camping. | ||||
Critères: fh fplusag frousses inconnu hépilé vacances forêt voir exhib fellation québec -occasion -camping | ||||
Auteur : Ingyt Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Camping Chapitre 02 / 11 | Épisode suivant |
Résumé : Alors qu’ils sont occupés à baiser en pleine nature, Paul et Suzanne, deux campeurs, sont surpris par une jolie cycliste rousse apparemment décomplexée au point d’apprécier au passage le spectacle du couple en action.
Je m’éveillai tôt le lendemain matin, les oiseaux commençaient à chanter et j’avais une sacrée envie. Suzanne, à demi couchée sur moi, m’écrasait de tout son poids, ses énormes seins aplatis sur mon torse étaient en sueur et son genou droit pesait sur ma vessie. On s’était endormis nus après avoir baisé jusqu’à tard dans la nuit. La suspension de notre petite roulotte avait dû en prendre un coup. Notre petite séance sur le ponceau nous avait passablement excités. Mais là, il fallait que je me lève avant de bander ; pisser quand on est dur c’est pas évident.
Je réussis à me dégager sans la réveiller et sortis, l’air frais du matin finit de me réveiller. Je regardai le ciel bleu sans nuages annonçant une belle journée et la rivière qui s’écoulait doucement et souris, heureux. Je m’installai près d’un grand sapin, jambes écartées, en repensant à la cycliste d’hier. Je savais que ma blonde dormirait au moins jusqu’à neuf heures et il n’était que sept heures du matin. J’avais amplement le temps de prendre un bon café chaud, de manger quelque chose et de partir en excursion avec ma caméra pour débusquer cette jolie rousse et peut-être discuter un peu avec si elle était réveillée et seule ou juste l’observer en cachette. Je verrais bien !
J’urinais toujours quand j’entendis des rires de femmes provenant du chemin. Je ne pouvais rien voir depuis l’endroit ou je me trouvais, caché par de gros buissons. Puis des bruits de pas qui se rapprochaient, des bribes de conversation, deux femmes qui discutaient et riaient encore. Je reconnus aussitôt la voix de la rousse et ça me donna la chair de poule et m’excita terriblement, d’être là, si près, et nu. Mais, étrangement, je me rendis compte que je connaissais aussi l’autre voix. Une voix un peu plus profonde, plus sensuelle, un peu éraillée également. Je la connaissais très bien, même, mais sans pouvoir l’associer à qui que ce soit et ça m’intriguait.
Je pissais toujours bruyamment au moment où elles passèrent tout près. Elles ne pouvaient pas ne pas l’entendre, c’était un peu gênant et il y eut un petit silence puis encore des rires qui se répercutaient au loin dans les bois tandis qu’elles s’éloignaient. Ma bite enflait dans ma main. « Vive le camping ! » me dis-je tout sourire en sentant une petite brise fraîche provenant de la rivière me caresser les fesses.
Je finis enfin de vider ma vessie, bandé dur cette fois, et me la secouai en grimaçant tandis qu’un écureuil sautait d’arbre en arbre en criant. Puis la petite bête atterrit sur le sol et me fit ses gros yeux méchants toutes griffes sorties.
Eh ben !
Un frisson glacé me parcourut l’échine. J’avais eu un petit démêlé avec un écureuil à Montréal et j’avais dû me faire piquer pour le tétanos.
Un peu plus tard en prenant un café, assis à la petite table dans la cuisinette de notre roulotte, le ventre plein, je ne cessais de me demander qui pouvait bien être l’autre femme dont je connaissais si bien la voix. J’avais beau me creuser la tête, rien à faire. Et pourtant…
Toc ! Toc ! Toc !
