| n° 14695 | Fiche technique | 15878 caractères | 15878Temps de lecture estimé : 10 mn | 13/12/11 |
| Résumé: Chloé découvre une semaine plus tard de nouveaux plaisirs. | ||||
| Critères: fff hhh couplus extraoffre inconnu boitenuit danser facial fellation -totalsexe | ||||
| Auteur : Presse25 | ||||
| Épisode précédent | Série : Le Lady's Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Résumé du premier épisode : Lors de notre visite précédente au Lady’s, j’avais réussi à inciter ma femme à découvrir de nouveaux plaisirs.
Cela faisait une semaine que nous étions revenus du Lady’s et nous avions encore les souvenirs très présents avec Chloé de cette soirée. Une semaine à faire l’amour comme des fous depuis et nous avions convenu que dans la semaine à venir, il fallait retourner pour faire un autre essai. C’est ainsi que le samedi soir suivant, après avoir couché les enfants, nous décidons de retourner au Lady’s. Pour l’occasion, j’avais offert à ma femme une minijupe, certainement la première qu’elle porterait. J’avais réussi à la convaincre que tous les mecs banderaient à voir ses longues cuisses. Elle l’avait mise avec un petit bustier attaché sur le devant. De quoi être l’une des plus belles dans la salle. À 23 h 30 quand nous arrivons, il y a beaucoup de monde et sa tenue effectivement fait retourner aussi bien les filles que les garçons. Je trouve plus sexy et moins vulgaire que les tenues qui boudinent ou transforment une femme en saucisse de Lyon.
Pendant les deux heures que nous dansons nombre de bras et mains sont venus se frotter contre Chloé, uniquement dus au manque de place sur la piste évidemment. Chloé se sentait de plus en plus à l’aise et n’hésitait plus maintenant à me faire un show depuis la barre verticale. Pour nous reposer un peu, nous allons au bar prendre une consommation. Nous tombons sur un couple que nous avons rencontré plusieurs fois. Elle brune aux cheveux longs, jolie fille dans la trentaine, lui aussi brun avec une queue de cheval et un bon mètre quatre-vingt-cinq. Nous avions échangé plusieurs conversations avec eux depuis leur premier séjour au Lady’s il y a environ un an. Depuis, ils nous ont raconté qu’ils venaient tous les mois. Après un quart d’heure de discussion nous prenons congé d’eux et faisons un petit tour dans les différentes salles. Mon épouse, qui trouvait malsain de regarder les autres il y a quelques mois, n’avait plus un avis aussi tranché. Dans un salon, deux couples étaient en train de faire l’amour l’un à côté de l’autre. Nous sommes restés une minute avant de continuer notre chemin.
J’écoutais en repartant les commentaires de Chloé sur les ébats qu’elle venait de voir. Cela m’excitait d’entendre Chloé me faire des commentaires sur des actes faits par d’autres. Je décide alors de tenter une nouvelle expérience avec Chloé.
Chloé étonnée me regarde. Je l’emmène sans rien dire par le bras jusqu’à une salle très sombre à côté de la salle de danse. On entend la musique sans problème.
De mon côté, cela fait bizarre de mettre mon sexe dans un trou et d’attendre. Chloé prend le soin de bien lécher tout ce qu’elle peut lécher en faisant passer les testicules aussi de l’autre côté de la cloison. Sans poils, c’est nettement plus doux et plus agréable pour elle en bouche.
Chloé est en application depuis cinq minutes qu’un couple arrive. Il va jeter un coup d’œil sur Chloé et revient de mon côté. L’homme, apparemment attiré par le physique de ma femme, sort un sexe déjà presque en érection. Il le passe dans le trou à ma gauche et se colle au mur. Si je ne le regarde pas, je ne sais pas ce qui se passe et qui fait quoi, car son épouse est partie rejoindre Chloé.
Au changement de comportement de mon voisin, je sais que quelqu’un s’occupe de lui. Pendant que nous sommes là à profiter de la situation, un homme vient nous rejoindre et repart aussitôt. C’est pour revenir deux minutes plus tard accompagné par deux autres amis. Chacun sort sa virilité et se colle à un trou devant lui. Il reste une place qu’un couple vient combler. Du moins je suppose que madame est allée s’occuper de monsieur. C’est le côté fantasmant dans le « glory hole », c’est que la masturbation ou fellation peut être pratiquée par n’importe quelle femme de l’autre côté. Me dire que Chloé s’occupe peut-être non pas de moi, mais d’un ou deux autres hommes, ou d’un homme en plus de moi a un côté excitant. On se pose la question et l’on aimerait bien être une petite souris pour vérifier. D’ailleurs combien de femmes sont passées de l’autre côté ? Le plus simple serait de demander au couple qui s’est positionné juste à la séparation entre les deux pièces, mais cela m’enlèverait du suspense et certainement de l’excitation. Car si cela se trouve, je suis en train de me faire caresser par une autre femme. Car à défaut d’arriver à identifier la personne, j’arrive encore à faire la différence entre une pipe et une main.
