n° 14628 | Fiche technique | 24720 caractères | 24720Temps de lecture estimé : 14 mn | 29/10/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Angélique et Carole vont maintenant se faire plaisir... Et Angélique va se libérer et devenir de plus en plus salope. Le club de sport qu'elle fréquente va lui donner l'occasion de nouvelles rencontres. | ||||
Critères: ff gymnastiqu collection exhib fmast init -initff -occasion | ||||
Auteur : Francoisange Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Angélique Chapitre 03 | Fin provisoire |
Résumé de l’épisode 1 : Marié à Angélique, une jeune femme plutôt prude, Éric a fini par la tromper avec Catherine, plus âgée mais nettement plus délurée. Découvert, le coupable a fait amende honorable et mis fin à cette relation. Néanmoins la cocue est curieuse de comprendre pourquoi son mari lui a été infidèle. Devant ses insistances, il lui avoue qu’il aimerait qu’elle se gode pour lui et lui offre le nécessaire objet, mais apparemment sans grand résultat.
Un soir, néanmoins, Éric découvre qu’Angélique utilise secrètement l’objet d’une main et le téléphone de l’autre. À qui raconte-t-elle donc ses émois ?
Résumé de l’épisode 2 : Angélique a fait la connaissance de Christian avec qui elle entretient une relation téléphonique. Celui-ci lui propose d’aller plus loin et lui propose de rencontrer sa cousine Carole. Angélique accepte et rencontre Carole dans un grand magasin parisien.
Face à la gare St-Lazare, l’hôtel Concorde est un bel établissement en pierre de taille. Les deux filles entrèrent et se présentèrent à la réception à onze heures. Angélique sortit sa carte bancaire et demanda une chambre. Le concierge avait l’habitude de ce genre de rencontres furtives, même s’il était assez rare que deux filles se présentent ainsi devant lui. Il débita le montant de la chambre et glissa à Angélique une carte magnétique.
Elles prirent l’ascenseur vers le quatrième et n’attendirent même pas que les portes automatiques se referment pour recommencer à se gamahucher. Elles se buvaient la bouche, Carole sentait bien les deux boules qui remplissaient son vagin tandis qu’Angélique lui tordait un téton entre les doigts. Dans le couloir, Angélique se colla contre le mur et fit descendre la tête de Carole vers sa motte pour qu’elle la suce. La sensation fut incroyable. Elle avait pourtant l’habitude de se faire faire minette par Éric mais la sensation de la langue de cette jeune salope sur son clito la rendait folle ; elle jouit très vite et juta un filet de mouille dans la bouche de Carole qui commençait à apprécier les éjaculations féminines.
Elles entrèrent dans la chambre et commencèrent par se déshabiller. Angélique ne garda que ses bas et demanda à sa partenaire de conserver sa culotte découpée. Sans plus attendre elles s’allongèrent tête-bêche et commencèrent un soixante-neuf. Les deux filles étaient survoltées. C’est Carole qui jouit la première ; Angélique lui avait introduit le pouce dans l’anus et elle lui aspirait le clito. Carole se traitait de salope et se touchait les seins. Les premières contractions vaginales furent perceptibles par Angélique grâce au doigt qui fouillait le cul de Carole. Elle ralentit ses succions pour que sa putain ne vienne pas trop vite. Il faut dire qu’à force de se branler depuis six mois elle avait une bonne connaissance des signes préorgasmiques et qu’elle appliquait son savoir empirique pour le plaisir de sa salope ; car Angélique l’avait décidé. Carole était sa chose, sa putain, sa vicieuse. Carole suppliait de venir. Elle tortillait son bassin pour augmenter les sensations des lèvres d’Angélique sur son bouton. Elle était au bord, prête à venir. Elle coulait. Angélique la menait. Elle explosa enfin. Un feu d’artifice emplit son cortex, ses cuisses furent prises de tremblements, elle se raidit et explosa par vagues successives.