Je sursautai comme un gamin surpris en train de voler dans la caisse paroissiale. Perdu dans mes pensées, je n’avais entendu venir personne. On frappait doucement à la porte de peur sans doute de nous réveiller. Suzanne grogna et se retourna sur le dos, de travers dans le lit, jambes écartées, bras en croix, faisant rouler ses énormes seins en ronflant doucement. Si j’ouvrais, la personne qui était là aurait une vue splendide sur sa vulve aux grandes lèvres brunes surmontées d’une belle toison noire, et comme elle dormait sur les couvertures, j’avais rien pour la cacher.
Je penchai la tête pour regarder par la fenêtre et aperçus ma belle cycliste. Mon cœur fit un bond tout comme ma bite, ses longs cheveux roux étaient remontés en chignon, elle était pieds nus, en pantalon de camouflage ample style armée et en minuscule camisole verte sans soutien-gorge. Un sein magnifique en forme de poire, tout blanc, au petit mamelon brun-rose gonflé et dur, en sortait d’ailleurs. Je déglutis bruyamment en voyant ce beau spectacle matinal, sentant mon scrotum se contracter sur la chaise. La rousse pencha la tête, vit son sein à l’air et le repoussa nonchalamment sous la camisole avant de frapper à nouveau. Cette vision réveilla mes bas instincts évidemment !
« Tant pis pour Suzanne ! » me dis-je en me levant, surexcité. Ma bite qui avait gonflé dur en un temps record heurta fortement le dessous de la table, m’arrachant une grimace de douleur.
J’allai à la fenêtre de la porte avec ma bite qui tanguait, écartai les petits stores verticaux et lui fis signe d’attendre une minute. J’eus droit à un sourire radieux. Petit Jésus !
Je ramassai mon short en jean par terre et l’enfilai, y poussant tant bien que mal ma queue douloureuse tellement elle était dure contre mon ventre et me zippant prudemment pour éviter de m’arracher un peu de peau. Mon gland dépassait, je cherchai mon t-shirt et le trouvai dans un coin sous l’énorme soutien-gorge noir de Suzanne et j’ouvris, nerveux, conscient que malgré mon t-shirt, mon érection était bien visible, ce qui me fit bander encore plus dur. Merde !
Comme il y avait trois marches, son visage était à hauteur de mon entrejambe et elle vit ma bosse et sourit, moi j’avais une vue imprenable dans sa camisole, sa gorge était couverte de taches de rousseur magnifiques. Elle rougit un peu et ses mamelons commencèrent à pointer pas mal plus.
Mais je m’aperçus qu’elle n’était pas dupe de mon petit mensonge.
Et là, elle tourna les yeux et vit Suzanne qui ronflait toujours. Heureusement pensai-je, car affalée comme elle était, de travers dans le lit et bras en croix, bouche entrouverte, elle avait l’air d’une morte, comme si je venais de l’étrangler. La rousse plissa les yeux encore une fois, un peu confuse, le sourire aux lèvres et baissa le ton comme si on était à la bibliothèque, en me fixant. Ses joues étaient plus rouges et ses mamelons encore plus durs.
Tout en prenant la tasse qu’elle me tendait, nos doigts se touchèrent et ça me donna un petit choc érotique.
Elle s’éloigna pour attendre, mains dans les poches. Les pantalons de camouflage lui faisaient un Cristi de beau cul. De dos, comme ça, elle avait l’air d’avoir 30 ou 40 ans. Je remplis la tasse de sucre, plus excité que jamais, et mis mes runnings en me disant que non seulement j’aurais pas à la chercher mais qu’en plus, j’allais pouvoir me rincer l’œil à volonté, surtout avec cette petite camisole et sans soutien-gorge et aussi, j’allais enfin savoir à qui appartenait cette voix qui m’était si familière.
Je refermai la porte doucement et la rejoignis, mon bandage diminuait un peu. Elle paraissait grande parce qu’elle était mince mais en réalité elle était aussi petite que ma blonde et tout aussi bandante dans son genre. Cette femme-là devait être une vraie bombe, plus jeune.