Je regarde à droite et à gauche si les autres hommes ont l’air d’être satisfaits. Tout le monde semble excité par les caresses prodiguées, qu’elles soient manuelles ou buccales. Même le couple qui regarde l’est aussi. Monsieur a sorti son sexe que madame caresse et elle-même a une main dans son short. Je remarque que le couple que nous connaissons est là. Du moins le mari. Il est à deux places à ma gauche. Je ne l’ai pas vu se positionner. Est-il arrivé avec les deux autres ? A-t-il remplacé quelqu’un ? Bon, finalement, je n’en ai rien à faire. Quoique si sa femme était de l’autre côté, cela ne serait pas pour me déplaire qu’elle s’occupe de moi. Je pense aussi que mon épouse aimerait bien avoir une relation avec elle. Dès la première rencontre, j’avais vu que Chloé appréciait sa plastique et la simplicité de sa tenue, rien de vulgaire. Légèrement excitant, sans faire dans l’extravagant. C’est ce que recherche aussi ma femme dans ses tenues. Je ne pense pas la voir un jour déguisée en « pute » ou saucissonnée. Elle essayerait bien le latex ou le cuir, mais elle sait que cela ne me plait pas du tout.
Mes pensées reviennent à la réalité quand un de mes partenaires de jeu commence à sérieusement accélérer ses mouvements de bassin. Au boum contre la cloison et l’immobilisme qui le gagne, on prend tous conscience qu’une femme de l’autre côté a réussi à lui faire prendre du plaisir. Laquelle a réussi ? Était-ce avec la bouche, avec la main ? De mon côté, c’est une bouche qui s’occupe de moi depuis quelques minutes et elle est efficace. Aidée d’une main, elle happe mon sexe qui est aussi dur que lorsque Chloé se faisait caresser quinze jours plus tôt par une autre femme. Je sens qu’il ne me faudra plus longtemps avant de me délester de quelques millions de petits Français. Je ferme les yeux pour mieux apprécier la situation. À ma droite, j’entends un râle de plaisir de mon voisin ponctué par des « oui, oui, ohhhh ouiiiii ». Je sens moi aussi par le fait monter le plaisir. Étant moins expressif, j’essaye de maintenir le plus longtemps ma dose pour envoyer le maximum d’un coup et le plus loin possible. Je pince la base de mon sexe et quand je sens que c’est le moment, j’explose d’un coup. Deux contractions successives et me voilà vidé de tout mon sperme. A-t-il atterri sur un corps, sur le sol, dans une chevelure ? Une main continue de me caresser après coup mais je me retire pour mieux retrouver mes esprits. Une fois revenu sur terre, je décide d’aller retrouver ma femme de l’autre côté en passant devant le couple qui cette fois-ci est imbriqué l’un dans l’autre. Et là, je vois ma femme…
Quand Chloé voit le sexe de son mari qui dépasse par un trou, elle comprend l’utilité de chacun des six trous présents dans ce mur. Un tapis mousse se trouve au pied de la cloison et trouve tout de suite son utilité pour le bien-être des genoux de la belle blonde. Tout de suite, elle décide d’exciter son mari avec les mains et la bouche en appliquant des petits baisers et des succions appliquées avec amour. Elle voit qu’elle agit bien car la longueur augmente et la rigidité se fait plus importante. Quand le sexe est enfin rigide, elle est interrompue par l’arrivée d’un couple qui la regarde quelques instants avant que l’homme reparte de l’autre côté. La femme vient s’agenouiller à côté de Chloé et lui fait un grand sourire auquel répond Chloé. Celle-ci est brune avec des cheveux courts, un visage mince, des petits seins cachés par un soutien-gorge à balconnets. Des bas tenus par un porte-jarretelle et une petite culotte en dentelle sont l’ensemble de sa tenue. Elle est pieds nus, de tout petits pieds. Quand Chloé cesse de faire le tour de sa voisine, son regard se reporte sur la cloison. Il y a maintenant deux sexes. Celui qui vient d’apparaître est déjà en érection. Il doit s’agir de l’homme qui était avec la brune à ses côtés. Mais sans vision autre que le sexe, difficile de définir son propriétaire. Cela a un petit côté excitant. D’ailleurs, elle se rend vite compte que cela doit être aussi stimulant pour ceux qui sont de l’autre côté de la palissade. Qui les caresse ? Qui les suce ?