Quand elle eut fini de trembler, Angélique vint s’accroupir sur son visage et lui présenta à nouveau son con. Carole la lécha et la fit jouir trois fois de suite, sans cesser de lécher. Elle avait maintenant mal à la langue à force de tourner celle-ci sur le clito durci de cette mère de famille insatiable. Elles s’endormirent dans les bras l’une de l’autre. Quand elles se réveillèrent une heure plus tard elles se branlèrent mutuellement l’une à côté de l’autre. C’est Angélique qui jouit la première, mais l’orgasme qu’elle eut fit exploser Carole dans la minute qui suivit. Elles se douchèrent et se rhabillèrent, excepté la culotte de Carole qu’Angélique enfila. Il leur restait juste assez de temps pour grignoter un repas au Mac Do d’en face avant de retrouver Christian à quinze heures. Carole méritait mille fois qu’elle tienne sa promesse.
Elles entrèrent la main dans la main dans le grand espace qui prolonge les quais et où les voyageurs attendent que les trains s’affichent. Il n’y avait pas foule à cette heure et elles aperçurent Christian qui faisait les cent pas en regardant sa montre. Elles s’approchèrent de lui et se roulèrent une pelle afin de lui montrer qu’il avait correctement rempli sa mission. Angélique et lui firent connaissance en se serrant la main ; il était petit et bien bâti, probablement Angélique n’aurait pas craqué sur cet homme si elle l’avait croisé dans une soirée mais ils partageaient tellement de choses depuis six mois qu’elle se sentait bien en sa compagnie. Angélique proposa d’aller prendre un verre dans un bar voisin et c’est au café de l’Europe, place de Budapest, que tous les trois s’installèrent pour discuter un peu.
Christian était impatient de savoir comment leur rencontre s’était passée. Les deux filles lui racontèrent rapidement le déroulement de leur matinée et du moment passé à l’hôtel. Christian était surexcité de ce qu’elles lui racontaient et posait moult questions sur ce que l’une avait fait, ce que l’autre avait ressenti, buvant leurs paroles avec la même passion que Carole avait mis pour boire le con d’Angélique. Mis en confiance, il finit par lui avouer que Carole était sa cousine. Cette information, elle se demanda pourquoi par la suite, plut à Angélique et l’excita.
Mais l’heure tournait et Angélique devait retourner faire quelques emplettes pour justifier son escapade parisienne aux yeux de son mari. C’est alors que Christian s’écria : « Mais vous n’allez pas partir comme ça, les filles, je suis dur comme ce n’est pas permis, si vous ne faites rien pour moi il y aura attentat à la pudeur dans le métro tellement je bande ! » Les deux salopes rirent. C’est Angélique qui prit l’initiative : « Branle-le, dit-elle à Carole. Branle-le là, dans le café, sous la nappe ». Carole ne dit pas un mot et dégrafa son cousin et commença à le branler. Angélique, assise en face d’eux, retira un de ses escarpins et de son pied massa les couilles de Christian. Il jouit dans la main de sa cousine. Alors que Carole allait prendre un mouchoir pour s’essuyer la paume et les doigts, Angélique lui fit signe et prit la main de Carole dans la sienne avant de lécher, par-dessus la table, le sperme qui l’engluait.
Carole descendit aux toilettes pour se laver les mains et Angélique et Christian restèrent assis en tête-à-tête.
Christian n’y voyait vraiment aucun inconvénient et le lui dit ; au contraire, il ne voyait que de bonnes choses dans tout cela et se félicitait de l’audace qu’il avait eue l’avant-veille en appelant Carole.
Carole revint s’asseoir à leur table. Christian paya les consommations, et alors qu’Angélique se levait pour prendre congé, Carole sortit de sa poche de jean les boules de geisha qu’elle avait enfilées dans la cabine d’essayage et n’avait retiré que quelques instants plus tôt dans les toilettes du café.
Alors, devant les autres clients médusés, Angélique se rassit sur sa chaise, remonta sa jupe et introduisit les deux boules de bonheur dans son con. « Au revoir, mes chéris. Je penserai à vous ce soir. » Et elle quitta le bistrot en riant.