Une vraie rousse à voir la blancheur de sa peau et les taches de rousseur sur ses bras et sa gorge. C’était le genre de femme dont il était difficile de deviner l’âge, le genre qui vieillit bien et semble rester jeune. J’avais une tante comme ça sur laquelle je bandais plus jeune, une jolie petite brune aux yeux bleus, encore aujourd’hui, à 70 ans, elle restait baisable à mort.
Elle me sourit tandis qu’on allait rejoindre le chemin en marchant côte à côte. Je m’efforçais de ne pas trop regarder ses seins lourds, très bas, blancs comme de la neige, qui ballottaient et débordaient pas mal de l’étroite camisole, et dont les mamelons pointaient toujours. Visiblement, elle n’avait pas trop de pudeur à se montrer comme ça à un inconnu même à son âge. Elle devait être encore fière de sa poitrine sinon elle aurait enfilé un soutien-gorge avant de venir à notre roulotte. « Ou bien elle le fait exprès pour t’exciter », me dit une petite voix. Mais j’y croyais pas trop ! Je n’ai rien d’un tombeur, au contraire. Et pis, elle ne pouvait pas savoir que c’était moi qui lui répondrais.
Mais c’était une sacrée belle femme et elle le savait. Il y a 40 000 ans, elle aurait appartenu au chef du clan, c’est certain, et moi, grand mince et timide, j’aurais dû me contenter de la regarder comme maintenant. Il émanait d’elle une impression d’assurance et de désinvolture étrange. Un genre de magnétisme animal, si elle vivait seule, elle devait se faire aborder constamment, même à son âge. Elle paraissait pédante en la voyant marcher tête haute comme maintenant, mais visiblement ce n’était pas le cas. Elle avait de la classe, du charisme, de l’assurance, probablement une femme de médecin ou de politicien. En tout cas, elle en avait le genre et je vis qu’elle portait un petit anneau au doigt.
Du coin de l’œil, je regardai encore ses seins qui se balançaient, menaçant de sortir de la camisole, en salivant. Ça me troublait terriblement et ça m’empêchait de débander, c’était même tout le contraire et marcher comme ça, c’était pas très confortable.
Elle rit en me regardant drôlement et dit en pointant du doigt la bosse sous mon t-shirt.
Timide comme je suis, je me sentis pris en défaut et je rougis un peu.
Elle rit encore, si belle en me jetant un de ses petits regards malicieux.
Mais je mentis un peu en rajoutant :
Elle sourit encore. Visiblement, elle était très consciente de l’effet qu’elle me faisait et j’avais trop chaud tout à coup.
Là, je flippai en lui disant :
Elle me regarda plus intensément, les yeux plus brillants.
Je regardai mes runnings en riant et lui expliquai ce que je faisais sur Internet, elle me fit promettre de lui laisser l’adresse de mon site, elle voulait voir ça.
On discuta un long moment du dur métier d’artiste puis je lui demandai, soudain inquiet :
Là elle rit de bon cœur et dit :
Elle avait demandé ça sur un ton anodin comme si on parlait de tarte aux pommes et juste l’entendre dire le mot érection avec sa si belle bouche et son air si noble me fit déglutir et me donna le frisson.
Doux Jésus, j’en avais les jambes molles de l’entendre. C’était pas le genre de femme qu’on pouvait imaginer sacrer ou entendre dire bander, érection, ou sucer un gars. Pourtant elle devait le faire comme les autres. C’en était que plus excitant. Une bouffée de chaleur me remonta au visage. J’ai toujours été un grand naïf très intimidé par les belles femmes et on me changera pas à mon âge.
Là, je rougis encore, je suis comme ça.
On marcha encore un moment en silence. Le soleil commençait à chauffer sérieusement, la forêt était silencieuse et sombre. On n’entendait plus d’oiseaux, même pas un écureuil comme si toute vie avait déserté la planète. Le calme absolu. Je nous imaginais marcher nus avec elle demain, se baigner et peut- être plus. Moi et Suzanne, on est un couple assez ouvert côté sexe…
Je soupirai tout bas, ma maudite bite refusait de désenfler, évidemment.