Tout en s’occupant de leur conjoint, elles se jettent des regards provocateurs du style « tu vas voir, c’est moi qui vais le faire jouir en premier ». D’ailleurs sa voisine a l’air d’être une experte en la matière. Elle n’hésite pas à avancer loin le sexe de son homme dans sa bouche. Chloé a toujours évité cela, de peur de se faire vomir ou d’étouffer. « Il doit y avoir une technique spéciale », se dit-elle en voyant le sexe complètement disparaitre dans sa bouche sans que cela ne provoque en elle de réaction de rejet. Il faudra lui demander comment elle fait une fois fini. S’il y a une technique particulière, il faut qu’elle la connaisse et qu’elle la maîtrise. Son mari en sera le premier satisfait. À un moment où Chloé n’applique que sa bouche sur le sexe de son mari, sa voisine fait glisser sa main jusqu’à celui-ci et prodigue quelques caresses dessus. Le premier sentiment de Chloé est la jalousie, c’est à elle, point. Puis, la situation aidant, elle se dit qu’elle est non seulement là pour prendre du plaisir, mais qu’en plus, jamais son mari ne saura qui s’occupe de lui. Elle décide de faire la même chose en jetant un regard complice à sa voisine. Le sexe qu’elle prend en main est plus gros que celui de son mari, elle le remarque tout de suite, car sa main n’arrive pas à en faire le tour. Malgré la pénombre de la pièce, elle sent une grosse veine dépasser en dessous. Le gland aussi est différent. Très fin et long, presque pointu.
Une troisième femme arrive alors que deux puis trois sexes apparaissent par les orifices encore libres. Maintenant, il y a six sexes à disposition et trois femmes pour s’en occuper. Alors que la troisième protagoniste va s’installer pour s’occuper des deux sexes du fond, les deux filles se regardent. Soit elles décident de s’occuper des deux nouveaux sexes, soit elles feront deux malheureux. Et l’occasion est trop belle pour Chloé qui mouille beaucoup entre ses jambes. Sa voisine lui fait un signe que Chloé comprend tout de suite. Elle hoche de la tête et s’exécute. Trente secondes plus tard, les six hommes sont tous en érection plus ou moins importante. Chloé se demande comment sa voisine faisait pour entrer le sexe en face d’elle entièrement dans sa bouche, tellement le diamètre lui parait important maintenant qu’elle l’a juste devant le nez. Elle s’approche pour respirer celui-ci, pas d’odeur particulière ou repoussante. Sa main qui caresse le sexe sur toute sa longueur et le long de sa veine vient tenir le sexe pour pouvoir le faire entrer dans la bouche. La forme de son gland fait passer celui-ci pour une sucette pour Chloé. Sa langue en profite pour faire le tour, taquiner le prépuce et ses lèvres avalent avec délectation la masse de chair qui se présente à elle. Pendant ce temps, sa main droite caresse avec vigueur le sexe de son voisin.
Son mari est en train de se faire faire une fellation par la jolie brune et Chloé se dit que si elle va au fond des choses, il sentira la différence et il remarquera que ce n’est pas sa femme qui est en train de lui tailler une pipe. Mais pour l’instant, elle se contente d’allers-retours classiques avec la main droite qui excite les testicules, sa main gauche masturbant le dernier sexe de la rangée. Chloé est terriblement excitée à la fois par la taille du sexe devant elle mais aussi par la forme de gland sans prépuce. Avec le pouce gauche, elle appuie fort sur la veine, tout en branlant avec les autres doigts la tige solide pendant que sa langue continue ses rotations et succions. Elle sent que cela fonctionne car le corps de l’autre côté pousse tout ce qu’il peut pour que son sexe traverse la cloison. Sans relâcher sa pression, Chloé accompagne au mieux les mouvements. Elle se rend compte de l’éjaculation quand le premier jet de sperme lui arrive sous la langue, elle se recule pour le deuxième qui se pose délicatement lui sur la langue. Elle avale tout rapidement et finalement, il n’a pas mauvais goût.
La voisine de Chloé s’est aperçue qu’elle a perdu la course. Elle accélère donc les mouvements de va-et-vient de ses mains et de sa bouche en alternant sur chacun des sexes devant elle. Malgré la musique, elle entend les râles d’un homme en face et les jets confirment que son client externe vient de jouir. Manque de pot, ce n’est pas lui qu’elle voulait voir jouir. Elle se jette avec sa bouche sur le sexe du mari de Chloé en avalant celui-ci jusqu’au bout. Le gland beaucoup plus gros que celui de son mari gonfle en enfle dans sa bouche. Elle accélère encore ses allers-retours de sa main droite. Elle sent qu’elle arrive enfin à ses fins. Elle se recule juste au moment ou un long jet vient frapper sa joue droite jusqu’à son oreille. Le deuxième arrose son épaule. Avec un grand sourire, elle regarde ma femme qui lui rend son sourire. Elles se redressent toutes deux et s’approchent l’une de l’autre. Une attraction mutuelle instantanée dès qu’elles se sont vues. Chloé vient enlever le sperme de son mari de la joue de sa voisine. En échange, elle reçoit un baiser fougueux. Les deux langues se mêlent, les mains s’accrochent, les corps se rejoignent et se collent pour mieux sentir l’autre.
C’est à ce moment que je revois ma femme en venant de l’autre côté de la cloison. En me voyant la regarder embrasser sa compagne, elle interrompt son baiser, me regarde et me dit :