On entrait dans l’hiver. Angélique se couvrit plus, excepté qu’elle avait cessé, du moins la journée quand Éric était absent, de porter une culotte. L’après-midi, quand Christian était disponible, elle l’appelait pour se livrer à ses occupations favorites, à savoir se mettre avec le gode jusqu’à jouir comme une démente. Sa vie sexuelle avec son mari suivait son cours banal, même si désormais elle pouvait faire appel à son imagination et appeler au secours ses multiples souvenirs pour jouir plus fort quand Éric la prenait. De son côté il ne parlait plus du gode qu’il avait passé en pertes et profits et était soulagé que leurs relations se soient normalisées après son écart de conduite avec Catherine. Certes il n’oubliait pas le spectacle qu’il lui avait été donné de voir l’été précédent, mais il désespérait qu’une telle occasion se représente de sitôt.
Angélique n’était guère libre excepté dans la journée ; aussi eut-elle l’idée de s’inscrire à un club de fitness pour pouvoir se livrer en toute liberté à un plaisir qu’elle avait déjà expérimenté et qui lui plaisait particulièrement, à savoir s’exhiber. Elle avait adoré les yeux de la jeune fille du train de banlieue et mouillait en pensant à ce qu’elle avait osé dans le café où elle avait quitté le cousin et la cousine. Christian avait compris qu’elle raffolait de ces scénarios là et l’emmenait souvent vers ces chemins lorsqu’il l’accompagnait dans ses chevauchées de l’après-midi.
Elle commença par aller deux soirs par semaine dans le club de gym qu’elle avait choisi et qui se trouvait à une dizaine de kilomètres de son domicile : elle l’avait choisi éloigné pour deux raisons majeures. D’une part elle ne risquait pas de croiser des gens qui la connaissaient, et d’autre part elle devait traverser, pour s’y rendre, une forêt dont elle savait que des couples se retrouvaient pour des séances d’exhibition en voiture. Cependant, à cette époque de l’année, le soleil était couché depuis longtemps lorsqu’elle partait après qu’Éric était rentré du travail. Il n’était pas question de s’arrêter dans un bois dans la nuit noire, quelle que puisse être son envie.
À la surprise d’Éric lorsqu’il la vit partir la première fois, elle ne se changeait pas avant de prendre la route. Elle emmenait son petit sac avec le short, le bustier lycra et la paire de baskets, mais était impeccablement mise comme si elle devait aller prendre un pot avec des amis. Éric en fut troublé mais garda ses étonnements pour lui-même. Comme elle ne portait que des jupes ou des robes, il lui était facile, au prix de quelques contorsions et d’une ceinture de sécurité bouclée tardivement, de retirer sa culotte et de la mettre dans la boîte à gants. Avec ironie Angélique surnommait d’ailleurs celle-ci la boîte à culotte. De cette manière elle arrivait dans les vestiaires cul nu. Ceux-ci n’étaient pas mixtes mais son objectif n’était pas pour l’instant d’allumer des mâles qu’elle n’aurait pas voulu éteindre ensuite, mais se montrer comme la salope qu’elle se savait être devenue.
La première fois elle était seule lorsqu’elle arriva et en fut très déçue. Elle prit son temps pour se déshabiller intégralement et passer ses vêtements de sport mais personne n’entra pendant le temps que dura cette opération. C’est deux jours plus tard, à sa seconde visite, qu’elle comprit qu’il lui fallait arriver dix minutes plus tard si elle voulait croiser le groupe de celles qui avaient un cours collectif de step. Il y avait par contre deux autres personnes lorsqu’elle eut fini sa première séance. Une quadra plutôt bien foutue et une jeune fille à lunettes avec une longue tresse de cheveux châtains. Angélique se mit à poil, enfin c’est façon de parler puisqu’elle n’en avait guère, et partit sous la douche que la plus âgée venait de quitter. La cabine, située à l’extrémité des vestiaires, avait des vitres transparentes mais la buée les avait rendues opaques. Angélique se branla avec la douchette, persuadée qu’on ne pouvait la voir mais espérant que l’une d’elles s’en aperçoive néanmoins.
Quand elle en sortit les deux femmes étaient parties. Elle rentra chez elle et dut s’arrêter pour ouvrir la boîte à culotte, se rhabiller et se présenter décemment devant son mari. Elle sut qu’elle aimerait faire du sport.