Soudain elle stoppa, je m’arrêtai aussi, curieux, en la regardant, elle souleva la tête et me fixa droit dans les yeux un moment. Je me sentis fondre.
Le simple fait de lui serrer la main me donna la chair de poule.
Elle me fixait toujours tandis qu’on se lâchait les mains, je la trouvais si désirable que mon cœur en cognait et que j’en avais un nœud dans l’estomac et elle sembla prendre une décision. Elle me tendit la tasse de sucre en disant tout bonnement :
Éberlué, je la vis se mettre à genoux devant moi, lever la tête et me regarder en rajoutant :
Je déglutis, croyant rêver les yeux agrandis.
Ses doigts frôlèrent mon gland, ça m’électrisa et fit pulser ma bite.
Elle baissa ma fermeture éclair et descendit mon short aux genoux. Ma queue bien droite et sans prépuce lui bondit sous le nez. Pierrette plissa les yeux, visiblement excitée.
Elle l’agrippa, ses doigts minces en faisaient le tour tout juste puis elle me branla lentement, pressant mes couilles basses et sans poils de l’autre main en disant :
Jésus, Marie, Joseph ! j’étais aux anges en la regardant faire les yeux petits. Je planais en serrant mes petites fesses de plaisir, déjà. J’aurais tout donné pour avoir ma caméra.
Ça la fit rire puis, redevenant sérieuse, elle amena mon gland à sa bouche grande ouverte langue sortie, une toute petite langue pointue, et l’avala en gardant les yeux baissés. Elle commença à donner de la tête lentement en salivant énormément. Elle me suça juste le bout de la bite en me crossant doucement à poing fermé. Un lent mouvement de va-et-vient fantastique. Moi, d’une main je caressais sa chevelure épaisse et de l’autre je tenais la maudite tasse de sucre que je ne pouvais plus poser par terre. Mes fesses se contractaient, mon anus pulsait, mes genoux tremblaient et mes orteils se repliaient déjà dans mes runnings tellement c’était bon de se faire sucer par une femme comme elle ; et de soixante-sept ans, en plus ! Je suis certain que bien des hommes qu’elle avait côtoyés avaient dû en rêver.
J’y croyais toujours pas et pourtant je sentais bien mon gland sensible glisser sur sa petite langue pointue et humide qu’elle agitait parfois, m’arrachant des grimaces. Je voyais bien ses lèvres minces luisantes de salive arrondies autour de ma hampe et je sentais bien aussi sa petite main qui me pompait, heurtant mon ventre et ses lèvres. Se faire sucer par une femme comme elle, c’était sacrément excitant, trop pour que je puisse me retenir longtemps.
Sous le coup de l’excitation, j’essayais de pousser ma bite plus profondément dans sa bouche en serrant les fesses mais son poing m’en empêchait. C’était un peu frustrant, mais je compris qu’elle n’en avait pas envie et je n’insistai pas. J’essayais de me concentrer pour que ça dure le plus longtemps possible mais se faire sucer juste le gland comme ça, ça agace en tabarnouche, et mon cœur cognait de plus en plus sans parler de l’autre main malaxant mes testicules.
Je vis que le même sein que tout à l’heure était encore sorti de sa camisole et se balançait mollement comme l’autre. Ses mamelons étaient gonflés et durs et elle devait mouiller dans sa petite culotte. J’aurais tout donné pour la baiser d’aplomb, là, sur la route, étendu sur elle ou en levrette ; elle devait avoir un sacré beau cul. Mais pour l’instant, la pipe me suffisait amplement ; c’était même au-delà de mes espérances et je priais pour qu’on n’entende pas de voiture arriver, dents serrées et en sueur.
Il me semblait tout à coup que je sentais plus l’odeur de la forêt, un mélange de pin, d’humus et de terre noire. J’entendais même un ruisseau qui cascadait au loin et surtout des bruits de succion provenant de la bouche arrondie de Pierrette qui laissait s’écouler de la salive rendant sa petite main bien glissante.
Cette pipe matinale m’électrisait et m’arrachait des petites plaintes. J’étais au paradis !
Mais c’était trop pour moi si tôt le matin et j’étais bandé depuis trop longtemps. Mes couilles rentrèrent, mon scrotum durcit, ma queue devint plus grosse, plus sensible, le gland surtout et je sentis l’orgasme arriver. Je serrai ses cheveux plus fort en disant…
Elle stoppa, mais garda mon gland dans sa bouche et me crossa plus fort et plus vite sans lâcher mes couilles… Des gouttes de liquide séminal ou de sperme sortaient déjà de mon gland et tombaient sur sa langue. J’étais tendu comme la corde d’un arc et je gémissais plus fort.
Elle continua, je compris alors qu’elle se préparait à tout avaler. J’allais de surprise en surprise avec cette vieille dame très digne. Ça redoubla mon excitation, mais sa petite main ne serrait pas assez pour me faire jouir. Ça restait juste sur le bord et j’en pouvais plus.
Elle le fit, compressant ma hampe, cette fois ça y était.
Mes genoux flageolaient, j’étais sur le point d’exploser, les gros muscles à l’intérieur de mes cuisses se contractaient et je tanguais d’avant en arrière en sentant l’orgasme enfin monter. Encore là, le timide que je suis n’aurait jamais cru qu’une femme comme elle puisse avaler, surtout le sperme d’un inconnu.
La tasse de sucre pencha dangereusement quand le sperme grimpa dans mon urètre, je la redressai en râlant, crispé, dents serrées, geignant de plaisir, orteils retroussés en explosant enfin dans sa bouche contre son palais et droit dans sa gorge.
Elle sursauta et gémit par le nez tandis que mon premier jet de sperme, le plus puissant, jaillissait. Elle avala aussitôt, compressant mon gland contre son palais, narines dilatées.
J’en perdis le souffle et mon cœur sembla s’arrêter, sa petite main bien serrée stoppa et elle se contenta de me laisser jouir. Sous le coup du plaisir, je me penchai vers l’avant en me frappant les genoux et faillis renverser le sucre encore une fois, mais je m’en foutais complètement en déchargeant encore et encore comme si j’avais pas éjaculé depuis des mois. Elle avalait à chaque giclée et ça accentuait mon plaisir. J’allais cette fois renverser la tasse, trop concentré sur mon plaisir, quand une main de femme l’agrippa juste à temps et me l’enleva. Je crus que c’était Pierrette. Aussitôt ma main libre se referma dans sa chevelure avec l’autre et je me mis à pousser ma bite le plus loin possible dans sa bouche pour me finir. Je ressentais un plaisir puissant à tenir la tête de cette femme et à pousser ma bite entre ses lèvres. Son poing était si serré que c’est à peine si ma queue bougeait, mais ce fut suffisant.
Puis je réalisai qu’elle me serrait toujours les couilles, donc que quelqu’un d’autre m’avait pris la tasse. Mon cœur s’arrêta de battre cette fois, croyant que c’était Suzanne, je tournai la tête en lâchant un autre jet de sperme avalé aussitôt et je me figeai de surprise en voyant une grande femme rousse, mince et sexy, pieds nus, aux longues jambes musclées, en short en jean, haut de bikini noir et qui riait à gorge déployée, les yeux quasiment fermés et tête en arrière. Je voyais tous ses plombages. C’était la nièce, sans aucun doute, et je compris tout de suite pourquoi j’avais cru reconnaître cette voix-là, ce matin.