Carole était en Allemagne pour deux mois dans le cadre de ses études. Elle avait quitté Paris après les fêtes et ne rentrerait que début mars. Angélique ne l’avait pas oubliée et imaginait toutes sortes de scénarios qu’elle aurait pu mettre en œuvre avec sa putain, comme elle l’appelait secrètement. Angélique ne l’avait appelée qu’une fois avant qu’elle parte outre-Rhin car elle voulait s’assurer que Carole avait envie de poursuivre leur relation. Celle-ci l’avait rassurée et lui avait promis qu’elle penserait beaucoup à leur expérience lorsqu’elle se branlerait en pays teuton.
Le lundi, le mercredi et quelquefois le vendredi, notre cochonne se rendait donc jusqu’à son club pour effectuer une heure trente de musculation et trente minutes d’exhibition. Elle connaissait maintenant assez bien les habitudes du club et savait y arriver au moment où se préparaient les abonnées du cours de step. Cependant la plupart des filles ne passaient qu’en coup de vent au vestiaire le temps de poser leur serviette et leur gel douche avant de partir à leur cours. Quant à elle c’était toujours le même cérémonial. Elle s’asseyait tranquillement et commençait par ôter son chemisier et son soutien-gorge. Puis elle passait son top et ensuite seulement enlevait sa jupe et bien entendu se retrouvait cul nu, son bout de tissu étant resté dans la boîte à culotte de la voiture. Elle enfilait ensuite son short puis finissait par ses baskets.
Elle fut un peu déçue car personne ne prêtait attention à elle. Les autres filles virevoltaient, pressées de ne pas rater le début du cours, et chacun s’occupait de ses petites affaires dans son coin sans se préoccuper des autres. Angélique comprit que le moment du déshabillage n’était pas propice à l’exhibition. Par contre après la séance tout le monde semblait plus détendu. Certaines bien entendu repartaient aussi vite qu’elles étaient parties et se doucheraient chez elles, d’autres prenaient leur temps et Angélique se mit à prendre le sien.
Ça faisait maintenant plus de deux mois qu’elle venait régulièrement lorsqu’un soir elle entra dans le vestiaire alors qu’une jeune fille, celle-ci devait avoir juste dix-huit ans, se levait et se dirigeait, enturbannée dans sa serviette, vers la grande douche dans laquelle Angélique s’était déjà masturbée seule deux ou trois fois. Angélique retira son haut et son short, garda ses baskets, et commença à éponger la sueur de ses aisselles et de son sexe. Elle prit un de ses nichons dans la main, le souleva un peu et s’essuya également dessous. Elle n’osait pas tourner la tête vers la cabine mais espérait que la jeune fille la regarde. Cela l’excita. Pour le second sein elle le souleva également mais en le prenant par le téton. Elle sentit le sang affluer à sa vulve.
La jeune fille passa la tête hors de la cabine de douche et lui dit :
Angélique lui sourit pour la remercier, ôta ses baskets et se dirigea nue vers la cabine. Elle entra et commença à se laver. Sa compagne de bain lui dit :
Angélique frissonna. Le fait que cette demoiselle partage sa douche lui plaisait beaucoup. Mais elle avait quelques réticences, et l’âge de sa nouvelle amie l’ennuyait autant qu’il l’excitait. Leila était épilée comme elle, mais Angélique ne voulut y voir aucune connotation sexuelle car elle avait lu dans un magazine que s’épiler était une coutume dans les pays du Maghreb et cette fille à la peau mate et aux cheveux bouclés y avait évidemment une ascendance. Angélique se contenta de se doucher, insistant sur son cul et ses seins mais sans provocation, tandis que sa voisine se lavait elle aussi sans aucune pudeur juste à côté d’elle.
Angélique sortit la première de la douche et se frictionna doucement pour laisser le temps à Leila de sortir de la douche avant qu’elle se rhabille. Quand celle-ci fut à son tour assise sur le banc Angélique remit ses vêtements et salua sa nouvelle amie.
Celle-ci, seule maintenant dans le vestiaire, se rhabilla également en rêvassant. C’est au moment de mettre sa culotte qu’elle se demanda quel effet cela faisait de ne pas en porter. Elle la remit dans son sac et passa son jean sur sa peau nue.