C’était une lectrice de nouvelles à la télé nationale, l’une des plus connues de la province et certainement la plus bandante. Une grande femme de ma taille et de mon âge aux longs cheveux blond-roux, mince, ventre plat, toute en jambes. Elle avait un beau visage ovale aux joues creuses, aux lèvres pulpeuses avec de grands yeux étirés en demi-lune presque toujours à moitié fermés, surtout quand elle riait comme maintenant. Une bombe sur laquelle fantasmaient la plupart des hommes sensés. Y compris moi, comme bien d’autres, et j’avais tripé sur elle terriblement à une certaine époque. Elle avait le plus beau sourire de la colonie artistique, tout le monde s’accordait là-dessus. Et elle était là, juste à côté, et me regardait décharger dans la bouche de sa tante. J’hallucinais.
Elle riait toujours de bon cœur, les yeux pleins d’eau, comme je l’avais vu faire si souvent à la télé en nous regardant l’un et l’autre. Une fille un peu garçon manqué, avec de jolies dents de lapin. J’avais une grosse collection de photos d’elle dans mon ordinateur. Elle avait été mannequin à l’adolescence, elle avait tout pour ça, puis journaliste et maintenant lectrice de nouvelles. À cinquante ans, elle restait encore une des femmes les plus sexys du Québec et elle posait souvent dans des magazines féminins. Il y avait beaucoup de vidéos d’elle sur le net en robe sexy dans des galas, ou de ses décolletés plongeants quand parfois elle participait à des jeux télévisés.
J’aurais jamais cru la rencontrer un jour et encore moins dans cette situation, la culotte à terre, et ça la faisait rire, en plus ! Ça décupla mon plaisir.
Jésus-Christ, la lectrice de nouvelles si sérieuses venait de me dire ça !
Un peu dépassé, je regardai la tante qui n’avait même pas levé les yeux comme si on était toujours seuls, sauf pour lâcher mes couilles et faire un doigt d’honneur à sa nièce qui pouffa de rire encore une fois à en pleurer. Puis elle me regarda et s’approcha en me fixant droit dans les yeux. Mon cœur bondit.
Elle savait très bien que je l’avais reconnue et ça semblait l’amuser terriblement.
Au paroxysme de l’orgasme, ça m’électrifia littéralement.
Je la trouvai plus belle qu’à la télé, sans maquillage, au naturel comme ça ; et ses yeux… Ouf !
Des yeux brun-vert splendides.
Là, elle rit de plus belle et moi aussi. C’était une des rares filles que je trouvais drôles à la télé. Elle avait un bon sens de la répartie quand elle passait en entrevue et un bon sens de l’humour et de l’autodérision.
Elle resta là à regarder, une jambe droite, l’autre tournée vers l’extérieur, un bras croisé sous ses seins que je trouvai plus gros que ce que j’imaginais, tenant la tasse comme si elle posait pour une pub de café et semblait s’amuser follement en se mordillant les lèvres.
La tante recommença à me pomper en agitant la langue autour de mon gland ultra sensible. Ça me ramena à la réalité comme un coup de fouet sur les fesses. J’avais fini de décharger mais du sperme coulait encore un peu. Du bout de la langue, elle le cueillait en touchant ma petite fente au sommet du gland, m’arrachant une grimace. C’est vraiment sensible cet endroit-là quand on vient d’éjaculer !
Je ris encore en la fixant. Elle me regarda intensément un moment, son sourire diminua, je vis qu’elle comprenait à quel point la voir là à nous regarder m’excitait, et je compris que ça l’excitait elle aussi, ses mamelons pointaient sous le tissu noir du bikini que je ne pus m’empêcher de regarder franchement ce qui ne sembla pas la déranger. Populaire comme elle l’était, elle avait dû s’habituer à se faire regarder de la sorte j’imagine et puis elle savait fort bien à quel point elle faisait fantasmer les hommes N’empêche que ça me gêna et je détournai les yeux.
C’était hallucinant comme situation et je regardai à nouveau la bouche de Pierrette. Du sperme débordait de ses lèvres, elle n’avait pas pu tout avaler et ça coulait sur son menton, tombant sur son sein à l’air et sa camisole.
Je finis de jouir sans y croire, le souffle court et en sueur, cette fois je rêvais, c’était certain. Pierrette me suçait toujours, les joues rouges, en jetant un coup d’œil à sa nièce qui lui fit un clin d’œil. Mon gland devenu trop sensible me faisait presque mal.
Elle recula la tête, laissa sortir mon gland de sa bouche et me lâcha la hampe et les couilles pour s’asseoir sur ses fesses, essoufflée elle aussi, en disant, pendant que du sperme épais pendouillait de son menton en s’étirant :
L’animatrice rit de plus belle, prenant un petit air de découragement superbe.
Je me la pris, excité de m’exhiber ainsi devant elle et de me la secouer. Tandis que Pierrette s’essuyait la bouche du dos de la main et se relevait, sa nièce lui tendit la main et l’aida. J’en revenais pas d’être là, bite à l’air bandée dur à me la secouer devant ces deux femmes, la lectrice de nouvelles surtout qui rougit un peu en regardant sans détour ma bite droite et encore bandée dure qui laissait s’écouler un peu de sperme gluant qui tombait en s’étirant sur la terre battue. Je pris mon temps pour bien me la presser.
Et elle me demanda avec un de ses fameux sourires :
Elle me regardait me démener, amusée, les yeux brillants, en ramenant d’un geste machinal ses cheveux derrière ses oreilles.
Je me contentai de sourire en sentant mon cœur reprendre un rythme plus normal. Juste à penser que cette femme-là avait vu ma bite, ça m’aiderait pas à débander avant un bout. J’étais encore pogné comme avant, bandé dur sous mon short, mais soulagé.
Elle souleva sa camisole, dévoilant sa poitrine au complet, s’essuya le visage avec et la replaça.
Je savais qu’elle me taquinait mais les entendre parler de ça aussi franchement me galvanisa.
Là, elle s’approcha en se penchant et me flatta la cuisse. Jésus-Christ ! ma bite pulsa.
Marie se redressa en disant :
Je flottais littéralement à marcher avec cette bombe sexuelle sur laquelle j’avais tant flippé juste à côté de moi et cette dame rousse si bandante qui venait de me sucer. La vie est belle, parfois.
Là, elles rirent de plus belle.
Là, elles éclatèrent de rire à en pleurer, ça se répercutait au loin dans les bois. Ah, les filles !
Je débandai finalement, une vraie délivrance, ensuite on prit une entrée qui menait à la rivière. Y avait une petite tente placée sous un arbre à côté d’une petite auto noire et d’un gros 4x4 gris avec une petite roulotte à deux roues comme la mienne, mais jaune canari.
L’animatrice s’essuya encore les yeux en disant :
Je leur souris en allant vérifier la boule à l’arrière du 4x4.
Seul avec la belle grande rouquine, je passai par-dessus la barre qui reliait la roulotte au 4x4 et m’accroupis face à elle pour examiner l’attache de la roulotte en essayant de ne pas trop regarder ses longues cuisses musclées que j’avais juste sous les yeux. La poignée était levée, la pine et la chaîne de sécurité enlevées. La barre de soutien descendue. Je me redressai et forçai, mais rien à faire, ça coinçait.
J’avais lu qu’elle faisait beaucoup d’exercice et suivait des régimes et ça paraissait. À part un peu de gras sous les avant-bras, elle était ferme de partout.
Elle me fixa intensément et dit :
Je déglutis.
Elle rit en disant :
Encore un rire, les yeux presque fermés. Elle était craquante à mort.