Ce soir-là, à quinze kilomètres de distance, deux filles se branlèrent avant de s’endormir. Angélique en pensant à cette jeune fille au sourire éclatant qui s’était lavée devant elle sans pudeur. Leila dans sa chambre, toute trempée d’avoir passée la soirée sans culotte. Au moment de jouir, Leila revit Angélique saisir son sein par un téton et le soulever pour s’essuyer dessous. Elle se tordit une pointe de sein alors que le plaisir montait ; son orgasme lui explosa dans la tête.
Une semaine s’écoula avant que les deux filles ne se revoient. Angélique avait dû manquer le mercredi pour cause d’absence d’Éric et le vendredi elle n’avait pas vu Leila. Celle-ci l’aperçut la première alors qu’elle entrait dans le vestiaire encombré.
Leila sourit et commença à se déshabiller. Angélique fit de même et remarqua que sa jeune amie la regardait discrètement. Elle s’assura que celle-ci l’examinait au moment de dégrafer sa jupe. Leila n’en perdait pas une miette ; elle était maintenant sûre qu’Angélique venait ici sans culotte.
À la fin du cours, elles se retrouvèrent mais elles n’étaient pas seules. Deux autres femmes plus âgées qui semblaient bien se connaître papotaient dans leur serviette. Angélique se dirigea la première vers la douche suivie de peu par Leila. Une fois à l’intérieur, Angélique demanda à son amie si elle voulait qu’elle lui lave le dos. Leila accepta. Angélique lui savonna le dos avec la main, s’arrêtant juste à la naissance de son cul. Quand elle eut fini, Leila se retourna et Angélique entreprit, sans rien lui demander, avec juste un sourire sur son visage, de lui laver la poitrine. Leila se laissa faire sans rien dire. Elle pensa juste que son con devait être bien humide et ne put empêcher ses tétons et ses aréoles brunes de durcir. Angélique la rinça et lui demanda si elle voulait lui rendre la pareille. Leila accepta en riant plus qu’il n’était nécessaire et entreprit de la laver, pile d’abord, face ensuite. Elle lui frotta les nichons avec insistance en se disant intérieurement qu’elle branlait les grosses mamelles de cette fille plus âgée qu’elle et que la sensation était incroyablement douce. Car les gros seins blancs d’Angélique étaient d’une consistance différente de celle de ses jeunes nichons, et les bouts rosés la fascinaient.
Angélique avait envie d’aller plus loin mais n’osait pas car les deux femmes continuaient à papoter et, même si elles se désintéressaient de ce qui se passait sous la douche, elles n’auraient pas manqué d’être intriguées si le jeu descendait au-dessous de la ceinture. Leila sortit la première de la douche et s’essuya doucement, elle commença à se rhabiller tandis qu’Angélique finissait de se laver la motte. Leila pouvait la voir faire au travers des parois embuées de la cabine et avait l’impression qu’elle insistait plus que de raison sur son clitoris. Les deux femmes quittaient le vestiaire lorsque Angélique sortit. Leila était presque prête et regarda son amie s’avancer vers elle. Elle vit que sa moule était toute gonflée d’avoir été branlée et se demanda ce qu’elle aurait ressenti si Angélique l’avait lavée avec autant d’attention qu’elle en avait mis pour elle-même.
C’est quand Angélique remit sa jupe qu’elle lui demanda :
Leila rougit à ce mot. Elle était étonnée de la facilité avec laquelle Angélique parlait de tout cela et se qualifiait elle-même de salope.
À ces mots Leila se souvint qu’elle n’avait pas remis son string sous son pantalon lors de leur première rencontre, et c’est en pensant à cet épisode qu’elle répondit :
Angélique se leva, s’approcha d’elle et lui prit la tête dans les mains.
Leila ferma les yeux et entrouvrit les lèvres.
Ce fut le premier baiser saphique de Leila. Elle avait déjà embrassé des garçons mais la sensation qu’elle ressentit fut toute différente. Il y avait aussi le plaisir de l’interdit, et le fait d’être mangée comme cela par une femme plus âgée qui l’électrisait. Elles finirent par se séparer. Leila avait coulé dans son string et n’avait qu’une envie à ce moment-là : se faire branler le bouton jusqu’à jouir. Elle finit par l’avouer dans un souffle à Angélique :
Angélique lui sourit et lui dit :