En réfléchissant, je l’entendis grimper et fermer la porte. Mais j’avais pas vraiment la tête à ça. C’était impossible que ça reste coincé sur la boule comme ça… Et soudain, j’allumai. Le vendeur m’avait parlé d’une deuxième sécurité sur certains nouveaux modèles, un antivol, il me l’avait même montré. Je glissai la main sous la barre de métal de la roulotte, trouvai un petit levier et tirai. Ça se détacha tout d’un coup et la roulotte bascula sur le cul. Je me reculai vivement pour ne pas être heurté par la barre. À l’intérieur il y eut un cri et des bruits de dégringolade de bagages et de vaisselle, pis un « Tabarnak ! » retentissant. Elle n’avait pas descendu les pattes à l’arrière pour soutenir la roulotte ; et moi, trop occupé à regarder ses belles jambes, j’avais pas vérifié. La belle lectrice de nouvelles devait se trouver à l’arrière, en plus, quand ça s’était détaché.
Pierrette arriva en courant de la rivière, les yeux arrondis, le visage plein d’eau, une serviette à la main.
Je fis oui de la tête.
On entendit sacrer encore et des choses qui revolaient.
Pierrette rit en me regardant.
Il y eut un long silence et puis :
Rien n’était brisé, surtout pas la grosse bonbonne de propane, ça me soulagea, et le vélo de montagne attaché là, non plus.
On essaya, mais rien à faire.
On riait tous les deux quand on entendit.
J’en revenais pas de l’entendre sacrer comme ça. Évidemment, c’était tout le contraire de l’image qu’elle projetait à la télé de femme sérieuse et bien éduquée.
On se retourna tous les deux, Suzanne arrivait en short et tee-shirt, ses petites lunettes ovales sur son nez, et regardait la roulotte, tout sourire.
La porte s’ouvrit et claqua contre la roulotte, on vit deux mains s’accrocher au cadre, puis une tête. Marie avait des restes de bouffe sur le visage et dans les cheveux, et riait.
Suzanne la regarda avec un drôle de sourire sans paraître surprise de découvrir qui c’était. Pourtant, elle la voyait souvent à la télé, on regardait les nouvelles régulièrement.
Elle avait de la sauce rouge et des miettes de pain sur les épaules et du jaune d’œuf sur une cuisse, mélangé à du sucre.
Ça nous prit deux minutes et on n’avait rien brisé, puis j’expliquai la double sécurité à la bombe rousse qui me remercia malgré tout avant de filer sous la douche ; et on rentra au camp. Je flottais toujours en repensant à ma pipe. Suzanne avait ses petites aventures aussi de son côté, alors je ne me sentais pas trop coupable, mais j’étais pas sûr de vouloir y raconter.
Là, elle me regarda drôlement avant de sortir notre minicaméra d’entre ses seins. C’est pas la place qui manquait pour cacher des choses dans ce coin-là.
Là, elle rit.
On rit tous les deux puis on figea devant un ours noir assis en plein milieu du chemin et qui se frottait les fesses dans le sable, jambes écartées, nous fixant en bâillant. Un gros mâle, à voir son engin.
Suzanne claqua fort dans ses mains en lui hurlant de partir et il fila la queue entre les jambes dans les bois. J’étais en sueur, les ours me terrifient.
Le cœur léger, je l’accompagnai à l’auto, y mis son bagage puis l’embrassai et la regardai partir. Puis je rentrai dans la roulotte avec la caméra, en souriant.
Un peu de vocabulaire…
camisole : maillot de corps, débardeur, « marcel »
brassière : soutien-gorge
ma blonde : ma copine, même si elle est brune, ou rousse, ou chauve…
flipper : fantasmer, s’exciter
triper : fantasmer, s’exciter
niaiser : perdre son temps
pogné : ému, intimidé
le fun : l’amusement, le plaisir
c’est cute : c’est sympa, c’est chouette
crosser : masturber
mon chum : mon copain
une coupe de bleus : quelques hématomes
orignal : élan
du spag : du spaghetti
câlisse : juron
cristi : juron
tabarnak : juron, très grossier
tabarnouche, tabarouette : jurons plus légers utilisés pour éviter « tabarnak »
chut : je suis